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Un petit lac

Par Camilla Nata le 21/3/2002 à 11:27:35 (#1148263)

Camilla arriva prés d'un petit lac a l'eau cristallin.Elle enleva son armure.
elle amena a ses lèvres une flûte de pan.
Elle se mit a dancer tout ne jouant un air plein de joie et de fraicheur
Quelque instant passerent
Puis elle fut rejoint par une douzaine de petites lueurs

Ele se mit a sourire.

Elle se mit a dancer avec les lueurs tout en continuant a jouer de la flûte.Ces yeux pétillaient de joie et de bonheur

Par Camilla Nata le 21/3/2002 à 14:20:10 (#1148925)

Au bout d'un moment Camilla s'assoit dans l'herbe,laissant ces pieds trempé dans l'eau du lac.

Les lueurs se poses sur ces genoux.Elle leurs sourie


Merci mes amies.Je me suis bien amusée

Les lueurs se transfome en petits êtres fin.Arborant des ailes translucides .... elles se bouchent le nez

Oh c'est vrais ... l'armure na pas une trés bonne odeur

Camilla plonge alors dans le lac pour enlever au maximum l'odeur qui dérange les petites fées

Elle en resort.Sa longue chevelure est passé par dessus une des ces épaules.

Elle se rassoit.Les pieds toujours dans l'eau.

elle leve la tete vers le soleil radieux

Par Ulvaryl le 21/3/2002 à 15:24:27 (#1149154)

Passe par là et aperçoit au loin une silhouette au bord de l'eau
Ecoute l'air fredonné par la flute de pan
Hum...bel air que voici.
Continu sa marche

Par Shizen DuVal le 21/3/2002 à 15:30:28 (#1149172)

Je me promenais dans les bois comme à mon habitude quand je suis attiré par un mélodie portée sur les vents. Étrange musique que celle là pour éveiller ainsi des souvenirs en moi… trop curieux, je décide d’aller jeter un coup d’œil. Je me met à courir à travers bois, guidé par le vent, ne rencontrant nuls obstacles; jamais la nature n’a eu le pouvoir de m’arrêter, je la connais que trop bien. Je ralentit ma course effrenée subitement, je suis près de la source de cette douce musique.. une flûte de bois sans doute.

Puis la musique cesse et je perçois une voix cristalline. Silencieux, je m’approche un peu pour enfin apercevoir une dryade trempée, la fameuse flûte à ses côté. Je m’avance doucement hors des buissons, ne portant que mon pantalon de toile élimée, ayant préalablement laissé mon sac près d’un arbre. De cette voix douce propre à ceux de ma race, je m’adresse à la dryade qui se trouve toujours dos à moi.


Qu’elle jolie mélodie, sœur des bois… mais je suis étonné de voir une fille des forêts porter une armure de confection humaine…

Je me contente ensuite d’un doux sourire

Par Camilla Nata le 21/3/2002 à 15:38:09 (#1149195)

Camilla sent une présence .... Une présence douce et amicale...une présence lier a la nature

Elle tourne la tete pour regarder l'homme qui a l'air de connaître la nature .... non de ne faire qu'un avec

elle entend ces paroles et voie son sourire ... elle lui réponde par un sourire joyeux


Merci pour le compliment.

Je la porte pour protéger mon corps afin de mieux proteger ma mère.

Les hommes savent fabriquer des choses solide parfois

Camilla se leve et se dirige vers l'homme ... elle s'arrete a quelque centimètre de lui

je suis Camilla et vous?

Elle lui dédit un sourire emplie de douceur

Par Shizen DuVal le 21/3/2002 à 16:36:17 (#1149457)

Je répond à son sourire, mon regard aux tons mordorés pétillant d’une joie presque enfantine. Il y a longtemps que je ne me suis senti de la sorte.

Je me nomme Shizen. Enchanté de faire ta connaissance Camilla.

Puis je prend sa main doucement pour l’attirer vers le bord de l’eau, geste famillier sans doute mais me parraissant si naturel en ce moment. Je m’asseois en tailleur près de la berge et fixe un moment les quelques fées qui viennent se poser sur mes jambes.

Mmm oui les hommes sont surprenant parfois. J’ai moi-même appris quelque arcanes magiques de certains mages influents. Et puis, si c’est pour proteger Mère… J’espère simplement que nous la retrouverons bientôt…

Je laisse échapper un long soupir empreint de tristesse. Mère me manque tellement et il me devient de plus en plus difficile de le cacher. Un frisson me parcours à l’idée de la savoir privée de sa liberté; il n’y a pas pire sort pour un esprit.

Par Camilla Nata le 21/3/2002 à 16:41:22 (#1149480)

Moi de meme Shizen

Elle lui sourit.Puis se laisse entrainer avec joie et s'assoie prés de lui, laissant ces pieds tremper dans l'eau du lac.

Elle le regarde ... il semble triste.Elle ne peut s'empecher de le prendre doucement dans ces bras et de commencer a lui chanter une douce chanson.Une chanson dans sa langue natale.

Par Shizen DuVal le 21/3/2002 à 17:56:05 (#1149924)

Je me laisse aller contre l’épaule de cette fille des bois, étrangement à l’aise. Un léger sourire se dessine sur mes lèvres en pensant à la réaction de mon aimée si elle devait me voir ainsi. Les yeux mi-clos, je laisse la chanson faire son œuvre sur ma conscience troublée. Quelle jolie voix… et cette langue que je connais bien, aux accents musicaux et fluides... voilà bien le language des bois; Il réflète les facettes et les beautés de la nature.

Mes pensées virevoltent; je revois Niss, douce dryade que j’ai vut pour la derniere fois en de sinistres circonstances… qu’est-elle devenue? J’ai l’impression que tout est figé pour écouter la voix de Camilla. Douce voix…


Puisses-tu porter rêves et espérance dans ce monde régit par la bêtise humaine…

L’esprit un peu ailleur, je surprend une voix se joindre en un murmure à celle de la dryade… Comble de l’étonnement, cette voix grave est celle qui filtre entre mes lèvres… on ne peut renier l’héritage de la nature si aisément… rires et curiosité, danses et chansons... voilà de quoi nous sommes fait… et peut-être aussi un brin de terre, un souffle de vent… un brin de magie féérique sans doute…

Je souris, tout simplement

Par Camilla Nata le 22/3/2002 à 13:20:31 (#1153611)

Elle entend cette voie grave et mélodique ce joindre a la sienne.
Un sourire joyeux se déssine
Elle sent qu'elle lui a rendut le sourire.ca la rend heureuse.

Puis doucement le chant meurt...délicatement il s'arrete..

Elle reste un instant dans cette douceur.Puis elle se leve doucement.Lui prend délicatement ces mains

Et lui sourit


Vient.Suis moi s'il te plait .. j'aimerait te monter quelque chose de magnifique

.......

Par Aclys Du Val le 22/3/2002 à 14:02:22 (#1153775)

Enfin réveillée, après une longue nuit de sommeil, je me met en quête de celui qui berce ma vie de sa tendresse et de son amour. Gràce à ce lien magique qui nous uni toujours, je me laisse guidée par mon instinct vers celui que mon cœur recherche.
Je ressent quelque chose d’étrange, comme une joie infantile, un enfant heureux, simplement heureux. Se pourrait t’il que Shizen ai fait une rencontre…..
Je continue ma route, calme, me disant qu’une telle sensation de joie simple est si rare. Il a dus rencontrer un des ces esprits rares, qui lui sont si chers. J’arrive enfin à la lisière d’un bois, une clairière, un petit lac, et la ………
Je reste figée, incapable de bouger pendant quelques secondes. Encore cette folle jalousie qui ressurgie du tréfonds de moi.
Lui ,dans les bras de cette dryade nue. Je vois bien que rien ne semble gênant pour mon amour, et même si je lui fait une confiance sans limites, il n’en est pas de même pour cette dryade que je ne connaît pas. Comment ne pas être un peu jalouse devant tant de beauté donnée par mère nature. Je suis partagée, j’hésite, comment réagir.
Leur chant de concert est si joli, si j’intervient je vais briser le charme moi qui n’est qu’humaine, un peu démone aussi mais bon. Il me vient à l’esprit une époque ou je me serait ruée sans réfléchir sur la demoiselle pour lui asséner un bon coup de fléau. Alors je vais rester là, profitant ce cette harmonie et de cette musique si belle.
Je m’allonge dans l’herbe à la lisière de la foret, je regarde ce bout de ciel qui danse entre les feuilles des grands arbres millénaires, et je me laisse bercer par cette mélodie de la nature.

Par Shizen DuVal le 22/3/2002 à 15:09:45 (#1154003)

J’ai la tête encore un peu dans les brumes quand le chant se disperce doucement au gré des vents. Je sais que cette tristesse qui m’accable reviendra un jour ou l’autre. Mais pour le moment… pourquoi ne pas savourer le temps présent? Je relève la tête, sentant Camilla se lever et prendre mes mains dans les siennes. Quelque chose de magnifique..? Un sourire illumine mon visage et cet éclat de curiosité apparaît à nouveau dans mon regard où se mêle ambre et ombres… Je me lève prestement, me laissant guider, main dans la main.

Un léger frisson me prend et j’ai le réflexe de regarder en arrière un bref instant… Je ne vois rien de particulier si ce n’est la danse du vent dans les feuilles. Pourtant… cette sentation de chaleur ne m’est pas étrangère. Je n’ai plus le temps de réfléchir, la dryade m’attire déjà vers ce lieu mystérieux qu’elle désire me montrer. En mon fort intérieur, je me surprend à souhaiter que cette sentation ne me quitte pas… que cette présence me suive…

Décidée

Par Aclys Du Val le 22/3/2002 à 18:05:04 (#1154772)


……… Soudain le silence, le chant s’arête, je n’ose regarder. Après quelques secondes pourtant je me décide, juste pour les voir quitter la clairière et s’enfoncer dans les bois.
Que faire, je n ais que quelques secondes avant de les perdre de vue.
Je dois me décider vite.
D’un coté, il me semble que Shizen est si heureux de la présence de cette femme, qu’elle lui apporte une joie telle que je n’avait sentie depuis bien longtemps dans son cœur. Ais-je le droit de m’immiscer dans cette aventure. Ais-je le droit de risquer de briser cette harmonie entre eux.
De l’autre, l’angoisse que Shizen puisse prendre un risque pour sa vie en suivant cette dryade si attirante. La jalousie qui me pousse à savoir jusqu’ou ira cette aventure. Mais ne vas t’il pas m‘en vouloir de penser cela.
Quelle torture, il me faut prendre une décision, et vite encore.
Aller, je me décide, il pensera ce qu’il veut de moi, mais je ne peut pas le laisser seul.
Chacun pensera ce qu’il veut, jalousie, angoisse, qui sait, mais c’est décidé, je les suit.
Ma décision prise, je me relève prestement et me dirige rapidement vers le sous bois ou je les ai vu disparaîtrent.
Angoissée …………….

Par Camilla Nata le 22/3/2002 à 20:01:37 (#1155401)

Camilla entraine shizen.Elle dance et rit.... puis tout doucement un immence et majesteux chêne apparait ... il est vieux trés vieux mais encore plein de vigeur

elle lache doucement les mains de Shizen pour aller vers l'arbe
Elle passe délicatement ces doigts sur l'écorce,puis l'étreint tout en regardant et souriant a Shizen


N'est il pas magnifique?C'est la que je suis née ... il est comme on père

Elle disparait dérrier l'énorme tronc de l'arbre pour réaparaitre sur une branche.
Puis elle désigne une énorme branche se trouvant trés haut vers la cîme du chêne


De cette branche on peut voir tout Arakas

elle se retourne vers Shizen

Tu vient ... je veut que tu puisse profiter de cette vue superbe ... prend le comme un cadeau pour notre rencontre

Elle se colle au tronc avec un sourire emplie de joie et d'amusement

Par Shizen DuVal le 22/3/2002 à 20:35:33 (#1155546)

Son rire est communicatif et je ne peux m’empêcher de rire aussi. Vivre parmi les hommes a laissé sa marque sur moi plus que je ne l’aurais cru. Je revois en Camilla cet enfant innocent que j’étais. Je regarde ce vieux chêne un moment qui éveille en moi ce besoin d’être entouré d’une famille… un père…

Je secoue la tête pour me sortir de ma rêverie et rejoins, de quelques mouvements agiles, Camilla qui se trouve déjà dans les hautes branches de l’arbre. Il est vrai que la vue est superbe! Je me sens comme un oiseau qui embrasse du regard toute la nature.


Cet endroit est magnifique Camilla! J’aimerais te montrer un jour où je suis né. Mais il ne reste aucunes traces de cette fleur aux pétales de nacre qui me donna la vie. Elle est retournée à la terre sans doute…

Je reste là, contemplatif devant le paysage qui s’étale devant moi, mes doigts parcourant négligemment l’écorce de la branche sur laquelle je suis installé.

Peut etre une nouvelle vie

Par Aclys Du Val le 22/3/2002 à 21:21:53 (#1155729)

Apres quelques minutes de marche , nous arrivons enfin dans un lieu reculé de la foret.
Quelle ne fut pas ma stupeur de voir apparaitre ce vieil arbre si majestueux.
Cachée dans un recoins je les observent. Comme ils sont beaux , heureux de vivre.
Depuis si longtemps je n ai ete capable d apporter cela a Shizen.
Je me rend compte a quel point ma compagnie d humaine le rend triste, il ne riait plus, n etait plus aussi joyeux.
Une larme coule le long de ma joue en le voyant si heureux, joyeux comme un enfant.
............
Et je reste la , plantée , a me dire que le bonheur est une chose si volatile. IL est temps que je me retire maintenant.
Peut etre que la nature a des dessins precis pour ces deux la.
...........
Sans bruit je fait demi-tour, je me met a courir droit devant moi.
Course inutile et sans but, un jour je devrait afronter .............
pourquoi si tot ................
je cours .......................

Par Camilla Nata le 22/3/2002 à 21:59:57 (#1155947)

Oui ca me plairait beaucoup Shizen

Elle entend des bruits ... ceux d'une course.Mais ce n'est pas ceux que font un animal
Elle pose délicatement un doigt sur la bouche de Shizen


Chut je revient

Avec une agilité et un rapidité presque surnaturelle,Camilla descend de l'arbre
Elle connait cette partit de la forêt parfaitement .. elle est née ici et elle a vécu tout sa vie ici.

Trés vite elle remarque des traces .Celles ci sont infîme.Apparement l'être qui c'est enfuit connaït bien la nature.

Elle se dirige vers ou meme ces traces.

Au bout d'un moment elle ratrappe une femme

Au détour d'un arbre elle se positionne quelque pas en avant de celle ci.

Et la regarde avec un sourire doux


Bonjour
Pourquoi courez vous comme ceci?

Camilla remarque que la femme pleure.Elle s'approche d'elle

Pourquoi pleurez vous jolie dame?

Par Shizen DuVal le 23/3/2002 à 15:08:27 (#1159093)

Je n’ai pas perçut le bruit de course, trop absorbé par le paysage et la brise sur mon visage. Ce n’est que quand Camilla scelle mes lèvres d’un doigt que je sors de cette rêvrie. Je la vois descendre ensuite du grand chêne avec l’agilité propre à ceux nés des arbres. Trop curieux et craignant pour elle, je descends de l’arbre tout aussi rapidement et me met à sa poursuite. J’arrive à grand course derrière la femme que Camilla à rattrapée…

Mon aimée..?

l'attente

Par Aclys Du Val le 23/3/2002 à 22:25:42 (#1162182)


Je stoppe ma course folle, étonnée qu’elle ai pu me rattraper si facilement, et surtout qu’elle m’ai entendue. Sa voix est douce et amicale, Je la toise au travers des larmes qui me troublent la vision, Comme la nature peut être généreuse parfois, je soupir.
A peine remise de cette première rencontre que voilà Shizen qui arrive.
Décidément, quelle discrétion, alors plus de choix, je vais devoir parler.
Je regarde cette femme, toujours nue et sans complexes. En prononcent mes mots je n’ose me tourné vers lui, je sais qu’il me regarde, qu’il attend ma réponse. Allez ma fille, tu te lance et du dit ce que tu as sur le cœur……………..

Vous semblez lui apporter joie de vivre et même bonheur. Des choses que je ne sait plus lui donner depuis longtemps. La vie des hommes est ainsi faite, que le devenir se fait toujours au sacrifice de sa jeunesse.

Enfin je me décide a lui faire face, pour terminer ma phrase.

Tu avait l’air si heureux, tu avait l’air de retrouver ton enfance, celle que je t ai sans doute volé par mon amour. Tu avait l’air de retrouver ta joie de vivre. Alors dis moi, que dois-je en penser. Je ne sait plus que croire ou non.

Je les regardent tout deux, heureux comme des enfants, joyeux comme des enfants, j’hésite a reprendre ma course, mais je lui doit de l’écouter si il veut parler. Apres tout, je l’aime plus que tout, et si son bonheur passe par le choix, je le ferait .
Je regarde Shizen dans les yeux, attendant de savoir si il désire me voir partir ou si son amour est toujours vivant.

Par Klio De Jar le 24/3/2002 à 4:09:41 (#1163755)

:lit: :chut: :lit:

[Edité, signature trop grande]

Par Shizen DuVal le 25/3/2002 à 3:02:47 (#1171198)

Alors voilà ce qui la trouble autant… et ce regard brouillé de larmes, masqué de brumes… Puis je sens mon cœur se serrer. J’ai fait des sacrifices pour elle comme elle en a fait pour moi; J’ai fait des choix régissant ma vie pour elle, pas toujours les bons… parfois à mes dépends.

Ai-je aussi le droit à l’amitié?

Ces derniers mots ont prit voix. J’aurais voulu les retenir, je n’aurais put le faire. Trop de solitude, trop de temps perdu, trop de ma vie arrachée, trop de moments qui jamais n’eurent la possibilité d’être et de grandir. Laissons les mots parler, donner un sens aux sentiments, aux idées troublées.

En ce monde des hommes, je n’ai pas d’endroit à appeler mon chez moi; pas de père ni de mère, encore moins de sœurs ou de frères… je n’ai pas d’amis auxquels je peux tout dire, confier peines et joies, folies ou débats. Et je connais si peux de ceux vivant ici et la, en ce royaume d’Althéa. Pas assez pour m’intégrer, mais trop pour les quitter. Je suis une âme solitaire, qui parcoure ces terres tel un fantôme, un souffle de vent, un être éthéré. Certain apprécierons une ou deux de mes bonnes actions…mais je reste un songe bien vite oublié. Tu connais tant de gens mon aimée; Et toutes ces dames que tu côtoies. Combien de secret vous êtes vous échangez? Combien de ces sourires dissimulés ai-je put remarquer? Cette complicité… comme je l’ai désiré… comme je la désire! Me sentir apprécier, me sentir vivre! Sans porter de masque, sans subir les jugements. Libre d’être, nul besoin de diriger, culte, foi et religion! Ne suis-je donc rien de plus qu’une figure de proue? Un emblème sacré sous lequel on vient prier?!

Jamais je n’aurais crut mon cœur capable de crier si fort… Je me sens misérable; et ce gout amer dans ma bouche qui me rappelle que j’ai sans doute fait une bêtise. J’ai le regard brouillé de larmes naissantes, le souffle court comme si j’avais parcourut des lieues à la course. Je ne vois que le noir autour de mon existence, solitude oppressante. Il ne reste que mon aimée qui brille encore, ma seule attache… mais le restera t-elle encore après ce cri de désespoir?

Et Camilla... douce dryade… aurais-je droit à ses bras pour ne pas sombrer, un peu de réconfort et d’amitié…

Dans un monde régit par la bêtise humaine…

Par Camilla Nata le 25/3/2002 à 9:19:50 (#1171725)

Camille ne sait que faire .... elle sent le désaroie et le desespoire des ces deux etres qui s'aiment plus que tout....

Elle les écoute .... elle sait que cette situation est de sa faute ...

Mais elle sourit ...

Puis un petit rire joyeux se fait entendre.Elle se dirige d'un pas rapide vers Aclys

passe devant elle et essuie ces larmes


Bien aimée de Shizen.Je n'est pas voulut voler l'être a qui tu as donné ton amour.Je n'est cherché que sont amitié.Et il me la donné.

Elle prend doucement les mains d'Aclys et l'entraine vers Shizen

Arriver a sa hauteur.elle se retourne vers lui ... et l'enserre doucement dans ces bras


Shizen ..Mon amitié tu la posséde dors et déja .... Tu peut venir me voir quand bon te semble ....

Puis elle prend une main d'Aclys et une main de Shizen ... et leur souris

Venez ... venez admirer tout les deux le paysage du haut de cette branche....

Soyons heureux de cette belle journée .. et de cette magnifique rencontre

Elle commence a les entrainer vers l'arbre en riant joyeusement

Saurai-je encore le meriter .........

Par Aclys Du Val le 25/3/2002 à 14:02:28 (#1173129)

Je suis Camilla sans même m’en rendre compte, je ne vois plus rien, n’entend plus rien, je suis abasourdie.
Une montagne vient de s’effondrer sur ma tête, une montagne de rêves qui se fissure doucement. Les mots résonnent dans ma tête encore si fort qu’ils me font mal aux oreilles.

<>

Ainsi donc je me leurre depuis si longtemps, moi qui ai crue sottement pouvoir lui apporter par mon amour tout ce dont il aurait besoin. Je ne vie que pour lui, je ne respire que pour lui, mais qu’importe. Pourquoi croit il que je raconte tout à mes amies, peut être que mon comportement le suggère. Alors il ne sait rien de ma solitude, inutile d’en parler dans ce cas. Il veut avoir à lui ce qu’il crois que je possède, je devrait me réjouir après tout, son bonheur n’est il pas mon seul but dans la vie. Il regrette de ne pas avoir de parents, mais vaux t’il mieux ne jamais les avoirs connus ou pleurer leur disparition. Il regrette de ne pas avoir de CHEZ LUI, mais je n en ai pas non plus, ces terres sont mon chez moi. Il regrette de n’avoir ni sœur ni frère sans savoir la souffrance que cela apporte. Il veut se sentir vivant, mais n’est ce pas quand on est vivant que la mort terrifie le plus.

Je me retrouve sur cette branche, une branche magnifique sur un arbre si beau, je comprend Camilla de l’aimer autant. Je la regarde dans les yeux, les larmes ont cessés, la voix se veut la plus chaleureuse possible.


Je vais retourné voir si mes enfants vont bien, je te suit reconnaissante de me donner le privilège de toucher cet arbre qui te sert de refuge mais ……. Je crois comprendre que toi et Shizen avez des choses à vous dires. Quelques secrets d’esprits sans doute. Tu sera la bienvenue parmis nous, mais suis-je bête, Shizen as du t’en parler déjà Sourit Puis parle a voix plus basse en direction de Camilla Donne lui ce que je ne peut lui apporter, seul son bonheur m’importe, soyez amis ou ce que vous voudrez, du moment que la joie rayonne sur son visage.

Je me retourne lentement vers Shizen, calme

je vais te laisser avec elle mon amour, je t’aime, tu le sait, et sache que rien ne compte plus au monde, Mon monde, que ce bonheur que je veut te voir apprécié. Tu saura toujours ou me trouver, je t attendrait. Inutile de te pressé, profite de ces instants magiques qui font rirent comme un enfants celui que j’ai par égoïsme transformé en homme. Je ne suit que ta femme, mais j’espère le rester toute ma vie, et j’accepterait tout pour te garder. L’amour est ainsi fait qu’il est sans partage, je ne serait plus un carcan pour ta liberté, je crois avoir compris tes mots, mon aimé. Profite de ces moments hors du temps. Quand a tes parents …………………….

quelques mots sortent de ma bouche dans un souffle presque imperceptible……..

Qui oserait se plaindre d’une mère comme celle qui t’a engendré …………………..

Je tourne la tête, descend doucement de cet arbre gigantesque, puis je reprend la route du cercle. Encore toute retournée de me rendre compte que je l’étouffe au lieu de le rendre heureux. Inutile de me torturer, je vais l’attendre et espérer que rien n’est encore aller trop loin, et qu’il pourra me pardonner.

Par Shizen DuVal le 25/3/2002 à 15:47:52 (#1173881)

Cette fois je n’ai pas sut répondre à mon aimée. Je l’ai écouté, me laissant guider par Camilla vers ce chêne centenaire. Puis, sans un mot, j’ai laissé Aclys descendre de l’arbre et disparaître parmi les bois… Je me retourne vers Camilla, le regard suppliant, criant de tristesse et de désespoir. Je n’ai pas à attendre longtemps; c’est les bras ouverts qu’elle accueille ma tête sur son épaule… où je me mets à sangloter comme un gamin. Entre mes larmes et le hoquettent de ma voix, je commence à débiter un peu n’importe quoi dans ce langage musical propre aux esprits…

À ma naissance j’étais seul. Je ne savais pas qui j’étais, pourquoi j’étais… aucunes voix pour me guider, j’ai cru à tord que j’étais de la race des hommes… difficile… c’était si difficile d’apprendre… j’allais contre ma nature, apprendre à m’intégrer dans ce monde qui en fait n’était pas le mien…

Je me bats toujours… toujours… je me cherche des origines dans le monde des hommes… je cherche des traces là où je n’en ai pas laissé. Pourquoi suis-je tombé amoureux d’une humaine..? Est-ce parce que je me suis cru de sa race? Ou poussé par cette curiosité propre à ce que je suis vraiment? Je l’aime, je l’aime Camilla… pourras-tu m’aider à oublier tous ces traits humains qui sont en moi, m’aider à redevenir ce que j’étais… Quand je serais en paix avec moi-même, peut-être cesserais-je de la faire souffrir…

Doucement, je lève une main vers la joue de la dryade et lui murmure en un souffle…

Je ne veux pas que ça t’arrive Camilla… tiens-toi loin du monde des humains. Je ne supporterais pas de voir ton sourire disparaître. Ce royaume est si beau… quand on peut le voir par tes yeux…

Je la fixe un instant, mon regard lié au siens. Je n’ai pas besoin de parler, elle le sait… que je désire me perdre aujourd’hui, partir, courir à travers bois, courir si vite au point de ne plus distinguer la terre du ciel! Elle prend ma main et ensemble nous nous lançons au bas de l’arbre pour disparaître parmi les ombres dansantes sous les grands arbres. Deux esprits des bois qui pourraient presque rivaliser avec les esprits du vent en ce jour; Il n’y a rien pour m’arrêter.

Je suis ivre de liberté.

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