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Everon: Red Blow
Par Dolticht le 19/6/2002 à 17:06:08 (#1684538)
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Prologue
Le lieutenant Yliunov Garitiouvitch tenait avec acharnement sa position. Ses hommes empêchaient depuis le début de la matinée l'avance des troupes impérialistes. A sa gauche, le servant Petouchov changeait le canon de sa PKM avec l'aide de Vladinov. Sur sa droite, les hommes rechargeaient leurs fusils mitrailleurs. La plupart d'entre eux étaient fatigués par les dernières journées de combat.
Depuis deux jours, les divisions américaines avançaient et menaçaient dangereusement la ville de Morton, port d'approvisionnement des forces soviétiques. Si leur unité ne tenait pas cette position, les blindés ennemis étaient en passe de menacer à la fois Morton et Provins.
Et cela les hommes de la 164ème division d'infanterie n'en avaient aucune envie. Enfoncée à Saint-Pierre, encerclée à Levie, la division n'était plus que l'ombre d'elle même.
Pourtant ces hommes tenaient avec un courage héroique ce carrefour. Les obus de l'artillerie, l'aviation, les chars Abrams ne leur faisaient plus peur.
La rafale de la mitrailleuse de Petouchov se fit entendre. Une escouade américaine avançait à partir des bois proches vers le petit hameau. Au son des balles fusant vers eux, les Américains s'enfuirent. Un d'entre eux fut touché, un camarade courut lui porter aide. Les autres, des bois, ouvrirent le feu pour les couvrir. Le lieutenant fit signe au mitrailleur de cesser le feu. Au loin, un nuage de poussière s'était levé. Des obus sifflèrent dans le ciel. Deux hélicoptères bondirent du couvert d'une colline. Canons prêts, les Cobra ouvrirent le feu au cours d'une passe et lâchèrent un missile chacun. Ils filèrent droits vers leur cible. La maison fut soufflée sous le choc. Un BMP explosa.
Les Abrams arrivèrent alors, derrière eux, l'infanterie sautait des transports de troupes. Des bois, d'autres troupes avançaient.
Les obus percutèrent. La ferme fut pulvérisée. Les Américaines étaient dans la place.
Petouchov vidaient chargeur sur chargeur. Une escouade débarquant d'un M113 fut ainsi massacrée. Mais le bruit lourd et mat d'une browning répondit. Les balles de 12,7 passèrent à travers le mur comme dans du beurre. La mitrailleuse de Petouchov se tut.
Au rez de chaussée, un combat furieux s'était engagé. Les Russes tiraient de tout côté sur l'envahisseur. Un américain s'élança sur un blessé et le tua à coup de crosse. Au milieu de la confusion, Garitiouvitch continuait d'appeller frénétiquement des renforts et du soutien de l'artillerie tout en tirant avec son AK74.
"-Give me some fucking reinforcements. Need arty support, fire on our goddamn position. We are totally overrun.
Il marqua une pause en rechargeant. Puis reprit tout en vidant son chargeur sur un soldat ennemi qui s'élançait dans l'escalier menant au 1er étage. L'homme tomba, l'épaule emportée.
-Coordonates are Echo Hotel 5-9, this is Red Bear 6... DO YOU COPY???
-Negative, comrade...can you repeat....Arty out of ammo....
Soudain un jet de flamme passa par la porte, des grenades furent jetées au travers des fenêtres.
La pièce, puis la maison prirent immédiatement feu et les grenades incendiaires en firent une torche.
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Chapter 1: The Arrival: Dimanche 2 février 1985, Republic of Everon, Everon Aiport près de Saint Phillipe, 18:47
Un lourd avion de transport Candid descendait vers la piste. Le soleil couchant le baignait dans une douce lueur. L'appareil sortit son train, descendit encore puis toucha le sol avec une petite secousse. L'avion roula sur la piste, puis bifurqua à gauche pour prendre le taxiway. Enfin il s'arrêta, garé entre deux autres avions de transports. Les réacteurs s'éteignirent et la porte arrière s'ouvrit. Des chars T-80 en sortirent fièrement. Puis des véhicules plus légers de commandement et enfin l'infanterie. La première unité de la 13e division de la Garde était arrivée sur Everon. Cette unité d'élite qui avait joué un rôle capital dans l'illustre défense de Stalingrad allait participer aux combats.
Le lieutenant Dragan marchait à présent sur le tarmac de l'aéroport. Les hommes avaient le moral au plus haut. Bien que fatigués par le vol, ils étaient prêts à se battre. Dragan se relisait les notes qu'il avait pris lors du briefing.
Situation: divisions américaines(blindés en partie et parachutés attention donc) ont débarqué dans le sud de cette île, nos forces dépassées reculent, essayons de maintenir ligne de défense Morton-Provins
Ordre: préparons contre-offensive dans secteur ouest, près d'un patelin nommé Chotain. Faiblement tenu.
Objectif reprendre Levie et menacer ligne de ravitaillement.
Spécial: manquons de carburant et de munitions, port bombardé et aréoport trop petit. Devons capturer les réserves ennemies si possible. Menace aérienne grande, raids fréquents après Montignac, route de nuit.
En bas de la feuille, le jeune lieutenant avait griffoné quelques commentaires
Nos lignes manquent de solidité et nous risquons une percée sur notre centre. Au lieu de préparer une contre-offensive dont nous ignorons l'aboutissement, nous devrions nous renforcer, regagner la maîtrise du ciel, et une fois des forces suffisantes amassées, attaquer vigoureusement avec un appui d'artillerie les points faibles de l'ennemi, l'encercler et le couper de ses lignes.
Merci Joukov ;)
Dargan, ainsi que ses supérieurs, s'était vigoureusement opposé à cette opération que leur avait imposé le général Gorchtianov.
Toutefois, le lieutenant, qui avait étudié les oeuvres des grands stratéges, trouvait que cette attaque avait une chance de déstabiliser l'ennemi et de le forcer à adopter une attitude défensive. Mais il craignait surtout la chasse ennemie. Dernièrement la 6ieme division avait subi de lourdes pertes à cause du manque de couverture aérienne.
L'officier fut troublé dans ses pensées quand on donna l'ordre de montée dans les camions qui arrivaient.
Ses hommes montèrent à l'arrière de l'Ural et lui s'installa avec le sergent Tchouliounov à l'avant près du conducteur.
Dragan, après les civilités militaires d'usage, demanda à ce dernier ce qu'il se passait dernièrement sur le front.
L'homme, un caporal, lui expliqua que les impérialistes avançaient, au pris de lourdes pertes, sur Morton. Mais la défense commençait à s'organiser. Quand à la route menant à Provins, on avait pu la miner et y établir quelques positions. Mais le secteur n'avait pas eu à subir le gros de l'offensive.
Dragan se tourna vers Tchouliounov et lui dit:
"-Alright, well, my old comrade, I think, the americans are trying to cut our supply lines, like we are going to do, and then they may continue their offensive, passing by Figari. Look to the map.
-Yeah, but I think we will hold Morton, otherwise we are screwed but the biggest threat is air attack on the airport and Morton. If they can set up an airbase or something like that, we are dead. No supply, no fuel, no men, only death...
-I don't think they will be able to, too many hills in the south.
-Well a carrier then...
-A carrier??? No, no, the Baltic fleet would sink it in a minute.
Le camion s'enfonça alors dans la nuit. Au loin, les explosions illuminaient la nuit de flammes jaunes-orangées.
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Ca sera un petit début, pareil qu'avant un peu de soutien fait pas de mal. :p
Même si vous voulez, là vous avez le plan des opérations à venir du côté russe et des informations sur le côté américain, vous avez une belle unité d'élite qui arrive sur le front, un stalingrad en puissance Morton, des gros véhicules... alors allez-y faites progresser l'histoire (un minimum de sérieux requis quand même) :)
Si vous voulez jouer le côté américain, je vais voir ce que je peux faire. Mais pas de suite tant que ya pas des volontaires ou un enthousiasme pour. :D
Par Vortex le 19/6/2002 à 21:34:30 (#1685576)
Super fiction Dotlicht! :)
Serieusement je ne pense vraiment pas avoir le niveau pour continuer, mais continue-là elle est super bien partie et comme toujours racontée de facon à nous plonger bien dans les combats. :)
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Juste de passage...
Par Réverant-G- le 19/6/2002 à 23:53:28 (#1686320)
Par Eagle le 20/6/2002 à 1:24:06 (#1686745)
Par Eagle le 21/6/2002 à 6:03:48 (#1688150)
Madness of War
Par Dolticht le 21/6/2002 à 13:21:50 (#1689443)
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-It seems impossible... They are too many, when one of them died, three take his place. We can't hold longer. It seems endless, desesperate.
-Hold, hold....If it's not for mother Russia, fight for your friends, don't let them die for nothing. The war must go on..
Des obus explosèrent tout autour d'eux, ils n'y firent pas attention. Depuis trois jours, la ville de Morton était pris sous un intense bombardement d'artillerie, de plus l'infanterie américaine avait pénétrée dans les faubourgs de la ville avec du soutien blindé.
-Here they come, sir!
-FIRE AT WILL! Kill them all!
-Why? There is no point for it... The USSR is falling apart, sooner or later, rebellion, revolution will emerge.
-You would have been killed for this...before this war.
-This isn't a war, this is just a slaughter
Les hommes tiraient de tout côté, un bradley s'enflamma, l'équipage sauta au milieu de la tempête de feu. Ils furent pris poru cible.
-What a bloodshed... Is my life worthing this? This "war" is breaking us down. There is no point of it. But still I'm fighting for my life. I dunno if I should? Am I better than this guy on the ground? This imperialist?
Le soviétique continuait à tirer, désespéré. Les chars ennemis avançaient, protégés par l'infanterie. Mais à chaque coin de rue, une mitrailleuse, un RPG-7 ou un squad les ralentissait. Leur faisant payer chèrement cette avance de quelques dizaines de mètres. Derrière eux, parmis les ruines des maisons, des tireurs d'élite, des hommes les massacraient. Sur leur flanc, des mitrailleuses tiraient à travers les vitres brisées. Une sale guerre..
Les blessés gisaient dans leur marre de sang, criant leur douleur au ciel, aux hommes qui tombaient tout autour d'eux. ASSEZ! ASSEZ!
Mais toujours les obus des mortiers, les grenades volaient, explosaient, les schnarpels dispersés de tout côté, tuaient dans ce monde de cauchemar.
- I can't believe it... War is getting the worst of us. War is gonna make us mad.. mad of blood, mad of fight? or dead?
Les rotors des hélicoptères passaient au-dessus du carnage, d'en haut la longue colonne de véhicules ne semblaient pas être vraiment ralentis. Elle avançait doucement. A chaque fois, qu'un point de résistance était découvert, au pris de lourdes pertes, un Cobra ou un Apache surgissait et au cours d'une passe tirait au canon ou lâchaient une salve de roquettes. Alors les ruines se taisaient un cours instant. Ils devaient être morts là-dessous. On avançait, soudain quelques secondes plus tard, une rafale mortelle était tirée du même bloc de pierres. Le bunker reprenait vit.
-How? How can I stand this? this madness? I can't say it's a nightmare, its real. No its humanity...War is human, we are doing it for just a piece of land, ressources, ideologism, power? The point is men are dying in ruins. My gun, this machine gun, mights have shot fifty men. I made fifty widows? How could it be? Aren't just machine, robots sent here to kill us all? Am I the only one alive here? Are the others just ghost trying to kill each other? It's better to say they aren't humans? But it's hiding the main part. I killed for something I should give my life for. Is it communism, freedom, patriotism? Or just a war forgotten. Men die, humanity don't remember, history just write some countries won the war, the other lost it. Are they thinking men died for it, for this nonsense?
L'artillerie reprit son barrage, des canons brûlants les culasses des obus furent éjectés. La charge explosive, la charge de mort prit son envol, vola au milieu des cieux, puis piqua vers le sol, sifflant, inspirant la terreur aux bêtes humaines qui se battaient là. Puis percutant le sol, elle explosa, projettant les hommes au sol, en sang, mourants.
-They have seen me, they are going to kill me now. With a grenade, with a round or with a shell? Should I move or flee as fast as I can to a safe spot. Will I support this for much longer? Let the rage coming to me, let it be.
L'homme ramassa un fusil mitrailleur, un AK-74. Puis d'un bond, sorti de son trou comme un diable sortant de sa boîte. Se jetant sur le plus proche américain, il enfonça la baïonette. Son adversaire tomba, fut pris d'un soubresaut, cracha du sang, puis il arrêta de bouger mort. Un de ses camarades accourut vers la bête effroyable qui venait de tuer son meilleur ami.
La bête fonça à sa rencontre vidant son chargeur. L'autre américain tomba lui aussi. La bête avide de sang chargea vidant son chargeur de tout côté, enfonçant la baïonette sanglante dans le ventre des hommes. Il remonta ainsi la colonne, indifférent aux explosions, aux obus, aux balles, aux autres. Juste du sang, du sang, la folie du sang, c'était cela qu'il voulait. Epancher sa soif de vengeance, ses camarades, ses hommes, son chef de section étaient tous tombés. Ainsi après avoir tué des dizaines d'hommes innocents, sortis de leur adolescence, jettés dans cette guerre effroyable, il regagna ses lignes, à bout de force, vengé par le sang.
-Now I'm feeling better, but I am a murderer. I can't stand this war. I want to go back home, I have served my country, can I leave? No, no, we are surrounded, I can't leave. I have to fight, to kill, each man I killed, it get me nearer from home, doesn't it? Or each man I killed, breaks me more, scar my soul more? Am I breaking down? I have killed to live but am I getting evil?
Or is it just a lost, forgotten fight where men died to live longer, to push back the enemy.
And he went back in the hell of war...
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Pas trop de rapport avec le début de l'histoire mais just pour donné l'ambiance des combats dans Morton, aussi un nouveau style d'écriture, vos impressions?
Par graiad le 8/7/2002 à 18:58:16 (#1777474)
ça te prend cb de temp de marquer tout ça ?
Par Dolticht le 8/7/2002 à 21:10:55 (#1778022)
Par graiad le 18/7/2002 à 13:15:34 (#1822570)
bonne chance pour la suite
Par Dolticht le 8/8/2002 à 11:52:49 (#1933893)
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L'obscurité s'étendait le long du front d'Everon. Des Urals tout feu éteint, s'arrêtèrent le long d'une petite route au nord de Chotain. Des hommes sautèrent des véhicules et se regroupèrent. Ils communiquaient par signe, silence total. Une fois les soldats prêts, ils avançèrent par colonne d'une vingtaine d'hommes.
Dragan commandait un de ces unités. Le visage barbouillé de noir, à la faible lueur d'un briquet il examinat une carte. Ses subordonnés l'entouraient.
-We are here-Il montra la route à proximité d'un petit bois- We will cross the woods and wait for the tanks to come in. When they start the party, we join in and encircle the town. Expected forces a company with some mortars and heavy mgs. Alright now, no noise, radio silence. Time is 01:05, tanks come in at 01:15. Move on!
La petite troupe avança dans les bois. Les trois colonnes d'infanterie de la compagnie E avançèrent dans les bois. Les hauts arbres de la forêt cachaient le groupe. Le sol était plutôt dur et recouvert de feuilles mortes. Toutefois la colonne ne faisait guère de bruit. Bientôt ils arrivèrent à l'orée du bois et en vue du villages.
Dragan fit signe à ses hommes de se coucher. Quelques secondes plus tard, cinq camions arrivèrent et prirent lentement un virage. Les phares illuminaient presque la position des soldats soviétiques.
Soudain sur leur gauche, les T-80s débouchèrent ouvrant le feu de leur canon.
Dragan ordonna d'ouvrir le feu à ses trois soldats armés de RPG-9 ouvrirent le feu sur les camions. Ils prirent pour cible le camion de tête et celui de queue ainsi que le camion qui était supposé etre celui de munitions. Habitués à ce genre de travail, les trois soldats ouvrirent le feu en un bonne ensemble en même temps qu'une mitrailleuse PK se mit en position.
Les roquettes atteignirent leur but et les camions explosèrent, le feu se propageant vite les deux autres camions prirent feu. Des soldats tentèrent d'échapper aux flammes. Soudain la mitrailleuse soviètique se mit à tirer. Les balles traçantes et les lunettes de vision nocturne aidant, le mitrailleur massacra une bonne partie des soldats ennemis.
Dragan, suivi de ses hommes, chargea. Ils arrivèrent vite au niveau des camions. Il y avait quelques blessés qui tentaient de s'extirper des flammes. Dragan ne fit pas de quartier. Ses hommes finirent le massacre.
"-This is Blue Fox to Easy Fox, we've destroyed incoming enemy convoy to Chotain. We are now proceeding to objective. ETA 5 minutes. OUT."
Déjà les autres groupes d'infanterie se déployaient autour de la petite ville. Les chars T-80 protégés par l'infantrie mécanisée avait délogée les Américains de leur position et maintenant ceux-ci tentaient d'échapper à la nasse.
Les hommes de Dragan sprintèrent vers leur position, au sud de Chotain. Heureusement les quelques soldats ennemis qui avaient tenté de s'échapper avait été tué par d'autres groupes.
-This is Easy Fox to Red Bear, Chotain is in our hand. Total Victory. Awaiting reinforcements to move on to Laruns.
-This is Red Bear Proceed immediately to Laruns. The 507th battalion is already on his way to the town. Your support would be welcome. Elements of the 166th division will occupied Chotain. OUT.
-This is Easy Fox to E company, did you get that all? Urals will come to pick us then we move to Laruns along the coast. We disembark at 300 meters of Laruns. T-80 will come in first then we follow and setup covering position for the 507th around the town. The Americans will never know what hit them.
Rapidement, les camions arrivèrent et les hommes, une fois la ville sécurisée, montèrent à bord. Les chars furent réapprovisionnés en munitions. Bientôt, le 506th battalion fut prêt et sébranla.
Au loin, le son du canon se faisait entendre et aux environs de Laruns, des explosions jaune orangées illuminaient la nuit. Ce spectacle féérique laissait les hommes de Dragan de marbre, le cahot de la route, qui nen nétait pas une, secouait allégrement les soldats hors de leur siège.
-Oh fuck man ! Never thought we would be jumping around during this war.
-Shut up! We are approaching this what-name-is town. Hell is already there.
-Yeah and in my stomac too. Burps.
-Get out all, form lign and be ready for assault. Check your weapons and ammo
-Yeah sir, we all know our job.
Une fois remis de leur ballade et prêt à lattaque, les hommes se juchèrent sur les chars ou les suivirent.
-Ok boys, this time this is simple we get there and we kill everything that moves. Beware there should be a few tanks. Go soldiers of the 506th!
-SIR YES SIR! Hurlèrent les soldats.
Les T-80s foncèrent vers la ville. Les Américains pris sous le déluge de feu, ne virent quau dernier moment larrivée des mastodontes de métal. Dragan installés sur un des chars avec une partie de ses hommes, saute et partit à lassaut.
Le bombardement sétait arrêté au moment même où les chars arrivaient. Le 506th fut rapidement renforcé par les chars du 507. Les troupes américaines comprenant que la partie était jouée, battirent en retraite, couvertes par quelques M60.
Dragan nota après la bataille:
Victoire totale, nous avons pris deux villes. Toutefois leur intérêt stratégique me parait quasi-nul. Pour concrétiser, nous devrions immédiatement avancer vers Levie. Toutefois les munitions et l'essence se font rares. Les Américains vont pouvoir se ressaisir. Demain sera une bataille décisive.
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Donc voilà, bientôt, dans quelques jours/temps(je ne sais pas ca dépend de mon envie), Day of Destiny, un nouveau chapitre d'Everon: Red Blow
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