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L'Ă©veil

Par Aonis le 21/6/2002 Ă  21:36:43 (#1692118)

Dans la fraicheur du matin, aux premiers rayons du soleil. Une brise luminescente parcourt les plaines et danse parmis les branches. Aux abords d’un marre claire, elle dessine milles arabesques pour finalement poindre en un éclat majestueux. En son centre, recroquevillé, un être se réveille. Premieres brides de consciences, premieres sensations. De fines ailes blanches se déploient, puis et des bras et finallement l’être se redresse.

Dans la douceur du matin sous le regard de l’astre apparaissant, il inspire profondément. Sur son visage on distingue déjas un sourir. Ces ailes battent quelques mouvement, il regarde aux alentours et finalement dans une lenteur suréaliste, il s’éleve et porté par les vents, part découvrir ce monde merveilleux.

Ainsi naquit Aonis, un matin de printemps.

(Livre de Nagh, histoires et contes incertains, Tome V les enfants de la lumière)

Par salhem le 27/6/2002 Ă  17:05:11 (#1720254)

surpenant bonheur qu'est l'acte de la naissance, ou chacun du haut de sa cruauté humaine s'atarde. Meme le plus vil des etre est attendris par le venu au monde d'un nouvelle etre, parfois de dégout parfois de pitier, l'etre est tué.

Mais toi soi acceuilli parmis nous, et aprend a ne paraitre que dans l'instant de ta force, car tu apredra qu'en ce monde, nul faible n'ai Ă©pargner.

Le bonheur est une lame qui est faite pour transpercé ces etre parfait que nous sommes, nous, les anges. Aprend a accordé la grace de ta présence a qui le mérite, et aprend a recevoir de ceu qui t'etonne et te font sourire.

bienvenu, et félicitation

LÂ’Ă©veil : 1ere Ă©rrance

Par Aonis le 28/6/2002 Ă  21:00:06 (#1726679)

Porté par les doux bras d’un vent aux parfums printanier, Aonis regarde le monde qu’il survol. Dans son regard, brille encore l’innocence et le bonheur simple de l’enfant naissant. Plus bas défile des forest verdoyantes, des prairies multicolores, des lacs cristalins et bien d’autres décords aussi sublimes. De temps a autre, il fait voyage avec quelques êtres aériens, un vol de d’hirodelles joyeuses avec qui il fait quelques pirouettes encore mal assurées. Un faucon au plumage gris claire, austére personnage en quête de nouriture pour ça progéniture.

Mais déjas l’astre décline et les ombres qu’il projete s’étallent de tous leurs longs. Aonis sent en lui monter une fatigue soudaine, dans la lumière descendante son corps réclame un repos. Par vagues lentes, il redescent et fini par ce poser délicatement dans une clairière fleurie entourée de chênes centenaires. Son regarde parcours les lieux et ces mains déssinent dans les airs quelques symboles mystiques. Son esprit raisone d’un savoir ancestral, puissances qui lui sont inconues et pourtant si familliere. De petites lueurs apparaissent, dans la clairière un chant résonne et pour la premiere fois sa voix ce fait entendre. Louange à l’astre couchant, il leve les bras et son regard fixe le disque de lumière. Une vibration, un souffle et quand le disque disparaît, Aonis sent ces jambes faiblirent, ça force l’abandonne, et il s’allonge. Dans l’herbe grase et parfumé, il s’étalle, son corps s’étire une derniére fois et fini par ce recroqueviller, envellopé par ces ailes. Muent par une force invisible, les herbes le recouvrent, cocon protecteur dans lequel il s’endort. Et dans son paisible sommeil, il révé encore qu’il joue dans les airs avec les hirondelles.

Ainsi Aonis, prit son premier repos.
(Livre de Nagh, histoires et contes incertains, Tome V les enfants de la lumière)

Et merci à Salhem pour son acceuil si sympatique. Que les vents Celestes lui apporte joie et bonheur et que la divine lumière guide ces pas.

LÂ’Ă©veil : La voix du Sang (part I)

Par Aonis le 5/7/2002 Ă  19:38:27 (#1764105)

Voilà plusieurs jours qu’Aonis parcours le monde. Ces périgrinations l’on menné pres d’un sombre marais. L’air lourd et fétide des marées rend le survole de l’endroit particulièrement pénible. Mais une voix lointaine s’emble appeler et Aonis tente de ce raprocher.
- Aidez-moi ! Au secours ! Â…..
Aonis avance mais la voix aussi semble avancer. Apres de longues minutes, un craquement, bruit extraordinaire. Aonis tourne la tĂŞte et sent son corps parcouru par une force terrible. Son corps se fige, douloureux, lourd. Il chute la tĂŞte la premiere dans la vase. Une boue Ă©coeurante emplie sa bouche, une forte odeur agresse ces sens. Dans un effort douloureux, il ce redresse. La tĂŞte lui tourne et ces jambes le maintiennent difficilement.
Sortant d’un buisson rabougris, deux formes sombres avance, d’une démarche boiteuse. Portant des loques qui dissimulent leurs visages, Aonis entend leurs voix.
- Regarde ce que nous avons péché mon cher Her’l !
- Vous mÂ’en voyez ravis mon cher ChoÂ’ta, nous allons bien nous amuser, je crois !
Les deux créatures avance et leurs rires résonnent douloureusement dans la tête d’Aonis. Tendant la main, il les regarde.
- Mon corps est souffrance, de grace aidez-moi.
Aonis esquise un sourir, cherchant dans les deux créatures une aide pour comprendre ce qu’il vient de subir.
- Cher ChoÂ’ta ! NÂ’est-ce point merveilleux dÂ’ĂŞtre aussi naif ?
- Cher Her’l, voilà qui nous promet un fort agréable amusement. Ce jeune ange a semble-t-il une ignorance par trop charmante.
Le dénomé Her’l s’approche d’Aonis et d’un geste vif et puissant le jette à terre.
- Pauvre crétin ! Tu crois pouvoir nous attendrir avec tes suppliques ?
HerÂ’l se penche sur Aonis et lÂ’attrache ferment par le coup, le souleve et le montre a ChoÂ’ta.
- Cher ami notre gibier semble quelque peu léger non ?
- Il est Ă©vident quÂ’il nÂ’y a pas grand chose Ă  manger ! hahahaha
Les deux créatures rient à gorges déployées. Aonis le corps engourdi pas le choc et l’esprit brumeux tente de se défaire de l’étreinte de la créature. Mais celui-ci d’un geste large et rapide, lui griffe le bras. Aonis sent une douleur fulgurant le traverser le corps. Rhe’l tout en le maintenant lui fait une dexieme laceration sur le torse. De nouveau une fulgurante douleur. Aonis pousse un cri étranglé, les mains de Rhe’l lui serrant toujours le cou. Plus loin Cho’ta, ayant pris une posture qui se veut noble lui fait de grands signes.
- Cher RheÂ’l, je vous laisse-vous amuser avec celui-ci. Car vous mÂ’avez permis de mÂ’amuser avec le dernier.
Rhe’l se tournant vers Cho’ta lui fait une courbette et les deux créatures rient de nouveau. Aonis sent la peur monter en lui. Sentiment nouveau, il cherche à comprendre. Mais la douleur, les odeurs et tout le reste le dérangent. Rhe’l lui inflige une nouvelle douleur et Aonis qui hurle. Sa voix prenant un son métalique. En lui la peur fait place a la rage. Une colère vielle, ancienne qui lui semble si famillière. Rhe’l le regard, surpris et lui impose le silence par une succession de claque pour finalement le jetter a terre.
Aonis, tordu par la douleur se met à gémir. Rhe’l d’un violent coup de pied lui intime de ce taire.
- Mais va-t-il ce taire lÂ’animal ?
Aonis sent le coup faire craquer ces cottes et de nouveau la rage. Son esprit sÂ’emflame et une autre douleur vient sÂ’ajouter aux autres. Une douleur plus profonde, plus ancienne. Comme si un antique cicatrice venait de sÂ’ouvrir. Aonis sert les poings et une douce chaleur envahit son ĂŞtre. RheÂ’l sent lui aussi la chaleur et fait un pas en arriere.
-Cher ChoÂ’ta je crois que notre gibier tente une rebellion !
-Comment ? Le gibier ce révolte ? Voilà bien des manieres de rustres ! (Cho’ta éclate d’un rire hystérique)
Aonis dans un effort douloureux se redresse. Dans ces yeux, RheÂ’l semble percevoir une lueur.
-Cher ChoÂ’ta je crois que nous avons un problemes !
-Cher Rhe’l n’avez-vous point faim ? Cessez immédiatement ce jeu de grace !
Rhe’l recul légerement et se retournant vers Cho’ta lui montre le gibier.
- Par tous les feux de l’enfer ardent ! Cho’ta ce lève brusquement.
- Je vous lÂ’ai dit cher ChoÂ’ta nous avons un probleme.
Mais Rhe’l n'a pas fini sa phrase qui Cho’ta les bras tendus lance une attaque. De ces mains un eclaire rouge vient frapper Aonis. Mais celui-ci, la tête basse ne réagit pas.

(Livre de Nagh, histoires et contes incertains, Tome VI les enfants de la Lumière, la légende de l'être lumière)

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