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La vérité est Ailleurs...

Par Ombre clair-obscur le 30/3/2002 Ă  19:39:13 (#1200987)

Oyez, oyez, oyez bonnes et braves gens, me voici, je me présente, je suis une ombre plongée dans le clair-obscur.

Certains diront que je suis un simple vagabond, d'autres que je suis un ménestrel, quelques uns que je ne suis qu'un fou !

Mais à tous je répondrais que je suis un peu de tout ceci !

Pour ma première venue en ces lieux, je vais vous raconter l'histoire pour la moins étrange d'un jeune homme pris dans les tourmentes d'un complot de grande envergure.

Je ne sais si c'est vrai, mais quel importance après tout ?! Seulement l'histoire compte !

Voici donc le parchemin qu'on m'a transcris, je vais de ce pas vous le décrire...


----



Je me nomme MuldÂ’ar FooX, je suis un jeune enquĂŞteur au service IBF, lÂ’Institut des Bizarreries FabuleusesÂ…

Lors de mes dernières pérégrinations j’ai découvert des crânes siamois à l’ossature ressemblant à celle d’un humain, mais pourtant déformé, d’une espèce, d’une race que je n’ai jamais vu avant sur tout Althéa.

Au bout de quelques mois de recherches, j’obtiens un contacte du nom de Madrigan qui pourrait m’en dire plus sur ces crânes, voici donc l’histoire…




Madrigan : Oui, oui, toutes les pièces du puzzles s’assemblent maintenant.

MuldÂ’ar FooX : Que dites-vous ?

Madrigan : J’ai découvert un complot, pouvant renverser le conseil des nobles. Mais j’ai besoin d’aide maintenant…

MuldÂ’ar FooX : Vraiment ?

Madrigan : Ne vous êtes vous jamais demandé d’ou pouvez venir ces Séraphins gros Billous ? Il y a 100 ans à peine, les Gros Billous étaient des êtres rares nés du 350 du Colysée et de la magie. Mais les Séraphins ne sont pas… équipés pour avoir à endurer autant d’entraînement leur seul but à l’origine était la destruction de la liche pas le gavage.

Muld’ar FooX : C’est assez étrange, je n’avais jamais réfléchis jusqu’à maintenant… Il est vrai que l’espèce Séraphins Gros Billou, fut très rare à une certaine époque en y repensant bien.

Madrigan : Ils font de lÂ’Ă©levage, je vous le dis ! Ils ont des SĂ©raphins gros billous esclaves et font de lÂ’Ă©levage avec et les force Ă  ĂŞtre Ă  leur ordres !

Muld’ar FooX : De qui parlez vous ? Qui fait ça ?

Madrigan : Les nobles, les nobles de la cour royale d’Althéa ! N’avez-vous jamais remarqué que chaque nobles semblent avoir au moins un ou deux gardes Séraphins qui le suivent partout ! Ils font l’élevage pour leur protection.

Muld’ar FooX : Comment avez-vous découvert tout cela ?

Madrigan : Oh ! Vous savez, cela fait bien longtemps que je renifle cette piste. Et maintenant que vous avez découvert les crânes, je suis sur le point de tout découvrir et d’avoir des preuves nécessaire pour pouvoir les démasquer. C’est juste, que… Eh bien, que je ne suis franchement pas fait pour les exploits physiques. J’ai besoin de quelqu’un de confiance pour réunir les preuves. Sinon je crains ne de pas y survivre. Il est certains que cela sera une quête des plus périlleuses.

Muld’ar FooX : Qu’est-ce que cela à avoir avec les crânes ?

Madrigan : Les frères siamois, furent le résultat de leurs premières expériences ! Ils ont tentés d’accoupler des Séraphins avec des Néphilims, pour produire une espèce particulièrement robustes qu’ils pouvaient contrôler. C’est avant qu’il ne soit évident que cette alliance contre nature offusquerait un jour les Dieux, évidemment !

Muld’ar FooX : Et que s’est-il passé ?

Madrigan : Les jumeaux furent les seuls êtres viables issus de ses expériences. Ils devaient être mis à mort, mais ils disparurent du laboratoire magique avant l’exécution. Vingt années plus tard, ils firent réapparition dans la haute société. Nous pensons qu’ils ont dû bénéficier de la protection d’un de nos puissants alliés dans le conseil pour avoir pu survivre aussi longtemps.

Muld’ar FooX : Qui est votre allié parmi le conseil ?

Madrigan : Personne ne sait. Par le passé, j’ai communiqué avec lui par l’intermédiaire de codes dans les journaux, tavernes, affiches, pigeons voyageurs et par d’autres moyens Clandestins.

MuldÂ’ar FooX : Il se pourrait que je puisse vous aider ? Que devrais-je faire ?

Madrigan : Grâce à mes recherches, j’ai découvert l’endroit le plus probable susceptible qui puisse dissimuler cet élevage… Une petite île que j’ai surnommé, « l’île aux Piaffes » près d’Arakas. Il va vous valoir trouver un moyen pour entrer dans le laboratoire pour pouvoir me ramener des preuves afin que je puisse les démasquer aux yeux de Goldmoon !

MuldÂ’ar FooX : Cela mÂ’intrigue, je le ferai.

Madrigan : Magnifique ! Tenez, laissez-moi vous indiquer sur la carte l’emplacement ou se trouve l’île. Et n’en soufflez mots à personne, cela pourrait être… dangereux, autant pour vous que pour moi.

MuldÂ’ar FooX : CÂ’est dÂ’accord, je reviendrais avec vos preuves.



Etonné de ces révélations, je décide de partir sur l’île que Madrigan m’avait indiqué. Après une laborieuse avancée dans la jungle je découvre enfin le laboratoire secret.

L’extérieur est plutôt terne, sinistre, on y découvre un bâtiment principal avec tout autour des cages renforcés pouvant retenir la plus dangereuse des bêtes sauvages. Rien d’intéressant dans les cages, sauf quelques ossements blanchis et mâchouillés.

Je trouve cela étrange, aucune âme qui vive, dans les alentours de la zone, rien l’endroit semble abandonné depuis longtemps.

Je prends mon courage à deux mains et je rentre dans le ténébreux bâtiment. Une odeur à vomir, acidifié mélangé avec le sang coagulé titille mes narines.

CÂ’est endroit est la maison des horreurs ! Du sang, du sang et du sang Ă  perte de vueÂ…

Des installations inondées par la poussière du temps semblant sophistiqué, un désordre et un bric brac partout comme si les propriétaires, il y a des années étaient parti précipitamment.

Je ne trouve rien de concluant, sauf un manuel relatant les immondes expériences faites en ce lieu, dont je tairai le résumé, tellement le simple fait d’y penser me met en émoi.

La preuve trouvée, je décide enfin de partir de ce lieu maudit avec un frisson me parcourant l’échine, je ne donne même pas un dernier regard derrière moi, je préfère oublier cette horreur.

Revenant voir Madrigan, je ne trouve personne chez lui, ou est-il ? A sa place je rencontre un petit homme rondouillard à la panse bien remplie, les cheveux poivre sel, le regard sûr et l’air hautain. Sans mot dire, il commence la conversation.




Redyc : Je suis bien aise de vous voir ici. Je me nomme Redyc. Vous travaillez pour Madrigan nÂ’est-ce pas ?

Muld’ar FooX : Je ne vois pas de quoi vous parlé.

Redyc : Voulez-vous me faire croire que vous vous promeniez dans la maison de monsieur Madrigan par hasard ? Allons, nous savons tous les deux que ce n’est pas vrai. Je vous en prie, dites-moi où il est. J’étais censé le rencontrer ici, nous devions… échanger des informations importantes.

MuldÂ’ar FooX : Oh, vraiment ? Et de quelles informations, sÂ’agit-il ?

Redyc : D’informations sensibles. Je travailles sur les mêmes recherches que monsieur Madrigan et ses collègues, mais je crois être plus avancé.

MuldÂ’ar FooX : Je ne vous fais pas confianceÂ… Je mÂ’en vais

Redyc : Naturellement, mais restez sur vos gardes. Comme je vous lÂ’ai dit, nous suivons une voie dangereuse.

MuldÂ’ar FooX : Que voulez-vous dire par une voie dangereuse ?

Redyc : C’est à vous que je devrais poser la question. Vous avez récemment découvert quelque chose… Quelque chose d’accablant pour certains, si je m’abuse ?

MuldÂ’ar FooX : Peut ĂŞtre.

Redyc : Ah… je vois que vous êtes prudent. C’est intelligent de votre part, car la voie que nous avons choisi de suivre est dangereuse. Très bien, je vais vous faire part des informations que j’ai recueillies et vous déciderez si oui ou non vous pouvez me croire. J’ignore moi-même dans quelle mesure tout ceci est vrai, mais voici ce que j’ai découvert.

MuldÂ’ar FooX : Je vous Ă©coute.

Redyc : Il y a environ cinquante, cinquante-cinq ans, un groupe de nobles originaires des quatre coins d’Althéa commença à amasser de grandes quantités d’argent grâce à des investissements dans le nouvel or brun, les Scalps. Tandis que leur richesse et leur influence augmentaient, de vieux préjugés commencèrent à refaire surface. On disait que les nobles n’étaient que de vulgaires voleurs du petit peuple. Les petites gens, les roturiers, souhaitaient freiner leur montée en puissance.

MuldÂ’ar FooX : Poursuivez.

Redyc : Il y eut des vols, des agressions et des menaces. Des lettres mystérieuses signé Fra, la nuit, avertissant les nobles de rester à leur place. Ils tentèrent vainement d’engager des gardes du corps humains. Tout humain acceptant d’être garde du corps pour un Noble à cette époque était par définition un individu peu fiable et paresseux. Puis, à partir de Séraphins et de Néphilims ils essayèrent de créer des hybrides magiques à leur service, sans résultat…

Muld’ar FooX : Les frères siamois.

Redyc : Exactement. Mais vous devez être au courant de ce qui leur est arrivé, n’est-ce pas ? Dès le début, cette idée était imprudente. Les Néphilims éprouvent une antipathie naturelle envers les humains et surtout les humains nobles, or ceux-ci avaient besoin de créatures beaucoup plus dociles.

MuldÂ’ar FooX : Je vous Ă©coute.

Redyc : Les nobles se sont ensuite logiquement tournés vers seulement les Séraphins. La lassitude de chasser dans la petite arène du nom de Colysée et la promesse de grande quantités de Scalps dont les piaffes sont friands firent de ceux-ci des gardes du corps extrêmement fidèles. Mais un problème se posa. Les Séraphins étaient très rares à l’époque, et cela pour de simples raisons matériels. Car dans l’ascension magique d’un vrai Séraphin gros Billou, il fallait diverses objets magiques d’une rareté sans équivoque tel que des tambours ou des pierres éternelles, objets indispensables pour le processus magique. Et les nobles sans gardes du corps devenaient une cible facile.

MuldÂ’ar FooX : Continuez, je vous en prie.

Redyc : Ces nobles se trouvaient pour la plupart à SilverSky, qui était encore une monarchie dictatoriale à l’époque. Ils implorèrent l’aide du roi, mais ce dernier voulait à tout prix éviter qu’un groupe de riches nobles exercent une quelconque influence dans son royaume. Les violences à l’encontre des nobles continuèrent et le roi et sa cour restreinte de privilégié fermèrent les yeux sur ces incidents. C’est à ce moment que… voyons, appelons-le Monsieur X, décida d’intervenir.

MuldÂ’ar FooX : Monsieur X ?

Redyc : Oui. Il engagea une fille de joie qui l’accompagna chez lui un soir et il l’enferma dans le sous-sol, où il gardait également un Séraphin de l’espèce Billou, gros Billou charmeur. Je vous laisse imaginer la suite. Comme on pouvait s’y attendre, elle mourut en couches, mais Monsieur X avait désormais son futur garde du corps. Il recruta d’autres nobles et les enlèvements allèrent bon train.

Muld’ar FooX : Que s’est il passé ensuite ?

Redyc : Pour des raisons de sécurité, il créèrent un laboratoire d’élevage sur l’île que vous avez visitée. Leur plan ne fonctionnait pas aussi bien qu’ils l’avaient espéré, puisque les femmes mouraient toutes en couches. Et plus le nombre de disparitions de filles de joies augmentait, plus la garde Royale s’intéressaient à leurs affaires. Ils décidèrent d’essayer l’accouchement chirurgical, mais les femmes étaient trop faibles pour y survivre.

MuldÂ’ar FooX : Poursuivez.

Redyc : C’est alors que les laquais du roi, découvrirent le pot aux roses. Mais malheureusement pour le souverain, les nobles étaient devenus extrêmement riches, suffisamment riches en tout cas pour l’enlèvement de la reine et de leur jeune fils.

Muld’ar FooX : Ce qui explique pourquoi le roi Théodore n’a pas de femme, ni d’héritier légitime, seulement une fille, une princesse. Je suppose que la reine a été envoyée sur l’île, n’est-ce pas ?

Redyc : Oui, elle fut la patiente de la première opération réussie. Elle donna naissance à trois petits avant de disparaître on ne sait ou. Peu de temps après, le Conseil des Nobles prit le pouvoir sur Goldmoon et laissant tout de même le Théodore en simple marionnette, une vitrine pour le peuple. Les disparitions de prostituées diminuèrent, mais une mystérieuse vague d’enlèvements de femmes et de filles des ennemis politiques du Conseil débuta.

MuldÂ’ar FooX : CÂ’est terrible !

Redyc : Cependant, cela ne dura que peu de temps, car les nobles ayant élevé suffisamment de femelles séraphine de l’espèce gros Billou, ils n’avaient plus besoin d’humaines. Ils en ont des centaines à présent, qu’ils gardent dans des cages, dans une ferme d’élevage, Dieu sait où. Ils continuent d’entretenir le mystère autour de cette affaire en diffusant des demi-vérités, des mensonges, voire même de vraies informations par le biais d’individus déséquilibrés tels que Madrigan.

MuldÂ’ar FooX : Pour que personne nÂ’en croie un motÂ….

Redyc : Exactement. Tout le monde pense quÂ’il sÂ’agit des divagations dÂ’individus fous et paranoĂŻaques.

MuldÂ’ar FooX : Toutes cette histoire est-elle vraie ?

Redyc : C’est une bonne question. Il ne faut pas vouloir absolument croire cette histoire sous prétexte que nous voulons qu’elle soit vraie, ou vouloir absolument ne pas y croire sous prétexte que nous voulons qu’elle soit fausse. Nous devons rester neutres.

MuldÂ’ar FooX : Quoi ? CÂ’est absurde ! Soit elle est vraie, soit elle est fausse !

Redyc : Hum. Dans ce cas, elle est entièrement fausse. Enfin, en partie peut-être.

Muld’ar FooX : J’apporterai des preuves à la presse ! Je révélerai toute l’affaire.

Redyc : Qu’avez-vous comme preuves ? Strictement rien ! Vous avez un journal qui a été laissé là exprès pour vous et qui a très bien pu être écrit la semaine dernière. Qu’avez-vous vu ? Ma foi, si je m’abuse, vous avez vu un entrepôt abandonné, et rien de plus en dehors de ce que votre imagination tordue vous laisse croire.

MuldÂ’ar FooX : Pourquoi faites-vous cela ?

Redyc : On a toujours besoin de convertis pour faire passer les messages. Vous avez peut-être recueilli de vraies informations, mais vous n’êtes sûr de rien. Que vous ai-je dit qui soit vrai ? Ne vous gênez pas pour répéter à tout le monde ce que je vous ai raconté. Je suis sûr que la presse adorerait entendre votre histoire. Peut-être. Bonne journée, monsieur, ce fut un plaisir.

MuldÂ’ar FooX : Ce ne fut pas mon cas. Je dois y aller.



Décidé de faire éclater la vérité au grand jour, je vais en direction du bureau de presse le plus proche, à savoir celui de SilverSky, pour faire publier le journal au grand jour.

Dès mon arrivé je suis accueilli par Cortes, journaliste ayant bonne réputation en Goldmoon. Voici la conversation




Cortes : Quelle aubaine de vous voir !

Muld’ar FooX : Je détiens les preuves de l’existence d’un complot.

Cortes : QuÂ’entendez-vous par complot ? Est-ce une plaisanterie ?

Muld’ar FooX : Le Conseil des Nobles élève illégalement des Séraphins gros billous !

Cortes : Ha ! Et je suppose que vous avez des preuves ?

MuldÂ’ar FooX : Oui, en effet.

Cortes : Seigneur ! Vite, cachez-moi ça. C’est une affaire dangereuse, vous comprenez ? Je ne peux pas garder ça ici… Apportez-le à Tretor, au bureau de Windhowl, il pourra vous aider. Dépêchez-vous ! Et ne parlez de cette affaire à personne…

MuldÂ’ar FooX : Dans ce cas, je mÂ’en vais.



Débité, il me demander d’aller au bureau de Windhowl, mais que vaut quelque kilomètre parcourut pour faire éclater une vérité ?

Arrivé au bureau, par mon empressement, je décide d’interpeller directement le journaliste se trouvant en ces lieux, celui dont Cortes m’avait donné le nom, à savoir Tretor.




Muld’ar FooX : Je détiens les preuves de l’existence d’un complot

Tretor : Qu’entendez-vous par complot ? Est-ce une plaisanterie ? Imaginons que je m’intéresse à cette histoire… Il faudrait me fournir des preuves.

MuldÂ’ar FooX : Tout est lĂ -dedans.

Tretor : Nom de nom ! C’est incroyable ! Je pourrais asseoir ma réputation avec une histoire pareille… Si vous me laissez le tout, je l’imprimerai dans son intégralité. C’est le scoop du siècle !

MuldÂ’ar FooX : Tenez, le voilĂ .

Tretor : Incroyable ! CÂ’est ce que jÂ’attendais. Je vais me mettre au travail sur-le-champ afin de pouvoir publier lÂ’article dans lÂ’Ă©dition de demain.

Muld’ar FooX : Bonne journée, je viendrais tout à l’heure voir l’avancement de l’édition.



Enfin, enfin la vérité va pouvoir être publié aux yeux de tous, enfin… Je prends l’initiative d’aller voir le cour de la publication sous les presses… quel ne fut pas ma surprise en découvrant…



Iaur Noldor : Je vous salue, camarade ! Comment allez-vous aujourdÂ’hui ?

MuldÂ’ar FooX : Qui ĂŞtes-vous ? OĂą est Tretor ?

Iaur Noldor : Qui ? Je m’appelle Iaur Noldor. Je travaille ici. Je crains de ne connaître personne du nom de Tretor.

Muld’ar FooX : Il travaillait ici. Je lui ai parlé… Il m’a dit qu’il était journaliste.

Iaur Noldor : Je suis le seul journaliste de ce bureau à travailler à l’extérieur. Je suis correspondant local à Windhowl pour la gazette d’Althéa depuis, peut-être… vingt ans maintenant ? Attendez une minute, quand avez-vous dit que vous avez parlé à cet individu ?

MuldÂ’ar FooX :

Iaur Noldor : Que se passe-t-il donc ici ? ! Je me suis démené pour rien aujourd’hui, suite à un mystérieux tuyau télégraphié par un anonyme. Quelqu’un se paie notre tête, mon garçon !

Muld’ar FooX : Ainsi, le type à qui j’ai raconté mon histoire n’était pas journaliste ?

Iaur Noldor : Comme je viens de vous l’expliquer, je suis le seul journaliste à travailler à l’extérieur de ce bureau. Racontez-moi votre histoire, cela peut peut-être m’intéresser, moi aussi.

MuldÂ’ar FooX :

Iaur Noldor : Et bienÂ… CÂ’estÂ… Ma foi, jÂ’en ai entendu de bonnes, mais celle-lĂ , cÂ’est la meilleure.

MuldÂ’ar FooX : CÂ’est vrai, je vous assure !

Iaur Noldor : Je nÂ’en doute pas. Je dois me remettre au travail maintenant. Si vous voulez bien mÂ’excuserÂ…

Muld’ar FooX : Je vais devoir prendre congé maintenant.



Je retourne à Silversky, voir mon ami… je veux dire ce traître de Cortes… ce vendu. Et voici ces élucubrations.



Cortes : Notre nouvelle rencontre me comble de joie, cher monsieur !

MuldÂ’ar FooX : Je souhaite vous parler de Tretor !

Cortes : Qui ? Je crains de ne connaître personne de ce nom.

MuldÂ’ar FooX : Vous mÂ’avez dit de lui donner le journal !

Cortes : Vous devez vous tromper. Je ne vous ai jamais rien dit de tel.

Muld’ar FooX : Oh, je comprends comment tout fonctionne maintenant. Bonne journée, monsieur !



Il faut faire confiance à personne, ils ont des yeux et des oreilles partout ! Du petit peuple, à la haute société en passant par la garde et la cour royale, ils ont même leurs entrées parmi les mystérieuses créatures que sont le S’enima’Z, ou encore parmi les Techn ‘ocidiens !

Je me battrais jusqu’à mon dernier souffle pour montrer à grand jour leurs plans ! Un jour la vérité éclatera, oui un jour… je veux croire…




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A bientôt bonnes et braves gens pour des aventures encore plus extraordinaires que la normalité linéaire du commun pourrait nous faire oublier en nos esprit égarés.

Par Dame-Flo -SrN- le 30/3/2002 Ă  20:45:35 (#1201267)

:maboule: :maboule: :maboule:

Par Cloud Griffon le 30/3/2002 Ă  20:51:06 (#1201293)

:mdr: :mdr:

SĂ©raphins avec des NĂ©philims

Mon papa + ma maman = moi =Haruspicien =
particulièrement robustes

:ange: :ange:

Par Korgan-Cy le 30/3/2002 Ă  21:26:34 (#1201412)

C'est long mais ça en vaut la peine :)

Korgan

Par Olorino le 30/3/2002 Ă  23:15:24 (#1201824)

Quelle fresque épique et héroique :)

Par ~ Shamilda ~ le 31/3/2002 Ă  0:14:04 (#1202039)

* Sourit *

Une reinette verte qui courait dans l'herbe ... :D :ange:

Par Dae le 31/3/2002 Ă  10:06:58 (#1202622)



Cher Clair-obscur, une telle machination n'est pas possible ! Je vous l'assure de vive voix ! Vous avez trop d'imagination mon ami !

Je ne sais pas moi Clair-obscur, contentez-vous de faire d'autres écrits, je ne sais pas moi des contes ou des poèmes...Si vous continuez dans la perspective du message que je viens de lire...

Hum, sinon il pourrait vous arriver un regrettable accident *Sourire carnassier* Vous m'avez compris j'espère ?

Par ~ Shamilda ~ le 31/3/2002 Ă  11:52:05 (#1202814)

:doute: :rasta: :mdr: :rolleyes: :eek: :rolleyes: :eek: :mdr: :rasta: :doute:

Par Iaur le 31/3/2002 Ă  23:06:57 (#1205418)

Hum, oui je me souviens de cet Ă©trange personnage qui Ă©tait venu en mon bureau de publication, son histoire et tout simplement folle !

Par Atchoum et Dormeur le 31/3/2002 Ă  23:16:26 (#1205464)

L'ignorance...

Par Antinea Themis le 1/4/2002 Ă  17:09:05 (#1208159)

:maboule: :maboule: Magnifique ! Pouet ! :maboule: :maboule:

Par Antinea Themis le 2/4/2002 Ă  23:57:43 (#1215858)

La où s'arrête l'effluve de toute vie commence le chant de la destinée... :maboule:

Par Un Ange Bleu le 3/4/2002 Ă  1:25:21 (#1216122)

:mdr: :mdr: :mdr:

Par Olorino le 1/1/2003 Ă  13:05:31 (#2921311)

hop la

Par Tormant le 1/1/2003 Ă  13:21:16 (#2921381)

je l'avais raté celui la =)


bien marrant =)

Par AĂ«randis le 1/1/2003 Ă  13:36:05 (#2921449)

Les bardes ont toujours été de grands incompris....

Il était doué quand même mon disciple...;)

Par lorelei_D le 1/1/2003 Ă  15:04:00 (#2921790)

Oui enfin ses premiers vers ne m'avaient pas convaincue Ă  moi :)

Par Guaboo le 1/1/2003 Ă  15:47:26 (#2921982)

:bouffon: :bouffon: :maboule: :maboule: :rasta: :rasta:

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