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Un sonnet
Par Eudoxie de Saul le 22/5/2002 à 13:23:27 (#1506032)
C'est dans le calme des grandes arches voutées,
Où l'Histoire est devenue un miroir complice
Que mon esprit se complait à vagabonder
Afin d'éprouver les sensations de jadis.
Mon regard fondit dans le vitrail sibyllin
Cette chatoyance semblait prendre une forme
Son beau visage s'illumina, enfantin
Elle courait radieuse sous les glorieux ormes.
Il m'étais très facile de m'éprendre d'elle
Car depuis toujours au fond de moi elle ruisselle
Comme un rève, une prière cristalline.
Ô Déesse, laisse moi garder cette muse
Puisses-tu me l'offrir, je l'aimerais sans ruse,
Sa belle image ancrée dans mes aigues-marine
Pour Cyrielle
Eudoxie
Par Wadleight le 22/5/2002 à 17:28:17 (#1507434)
Ô Déesse, laisse moi garder cette muse
*plante un pieu*
*attache la muse au pieu avec une grosse chaîne*
Voila, tu peux continuer, elle bougera plus de là ! ;)
*en attend d'autres*
Par Yorie Urk le 23/5/2002 à 18:36:10 (#1514883)
C'est magnifique , Continu comme ca , tu as un vrai Talent
*Sourit*
Par Cyrielle Nimua le 24/5/2002 à 22:32:38 (#1522525)
Errant sur le sinueux chemin de la vie,
Elle m'apparut alors qu'il allait se ternir,
Ravivant soudain en moi de vivre l'envie.
Dans ces deux diamants qu'étaient ses yeux,
J'ai pu contempler les ruisseaux les plus purs,
Me réfugier sans crainte en ces doux cieux,
Affrontant enfin sans peur l'incertain futur.
Son souffle, douce caresse d'un alyzé,
Ne se lasse pas de me faire frissonner,
Laissant mon corps fiévreux, mon âme tremblante.
Ses lèvres, promesses au doux parfum sucré,
Font croire qu'a l'ambroisie on vient goûter,
Traçant dans leur sillage passion brûlante.
A mon éternel amour...
La jeune fille se retira, laissant a ceux qui le voudraient apprécier ou déprécier son oeuvre, sachant qu'un seul avis compterait pour elle.
Par Fabrizio Harn le 25/5/2002 à 0:49:02 (#1523256)
Par Leirae Dynair le 25/5/2002 à 4:26:58 (#1523741)
Comme tombé dans les limbes de son passé
Le mien n'en n'est que tristement renforcé
Au délicieux souvenir de ses doux baisers
Alors je laisse mon imaginaire courrir
Dans les vertes plaines de l'espoir
Mais j'en reviens encore a en souffrir
Car cela n'as pour effet que m'émouvoir
Alors je repars la grande peine au coeur
Me contentant d'une simple rancoeur
Contre le destin terrible qui a voulu ça
Qui de cette façon , de milles pieux me perça
De cet amour , il n'en reste aucune trace
Seul , mon esprit encore se tracasse
Et ne veut accepeter d'abolition de ce désir
Car l'amour je ne pourrais a nouveau l'acquérir
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