[Poème] La suite est votre...

Par Welk Eolh le 29/3/2002 à 16:36:49 (#1195671)

Ici même je commence un poème. Mais, l'inspiration s'est envolé, je vous demande à tous et à chacun d'y trouver une suite...merci

Le chant divin

Le clairon sonna pour annoncer le matin
tirant de son lit un soleil endormi
chassant les ténèbres qui dominent la nuit
son écho retentit jusqu'au monde divin

La lyre chanta de ses cordes d'argent
Réveillant la dame que nul n'apperçoit
Dès cieux descendit le son de sa voix
Créant une mélodie qui glaça le temps

*ici le poème se termine...a vous d'en trouver la suite*

La vision d'ame dans un tel contexte

Par Cypress Wyrm le 29/3/2002 à 17:44:47 (#1196071)

Ouvrant les yeux sur de vastes lieux,
comme penettrant aux cieux.
Un sombre bleu annoncant a ceux
qui d'une belle journée
se permettront d'accumuler
les corps d'ames libérées
Un nombre insolite d'ethniques
qui prendront panique
dès l'arrivée d'un guerrier
qui se fait nommer
Cypress
...

Par Erava de Senuth le 29/3/2002 à 19:13:47 (#1196668)

La flute siffla un doux et lent refrain
Une brise legere et fraiche se mit à souffler
Le vent frais parcoura toute la vallée
Emplissant les coeurs d'un froid chagrin

Le violon entama une triste serenade
Des arbres tomberent les feuilles
La nature à l'unisson se mit en deuil
Amenant l'automne dans une ocre parade

Par Welk Eolh le 29/3/2002 à 19:53:04 (#1196844)

Ta suite est superbe Erava...Je t'en remercie.....elle complète très bien le début!

Par Welk Eolh le 1/4/2002 à 5:34:42 (#1206233)

Je vais éssayer de rajouté quelque vers éventuellement...mias pour l'instant, les 4 1ere strophe sont selon moi magnifique....douze fois merci evara.....



(tu pertmet que je le montre a d'autre personne IRL??? sans avoir a payer les droit d'Auteur?!lol)

Par Pr Jozhef Kelso le 1/4/2002 à 15:49:05 (#1207695)

Le fracas de la vague, vint frapper la falaise
Elle reprit acharné, son sourd martelement
Faisant present aux hommes de son rhytme entrainant
O celeste tambour, caisse d'au et de glaise

L'archet glorieux du vent, vint carresser la branche
Lui tirant un sanglot, bien douce melodie
Notre triste nature, enterrait là sa nuit
Separant le beau Phebus, de sa lune si blanche

Contemplant hommes terres les yeux toujours rougis
Les amants separes, font jouer à la nature
Instrument de douleur, le cri d'un amour pur
De la separation du jour et de la nuit