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C'est Raffarin le nouveau 1er Ministre !!!

Par FAERY le 6/5/2002 à 12:25:08 (#1407234)

Après Jospin ... Raffarin ;)

Chichi aime bien les hommes dont le nom termine en "in" ...

Qui sera le prochain ? Madelin ? :D :D

Par Lumen Angel le 6/5/2002 à 12:31:58 (#1407268)

Donc un gars qui va ne pas faire de vague durant un mois. Ca m'étonnerai qu'il soit encore là après les législatives.

Par Orravan le 6/5/2002 à 12:37:22 (#1407290)

Donc un gars qui va ne pas faire de vague durant un mois. Ca m'étonnerai qu'il soit encore là après les législatives.

:rolleyes:

Par FAERY le 6/5/2002 à 12:46:53 (#1407354)

TU as raison Lumen => Raffarin c'est un tout doux :D

Il va surement circuler dans quelques semaines ... sauf si les législatives sont ric rac !! Il faudra alors maintenir un non excité à Matignon et il pourrait bien être le bon cheval :)

Par Althaïr le 6/5/2002 à 13:20:02 (#1407552)

Zut ! :enerve:

J'aurais préféré Sarkozy... :doute:

Lui, au moins, il aurais été impopulaire :D

:merci:

Par Mandor le 6/5/2002 à 13:44:23 (#1407688)

Provient du message de Althaïr :
J'aurais préféré Sarkozy... :doute:


Mouais... Même un mois je l'aurais pas supporté :D

Par Althaïr le 6/5/2002 à 13:49:58 (#1407710)

Provient du message de Mandor :


Mouais... Même un mois je l'aurais pas supporté :D


Un mois ??!!! :confus:

PIRE : 5 semaines et demie !!! :D

Par Sylftang LotuS le 6/5/2002 à 13:52:32 (#1407729)

Mouai...

Chirac se la joue à la populaire la quand meme!
Dans le style je prends pas de risque et je me mouille pas ya pas mieux!

Rdv aux législatives, ca va pas rester comme ca à mon avis!

Par Braams SombreVal le 6/5/2002 à 14:11:44 (#1407818)

Chirac a interet a se bouger le cul, justement en mettant en place des "mesures d'actions"... Il n'a plutôt pas interet a prendre un tout mou comme 1er ministre, ca se ressentira pour les législatives sinon...

Par Lumen Angel le 6/5/2002 à 14:17:49 (#1407842)

Pas un tout mou. C'est un gars qui ne l'ouvre pas trop fort. Un homme de paille, quoi.

Par Murmure le 6/5/2002 à 14:18:59 (#1407845)

De plus il prend une personne assez peu connue ce qui permet de ne pas trop ternir son image dans les premieres semaines.

il doit capitaliser sur sa bonne image.

Malgré tout prendre un premier ministre de démocratie libérale - si je ne me trompe - c est un peu osé pour ces quelques semaines de mise en jambe, notamment pour sa politique sociale, je suis trés intéressé par ses futures propositions...

Par groiink le 6/5/2002 à 14:50:06 (#1407983)

moins il agit, moins il fait d'erreur

:merci:

Par Braams SombreVal le 6/5/2002 à 14:54:54 (#1408005)

Provient du message de Lumen Angel :
Pas un tout mou. C'est un gars qui ne l'ouvre pas trop fort. Un homme de paille, quoi.


On aurait plutôt besoin de qqun qui fasse bouger (le 1er ministre du gouvernement d'action annoncé), 1 mois c court mais ca peux etre suffisant por décider une partie des votants/hésitants...

Politique...

Par Maharal le 6/5/2002 à 14:56:13 (#1408013)

Commentaire du sénateur Raffarin lui-même, dans une interview menée avant le premier tour et vue ce midi au JT de Canal +, --> A la question êtes vous candidat à Matignon il a répondu "je ne suis pas fait pour ça" et "ce n'est pas un scénario crédible".

:D

Par Edouard BaladursGate le 6/5/2002 à 14:58:46 (#1408029)

Provient du message de Murmure :
De plus il prend une personne assez peu connue ce qui permet de ne pas trop ternir son image dans les premieres semaines.

il doit capitaliser sur sa bonne image.

Malgré tout prendre un premier ministre de démocratie libérale - si je ne me trompe - c est un peu osé pour ces quelques semaines de mise en jambe, notamment pour sa politique sociale, je suis trés intéressé par ses futures propositions...


C'est pas un mec de l'udf plutot ?

Par Murmure le 6/5/2002 à 15:04:59 (#1408062)

non DL ca se confirme :

"Quelques heures après le second tour de l'élection présidentielle, le président DL de la région Poitou-Charentes a été nommé, lundi, premier ministre par le président Jacques Chirac"

source : le monde.fr

Par FAERY le 6/5/2002 à 15:20:07 (#1408130)

Oui il est Démocratie Libérale, mais c'est aussi un proche de Chirac de la première heure.

Juste une chose Murmure => DL n'est pas anti-social contrairement aux idées trop bien répandues par certains socialistes qui assimilent Madelin/libéral à anti-social ou ultra-libéralisme.

Je t'invite à lire le programme de DL sur les actions de type "social" tu risques d'être surprise => pas bête du tout ces idées. A approfondir en tout cas.

Une dernière chose socialiste = social c'est un peu éculé comme imagerie populaire.

Dois je te rappeler Giscard en 1974 s'adressant à Mitterand : "Vous n'avez pas le monopole du coeur" (comprendre du social ;)). Ben oui y a une droite sociale en France !!

La suite on la connait => Giscard battu en 1981 parce que ses alliés RPR le trouvaient trop à gauche et avaient appelé à voter contre lui au second tour en sous-main.

Or Raffarin est un ex de l'UDF ... le parti créée par Giscard ...
Et cette mouvance centriste/libérale à la française on peut vraiment pas dire que ce soit une tendance anti-sociale à tout crin. Bien au contraire !!

A suivre donc

Attendons de voir les autres ministres

Par FAERY le 6/5/2002 à 16:37:31 (#1408543)

up

Le Monde de cet après midi :

CITÉ comme l'un des favoris pour Matignon en cas de réélection de Jacques Chirac, Jean-Pierre Raffarin, 53 ans, joue les modestes. Se défendant d'avoir écrit son livre - Pour une nouvelle gouvernance(éd. l'Archipel) - dans cette perspective, il est à la fois flatté de sortir d'un relatif anonymat et agacé de se trouver propulsé en première ligne. Profil de Lino Ventura sur une silhouette de notable, épaules tombantes et nez cassé, il parcourt de long en large son bureau de président de la région Poitou-Charentes, signe, chez lui, qu'il est à la recherche du mot juste.

"Il y a des coups de raquettes dans tous les sens. Et je n'aime pas être une balle de ping-pong", soupire-t-il.

Bon gré, mal gré, le sénateur de la Vienne concède tout au plus : "Ce n'est pas une idée que je rejette, mais ce n'est pas une idée que je projette. Si c'est ce que je suis qui est utile à un moment ou à un autre, why not ?". Mais "seulement en cas de déficit", insiste-t-il, après avoir pris soin de replacer Nicolas Sarkozy et Philippe Douste-Blazy en tête du "hit-parade". Ne sont-ils pas, tous deux, "très motivés" ? Expert en communication - il a été directeur du marketing de Jacques Vabre, puis, de 1981 à 1988, directeur général de Bernard Krief communication —, fin connaisseur des aléas de la politique, dont il connaît la "violence", le sénateur de la Vienne sait qu'une ambition ouvertement exprimée n'est pas un atout. La désignation du futur premier ministre, assure-t-il d'ailleurs, ne répondra pas à une offre de service, mais à "une demande qui apparaîtra pendant la campagne".

M. Raffarin est donc plus prolixe lorsqu'il envisage toute autre perspective que Matignon. "Mes échéances personnelles, c'est 2004", assure-t-il d'emblée : les élections régionales et le renouvellement de son mandat au Palais du Luxembourg - avec, en discrète ligne de mire, la présidence du Sénat. L'ancien ministre des PME du gouvernement Juppé ajoute qu'il n'éprouve aucune nostalgie lorsqu'il passe devant son ancien ministère.

"Par contre, ajoute-t-il en se tournant vers la fenêtre de son bureau, à Poitiers, quand je me trouverai devant ce bâtiment le jour où quelqu'un d'autre sera à ma place, ce sera dur." Faut-il encore convaincre de son désintéressement ? "Je réfléchis à l'après-politique", poursuit-il, en évoquant sa passion pour la géographie. Et M. Raffarin d'assurer qu'il a notamment "envie de connaître le désert"... L'"ingénieur en convivialité", ainsi qu'il lui est arrivé de se qualifier, ne semble toutefois pas prêt d'aller se perdre dans les sables du Sahara. "J'ai bien senti qu'ouvrir son ambition jusqu'à ce niveau-là l'intéressait", confie l'un de ses amis, le peintre Richard Texier, en évoquant une conversation du printemps 2001.

Depuis son ralliement à Jacques Chirac, à l'automne 1994, dans le sillage de Valéry Giscard d'Estaing, l'ex-jeune giscardien n'a pas ménagé sa peine pour gagner la confiance du président. Au ministère des PME, du commerce et de l'artisanat, il parvient, entre 1995 et 1997, à se forger discrètement une image d'homme proche des réalités quotidiennes qui lui évite de sombrer dans les déboires du gouvernement Juppé. Il défend les boulangers, s'en prend à la grande distribution, soigne la CGPME, et délocalise périodiquement son ministère en province. Le chef de l'Etat apprécie, d'autant plus qu'il a de bons retours de ses prestations par les préfets et les chefs d'entreprise. A parti de son maître mot, la "proximité", il ébauche une méthode, la "nouvelle gouvernance", où doivent primer le dialogue et la recherche du consensus.

Dans la tourmente de l'après-dissolution, le vice-président de Démocratie libérale continue de creuser son sillon en Poitou-Charentes, où il soigne ses relations avec les élus de tous bords, tout en prenant soin de maintenir ses liens avec le chef de l'Etat... Sans oublier "VGE", dont il encaisse sans broncher l'ironie mordante : "Alors, comment va votre visionnaire ?..." A l'automne 1999, qui est encore une période de basses eaux du chiraquisme, il participe au lancement du club Dialogue et initiative, en compagnie des anciens ministres chiraquiens Jacques Barrot (UDF), Michel Barnier (RPR) et Dominique Perben (RPR). Au cours de leurs déplacements en province, il teste des formules ; on retrouvera ultérieurement dans la bouche du président la "France d'en bas" ou la "République des proximités".

M. Raffarin assure qu'il n'a pas d'ambition. Mais des répliques qu'il tient prêtes, au cas où... "Si besoin, je suis armé jusqu'aux dents", dit-il. Manque d'expérience ? "La région est un petit Matignon". Manque de notoriété ? "Le problème est réglé le jour de la nomination". M. Sarkozy moque-t-il la "France d'en bas"devant quelques journalistes ? "Neuilly symbolise la France d'en haut", réplique-t-il à distance, en soulignant que, selon lui, l'ancien secrétaire général du RPR "n'a pas achevé de rétablir une relation de confiance"avec le chef de l'Etat. Le futur premier ministre, prédit-il, sera "juppéo-compatible" ou ne sera pas. Convié au lancement, lundi 21 janvier à Lyon, d'un comité de soutien au candidat Chirac, il retrouvera justement Alain Juppé.

Jean-Baptiste de Montvalon

Par Onizuka LooWang le 6/5/2002 à 17:18:25 (#1408757)

Ce qui serait intérréssant à savoir , c'est si Sarkosy à décliné le poste si il lui à été proposé... Arriviste comme il est , aurait il préssenti un sale coup à venir ? :o
Parce que Raffarin même si je suis pas un politologue avisé j'ai appris son nom il y a seulement quelques jours... :doute: Ca sent l'homme de paile en effet :doute:

Par Trollesse le 6/5/2002 à 17:37:39 (#1408907)

Le grand patron dans l'ombre c'est Juppé :D

Il se voit Président en 2007. Encore un qui n'a rien compris et n'a rien appris.

Juppé, tu es le Fabius de la droite. Toutes tes bétises on ne les a pas oubliées ... Et je suis pas de gauche crois moi !

Par Orravan le 6/5/2002 à 18:55:54 (#1409486)

De plus il prend une personne assez peu connue

qui est pourtant quelqu'un de très compétent...

Le grand patron dans l'ombre c'est Juppé :D

Il se voit Président en 2007. Encore un qui n'a rien compris et n'a rien appris.

Juppé, tu es le Fabius de la droite. Toutes tes bétises on ne les a pas oubliées ... Et je suis pas de gauche crois moi !

rigole, rigole.. :D tu verra qui se présentera dans 5 ans :rolleyes:

Par Trollesse le 7/5/2002 à 9:30:05 (#1412832)

Ah oui qui selon toi ?

Moi je vois aujourd'hui et sauf séisme politique important d'ici là :

=> Hollande
=> Bayrou
=> Sarkhozy/Juppé
=> Madelin (pas sur finalement)
=> Mamère
=> aucun candidat pour le PC
=> Divers candidats pour l'extrème droite et gauche

Par Aron le 7/5/2002 à 9:38:46 (#1412880)

A peine sortis d'une éleciton présidentielle, vous envisagez la suivante ? Insatiables ! :)

Par Trollesse le 7/5/2002 à 9:44:25 (#1412909)

On adore ça Aron !!

Que veux-tu on dit bien que les Français adorent la politique, c'est pas pour rien :hardos:

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