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Le Royaume lumière [épisode 15] La débacle de l'Alliance. /!\ 3 illustrations /!\

Par NeL le 25/5/2002 Ă  0:07:06 (#1523051)

Comme je l'ai dit, suite à la petite polémique qui a parcouru le forum, je ne compte pas apporter de changement majeur à mon histoire, les Soltices seront toujours aussi mauvais même si les allusions avec les faits historique seront un peu amoindrit et les illustrations placé dans le texte et non plus au début.
J'ai mit pas mal de temps sur cet épisode et ses illustrations que je considère comme l'un des meilleurs de la série.

A vous de juger ;)


Anciens Ă©pisodes :
Episode 1 : Le Royaume lumière
Episode 2 : La traversé
Episode 3 : Le chaos absurde
Episode 4 : Survivre
Episode 5 : L'Ă©trange Theurgiste
Episode 6 : L'escapage
Episode 7 : Les retrouvailles
Episode 8 : La chute de l'aigle
Episode 9 : Coups d'Ă©tat
Episode 10 : La chute de Camelot
Episode 11 : Le Vault
Episode 12 : Echappé du passé
Episode 13 : La race unique
Episode 14 : La haine et survivre


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Au fil des années l’alliance avait considéré nos zones frontières actuelles comme acquises. Le combat contre les Albionnais était loin et de nombreux immigrants étaient venus habiter nos anciennes contrées.
De nombreux villages Elfiques avaient surgis de nos forteresses Arthurienne en ruine et leur habitant aspiraient à la tranquillité.

La débâcle de l’alliance à Forêt sauvage sema un vent de panique au sein de la population elfique des territoires conquis. La haine des Soltices envers les êtres « non-pures » et en particulier les elfes avait traversée les frontières et l’hystérie gagna les villages.
Les Elfes, horrifiés, se dirigèrent par colonnes entière vers Port de Chêne, la plus grande ville portuaire elfique d’Albion. Cette ville était également la tête de pont des armées de l’alliance.

Les Soltices avançaient à une vitesse monstrueuse. Kendar avait réussi à sauver de justesse le dirigeant elfe Eltin. On enfourcha des montures et on suivi l’état-major de l’alliance qui se repliait en toute hâte vers Port de Chêne. Malgré la vitesse de nos montures, nous fûmes bientôt rejoint par d’étranges engins qui volaient en rase-mottes.

Angella qui était sur le même cheval que moi : Merde, ils maîtrisent les moto-jet.

NeeL : Les Quoi ?

Angella : Baissez-vous ! ils vont tirer !

Des rayons rouges jaillirent hors des moto-jet et massacrèrent quelque uns de nos compagnons.

Une des moto se rapprocha de la monture dÂ’Eltin.

Furtin, son conseillé : Maître ! Attention !

Angella : NeeL ! Rapproche toi dÂ’eux !

Angella sauta sur le dos de la moto et se batta avec son pilote. Je me suis dit à ce moment là que cette fille était folle… et formidable. Je la rejoint et l’aida à se débarrasser du SS. Elle pilotait à merveille et toucha une autre moto-jet.

Un laser pulvérisa les pattes arrières du cheval de Keridianne qui fût projeter sur le sol. Deux motos arrivait sur elle. Kendar, l’agrippa et l’aida à monter sur son cheval au gallot.

Keridianne : Je… merçi Capitaine.

Kendar : C’était un plaisir de vous agripper, Majesté !

Keridianne : NÂ’en profiter pas.

Kendar : Je ne me le permettrait pas.

Angella se débarrassa facilement de nos poursuivants. Les Soltices étaient de piètres pilotes.

Hurtin : Par ici, cÂ’est un raccourcie ! Une fois Ă  Port de ChĂŞne, la flotte pourra sortir de ce merdier.

Angie s’arrêta et les autres nous distancèrent. Sa visions s’était brouillé.

NeeL : QuÂ’est ce quÂ’il y a ? Ca va ?

Angie : Oui, oui. Je… c’est rien. Tu va conduire, c’est très facile tu va voir.

Au même moment un vieillard elfe accompagné d’un enfant nous interpella.

Veillard : S’il vous plait, S’il vous plait. Sauver le ! Ses parents son à Port de Chêne, ils doivent mourir d’inquiétude.

NeeL : Â…

Angie : Monte, petit ! NeeL démarre. Appuie sur l’écran et contente toi de tenir les manettes.

Le grand-père nous regarda nous éloigné et s’agenouilla en larme. Merçi… merçi pour lui. Il se retourna et aperçu les moto-jet des SS arrivaient. Ils incanta un sortilège qui ralentit l’une d’elle mais fût aussitôt transperçait par les tirs des autres.

Plusieurs colonnes de fumée se dressèrent au-dessus des dizaines de villages d’elfes.
Le ciel sÂ’obscurcie et lÂ’orage gronda au loin.

Angie : Tu tÂ’appelles comment ?

Le petit garçon : Ellint, madame. Mes parents m’ont perdu. Il faut les rejoindre.

Angie : Ne t’inquiète pas, ils doivent d’attendre dans un navire. On va les retrouver.

Pendant ce temps, l’état-major Elfique arriva aux portes de Port de Chêne. Des milliers de personnes se massaient pour rejoindre les quais. Les armées étaient en pleine débâcle et abandonnées tout leurs matériels. Les rumeurs les plus folles circulaient dans les artères bondés par une foule totalement paniqué et incontrôlable.

-Ils sont Ă  Hurlaning.
-Ils contrĂ´lent forĂŞt sauvage.
-Je viens de Furlinni : ils ont tous brûlés.
-Nos armées fuient. Regardaient !
-Huul, oĂą est-tu ?
-PapaaaaaaaaaaaaaaaÂ…
-Lieutenant ! fortifié cette maison !
-Des flèches. Le dépôt est vide. Caporal, forçait les armureries civiles !
-Je donne 300 golds Ă  celui qui peut me louer une place sur un bateau.
-500 g
-1 platine.
-Laissez moi passer.


http://www.web-nel.com/dessins/port_de_chene.jpg

Un officier du port se présenta à l’état-major qui mettait pied à terre.

L’Officier : Heureux de constater que vous avez pu vous en sortir, Maître Eltin. Suivez-moi. Votre navire vous attends.

Murlin lÂ’amiral : Avons nous assez de place pour Ă©vacuer tous ce monde.

LÂ’officier : Malheureusement non ! Les bateaux manquent dÂ’Ă©quipage.

Murlin : TROUVER EN ! Je refuse dÂ’abandonner un elfe sur cette terre maudite !

L’officier : Je vais faire le nécessaire, Monsieur !

On arriva à notre tour dans la ville, on abandonna la moto et on se fraya un chemin à travers la foule. Des soldats sans unité dans un élan patriotique décidèrent de fortifier des maisons pour protéger au maximum la population… jusqu’à la fin.
On rejoint enfin lÂ’Ă©tat-major et la troupe de Kendar.
Les civils embarquèrent sous l’œil des militaires qui veillaient au maintient de l’ordre. Soudain, des éclair de lumière traversèrent le ciel et s’écrasèrent avec fracas sur la ville provoquant de terribles incendies.
La panique se répendit !

Angie : PLASMA !!! Ils faut pas rester lĂ .

LÂ’Ă©tat-major embarqua.

Eltin : On peut pas les abandonner. On peut pas !

Furtin : On ne peut plus rien pour ceux qu’on laissera derrière nous. Les Soltices ne doivent pas vous capturer Sire. Vous êtes trop précieux pour l’alliance ! Venez !

Les obus sÂ’abattirent par dizaines causant des milliers de morts. Notre embarcation sÂ’Ă©loigna lentement de la cĂ´te avec plusieurs dizaines dÂ’autres remplis de civils.
Dans la ville, on percevait encore les pauvres soldats de l’alliance défendant de leur lames au corps à corps les innocents qui périssaient sous les coups sans scrupules des monstrueux Soldats des Soltices qui investissaient méthodiquement la ville avec leur engins démoniaques. Ces montres ne fessaient aucunes distinctions entre hommes, femmes et enfants.

Seuls quelques navires eurent la chance de ne pas être pulvérisé par les tirs de plasma venant de la côte.

http://www.web-nel.com/dessins/herr_krass.jpg

Dans la ville, le calme revînt. Des patrouilles circulaient dans les ruelles pour traquer et massacrer les derniers survivants.

Herr Krass arriva et nous observa nous éloigner au loin, un sourire aux lèvres.

Le vigile de notre navire : A tribords ! 5 frégates… Pavillon Soltices ! Et, non 10. Mon dieu. Ils nous poursuivent.

Les survivants sur les bateaux hurlèrent de terreur.

Murlin donna ses ordres aux marins. Une frégate éperonna un bateau hibernien qui coula avec ses occupants. Un autre fût abordé par trois frégates. Les occupants, massacrés, furent jetés à la mer. Deux autres navires connurent le même sort.

La tempête lié à l’orage se leva et les frêles frégates eurent de plus en plus de mal à nous poursuivre.






































http://www.web-nel.com/dessins/navire.jpg

Elles décidèrent enfin de rebrousser chemin, nous laissant nous échapper. Nous étions le seul navire survivant.

Une rescapée Elfe sur le pont : Ellint. Mon bébé ! Mon petit ange des bois.

Ellint quitta les bras d’Angie pour courir vers ceux de sa mère : Mamaaaaaaaaan !!! maman ! Où est papa ?

La mère : Il… il a prit un autre bateau mon ange, il nous rejoindra à Ardagh.

Angie et moi regardions les visages résignés et dépités de tous ces malheureux.
Au loin, Port de ChĂŞne ne semblait plus nÂ’ĂŞtre quÂ’un gigantesque brasier.
Albionnais, Hiberniens et Midgariens se côtoyaient sur ce navire. Ces anciens ennemis de toujours se réconfortaient les uns les autres et faisaient le deuil de ceux qu’ils avaient perdus aujourd’hui.

Le ciel se dégagea et laissa apparaître les étoiles signe d’espoir.

Par Muldan le 25/5/2002 Ă  0:40:00 (#1523217)

(Ben voila, c'est nettement mieux les illustrations dans le texte :) Note quand même (remplacer par []), qui permet de mettre une image à gauche du texte, ce qui permet d'encore mieux l'inclure, et si tu pouvais les réduires à au moins un quart, avec par exemple un lien sur l'image taille réelle, ca serait même encore mieux :) Pour se faire : l'url de l'image taille réelleurl de la miniature (remplacer par []) :)).

Par Elric le 25/5/2002 Ă  17:48:23 (#1526442)

Dis Muldan tu savais qu'il existait une astuce pour afficher les balises :
http://www.muldan/luri.gif
Histoires d'etre plus compréhensible ;)

Par Spectre Olaf le 25/5/2002 Ă  20:16:22 (#1527341)

J'aime bien l'illustration du port en pleine confusion.

EHLP

Par Louis Le Dodu le 26/5/2002 Ă  2:34:06 (#1529294)

Provient du message de Spectre Olaf :
J'aime bien l'illustration du port en pleine confusion.

EHLP


Moi egalement on disrait Bogenhafen :)

Par Curufinwë le 27/5/2002 à 2:15:36 (#1534395)

Histoire sympa c'est vrai que mettre des illustrations ca change. Bonne continuation :cool:

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