Une larme sur le feu

Par Coeur de feu le 25/3/2002 à 21:56:17 (#1176271)

Nuit incendiée par les flammes de l’amour
Est soudain noyée sous un caprice du jour.

De l’orage ou de l’été qui va donc gagner ?
Ouvertement ces deux humeurs se battent en moi ;
Un charme furibond semble les contôler,
Tiranise mon cœur et le remplit d’effroi :
Eternelle plainte des âmes délaissées.

Pourtant, même dans mon plus profond désaroi,
Aimante et comblée je le suis à satiété.
Seulement je ne parviens à savoir pourquoi

Je laisse les larmes thernir ce feu toujours.
Est-ce vraiment cela la force de l’amour ?

Triste, la flamme crépite sous cet asseau
Alors que la braise refuse de s’éteindre.
Innocement j’en décris alors le tableau
Mais je n’ais plus le temps qu’il me faut pour le peindre ;
Encore une fois ta chaleur a séché l’eau !

Par Une Flamme le 25/3/2002 à 22:45:33 (#1176557)

A te comprendre, entière
Y aspire mon âme en prières.
Le coeur quant à lui
Sais pourquoi il luit.

Je t'aime chaque seconde, que tu sois orage ou été brûlant.
Bonne nuit me petite femme.

Par Eriana Shane Gs le 26/3/2002 à 2:16:31 (#1177081)

*une envie de pleurnicher gagne le joueur attristé...*

Tendre dilection,pourquoi me faire souffrir ?

Par EvangeL le 26/3/2002 à 2:17:21 (#1177087)

*sourit* c'est beau

Par Lisath Terra le 26/3/2002 à 7:46:23 (#1177359)

Magnifique...

Par Neptune-Gx le 26/3/2002 à 8:05:22 (#1177378)

Comme l'a dit Lisath (remontriste de poste :D) Magnifique

Mais dommage qu'il n'y a que des pseudo inconnu ( Ne sait pas comment les archivés poemes si beau soient-ils)

Par Angel le 26/3/2002 à 17:13:04 (#1179554)

Très beau..

Par Coeur de feu le 26/3/2002 à 18:52:06 (#1180257)

L’amour n’a ni prénom ni visage,

Il est juste l’œuvre d’un présage
Comme une colombe ou un chat noir,
On y croit ou on le laisse choir.
Nul ne saurait dire d’où il provient
Ni à quels dieux il appartient.
Un secret pourtant fût dévoilé,
En le laissant vivre, il peut brûler.

Si vous avez le bonheur pour souhait,
Il ne faut tuer la passion qui naît,
Grossir les défauts de son aimé,
Ni une fausse destinée mimer.
Et encore, ça ne suffit point

De rêver à un parfait conjoint.
Etre tout simplement caressante

Triomphe sur les ombres blessantes.
Rien au monde n’est si joyeux :
Oublier les pleurs, vivre heureux
Innocemment songer au futur,
S’y loger, sous un ciel d’azur.

Chacun trouve l'ardeur à sa porte,
On ne peut l’exposer de la sorte
En tous les êtres dort cette flamme
Une histoire existe pour chaque âme
Rien ne sert de connaître mon nom
Seule importe mon affection.

Par Une Flamme le 26/3/2002 à 19:17:25 (#1180436)

*sourit à ces mots*

Soufflez donc sur le feu de la passion, que ses flammes crépitent, et que les mots d'amours soient comme les milles braises du feu joyeux qui s'éparpillent au vent..

*ramasse les trois coeurs semés par la Belle*

Par MerlinOengus Gs le 26/3/2002 à 20:26:56 (#1180880)

:lit: