Archives des forums MMO/MMORPG > La 4ème Prophétie > T4C - Harn > C'est fou ca ...
Par Weaver le 11/4/2002 à 17:46:51 (#1269344)
Par Ñille Ñolfine le 11/4/2002 à 17:51:44 (#1269368)
C'est pas du flood ce que tu fais là Weaver?
Par Julian le 11/4/2002 à 17:52:00 (#1269372)
*chuchote* je crois même que c'est une opération menée par Cyran. On dit même que son accession au poste de modo est entâchée de relations étranges...
:D
Assez d'accord ...
Par JimJim Sylvae le 11/4/2002 à 17:52:30 (#1269379)
Commune Libre du Forum !!!!
Crosse en l'air les Modos !! Crosse en l'Air !!!!!
Par Julian le 11/4/2002 à 17:54:41 (#1269392)
*choppe Nille, la met sur la barricade constituée de nains fraichement tué à coup de pop-corn*
Vas-y Nille, découvre toi le sein gauche et brandit bien haut le drapeau de la liberté !
:rasta:
Par Cyran le 11/4/2002 à 17:55:49 (#1269400)
Par JimJim Sylvae le 11/4/2002 à 17:59:00 (#1269423)
Il nous demande de nous rendre , de laisser l'armée rependre les canons !!!
Vas t on se laisser faire !!!
Non les Canons de Montmatre sont à nous !!!
....
Grimpe sur la barricade, cri
Peuple du Forum ... Hissez les barricades !!! Pour la Commune Libre du Forum
Par Ñille Ñolfine le 11/4/2002 à 18:00:32 (#1269426)
LIBERTÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ !!!
Par JimJim Sylvae le 11/4/2002 à 18:01:41 (#1269439)
N'a d'yeux que pour le magnifique spectacle qui s'offre a lui
Par Julian le 11/4/2002 à 18:02:50 (#1269447)
Par JimJim Sylvae le 11/4/2002 à 18:04:27 (#1269464)
murmure
-Un ptit verre dans un bistrot de Montmartre ca vous tente ?
-Bien sur .. une fois qu'on en aura fini avec cette révolution
:eureka:
Oh eh oh là !
Par Evaw Wincker le 11/4/2002 à 18:06:38 (#1269476)
Brandissant une lance avec un bout de post cloturé à son extrémité.
Nous sommes les deux mamelles d'un peuple qui est resté trop longtemps opprimé !
Libertéééééééééééééééééééééééééééé !!!!!!!!!!!!!!
Par JimJim Sylvae le 11/4/2002 à 18:08:22 (#1269487)
-Il est ridicule ton sein a coté de celui de l'allégorie !!!!
:bouffon: :bouffon:
Nous Nous battrons jusqu'au dernier !!! Je perirais pour M'dame l'allégorie !!!
Par Vrittis le 11/4/2002 à 18:10:40 (#1269507)
:rolleyes: Rien de tel qu'une bonne allégorie... :rolleyes:
un peu de Hugo pour votre culture ;p
Par Julian le 11/4/2002 à 18:11:17 (#1269513)
Il ajouta : Je vous attendrai rue de la Vrillière, près de la place des Victoires. Prenez votre temps.
Je me mis à marcher de barricade en barricade.
Dans la première je rencontrai de Flotte qui s'offrit à me servir de guide. Pas d'homme plus déterminé que de Flotte. J'acceptai, il me mena partout où ma présence pouvait être utile.
Chemin faisant, il me rendit compte des mesures prises par lui pour imprimer nos proclamations ; l'imprimerie Boulé faisant défaut, il s'était adressé à une presse lithographique, rue Bergère, n° 30, et, au péril de leur vie, deux hommes vaillants avaient imprimé cinq cents exemplaires de nos décrets. Ces deux braves ouvriers se nommaient, l'un Rubens, l'autre Achille Poincelot.
Tout en marchant, j'écrivais des notes au crayon (avec le crayon de Baudin que j'avais sur moi) ; j'enregistrais les faits pêle-mêle ; je reproduis ici cette page. Ces choses vivantes sont utiles pour l'histoire. Le coup d'Etat est là, comme sanglant.
« Matinée du 4. On dirait le combat suspendu. Va-t-il reprendre ? Barricades visitées par moi : Une à la pointe Saint-Eustache. Une à la Halle aux huîtres. Une rue Mauconseil. Une rue Tiquetonne. Une rue Mandar (Rocher de Cancale). Une barrant la rue du Cadran et la rue Montorgueil. Quatre fermant le Petit-Carreau. Commencement d'une entre la rue des Deux-Portes et la rue Saint-Sauveur. Une au bout de la rue Saint-Sauveur, barrant la rue Saint-Denis. Une, la plus grande, barrant la rue Saint-Denis à la hauteur de la rue Guérin-Boisseau. Une barrant la rue Grenéta. Une plus avant dans la rue Grenéta barrant la rue Bourg-l'Abbé (au centre une voiture de farine renversée ; bonne barricade). Rue Saint-Denis, une barrant la rue du Petit-Lion-Saint-Sauveur. Une barrant la rue du Grand-Hurleur, avec les quatre coins barricadés. Cette barricade a déjà été attaquée ce matin. Un combattant, Massonnet, fabricant de peignes, rue Saint-Denis, 154, a reçu une balle dans son paletot ; Dupapet, dit l'homme à la longue barbe, est resté le dernier sur la crête de la barricade. On l'a entendu crier aux officiers commandant l'attaque : Vous êtes des traîtres ! On le croit fusillé. La troupe s'est retirée, chose étrange, sans démolir la barricade. On construit une barricade rue du Renard. Quelques gardes nationaux en uniforme la regardent construire, mais n'y travaillent pas. Un d'eux me dit : Nous ne sommes pas contre vous, vous êtes avec le droit. Ils ajoutent qu'il y a douze ou quinze barricades rue Rambuteau. Ce matin au point du jour on a tiré le canon, ferme, me dit l'un d'eux, rue Bourbon-Villeneuve. Je vais visiter une fabrique de poudre improvisée par Leguevel chez un pharmacien vis-à-vis la rue Guérin-Boisseau.
»On construit les barricades à l'amiable, sans fâcher personne. On fait ce qu'on peut pour ne pas froisser le voisinage. Les combattants de la barricade Bourg-l'Abbé sont les pieds dans la boue à cause de la pluie. C'est un cloaque. Ils hésitent à demander une botte de paille. Ils se couchent dans l'eau ou sur les pavés.
»J'ai vu là un jeune homme malade sorti de son lit avec la fièvre. Il m'a dit : Je m'y ferai tuer. (Il l'a fait.)
»Rue Bourbon-Villeneuve on n'a pas même demandé «aux bourgeois» un matelas, quoique, la barricade étant canonnée, on en eût besoin pour amortir les boulets.
»Les soldats font mal les barricades, parce qu'ils les font bien. Une barricade doit être branlante ; bien bâtie, elle ne vaut rien ; il faut que les pavés manquent d'aplomb, «afin qu'ils s'éboulent sur les troupiers, me dit un gamin, et qu'ils leur cassent les pattes». L'entorse fait partie de la barricade.
»Jeanty Sarre est le chef de tout un groupe de barricades. Il me présente son second, Charpentier, homme de trente-six ans, lettré et savant. Charpentier s'occupe d'expériences ayant pour but de remplacer le charbon et le bois par le gaz dans la cuisson de la porcelaine, et il me demande la permission de me lire «un de ces jours» une tragédie. Je lui dis : Nous en faisons une.
»Jeanty Sarre gronde Charpentier ; les munitions manquent. Jeanty Sarre ayant chez lui, rue Saint-Honoré, une livre de poudre de chasse et vingt cartouches de guerre, a envoyé Charpentier les chercher. Charpentier y est allé, a rapporté la poudre de chasse et les cartouches, mais les a distribuées aux combattants des barricades qu'il a rencontrées chemin faisant. Ils étaient comme des affamés, dit-il. Charpentier n'a de sa vie touché une arme à feu. Jeanty Sarre lui montre à charger un fusil.
»On mange chez le marchand de vin du coin et l'on s'y chauffe. Il fait très froid. Le marchand de vin dit : Ceux qui ont faim, allez manger. Un combattant lui a demandé : Qui est-ce qui paiera ? La mort, a-t-il répondu. Et en effet, quelques heures après, il a reçu dix-sept coups de bayonnette.
»On n'a pas brisé les conduits de gaz, toujours «pour ne pas faire trop de dégât». On s'est borné à prendre aux portiers du gaz leur clef et aux allumeurs leur perche à ouvrir les tuyaux. De cette façon on est maître d'allumer ou d'éteindre.
»Ce groupe de barricades est fort et jouera un rôle.
»J'ai espéré un moment qu'on l'attaquerait pendant que j'y étais. Le clairon s'est approché, puis s'est éloigné. Et Jeanty Sarre vient de me dire : Ce sera pour ce soir.
»Son intention est d'éteindre le gaz rue du Petit-Carreau et dans toutes les rues voisines, et de ne laisser qu'un bec allumé rue du Cadran. Il a mis des sentinelles jusqu'au coin de la rue Saint-Denis ; il y a là un côté ouvert, sans barricades, mais peu accessible à la troupe, à cause de l'exiguïté des rues, on n'y peut entrer qu'un à un ; donc peu de danger, utilité des rues étroites ; la troupe «ne vaut rien qu'en bloc», le soldat n'aime pas l'action éparse ; en guerre, se toucher les coudes, c'est la moitié de la bravoure. Jeanty Sarre a un oncle réactionnaire qu'il ne voit pas et qui demeure tout près rue du Petit-Carreau, n° 1. Quelle peur nous lui ferons tout à l'heure ! m'a dit Jeanty Sarre en riant. Ce matin Jeanty Sarre a inspecté la barricade Montorgueil. Il n'y avait qu'un homme, qui était ivre, et qui lui a mis le canon de son fusil sur la poitrine en disant : On ne passe pas. Jeanty Sarre l'a désarmé.
»Je vais rue Pagevin. Il y a là, à l'angle de la place des Victoires, une barricade très bien faite. Dans la barricade d'à côté, rue Jean-Jacques-Rousseau, la troupe ce matin n'a pas fait de prisonniers. Les soldats ont tout tué. Il y a des cadavres jusque sur la place des Victoires. La barricade Pagevin s'est maintenue. Ils sont là cinquante, bien armés. J'y entre. Tout va bien ? Oui. Courage ! Je serre toutes ces mains vaillantes. On me fait un rapport. On a vu un garde municipal écraser la tête d'un mourant à coups de crosse. Une jeune fille, jolie, voulant rentrer chez elle, s'est réfugiée dans la barricade. Elle y est restée une heure, «épouvantée». Quand le danger a été passé, le chef de la barricade l'a fait reconduire chez elle «par le plus âgé de ses hommes».
»Comme j'allais sortir de la barricade Pagevin, on m'a amené un prisonnier, «un mouchard», disait-on. Il s'attendait à être fusillé. Je l'ai fait mettre en liberté.»
Bancel était dans cette barricade de la rue Pagevin. Nous nous serrâmes la main.
Il me demanda :
Vaincrons-nous ?
Oui, lui répondis-je.
Nous en étions presque à ne plus douter.
De Flotte et lui voulurent m'accompagner, craignant que je ne fusse arrêté par un bataillon qui gardait la Banque.
Le temps était brumeux et froid, presque ténébreux.
Cette obscurité nous cachait et nous aidait. Le brouillard était pour nous.
Comme nous touchions au coin de la rue de la Vrillière, un groupe à cheval passa.
C'étaient quelques officiers, précédés d'un homme qui semblait militaire, mais qui n'était pas en uniforme. Il portait un caban à capuchon.
De Flotte me poussa le coude, et me dit à demi-voix :
Connaissez-vous Fialin ?
Je répondis :
Non.
L'avez-vous-vu ?
Non.
Voulez-vous le voir ?
Non.
Regardez-le.
Je regardai.
Cet homme en effet passait devant nous. C'était lui qui précédait le groupe d'officiers. Il sortait de la Banque. Etait-il venu y faire un nouvel emprunt forcé ? Les gens qui étaient sur les portes le considéraient avec curiosité et sans colère. Toute sa personne était insolente. Il se tournait de temps en temps pour dire un mot à l'un de ceux qui le suivaient. Cette petite cavalerie piaffait dans la brume et dans la boue. Fialin avait l'air arrogant d'un homme qui caracole devant un crime. Il regardait les passants d'une façon altière. Son cheval était très beau, et, pauvre bête, semblait très fier. Fialin souriait. Il avait à la main la cravache que sa figure méritait.
Il passa. Je n'ai vu cet homme que cette fois.
De Flotte et Bancel ne me quittèrent que lorsqu'ils m'eurent vu remonter dans mon fiacre. Mon brave cocher m'attendait rue de la Vrillière. Il me ramena au numéro 15 de la rue Richelieu.
Par Weaver le 11/4/2002 à 18:11:24 (#1269515)
Par Evaw Wincker le 11/4/2002 à 18:12:32 (#1269523)
Et d'abord, je le fais pour la beauté de la cause, pas pour la beauté du geste 8)
:p
Par Iraban le 11/4/2002 à 18:12:43 (#1269525)
pfiou quelle bande de taré la bas ...
*regarde autour de lui*
euh j'ai fait demi-tour ?
*regarde l'allégorie*
ha non y'avait pas ca la bas ^^ :cool: :ange:
Par Julian le 11/4/2002 à 18:13:06 (#1269529)
Par Weaver le 11/4/2002 à 18:13:53 (#1269532)
Par Julian le 11/4/2002 à 18:15:04 (#1269539)
Mais tout de même je te trouve bien fourbe pour un druide.
Tsss on devrait interdire ce genre d'édition ^^
Par Evaw Wincker le 11/4/2002 à 18:17:01 (#1269553)
Ton acte va a l'encontre de l'ordre du flood !
Tu ralentis toutes les troupes avec ton texte super long à lire :p
Allez compagnon, remobilisez vous et ne vous laissez pas abattre par cette longue tirade ! Le combat cnotinue !!!!
Par JimJim Sylvae le 11/4/2002 à 18:19:04 (#1269568)
Il détourne les masses de leur interet .. en leur faisant miroiter un pseudo acces a une fausse culture ...
Voila les armes des traitres !!!
Aux Armes !!!!
Par Weaver le 11/4/2002 à 18:19:14 (#1269571)
Par Julian le 11/4/2002 à 18:19:23 (#1269574)
Pour le moment tout va bien, on amoche juste un petit peu trois des points suivants.
- PAS D'INJURES
- PAS D'ATTAQUES PERSONNELLES
- PAS DE PUBLICITES
- PAS DE MESSAGES A CARACTERE ILLEGAL
- PAS DE MESSAGES PORNOGRAPHIQUES
- PAS DE SPAMMING
- PAS DE FLOODING
- PAS DE TROLLING
- LE MOINS POSSIBLE DE HORS-SUJETS
A vous de trouvez lesquels ;p
Par Ñille Ñolfine le 11/4/2002 à 18:20:09 (#1269583)
:chut:
Par JimJim Sylvae le 11/4/2002 à 18:20:57 (#1269589)
Tire un peu la langue
releve le nez ...
-Ze trouve pas !!! :monstre:
Par Julian le 11/4/2002 à 18:21:27 (#1269594)
Oui Nille, si tu veux, ça motivera les troupes ^^
*aie le point 5 du réglement est salement amoché la*
Par JimJim Sylvae le 11/4/2002 à 18:21:41 (#1269596)
Provient du message de Ñille Ñolfine :
Euh... pour continuer le combat... je dois me découvir l'autre sein?
:chut:
OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII :amour: :amour:
Par Weaver le 11/4/2002 à 18:22:08 (#1269598)
Par JimJim Sylvae le 11/4/2002 à 18:23:10 (#1269605)
Non ? qu'est ce que vous en pensez ?
Par Julian le 11/4/2002 à 18:23:22 (#1269608)
Non pas toi !
Par JimJim Sylvae le 11/4/2002 à 18:26:30 (#1269631)
Prends ses aises , sort une bouteille de Lagavulin
Par Weaver le 11/4/2002 à 18:30:10 (#1269663)
Par Cyran le 11/4/2002 à 18:33:04 (#1269685)
n'oubliez pas irc si vous tenez tant à parler...
Le prochain qui rouvre un sujet c'est un avertissement...
(Pour ceux qui se demandent pourquoi je l'ai laissé ouvert pendant un moment et bien sachez que même un modo ca mange)
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