Bienvenue sur JeuxOnLine - MMO, MMORPG et MOBA !
Les sites de JeuxOnLine...
 

Panneau de contrôle

Recherche | Retour aux forums

JOL Archives

Histoire d'un peuple..

Par Dame-Flo -SrN- le 21/3/2002 à 21:49:32 (#1151454)

*Dans une petite plaine, une femme est entourer d'enfants, elle déplit un parchemin, et leurs souriant tous, elle commence son conte*

Ce conte se déroule dans l'antiquité, au temps des mythes et légendes.
Les royaumes des terres lactiques étaient sans cesse en guerre, ils ne vivaient tous que dans la peur d'être un jour esclave. Pourtant un royaume se distinguait des autres, il se nommait Atalion,c'était un pays d'harmonie et de paix, de calme et de sérénité, ceux qui osaient porter la main sur ses forets, cette nature verdoyante, étaient à jamais maudits des Dieux, c'était ce que disait les différentes légendes pour distinguer ce petit royaume bordé de mer.

A cette époque, Atalion représentait pourtant la force et l'honneur, et la douceur et l'harmonie, la première Reine de ce pays s'appelait Opaline, elle avait construit tout au sud de l'île un champs de bataille exprès pour ne pas porter atteinte au calme des habitantes et à la douceur enivrante des lagons. En effet, ce royaume n'était peuplé que de femmes, certains les appelaient les amazones, mais ils se trompaient sur le sort des femmes de cette île. Ce peuple était en effet un peuple d'amazone, mais c'était le plus grand, le plus fier et le plus sage de ces peuples, ce qui leur valut le nom de: Tylanna.

Mais elles n'étaient pas seules: les sirènes étaient la pour veiller sur les abords de l'île, et pour guetter si danger il y avait. Vous me direz, mais comment se fait-il sans hommes qu'elles puissent avoir une décandance, voila donc leur mystère, on disait qu'elles étaient immortelles, mais bien plus qu'un simple secret tournait autour de cette légende. Au coeur de la Forêt Centrale coulait une rivière, c'était une eau de jouvence, ce qui rendait les femmes Tylaniennes immortelles, lorsque la reine decidait de châtier une de ses amazones alors elle ne lui en donnait plus et c’est ainsi qu’on reconnaissait les régenat.
On disait qu’autrefois, la deuxième reine d’Atalion : Andromeda, s’était sacrifiée pour son peuple, et c’est ainsi que le peuple fut libre.
Un poème fut retrouvé sur ces mystérieuses terres interdites aux hommes, un barde errant avait pourtant réussi à écrire un poème sur les champs de bataille. Le voici donc :

Ô Atalion, pays de nos folles louanges,
Je te conte, et les guerrières se vengent,
Au lointain, retentit l’écho des épées,
Dans les plaines, se battent les chevaliers.

Ô Atalion, pays de nos tendresses,
Toi qui par ta beauté, porte allégresse,
Tes forets, tes fleurs aux milles couleurs,
Tes senteurs enivrantes de douceur.

Je ne m’attarderais plus, car ce poème est composé en effet de nombreux vers.
On disait que pour qu’une Reine amazone soit respectée par son peuple par delà la mort, il fallait qu’elle se sacrifie pour l’avenir et la pérennité de son peuple si il n’y avait plus d’issu pour la liberté. Ainsi, tous les cent ans, une Reine mourrait pour délivrer son peuple, en prenant exemple sur le geste ancestral d’Andromeda. La Reine qui était en ces temps à la tête d’Atalion s’appelait Lucia, elle était belle et pure, c’était une fière guerrière, mais la sérénité et la paix avait embellit son cœur depuis bien longtemps.

Mais en ces temps troublés par la soif de pouvoir des peuples qui bordaient l’île de l’autre côté de la mer, Atalion était menacé. En effet, un royaume avait osé vouloir porter la main sur une des amazones, et avait déclanché une guerre sans merci entre les deux peuples. Ce royaume, c’était Aldorar, à sa tête, un homme fou et sanguinaire, qui ne rêvait que de voir un jour à sa merci des milliers de femmes.
Il avait perturbé le calme et la sérénité de l’île, et avait bafoué les règles, en osant pénétrer plus loin que le champ de bataille. Il s’appelait en vérité Moust Itick, mais tous le surnommait : Elmarir. (l’ombre de la mort en langage maltyr)
Il avait decidé de raser cette île, et il avait tout pour réussir, ses armées étaient beaucoup plus grandes que celle de Lucia. Elle aurait tellement voulu une aide des autres pays voisins, mais qu’aurait-elle pu leur donner ? elle n’avait pas d’or, et son peuple ne vivait que de la richesse des terres fertiles et de l’abondance d’animaux. Elle devait voir ainsi jours après jours ses guerrières s’affaiblirent.

Alors qu’un jour, les navires d’Aldorar étaient arrivés près des côtes d’Atalion, et que les sirènes furent vaincues, même après avoir emportée dans le néant de l’océan nombres d’hommes. Ils arrivèrent sur le champ … une bataille sanglante les attendaient.
Quelques heures après, une femme arriva en courant près de la Reine, celle-ci était accoudée à une pierre, regardant inlassablement la source couler entre les pierres.
La femme s’agenouilla et dit :
Ô ma Reine, les sujets d’Elmarir sont parvenus à vaincre toutes nos amazones guerrières, il ne reste sur le champ que le sang versé par nos sœurs. Leur Roy traîne derrière lui le cadavre d’une de guerrières, il a osé profaner nos fôrets et faire couler le sang d’une amazone sur le chemin… ma Reine, il ne reste plus que quelques heures avant qu’ils arrivent ici, et souille de leur sang cet endroit sacré, que faut-il que je fasses …
Mon enfant, ma sœur, reste à l’entrée de cette clairière, ne bouge plus, attend moi ici, je ne serais pas longue…

L’amazone resta alors à l’entrée, peinée du regard livide que sa Reine lui avait portée.
Lucia se déshabilla et rentra dans la source, puis elle s’enfonça derrière l’écume et disparut de vue.
Derrière les cascades se trouvait une grotte, elle abritait un secret, que nul ne connaissait, mais, Lucia en savait bien plus que toutes les femmes de son peuple. Au milieu de la grotte, entourée de quelques feux, qui paraissaient brûler éternellement, se dressait une statue, c’était une femme en armure, avec un bouclier et une chaîne, elle était fière, droite, paraissant regarder au loin.
Lucia s’agenouilla auprès de la Statue et dit :
Ô Andromeda, je t’en conjures, aide moi, donnes moi ta force et ton courage, la paix a emplit mon cœur, et je ne supportes plus de faire couler le sang, redonne moi le goût de la victoire, et replonge mon royaume dans la paix éternelle.
Une aura bleu de se dégagea de la statue, et son armure se transforma en pluie de cristal, elle regarda Lucia attentivement et dit :
-Le temps doit être grave pour venir ainsi déranger la paix d’une morte. J’ai entendu ta prière mon enfant, néanmoins, je ne peux te donner ce qui n’est en mon pouvoir : le courage, mais tu le retrouveras mon enfant, prend ça, sert-en contre tes ennemis, et tu sauveras l’honneur des Tylanniènes.

Elle disparu et redevint pierre quelques mètres plus loin, à l’endroit ou la statue siégeait, il y avait maintenant une caisse argenté, avec quatre têtes de licornes sur les cotés, elle ouvrit alors la caisse et y trouva une superbe armure de cristal ainsi qu’une épée, un arc et « une » flèche. Elle s’en revêtit, remercia l’esprit de la martyre et quitta la grotte.

Dehors, les guerriers d’Aldorar était sur le seuil de la plaine, et agressait l’amazone qui devait garder jusqu'à sa mort l’entrée. Elle arriva juste à temps, et décocha une flèche dans le cœur de celui qui avait porté la main sur sa sœur. Elle savait à présent pourquoi l’esprit d’Andromeda avait placé un arc avec une flèche. Elle sortit alors l’épée de cristal de son fourreau, et marcha vers les guerriers, ils la regardaient, époustouflés devant la beauté, la force et le courage que dégageait cette femme.
Un guerrier fou s’approcha, croyant qu’elle était aussi faible que les autres guerrières, il était gros et imposant, l’œil terne et sans vie, il courut sur elle et fut aussi stoppé net lorsque son épée se brisa sur cuirasse de cristal et retomba sur le sol, inerte. Il fut prit d’une peur bleue et courra aussi vite qu’il pu, mais la Reine ne le laissa pas s’enfuir, et le transperça de son épée.

Elle commença à fendre l’air de son arme, les guerriers reculèrent tous alors, ils étaient comme paralysés, mais le Roy cria :
Mais qu’attendez vous !! Tuez la !! Vous n’avez qu’une seule ennemie devant vous et vous reculez ?!

Sur ces paroles, les guerriers fondirent tous sur la Reine, une poussière de sable s’éleva, et le Roy ne vit plus la bataille, voyant ses hommes tomber peu à peu sur le sol, mort, il s’éclipsa loin de la plaine, et repartit en bateau vers son royaume. Mais en chemin, il tomba sur une sirène qui avait su résister aux affrontements, c’était la Reine du peuple marin, mais aussi la plus forte, et la plus belle, elle s’assit sur un rocher, et vit au loin le bateau fendre l’air. Elle prit alors sa harpe et le long des files, ses doigts commencèrent à courir, une musique lente et mélodieuse devient de plus en plus forte au fur et à mesure que le bateau se rapprochait, mais Elmarir ne voguait plus vers les abords de son île, son bateau fuyait doucement vers le rocher ou était assise la sirène, son esprit était complètement sous l’emprise de la Reine Titis, au moment ou le bateau allait se fracasser contre le rocher, elle sauta dans l’eau, et regarda Elmarir couler vers les profondeurs des océans, il allait enfin trouver la paix et l’harmonie intérieur se disait-elle.

Elle s’approcha alors des berges d’Atalion et ramena ses sirènes sur le sable fin, elle pleura longuement la perte de ses sœurs. Lorsqu’ arriva enfin la Reine Lucia, elle la découvrit en pleurs, près du corps des sirènes, elle s’approcha d’elle, et posa sa main sur l’épaule de Titis.
Elle s’aperçu alors que presque toutes les sirènes étaient la, allongées au soleil, alors que leurs écailles devenaient de plus en plus pâles et meurtries par les rayons. Elle posa alors sa main sur le cœur de chacune des sirènes et concentra son savoir, et son esprit pour les sauver. Au fur et à mesure qu’elle passait auprès de chaque sirène, leurs écailles devenaient de plus en plus brillantes, et elles reprenaient vie, les unes après les autres. La Reine Titis fur émerveillée devant ce miracle, elle ne savait pas que Lucia avait le pouvoir de renaissance. Les sirènes partirent toutes les unes après les autres dans l’océan, après avoir remerciées vivement la Reine, et Titis ne savait plus quoi dire pour exprimer sa reconnaissance à l’amazone, elle reprit alors sa route vers son royaume souterrain, après de nombreux remerciements.

Lucia était contente d’avoir pu sauver ses sœurs de l’eau, mais restaient ses proches amazones à soigner et à guérir, elle fit de même que pour les sirènes, elle les guérissa toutes, en épuisant toute son énergie.
Lorsqu’ enfin une amazone sortit de son sommeil, elle découvrit près de la source de jouvence sa Reine, allongée dans sa cuirasse de cristal. Elle s’était sacrifiée pour sauver son peuple, elle avait donnée sa vie pour en sauver des milliers. Encore une fois, la prophétie d’Andromeda s’accomplit. Toutes ses sœurs pleurèrent longtemps la mort de celle qui avait été plus qu’une Reine pour elles… ils pleurèrent longtemps celles qui avaient apportée au peuple des amazones, la douceur, la paix, et le respect de la nature.
Aujourd’hui, Atalion est un royaume oublié… cependant… il existe toujours… peut-être dans vos rêves… ou peut-être au lointain.. peut-être éclaire t-il toujours les royaumes tel un phare de pureté… peut-être… peut-être.


(J'espère qu'il vous a plu :lit: )
:merci: :merci:

Par Colossus Lern le 21/3/2002 à 22:02:35 (#1151574)

Tres beau ...

Par Seleno Love le 21/3/2002 à 22:03:40 (#1151583)

Superbe Maman :)) *le relis encore une fois*

Par Laura Love le 21/3/2002 à 22:04:58 (#1151598)

Tres beau mamie meme si on s'est jamais vu :(

Par Sieur Dubourina le 22/3/2002 à 7:50:44 (#1152638)

Magnifique ma douce et tendre sirène.

Dépose un baisé sur la joue de sa sirène encore endormie.

S'éloigne en pensant à elle.

Par Fady-o Drako le 22/3/2002 à 7:57:36 (#1152646)

*épaté*
Pas mal du tous :lit: :ange:

Par Cloud Griffon le 22/3/2002 à 10:13:40 (#1152979)

histoire de merde que de la merde

Cloud...

Par Bertime Athkins le 22/3/2002 à 10:23:28 (#1153009)

Je suis pas sur d avoir la bonne personne en face de moi la, tu es une des personnes que j apprecie le plus dans ce jeu par son comportement et la tu nous montre un cote asse decevant j iamerai si tu veux bien quelques explication ne serait ce qu en prive mais si tu as des choses dire dit les autrements

Cloud...

Par Bertime Athkins le 22/3/2002 à 10:32:57 (#1153029)

Je suis pas sur d avoir la bonne personne en face de moi la, tu es une des personnes que j apprecie le plus dans ce jeu par son comportement et la tu nous montre un cote asse decevant j iamerai si tu veux bien quelques explication ne serait ce qu en prive mais si tu as des choses dire dit les autrements

Par Dame-Flo -SrN- le 22/3/2002 à 13:14:44 (#1153591)

Provient du message de Cloud Griffon :
histoire de merde que de la merde


Merci Cloud, mais c'est pas necessaire de poster qqe chose comme ca.

Par Rayden le 22/3/2002 à 14:37:10 (#1153915)

erf ces pas son compte forum on etait encor au bahut quand ce message a ete poster dslpour le gachage de post flo lui en voulai pas plizz ces ptet mon ennemmi mais je le defendrai pour ce genre de chose..:rolleyes: :(

Par Dame-Flo -SrN- le 27/3/2002 à 14:32:25 (#1184078)

Moui.. si il pouvait quand meme editer son post.. ca serait mieux :ange: :rolleyes:

:merci:

Par Rayden le 27/3/2002 à 15:36:23 (#1184456)

lol et si tu l aurai pas remonter aussi ;)

Par Aërandis le 28/3/2002 à 19:32:35 (#1190810)

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiin !!!! :sanglote: :sanglote: :sanglote:

Normalement j'aurais du le lire avnt tout le monde, t'es pas gentille Flo. *fera plus de jolis poèmes*

*écoute l'histoire de la jolie sirène*

Quoi, un vrai pays avec que des femmes et des sirènes. Et des femmes pacifiques en plus qui répugnent la violence. Ouah......

Où c'est Flo ? Tu veux pas me dire où c'est ? J'suis sur que sa leur ferait plaisir d'avoir un barde pour leur raconter tout plein d'hitoires.

Héhé ! Atalion me voila !

JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine