Bienvenue sur JeuxOnLine - MMO, MMORPG et MOBA !
Les sites de JeuxOnLine...
 

Panneau de contrôle

Recherche | Retour aux forums

JOL Archives

On continue quand meme *?*

Par Aucune Importance le 20/5/2002 à 22:36:01 (#1497073)

J'aurai voulu qu'on puisse continuer
A faire la fete, nos mots, nos paroles
Mais on a pas pu, on a du cesser de jouer
Car un par un, vous avez pris l'envole

Vous etes pas loin du moins j'espere
J'oublierai jamais les moments passes
Les phrases exprimantes que j'ai pose
Je vais pas le cacher dont je suis fiere

On a tous exprime un peu de nous
De notre vie, nos sentiments et de tout
Tout ce qu'on avait enfouis profondement
Qu'on a pas su cacher, inexorablement

J'aurai pas cru un jour savoir le faire
Me laisser aller, raconter ne plus me taire
Je vous ecoutais, j'espere ne pas avoir gene
Et d'une maniere ou d'une autre, vous avoir aide

Je tire ma reverance en votre honneur
Je continuerai seule en vous attendant
Pour vous, Bleiz et aussi l'Empoisonneur
Je reprends comme je peux, simplement

Par Aucune Importance le 21/5/2002 à 2:00:07 (#1497933)

Simplement pour le moment
Continuer tout en attendant
Que l'un ou l'autre revienne
Les deux, visions incertaines

L'espoir fait vivre comme on dit
Et pour un retour, je le crie !

J'aimerai bien, on a pas toujours ce qu'on veut
Pouvoir lire vos textes, bien moins misereux...
(Que les miens)


Quelques paroles sur lesquelles je souffle
Pour qu'elles s'envolent...
Et rejoignent tous ceux qui en ont besoin
Aujourd'hui et peut etre aussi demain...

Par Aucune Importance le 21/5/2002 à 17:20:29 (#1501044)

Aujourd'hui, la barque vogue sur la mer
Les passagers emmerveilles loin de leurs terres
On a du mal a y croire...
On a du mal a les voir...

Un peu normal, ils s'eloignent de nous a mesure que les jours passent
On espere ne pas retrouver que leurs carcasses...

.....

On espere que dans leur voyage
Ils trouveront eux aussi leur mirage
Celui qui leur rendra surement le courage
De revenir et faire face a chacune des images

... qui comblent notre vie...

Vie a combler etrangement, fatalement, surement
Un coup de la providence... comme les autres

On ne change pas les habitudes
Meme si parfois elles sont rudes...

Par Petite Fée le 21/5/2002 à 19:56:35 (#1502030)

Inexorablement elle attends
Une vie un bout de temps
Un méandre, un chemin décent
Dans cette vie,ces coins de déments

Lune qui gravite autour d'un soleil incertain
Etoile qui médite sur son petit matin
Futur d'un petit astre sans lendemain
Et pourquoi pas chercher un dessein
Un dessin du pourquoi
Un lendemain astrein à la vie et ses lois...

Une Petite Fée qui ne rivalise pas...

Par Empoisonneur le 21/5/2002 à 20:17:09 (#1502174)

[édité pour ne pas faire bailler notre modérateur. Désolé de la gêne occasionnée]

Par DeNosgoth-CD le 21/5/2002 à 22:33:25 (#1502973)

Provient du message de Empoisonneur :
Oui, on continue :)

En faisant semblant d'oublier qu'il existe de "Je t'aime", des "jeux-thèmes", des "Avec toute ma tendresse", des "je tiens à toi ami doux et précieux, et ce n'est pas demain que mes sentiments envers toi changeront", des "ton amitié m'est extrêmement précieuse", qui se terminent en "vas te faire foutre ou bien ose m'affronter", en "tu refuses d'instaurer des relations saines", en "tu n'as pas le respect des sentiments d'autrui" et en "on ne peut effectivement rien tirer de toi"...



Bienvenue au club, voila ta carte de membre ;)
*lui tape un grand coup sur l'epaule pour lui fair oublier tout ca,, et pour lui rappeler qu'il y a du monde dans la meme situation, et que , bah dans le fond ca resure un peu ;)*

Par Sariel le 21/5/2002 à 23:24:52 (#1503328)

Je sens de la detresse dans ses mots, mais Dieu que c'est beau, je suis émue.... simplement émue....

Par Petite Fée le 21/5/2002 à 23:35:27 (#1503425)

Un coeur en paille qui s'effrite comme un cocon
Mais un papillon qui ne sort pas
Quelques chamailles qui ne méritent pas d'être c..
Un espoir qui s'en va
Celui de voir sa vie tournée comme un film
Pourquoi pas?
Pourtant la sienne n'est pas rose, elle est grise
Il s'en detournera
Puisse quelconque dieu le sauver
Il le meritera
Espere enfin y arriver
Elle s'envolera
Sa vie tenue à son fil s'échappe en riant
Il pleure
Son fil coupé par l'arbre aux amants
Il meurt.

Une Petite Fée

Par lutin malin le 22/5/2002 à 0:02:44 (#1503612)

J'ai du être Sioux dans une autre vie,
Sioux parce qu'ils ont l'oeil percant et l'ouie fine,
J'ai beau poser l'oreille contre les portes,
Je n'entend qu'un grondement sourd.

J'ai du être Sioux, mais ca fait si longtemps
Que tout a été perdu, maintenant je suis sourd,
On farfouille comme on peut les débris qui trainent,
A la recherche d'on ne sait même pas quoi : une fleur de cri-sans-thème...

Au rythme où j'avance, ma prochaine vie dera un poireau
Les pieds dans la terre, les feuilles levées bien haut
Au moins lui ne se soucie pas de ses voisins voisines,
Tout ce qui l'intéresse, c'est où planter ses racines
Quoique

Qui sait ce qui se cache sous cette terre mouvante,
La taupe n'a pas passé ses griffes et ses quenottes
On l'entend murmurer un faible cri, quelques notes,
Même chez les poireaux les aveugles rampent et se cherchent.

Alors je serai encore moi,s un caillou insignifiant.
Entendre le chant des vagues, voyager, aller loin.
être oublié sous des masses de sable.
être jeté au loi pas des gamins de passage,
Qui reviennet chaque année rejetter les mêmes pierres,
éternel rendez-vous des cailloux et des enfants;
Les ricochets ca fait mal,
Ca vous claque sur les fesses,
Ca tournoie en tous sens, ca vous donne la nausée

Même vieux bout de granit poli par les marées
Il y a toujours ce petit bout de quartz
Qui refuse et s'enfonce
Là, sous les pépites noirâtres; on ne le voit presque plus
Chaque nuit où il peut il revient en surface,
Il bondit comme un fou, devant les aveugles en nombre,
Il bondit comme un fou devant le schyste sombre,
Et quand revient le jour il se planque dans la masse ;
A côté des tessons brillants il perd de son éclat ;
Il aimerait être comme les diaants qui passent au cou des dames,
Mais engoncé dans la pierre, il ne connait que l'incessant
Aller et retour des ricochets qui chaque fois le rendent plus saillant
Parait-il que c'est ainsi qu'on forme les plus belles pierres,
Des milliers de facettes polies apres des milliers de jours,
Mais chaque polissure le rend un peu plus fragile.

On a beau avoir un coeur de granit,
Ou de poireau, ou de Sioux,
On le sent le soir qui s'agite,
Et le matin devenir doux,
On le sent et on tape dessus
Pour voir si ca se calme,
On tape jusqu'à ce qu'il ne bouge plus ;
On ferme les yeux, le voilà qui recommence.

Par lutin malin le 22/5/2002 à 0:33:38 (#1503758)

Il y a ces moments où tout se ballade,
Les chats qui braillent dehors,
Les araignées dans le plafond,
Ce qu'on croyait avoir enfoncé tout au fond,
Prce qu'on pense qu'il ne faut pas,
Parce qu'on se bat contre ce qu'on demande.

Il y a ces moments où tout est calme, mais on s'ennuie et on y repense,
Ce moments où les idées se vident,
Ca doit etre l'effet de la fatigue ;
Le neurone de la surveillance a stoppé sa garde ;
Sonnez l'alarme, tous au garde à vous,
Une fuite est déclarée au dernier sous-sol ;
Ca gicle de partout, c'est horrible... Beark ca colle...
Heureusement (?) ca sêche vite, on colmate comme on peu
Il y a des choses pour lesquelles les rustines ne tiennent jamais plus d'une nuit,
Le temps de faire la vidange et c'est reparti ;
Pense à demain, l'avenir t'appartient,
Tiens toi droit, tu es sur le bon chemin
Au moins comme cela tu ne regardes pas tes habits qui se craqquellent,
Le pantalon déchiré offert par tante Rachelle
(N'allez pas croire qu'un quelconque film de ce soir parlant d'un quelconque garde du corps aurait eu une quelqonque influence sur ce nom ...)
Où en étais-je ... ?
Le pantalon offert par tante Noelle,
Celle qui est née le même jour que le père
Croyez-moi ou pas, à une semains elle n'y était pas bien loin.

Attendon que le givré passe,
On gèle la fuite plutot que de la boucher ;
nouvelle technique, future impasse ?
Au moins ca permet d'attendre jusqu'à samedi,
Penser à prendre redez-vous chez le plombier,
Super Mario, tiens voilà l'homme qu'il me faut ;
Qu'il débouche les tuyaux de traviolle,
Qu'il écrabouille les champignons qui me tapent sur le système,
Qu'il élimine le Bowser qui me gangrène
Tiens, une petite chanson me vient en tête ...

Link, he comes to town
Come to save
The princess Zelda
Ganon took her away
Now the children don’t play,
But they will, when Link saves the day
Alleluia !

Now Link, fill up your hearts
So you can shoot your sword of power
And when your feeling too low, the fairy will come around
So you'll be brave, and ?????

Now Link, has saved the day
But Ganon, left his grail
So now Zelda is free
And now ???? shall be
Link, I think your name shall go down into history.


d'ailleurs si quelqu'un connaissait les paroles à la place des ???

J'ai toujours adoré Link.
Il est balèze quand même le ptiot avec son épée en bois
Et surtout il a toujours plein de bouteilles avec des fées
Et quand il n'a plus de coeurs, la fée vient le sauver en le remplissant.
Moi j'aime bien les fées
Mais elle reste coincée dans sa bouteille
Je sais pas si c'est moi qui n'arrive pas à la casser...
Pour déboucher le champagne et le cidre, pas de problème, j'arrose même l'assistance si elle a trop chaud.
Mais les bouteilles à fées, y'a même pas de mode d'emploi.
Sur ma Nintendo, j'appuie sur le bouton A et ca marche tout seul.
Je trouve pas le bouton A.
J'ai essayé la combinason ctrl alt suppr mais c'était pas si terrible en fait
Ma bouteille à fée e l'ai ouverte une fois.
Je l'ai vite refermée, des fois où elle s'envolle...

Le problème, avec les bouteilles à fées, c'est comme avec les confitures : c'est dur à ouvrir. Y'en a qui ont le coup de main, un peu de force dans les doigts à ce qu'il parait. C'est peut-être pour ca que je met toujours du miel dans mes yaourth. Le miel, au moins, c'est dans des pots en plastique faciles à ouvrir. Et maintenant je suis passé aux crèmes au chocolat. C'est bon comme tout ca... Je les achète par paquets de huit, et ca ne dure pas deux jours... Et au bout des deux jours... Y' toujours ce pot à fées qui est là, pas au fond du placard ; j'ai beau l'y ranger il revneit toujours devant. Il n'attend même plus que j'aie fini les autres. Même les autres ne sont plus bons. Il est partout, il me suit... Pas que je n'aime pas ca. Au contraire.

A Zelda, quand j'ai une fée dans une bouteille dans mon sac, je peux aller atttaquer les Gorons-gorons sans problème, elle est là pour remplir les coeurs... Sauf quand ce fichu bug me fait mourrir. Toujours au même endroit. Et comme la dernière sauvegarde remonte à perpettes, tout à refaire. Je n'ai amais supporté qu'on ne puisse pas sauvegarder en plein milieu des dongeons. Chaque fois refaire les mêmes salles, patiement, pour revenir là où on est mort, faire trois pas de plus, trouver des munitions pour le lance-pierres et trébucher encore...

A quand l'ouvre-boite des elfes ?
A quand le traductuer nain pour méli-mélo collectifs ?

Par Aucune Importance le 22/5/2002 à 1:33:36 (#1503955)

La vie c'est pas toujours comme on veut, c'est plutot souvent comme on peut
Et encore parfois c'est seulement, des coups de rafales de vent

Que tu te prends dans la tete

T'avais rien demande, mais ce que tu peux avoir l'air bete

Tu te demandes ce que t'as fait pour en arriver la
Tu peux chercher longtemps, un conseil : tu trouveras pas...

Prends la vie comme elle vient
Acceptes tout tes lendemains..

Par Aucune Importance le 22/5/2002 à 1:48:06 (#1503984)

Provient du message de Empoisonneur :
[édité pour ne pas faire bailler notre modérateur. Désolé de la gêne occasionnée]

Ca me fait pas bailler meme pas brailler.
Alors continue sans equivoque, sans restriction a poster...

Un peu de liberte, une parcelle de terrain
C'est pas trop demande, au vue des moyens
Offert ici pour tous, pas que pour certains.

Par Aucune Importance le 22/5/2002 à 1:48:39 (#1503986)

ousp doublon =(

Par Aucune Importance le 22/5/2002 à 4:40:27 (#1504220)

Melancolie, tristesse et detresse
Des sentiments qu'on oublie pas
On pourrait dire les pieces maitresses
Du jeu de la vie qu'on voulait pas

T'as jamais demande a venir
Ici tu voulais juste appercevoir
Sur les visages un petit sourire
Mais t'as pas eu le droit d'y croire

Depuis quand on peut se permettre
De dicter la vie de tout un chacun
D'insulter son voisin de traitre
Parce qu'il n'a pas voulu de notre main

Elle est ou la liberte ?
J'ai beau la chercher, je l'ai pas trouve...
Si au detours d'un chemin tu la coinces
Essayes de m'en ramener un bout, meme mince

J'ai quelques adresses, ou vivent des personnes dans le besoin
Bien qu'elles ne demandent, a personnes, jamais rien...

Au pire, on pourrait chercher un tresor
Un peu comme la boite de Pandor
Avec a l'interieur, de la joie, de la gaiete
Le bonheur accompagne d'une touche de liberte...

Une fois trouvee, cette boite on ouvrirait
Et on aurait plus qu'a souffler pour evacuer
Les occupants qui pleins d'honneurs
Donneraient a tous : le Bonheur.

Par Abricot a bouclettes le 22/5/2002 à 15:59:10 (#1506874)

Toujours aussi beau ...
G.

"Sarde dîne à Pal' Hermès !"

Par Empoisonneur le 22/5/2002 à 16:37:14 (#1507125)

Elle, incendiaire :

Tu es en effet quelqu'un d'infréquentable, parce que ça doit être trop fatiguant de montrer ce qui est bien chez soi.


Lui, le regard exhorbité, rouge de larmes et d'absence de sommeil, se jetant en pâture à une inconnue exhutoire :

Dommage que je ne sois pas fréquentable !!!!


L'inconnue, surprise, puis se reprenant :

Moi je préfère les gens pas fréquentables...


Lui, bafouillant d'une rage de moins en moins contenue :

C'est comme tout, entre les non-fréquentables, mais fréquentables quand même, et les non-fréquentables vraiment pas fréquentables, il existe une limite. Le tout étant de connaître le coefficient d'élasticité de la dite limite.

*enfile ses fausses lunettes d'instituteur mais vraies lunettes de taupe myope*

Alors, calculez moi en combien de temps la baignoire se remplit ou se vide, et quel est l'âge du capitaine ! Ah oui, et aussi jusqu'où ne pas aller trop loin de la non-fréquentabilité. Une idée sur la question ?

*jette un regard fourbe par dessus ses binocles*


L'inconnue, soudain craintive :

Alors là moi je dis que j'ai toujours été nulle en maths et que je connais pas la formule de calcul du coefficient de non-fréquentabilité : il doit sûrement y avoir des histoires de fractions (voire de fractures ?) à réduire et en même temps tout dépend du point de vue d'où l'on se place.... c'est trop compliqué pour moi !


Lui, le regard de plus en plus fou, les bras faisant de grands moulinets, hurlant presque :

La fracture est sociale nous disent les "Grands Hommes", et non pas élastique ! Quoi que, s'il s'agit de réduire... voilà qui permet en général, lorsque l'on prend son temps, à petit feu, d'ajouter une qualité gustative non-négligeable à toute bonne sauce digne de ce nom ! Et toque !

Quant aux points de vue, méfiance ! Les images du monde que voici ne sont pas loin, dans leur déguisement de gala... Loin de decorum et des mondanités, gardons en tête un principe fort agréable bien qu'anglo-saxon : KISS, comme Keep It Simple Stupid ! La stupidité en question n'étant probablement que la simplicité de n'avoir songé plus tôt au sus-dit principe !

*baisse le ton, devenant presque inaudible, semblant rapetisser, se recroqueviller dans ses chaussures*

Sinon, concernant le fréquentable et l'infréquentable, je ne sais... Pour citer le Petit Prince si cher à mon coeur d'enfant (celui que je conserve dans un bocal, sur mon bureau) : "On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux." Faut p't-être pas chercher à comprendre en fait... Simplement... ressentir...

Par Petite Fée le 22/5/2002 à 20:51:24 (#1508809)

Un petit bout de papier posé sur une grande table
Aucunes chances penses t il de s’en aller, de s’y dérober
Sauf si vient à lui l’aide d un souffle de vent affable
Qui enfin délivrera le morceau de feuille, viendra le pousser.

Une grande table supportant le poids d’un bout de feuille
Touts ces années à porter maintes fastes et objets
Le bois qui s’effritent et plie comme un arbre s’effeuille
Qui prie lui aussi la petite bise qui soufflera le feuillet.

Un petit bout d’ouragan
Etripe les maisons
Montre tripes et horizons
Des villes, des camions
Etables et environs

Petit bout de vent
Qui passe et repasse
Soulève une jupe et s’en défends
Fais celui qui trépasse

Petite bise d’été
Qui lentement
Pousse le papier
Fais respirer l’ameublement

Un petit vent du sud
Qui sauva une table
D’une feuille trouvant la plénitude
Tout ça pour finir ma petite fable !


Une Petite Fée

Par Petite Fée le 22/5/2002 à 20:52:23 (#1508817)

Comme une inconnue, sans importance
Un empoisonneur en proie, sonnant
Sens, peut importe, le connu divague
Tirant l’alarme état d’urgence
Une tirade du cœur, un effet liant
S’écrase sur un rocher comme une vague.

Délié comme une langue
Un tri d’une vie en rade
Tires en la larme des tas
Le poison se répand là

Pourtant simplement compliqué
Un homme explicitement simplet
Inextricablement doit se débrouiller
Pour débarbouiller mes propos emmêles

Sans sens certain, sans grande poésie
Ca s’en sent incertain
Et les sens ne sont pas mis a partis
Et pourtant…est ce si sain ?

Par Dolce Agonia le 22/5/2002 à 21:50:45 (#1509286)

Pourquoi le bonheur n'est-il jamais à l'heure? La montre du Destin n'est pas à la bonne heure? Quelle cruauté, quel malheur!

Nous qui attendons tous notre heure, celle du bonheur, que l'on voudrait sien, qu'on croit etre leur.. A croire qu'on compte pour du beurre dans cette vie qui nous fait peur. J'ai apprit a ne plus me faire de leurre, lui aussi d'ailleurs... nous n'étions que de simples joueurs, s'amusant à Vivre à la lueur d'un sourire entendu, précieux comme le butin d'un voleur.

A quoi nous faites vous jouer, Sieur Destinee, avec vos grands mots sans remèdes, avec vos grands maux aux phrases compliquées, rieurs au début, à la fin tueurs... Vous cherchez à nous embrouiller, accompagné de vos soeurs Tristesse et Pleurs? Je vous pensais sage... mais j'étais dans l'erreur. A jamais nous devions nous aimer, je ne devais plus pleurer, cessez ces blagues ridicules, farceur! La joie en notre coeur vient et repart comme si cette demeure était un moulin, il y a là un probleme majeur.. Il est impossible de l'apprivoiser, tel l'oiseleur, je n'ai jamais vu de pieges a bonheur dans un moulin, comme toujours ca n'etait qu'une rumeur.

Encore une rougeur... au coin des yeux, là où les larmes naissent ainsi que la langueur.
Encore une ride, sur le front et non au coin des lèvres, la vie tel un sculpteur s'affaire à vous enlever toute cette splendeur originelle de votre enfance à coups de torpeur, à coups d'espoirs trompeurs...
Encore un soupir, abandonné de tout désir, te voila vainqueur Destin sans-coeur, tu nous épuises tous et à la fin que se passe-t-il? On meurt... on meurt d'avoir vécu une vie à cent à l'heure. La vie éclate, vole en milles morceaux accroche-coeur, écorche-coeur, comme une ampoule ayant derrière elle trop de kilo Watt heure...


Borquanteur de félicité, arnaqueur de prospérité, je demande réparation! Chapardeur j'ai trop trimé pour ne pas me chamailler, meme a contrecoeur... donne moi ce que je mérite, ne fais pas ton déserteur...

Par Aucune Importance le 22/5/2002 à 23:41:45 (#1510157)

J'ai vu des passants qui passaient
Le coeur encore plus attriste
D'avoir pu etre simple victime
De cette personne, de ses rimes

Ils ne demandaient pas grand chose
Un sourire, une offrande, une rose
Un petit bonjour ou l'amour toujours
Et ils cherchent cela tous les jours

- - - - -

Triste melancolie du temps passe
Ils auraient voulu toujours s'aimer
De leur vie chacun ne rien gacher
Chaque jour connaitre joie et gaiete

On a tous notre petit Bonheur, il nous attend, il n'a pas d'heure...
Tu voudrais prendre rendez vous... biensur oui mais ou ?

- - - - -

Par Empoisonneur le 23/5/2002 à 0:12:53 (#1510439)

L'empoisonneur empoisonne, c'est là son principal défaut,
Faire remonter la tristesse, le malheur, la noirceur,
Et foncer sabre au clair, donner des grands coups de faux
Laissant s'exprimer des regrets, des non-dits, la rancoeur.

L'empoisonneur toutefois s'en voudrait, de porter un coup fatal,
Maladroit, malhabile, contagieux, fébrile,
A la foule rassemblée, attentive, pourtant si amicale,
A l'écoute de ses élucubrations séniles.

Par Aucune Importance le 23/5/2002 à 1:00:57 (#1510666)

Un defaut autant le faire devenir qualite
Tant il est qu'il ne nous fasse defaut
A son tour comme chacun le fait jour
Apres jour...


Paroles censees sans pour autant le savoir
On se laisse aller, juste pour se faire voir
Non pas pour se rendre interessant
Simplement pour parraitre moins inexistant
T'as pas voulu en arriver, la ou tu es
Mais ton avis en fait on te l'a jamais demande
T'as deja beaucoup resiste depuis ta naissance
T'as souvent traine, t'es reste dans l'errance
Tu marchais esperant l'inespere, une main
Tendue vers toi pour te sortir de ton train-train
Quotidien... Tellement que tu ne t'en rends plus compte
T'as deja oublie ces belles histoires dans les contes ?

Par Aucune Importance le 23/5/2002 à 1:18:12 (#1510768)

Parfois... Je m'imagine au creux de tes bras
Pouvoir sentir ton corps, tes mains sur moi
Et pourtant...

Parfois... Je ferme les yeux pour te sentir
Et en t'appercevant, je me mets a sourire
Et pourtant...

Parfois... Je me dis des choses que tu pourrais
Au creux de mon oreille bientot me murmurer
Et pourtant...

Parfois... Je vois la verite en face a face
Et toi loin de moi, j'en perds meme grace
Et pourtant...

Et pourtant l'amour a frappe a ma porte
Prise de cette maladie qu'on a du mal a soigner
La maladie d'amour qui me fait devenir gaie
Mais qui ma foi parfois me rend si triste
J'ai bien voulu parfois ne pas etre pessimiste
...

Ici, seule, sans toi, c'est pas si facile
Je voudrais t'embarquer dans mon ile
Qu'on vive la vie comme elle vient
Qu'on sente l'amour qui nous tient
...

J'ai mal de ne pouvoir te voir le soir
Lorsque je vais me coucher
T'enlacer tendrement chaque nuit
Lorsque je suis endormie
Et le sourire aux levres le matin
T'accueillir de mes mains
...

Et je voudrais changer tout cela
Et j'aimerai bien t'avoir pour moi
Et je prie tout ce que je peux
Pour qu'avec moi tu sois heureux

Je demande au jour de passer
Plus vite qu'ils ne l'ont fait dans le passe
Juste pour enfin pouvoir te serrer
Et mes doux mots a ton oreille murmurer

Par Empoisonneur le 23/5/2002 à 1:25:35 (#1510799)

Misérable moyen pour cacher le décompte
Ces contes que l'on raconte aux enfants
Pour camoufler ce monde agonisant
Au lieu de leur dire franchement
Qu'ils ne s'en tireront pas à si bons comptes ?

Faut-il conter l'imaginaire,
Merveilleux, féerique, débonnaire
Ou bien montrer cette grisaille,
Notre réalité à toute cette marmaille ?

Le choix est difficile, faut-il en convenir,
Entre en faire des moutons serviles
Ou des fous enfermés à l'asile...

Par Empoisonneur le 23/5/2002 à 1:37:11 (#1510854)

Ces matins calins, pareils à des félins,
Sont de notre destin des cadeaux coquins.
Sourires exquis, oeil complice,
Mais que font donc ces mains qui glissent ?
L'envie est là, soudain, dans les draps de satin,
D'offrir milles délices, tels un calice divin...

:ange:

Par Empoisonneur le 23/5/2002 à 1:40:19 (#1510864)

Oups, je m'égare, Edgar,
Erreur d'aiguillage,
Trompé de gare,
Hagard, je suis dans son sillage !

:rasta:

Par Aucune Importance le 23/5/2002 à 2:05:32 (#1510957)

A la bonne heure
Tu sais pas d'heure
Pour une touche de bonheur

Au pire tu loupes le train
T'en fais pas, il sera la demain
Il t'attendra au petit matin

Par Aucune Importance le 23/5/2002 à 3:58:09 (#1511102)

Conter l'imaginaire et la realite
En leur laissant biensur la liberte
De pouvoir agir dans leur vie
De la maniere dont ils auront envie

La c'est ni tout blanc, ni tout noir
Regarde autour de toi ce gris
Il faut juste ne pas laisser choir
Ce petit etre auquel tu donnes la vie

Par Aucune Importance le 23/5/2002 à 4:31:15 (#1511126)

Si j'avais pu refaire le monde
Je l'aurai rendu moins immonde
Un lieu ou l'on puisse faire grandir
Sans problemes, et aussi offrir
Un semblant de vie paisible
A nos enfants, ce n'est plus risible

Comment on fait pour continuer
Je suis pas sure de tout assumer
Pouvoir comprendre sans questionner
Meme pas sur qu'on me repondrait

Vis ta vie bon sang ! Qu'on me disait
J'ai pas compris apres avoir essaye
On m'a arrete net sans preavis
Aucunes explications, meme pas d'avis

Par Aucune Importance le 23/5/2002 à 5:25:28 (#1511170)

J'ai vu le ciel gris cacher mon soleil
J'ai vu tous ces morts a mon reveil
J'ai pas tout compris sur le moment
Je pensais que c'etait inexistant

Pour pas changer j'avais pas raison
Et j'ai regarde partout autour de moi
Mais je voyais plus du tout la maison
J'etais, avec eux, enfermee ici bas

En vain j'ai cherche le soleil, la nature
Un oiseau meme la moindre creature
Une preuve qu'on m'avait pas oublie
Dans ce monde fini, a peine commence

Par Aucune Importance le 23/5/2002 à 12:24:16 (#1512565)

Elle avait meme pas encore commence
Qu'ils se sont empresses de lui dire : Fini
Elle a pas tout compris, s'est fait jeter
Sans meme lui offrir la politesse d'un merci

Elle a longuement cherche
Sans pour autant trouver
Ce qui aurait pu les choquer
Sa simple venue etait un exces

On aurait pu lui dire avant tout
Qu'elle n'avait sa chance ici bas
On aurait pu l'accepter avec nous
Au lieu de la voir partir comme ca

Par Aucune Importance le 23/5/2002 à 16:57:40 (#1514330)

Le soleil a tente de se lever
Ce matin mais encore en vain
Le ciel est passe du bleu au gris
Comme moi sans toi dans ma vie
J'aspire a de meilleurs lendemains
Nous deux rassembles, assembles

Les jardins m'ont l'air desseche
De plus en plus a mesure que les jours
Passent et trepassent, je seche
Encore une fois mes larmes, toujours
Esperant que nous soyons enfin reunis
Cette image dans ma tete, je souris

Sans toi je vis de vague a l'ame
Sans cesse en vague de larmes
Mes yeux imbibes de pleurs
Viens me chercher, j'ai si peur
Je suis si seule sans toi
J'ai si peur sans tes bras...

Hep!!!!

Par Dolce Agonia le 23/5/2002 à 17:58:22 (#1514683)

Qui a dit que cela serait aisé? Le Bonheur, un animal que l'on peut apprivoiser? Permet-moi d'en douter, je ne veux pas ici ma vision imposer mais.. il me faut te dire que la tienne semble biaisée.

Passer cette vie a jalouser ce que les autres ont apprit à mépriser, par dégout, par trop plein, par nausées, un jour crois-moi tu vas finir par exploser!! Ce que tu cherches n'est qu'en fait le malheur déguisé, seulement là pour te courtiser, t'épouser, t'exploiter puis après te laisser seule, désabusée..

Te voila avisée, laisse-toi donc porter par les alizés, tu auras tout le temps d'aviser, prends la vie comme un tremplin dont tu peux user comme d'un lance-fusée! Que dirais-tu d'un quotidien champagnisé? Plus sur les autres mais sur toi focalisé? Laisse au Bon Dieu les formalités, et a toi le loisir d'improviser chaque jour qu'Il fait, tes rêves réaliser, cesse de tout standardiser, la vie n'est pas telle ou telle, elle est ce que tu en fais, alors lance-toi beauté!

Par Aucune Importance le 24/5/2002 à 3:20:07 (#1517734)

Je me suis lancee beaute tu sais
Maintenant impatiente surement
Les evenements ici bas j'attends
Mon reve, voir enfin se concretiser
L'avenir merveilleux que j'ai tant
Desire...

Tu sais... Je crois que tu peux savoir
Ce que c'est que de se laisser choir
Dans ce trou completement noir
Ne plus avoir meme une once d'espoir

Je pense avoir trouver sans meme chercher
Celui qui fera de ma vie joie et gaiete
Celui que dans le futur, le present, le passe
J'avais aime, j'aime et je saurai aimer...

Il est mon ange, ma lumiere, ma petite lueur
Aussi mon amour, ma vie et toute ma douceur.

*pensée pour une sainte chevalière de la Licorne*

Par Metabaron Sly le 24/5/2002 à 5:06:36 (#1517848)

Pour que tu m'entendes
mes mots
s'amenuisent parfois
comme les empreintes des mouettes sur les plages

Collier, grelot ivre
pour tes mains douces comme le raisin.

Et je les regarde lointains mes mots.
Plus que les miens ils sont tiens.
Ils vont grimpant sur ma vieille douleur comme le lierre.

Ils grimpent ainsi sur les murs humides.
C'est toi la coupable de ce jeu sanglant.

Ils s'enfuient de mon antre obscur.
C'est toi qui emplis tout, tu emplis tout.

Avant toi ils peuplèrent la solitude que tu occupes,
et ils sont plus habitués que toi à ma tristesse.

Maintenant je veux qu'ils disent ce que je veux te dire
pour que tu les entendes comme je veux que tu
m'entendes.

Le vent de l'angoisse encore et toujours les
traîne.
Des ouragans de songes encore et parfois les
couchent.

Tu écoutes d'autres voix dans ma voix endolorie.
Sanglot d'anciennes bouches, sang d'anciennes
suppliques.
Aime-moi, compagne. Ne m'abandonne pas.
Suis-moi.
Suis-moi, compagne, sur cette vague nausée.

Mais peu à peu mes mots se teintent de ton amour.
C'est toi qui occupe tout, tu occupes tout.

J'ai fait d'eux un collier infini
pour tes blanches mains, douces comme le raisin.

Par Dolce Agonia le 24/5/2002 à 9:15:19 (#1518275)



Reach for the top
And the sun is gonna shine
Every winter was a war
I want to get what's mine


J'ai le pressentiment que mon heure est proche...

Peut-être ais-je seulement peur qu'elle ne vienne pas assez vite?
Peur que cette vie sans cohérence s'éternise, que la douleur intrisèque n'ait jamais de terme, insidieusement.
Peur de ne pas savoir comment y mettre fin doucement.
Peur que le glissement vers l'abîme se fasse lentement, que l'agonie dure et dure vainement.

En mon coeur un serrement... qui ne laisse guère d'espace pour ses battements. Sagement, il attend. Mais quoi?
- Que le temps s'arrete? Que l'air ne parvienne plus a me maintenir en vie? Que je l'abandonne lâchement?
- que les beaux jours reviennent, sûrement.

Pourquoi arrive-t-il un jour où, bêtement, la vie bascule, se brise dans un feulement ahurissant? Du futur dont on se faisait idée on n'en voit plus que des fragments, éparses et douloureux, tellement...


Comment? ou? pourquoi? chercher l'amour qui exauce nos prières? Chercher un idéal abstraitement, virtuellement? Sommes-nous tous aveuglement utopiques pour nous lancer tristement (car de solution il n'y a pas) dans cette quete perdue d'avance, malheureusement? Autant écrire immédiatement son propre testament, tant la déception est grande.

Mes amis à vos crayons, à vos désenchantements, à vos rêves de bonheur qui s'évanouïront, indubitablement.

Je ne me cache pas, Soleil

Par Dolce Agonia le 24/5/2002 à 16:39:55 (#1520378)

Elle est triste, la réalité, lorsque l'on se rend compte que la nuit a été le meilleur moment de la journée... cette nuit où la conscience frôle l'inconscient, ce moment où nous ne sommes plus vraiment nous-même.

Il est funeste le jour où l'on se rend compte qu'au lieu de se lever le matin, le corps refuse le lendemain et l'esprit de s'éveiller à nouveau à la vie.

Lorsque l'appel de l'oreiller est plus fort que l'appel à l'aventure, que reste-il à l'homme en proie à cette lassitude? Ses rêves, palliatifs de la réalité à laquelle il a du mal à s'intégrer? Ce remède insuffisant, illusoire, est supposé rester provisoire... cependant quelques fois l'être peut rester coincé dans ses rêves tant la réalité est difficile à assumer, accepter.

Quel antidote peut-il alors sortir l'homme rêveur, l'homme fuyant sa propre vie, de cette impasse?
Oui, j'ai peur.
Mon Dieu rarement je te prie mais il en est assez de ce jour, de cette nuit qui prend le dessus sur mon existence, fait qu'elle reprenne sa place ou qu'elle s'abatte sur moi et ne plus jamais ne s'efface...



Et maintenant, remplacez le mot "nuit" et "oreiller" par le mot "jeux" ...

Par Aucune Importance le 25/5/2002 à 3:09:04 (#1523618)

Nostalgie d'une vie qu'on avait
Fini avant meme de la commencer
Elle aurait aime voguer en mer
Pouvoir concretiser ses voeux
Sans n'avoir jamais a se taire
Reapprendre la danse a ce feu
Dans lequel elle voyait clair

Elle a du faire mauvaise pioche
Pour se retrouver sur la roche
Le voyage a du mal se passer
Pourtant, elle n'avait pas demander
A le faire seule, comme oubliee
On aurait cru qu'elle derangeait

Pourquoi ne lui a t'on pas dit simplement de rester ?
A bien y reflechir, moi elle ne m'a pas gene...
Au contraire ses paroles, ses gestes et ses pensees, furent un tremplin pour la vie arpenter.

Par Aucune Importance le 25/5/2002 à 3:41:18 (#1523668)

Des mots, des paroles qui sonnent
Et encore et toujours raisonnent
Dans ma tete, de notre tete a tete
Je tente sans trop savoir, je me jette
A l'eau, esperant que tu acceptes
Simplement ma seule requete...

Au pire ou au mieux, je coulerai
Doucement, lentement, agonisant
Pour qui ? Pour quoi ?
Pour toi...

Au pire ou au mieux, tu m'aidera
Tendrement, gentillement, aimant
Pour qui ? Pour quoi ?
Pour moi...

JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine