Le registre historique (vos BG)

Par Aelfwin De Vald le 10/3/2002 à 20:40:42 (#1096626)

Oyez Oyez aventuriers et aventurières !

La présence de ce registre n'a fonction que de resencer les diverses origines de chacun, et pour seul et unique but d'être contées au générations futures (et actuelles). J'invite donc chacun de vous à coucher tout cela sur parchemins *sourit*

A vos plumes !






/modo il serait interessant que ce post soit en persistant :)

Par Imoen le 10/3/2002 à 20:51:40 (#1096712)

Prend sa plus jolie plume, et se met à écrire son histoire...

C'est à l'age de 10 ans, qu'Imoen arriva par bateau sur Althéa. Ses parents l'avaient abandonnée, ainsi que ses 2 frères qui restèrent inconnus pendant bien longtemps.
Elle rencontra un joli archer, nommé Casus qui lui enseigna l'art de manier les arcs. Il devint rapidement son meilleur ami. Un jour, lors d'une promenade à LightHeaven, elle rencontra deux hommes nommés Folken et Diodon Syrus. Ceux-ci tentèrent de corrompre la jeune dame...et cela porta fruit.
Elle quitta le culte de Sélène pour se dévouer au grand Supremus, les Seigneurs DarK. Jeune elle participait déjà à de sanglants combats, ce qui la rendit plutôt vilaine. Elle se fit corrompre ensuite par le Légat du Chaos, Buzar Noir, qui la fit entrer dans le culte d'Ogrimar. Son âme était maintenant dévoué au Très Haut...
C'est à 19 ans qu'elle eu son premier mari, l'honnorable haruspicien et membre des DKs Nebulas Darek. Ensemble ils eurent 2 enfants, et en adoptèrent 2 autres, Kitiara et Elhana. Puis le divorce frappa. Imoen tenta de recommencer le tout à zéro. Elle fut concubine avec Buzar, jusqu'au moment ou il décida de quitter Althéa. Imoen n'acceptant pas le départ de son ament, et le nouvel amour de Nebulas pour Leyanne, décida de s'exiler vers un royaume nommé Hibernia afin d'oublier tout...abandonnant sa famille et ses proches.

5 ans plus tard, dans la ville de StoneCrest, Imoen fait son retour. Elle fut recruter par la Lune Rouge, guilde Anti-Royaliste. Elle rencontra un ange, Vice...qui la demanda en mariage. Mais celui-ci mourru quelques semaines plus tard de causes indéterminés. Elle vit maintenant dans une petite maison de LightHeaven, en compagnie de ses 2 frères qu'elle a retrouvé: Kina et Evan Swain. Elle est toujours à la recherche de ses 4 enfants portés disparus, et de l'amour éternel.

Par Aoshi Valys le 10/3/2002 à 21:03:50 (#1096781)

Aoshi Valys
Mes parents ont confiés mon éducation a un mage et un guerrier. Je connais donc les secrets de la magie et de la guerre...
A coté de mon village se trouvait des montagnes où vivaient des trolls, j'ai appris leur langue et maintenant je ne supporte pas de voir un troll souffrir.
Je fus longtemps, peut etre meme encore, poursuivi par une silhouette, une sorte d'ombre...une créature démoniaque...
La seule fois que je l'ai rencontré en face a face, elle sépara mon ame en deux, une partie bonne, l'autre mauvaise...
Personne ne peut savoir quelle partie s'exprime a travers mon corps...
La partie bonne de mon ame est, pour l'instant, maitresse de mon corps mais pour combien de temps encore....
Mon ile a été attaqué par des démons...elle est desormais inhabitable et je prefere ne pas rester sur cette ile qui me rappelle ces evenements malheureux...

Suite a ces evenements,j'ai decidé de partir sur les terres de Goldmoon, sur l'ile d'Arakas plus precisement, j'ai alors 18ans...

Quelques temps apres mon arrivée, la partie sombre a brievement réapparu, me rendant coupable de tentative de revolution et d'useage de necromancie...
Mais elle a vite disparu a nouveau, pour combien de temps?
Apres quelques temps, histoire d'etre sur que ma partie sombre soit bien enfouie, j'ai proposé ma candidature en tant que garde de Lighthaven a la baronne Anorah d'Arn, j'ai été accepté...
Depuis, ma partie obscure n'est toujours pas réapparu, mais, je ne sais pas si cette fois, ce sera reellement definitif...je l'espere en tout cas.
J'ai aussi rejoint la Confrerie du Scorpion (CdS)
Je fete alors mon 28eme anniversaire...
Dissolution de la garde de Lighthaven qui sera reformée plus tard, je ne me represente pas...
Je rencontre Nelle Saiy, qui devient ma fiancée , j'ai alors 29ans...
Aupres de mes confreres CdS, mon ame retrouve un peut de son unicité, j'utilise désormais la necromancie que je maitrise avec parcimonie...
Pour faire partager mes savoir en necromancie, je pose ma candidature aupres des GNA...
Je deviens membres des GNA et partage mon savoir avec ces necromants...dans le meme temps, je rejoins les TSH et la pacifique confrerie de la licorne (CdL).

Suite a une discution avec Yriel, je vais enqueter sur un mystérieux temple, sur Arakas...je ne sais comment, mais Talona a apprit cela, la GV est desormais une ennemi possible...Je retournais sur les lieux des ruines quand je croisais Talona de Vir et Annatar Gwindor. Ils m'attaquèrent et me forcerent a boire une potion de controle spirituel...Mais cela eu un effet secondaire tres génant, ma partie mauvaise, refoulée en moi meme et cette potion s'associèerent pour créer un monstre incontrolable, un etre fanatique de Talona, qui la priait comme une déesse surpuissante.
*trou de mémoire assez long*
Je reprend mes esprits...cette potion que l'on m'avait forcé a boire m'avait guérit...les TSH avait réussit a trouver un remède...j'avais frolé la mort lors de cette guérison, j'etait meme temporairement mort...
Je me rappelle plus ce que j'avais fait...

On m'a raconté ce que j'ai fait, je ne peut y croire pourtant, je commence a m'en souvenir,comme un reve, ou plutot un cauchemar flou et indistinct...
J'aurais tué des gens, racketter des jeunes aventuriers, volé la banque de LH, kidnappé la baronne Anorah et encore bien d'autres crimes...je...*secoue la tete* meme si c'est vrai, je...n'arrive pas a y croire....

Cette mort, meme temporaire a profondément affecté mon caractère, meme si ce n'est pas très visible...

Ces affreux évènements sont quand meme dissipé par la naissance de mes filles Lliira et Melia.Cette heureuse nouvelle me comble de bonheur...

Je fonde a peu pres au meme moment la guilde de la Lune Rouge ( LR)...
Ma guilde prend vite de l'importance, j'arrive a vite avoir des espions bien placés...J'essaye de corrompre quelqu'un de trop...ma tete est mise a prix...Ezechiel me retrouve, je n'ai pas le temps de réagir...je suis mené en prison...Mais cela ne veut pas dire que je ne sait pas ce qui se passe dans ma guilde, j'arrive encore a communiquer grace a mes "agents"...

Par Aoshi Valys le 10/3/2002 à 21:04:28 (#1096785)

Fingel le Gnome
J'suis un gnome...comme tout ceux si, j'vit d'puis longtemps!
Si nous les gnomes, n'est caché, c'est passk'les humains, z'en veulent tous a notre or!

Par Iago! Ces H'mains, sont pas p'ssible, c'est not' faute si ona des villes faites en or??

Non mais, d'toute facon, meritez pas d'les voir!
Comment ca j'suis mechant? Pas d'ma faute, si vous etes humains!
Les seuls qu'j'respecte, c'est les nains! d'mage qu'l'haruspice les ai detruit! z'etaient censé eux! et z'avaient compris la beauté d'l'or!

Par Aoshi Valys le 10/3/2002 à 21:05:31 (#1096789)

Meethook Valys
Je suis né un peu apres mon frère Aoshi, mais contrairement a lui, j'ai été élevé a la maison familiale...en fait, j'suis le seul de la famille a etre resté avec les parents jusqu'a la fin...
J'connait tres peu mes freres...

De toutes facons, si ils ont besoin de moi, mon sens de la famille me poussera ales aider mais je n'irait pas volontairement les voir...

Je prefere errer, la nuit...
L'ombre, la beauté de l'ombre...
Eh oui, j'suis un peu sélènite sur les bords, mais je n'aime pas etre dans ce culte, ya trop de monde...
J'aime pas la société d'ailleurs...

Je prefere vivre seul...dans la nature, la nuit, les étoile...La LUNE...
enfin, bon, je m'égare...

J'ai maitrisé la necromancie tres rapidement...ca a été presque instinctif...mais c'est surtout ce coté tiré des ombres qui m'intéresse...
Enfin, voila, vous savez a peu pres tout...Le reste, decouvrez le par vous meme, et que Selene vous guide!

Par Aoshi Valys le 10/3/2002 à 21:06:40 (#1096793)

Inwe Valys

Bonjour, paix et amour, voyageur!
Je suis le plus jeune frere d'Aoshi.
J'ai été envoyé par mes parents assez loin de l'ile natale...peut etre pressentait il cette attaque? je n'en saurais jamais rien...

J'ai appris grace a un mage errant toute les magies tirée de la mana de la terre et de la lumière, j'ai aussi appris de lui la philosophie, la sagesse...

Arrivé sur Arakas, j'essaye de rejoindre les Conteurs de songes mais je suis toujours aspirant (y a quelqu'un ds fois sur le cc ? ) et j'essaye de joindre le culte des redempteurs... (ca existe encore cette chose? )
Enfin, je vois que tu désire partir, voyageur?
Qu'artherk te protège, et n'oublie pas, la Paix et l'Amour peuvent faire changer beaucoup de chose!

Igjarjuk d'Ookequk.

Par Igjarjuk AdGI le 10/3/2002 à 21:07:17 (#1096797)

*Va essayer de faire court...*
Il faut tout d'abord savoir Qu'Igjarjuk n'est pas né en Althéa. Il est né sur les terres d'Ookequk, lointain royaume, ne connaissant pas Althéa et vice versa...
Pour résumer, il est né de père inconnu et fut orphelin de mère à 4 ans...
C'est donc tout naturellement qu'il fut poussé à la mendicité et au vol...
Ce n'est que quelques années plus tard qu'il fut bannit de son pays...
Il échoua sur une plage pres de LightHaven... Où, ayant repris ses activités de voleurs et mendiant, il rencontra un guerrier-pretre du nom de Splotch qu'il essaya de détrousser... Celui-ci s'en apperçut mais ne le chatiat point... Il le prit sous son aile, lui appris la foi en Bréhan, et le maniement de armes...
Revoila donc Igjarjuk, fervent nouvel adorateur de Bréhan et aspirant à devenir Paladin afin de laver son honneur...

Quelques temps plus tard il rencontre une charmante archère au sein du culte et en tombe amoureux...

Enrôlé comme soldat puis ambassadeur dans la jeune conférie de la garde indépendante, il parcours maintenant les terres d'Althéa le coeur serein, l'âme en paix, et un nouveau blason d'ambassadeur de la garde indépendante.

Pour de plus amples renseignements, visitez ma deumeure (en construction actuellement) poussez la porte

Chroniques de Nizza

Par Nizza de Vald le 10/3/2002 à 21:51:13 (#1096977)

" Il n'est d'endroit plus confortable que la douceur du feu craquant dans la cheminée...Profitant d'un moment de paix au Royaume de Gooldmon, rare instant ou la sagesse dépose sa vertu sur les combattants de notre univers, J'ai décidé de conter une histoire aussi douce que tragique, celle d'un jeune mage, d'un jeune serviteur du bien, cherchant par des moyen qui lui sont propres, a reprendre paix, l'honneur et la bienveillance autour de lui."

Du Chaos a la Lumiere


" De ses premieres heures passées Dans la Royaume d'Altea, Votre serviteur, ne se souvient que de sombres et durs moments, où, n'ayant nulle famille, nul appuie, nulle connaissance, il errait dans la ville de Lightaven, cherchant autour de lui une main qui puisse l'accompagner dans la voie de la sagesse.
Or, en ces temps de Chaos où Dame Illuriel, pretresse du mal, préparait son ascension, receuillant le sang des enfants du royaume afin de rennaitre plus sombre que jamais, votre
desormais ami souffrait de milles maux, se questionnant sur sa foi, son role ici bas, pourquoi cette haine, cette envie de vangeance, de creer le malheur ? Devait il en faire de meme ou suivre le chemin plus eclairé qui le menerait a combattre ceux qui font le mal, quitte a etre souvent victime des forces malefiques ? Ce choix, diificile en lui meme, il ne pu le faire seul. Et la main tant
attendu se tendit a lui sous les traits d'unr jeune guerriere a la morale et l'honneur intact. Il connu a cet instant ou se trouvait sa place, quel choix faire, et du Chaos, il entrevit la Lumiere....."

De Nizza le Bon a Nizza le Maudit

“Suivant cette voie qui lui semblait toute tracée, notre ami continua son oeuvre de bienfaisance , aidant a tout va, formant les plus jeunes et pourchassant ceux qui repandaient le mal....Cette vie, faite d’humilité, de don de soi et de sagesse allait s’interrompre un sombre jour où, ne cherchant qu’a rependre le bien, il croisa, pour une nouvelle fois, le mal. Ce mal qu’il su repousser dans ses jeunes années, fut le plus fort cette fois, et l’emporta dans sa tourmente....C’est ainsi que Nizza le
sombre naquis d’un difficile accouchement, balayant d’une main tout ce qu’il avait pu faire de bien autrefois, se detournant de ses amis, les tuant souvent meme, agissant sur contrat, attiré par l’argent et la gloire....La haine ayant empli son coeur devenu froid....En cette nouvelle vie, il n’y trouvais pas son propre aboutissement ni sa veritable vocation, mais peut importait, il lui fallait rependre le mal...

Resurection

“En cette heure ou je vous parle, j’eu ouie dire que notre pauvre ami srait sur le chemin de la repentance....ayant muri, grandi, vieilli surtout, il semblerait que son ame et son coeur se soit un peu reouvert nottement grâce aux aides conjugées de ses amis, sa nouvelle famille et une prise de conscience...Mais comme cette histoire n’est qu’en perpetuel changement, qui sait ou nous le retrouverons plus tard, le bien, le mal, peut importe, pour lui, seule la valeur d’ame, l’integrité et la loyauté ne trouve grace a ses yeux....Alors, si vous n’etes pas de ceux la, fuyez le, si par contre vous vous retrouvez en lui, il vous tendra la main....


D'un travail a un engagement...

"Mais revenons un peu en arriere...Bien avant tout crimes, lorsque notre fidele compagnon etait jeune...Losque sa vocation etait de rendre la justice, d'aider son prochain...Il connu une personne repondant au grade de Lieutenant de la Garde Royale - dont il n'apprit que bien plus tard qu'il travaillait lui meme au service de l'haruspice, mais passons- qui, jugeant son pouvoir d'adaptation, lui confia une mission...Une premiere qui en appela d'autres...En effet, Apres une longue et memorable discussion aupres de celui qui croyait etre son maitre, il recu la mission d'infiltrer la plus sombre et tenebreuse des guilde du royaume...Le Black Lotus...Ce qu'il fit. Or son jeune age et
son inexeperience en ce domaine lui faisant defaut, il ne pu que donner que quelques renseignements qui furent non sans interet...Mais il apprit beaucoup. Apres cet echec, il continua sa
mission, s'infiltrant dans tout ce qu'il y avait de plus sombre en ce monde, le tout au service du Lieutenant...
Or, en cotoyant ce monde, il se fit un grand nombre d'amis, mais surtout, il changea.
Apres avoir rompu le pacte qui le liait au lieutenant, il fit une rencontre qui allait changer radicalement sa vie...
Depuis de nombreuses années deja, il s'etait habitué a rependre le mal et lorsqu'on lui parla de Chaos, il comprit la ou etait son destin...Or, son engagement aupres de l'hermite d'Arakas, puis aupres du Chambellant ne lui permettant pas d'etre un serviteur du Tres Haut, il mis ses connaissances a l'oeuvre...Pour ce dernier...
Ainsi, il infiltra une religion, l'Haruspice...
Ses experiences precendentes aupres du Lieutenant lui ayant été profitables, il n'eu aucun mal a executer sa mission.
Ainsi, il permit au Disciples du Chaos de tout savoir, de tout connaitre a l'avance durant sa mission. Malgré que son infiltration fu remarquablement reussi, il decida - en compagnie des Hautes
autorités du Maitre - de la faire cesser. Et la seule facon de le faire etant de renaitre. Bien qu'il considerait l'engagement aupres d'Artherk comme etant un sacrilege pour lui, il usa de sa ruse pour
y parvenir et devint ce qu'il haissait le plus au monde : Seraphin d'Artherk...
Or Cela aurait pu lui permettre de servir une nouvelle fois le maitre et il tenta de se rapprocher des forces royalistes. Mais sa ferveur et son entraint etait perdu, il voulait vivre et prier le Tres Haut de vive voix...Son seul but etant de changer la couleur de ses ailes...Apres plusieurs années d'attente interminable, ayant meme reunit tout les ingredients qui lui auraient permis de renaitre Seraphin d'Ogrimar, sa demande fut repoussée, non pas par le Maitre, mais par une entitée superieure ( vivi
messire Goa lui meme :p ) .
N'ayant plus gout a la vie...Ne pouvant pas prier son Maitre a visage decouvert, encaissant les mesquineries de la pluspart des gens qu'il connaissait -ou non- sur sa propre valeur, il decida de se suicider...Ce qu'il fit...

Mais son Ame court toujours...sous les traits d'un jeune humain qui, cette fois, pourra etre devoué a
Ogrimar...

En effet, alors que son corp gisait a terre, la gorge ruisselante de son propre sang, agonisant a terre, dans un coin sombre de la bourgade qui le vu naitre, celui qui fut a la fois traitre et ami, despote et comprehensif entendit une petite voix...celle d’un enfant essayant de lui parler....
‘ M’sieur ! M’sieur !” disait il la voix tremblante
Une lueur venue des tenebres envahit le corp inerte de Nizza, alors qu’un eclair blanc le quitta soudainement pour s’envoler au loin...Le petit garcon, intrigué, s’avanca lentement vers le cadavre,
et lorsqu’il fut assez pres, fut pris d’etranges convulsions, ses yeux se retournerent comme absorbé par un fluide d’une force insoupsonable. Une vapeur sombre s’echappa soudainement du corp du seraphe et prit possession de celui de l’enfant, chassant a son tour l’ame de ce dernier.
Apres un instant de silence, a la fois doux et terrifiant, l’enfant, prostré au sol reprit connaissance.
La demarche un peu gauche, et le sens de l’equilibre incertain, il marcha fort difficilement vers les rue de Lightaven, bousculant au passage jeunes aventuriers et marchants, qui, choqués par la vision que pouvait offrir cet etre, pestait contre lui.
C’est alors qu’un autre enfant, lui fit signe.
“Viens Galaad ! Viens ! On va jouer ! viens ...” Dit-il
D’une voix roque et tremblante, il repondit
“ Que veut tu ...que..Humm..Comment ose tu t’adresser a moi de la sorte, jeune inconscient !”
“Mais tu es mon ami ! C’est bien toi ? Galaad ? Glaad d’Izual ?”
“Qui donc ?”
“On a joué ensemble depuis plusieurs jours ! Ne te rapelle tu donc pas ? Sous le temple, la ou les rats grouillent !”
“De quoi parles tu ? Ne vois tu point a qui tu parles ?”
L’enfant resta muet un instant
“ Mais....tu....tu as changé...”
“ Je suis Nizza de Vald, ou plutot son ame Sombre, je suis...”
Un cri dechira le calme habituel des lieux
“Mais que m’arr..m’arrive t il ? Pourquoi mon corp ne veut point ? Pourquoi il...Pourquoi....je ne peut point bouger !”
Un air feroce sembla s’inscrire sur son visage, signe d’une lutte interieure qui ne fit que commencer.

La Lutte.

"Bien des années s’ecoulerent et peu de chosent eues changées l’Ame sombre de Nizza avait du mal a controler ce corp qui la rejetait, et l’ame de Galaad venait toujours le hanter et lui reclamer son bien.
Mais L’ame savait dorenevent controler ces phenomenes, sa famille, les De Vald l’aidant beaucoup en ce sens. Or, cela ne lui suffisait pas, de ce corp qui n’etait point a lui, il voulait faire sien
definitivement. Il arpenta les terres des trois iles, cherchant conseils et rituels afin de detourner l’ame de Galaad de son ancien corp. Or rien ne fit.
Son engagement fidele aupres du Tres Haut et l’aide de Buzar Noir allait apporter la solution.
Ainsi, il entrepris la demarche de demander conseil au seul qui saurait lui donner un nouveau corps et lui rendre ses anciens traits : l’Oracle."

Renaissance.

"Apres de longues et douloureuses expeditions a tuer un a un les diverses especes arpentant les trois iles, il devint un archer, non tres puissant, mais suffisement pour avec de l’aide, passer les epreuves qui allait le mener vers sa destinée. Ayant au prealable et avec fierté preté allegeance au Tres Haut, il partit vers l’Oracle accompagné de plusieurs fideles, soucieux de l’aider en cette quete ultime. Apres avoir passé non sans difficulté les differentes epreuves, il parvint au bout d’un long couloir a celui qui representait son dernier espoir, sa derniere once d’esperance, le seul qui pouvait lui insuffler ce gout de vivre qu’il avait perdu.
Apres avoir exposé sa foix et son malheur a l’Oracle, celui ci lui conseilla un rituel, somme toute dangereux et incertain, mais qui, selon lui, pourrait lui rendre ses traits : renaitre sous la forme d’un
Seraphin d’Ogrimar. Sous les yeux de celle qui fut restée aupres de lui afin de le conseiller, il dit “oui”.
Un grand bruit de tonerre envahit la salle et d’un jeune humain frele et miserable, il devint seraphin aux ailes noires. Mais plus encore, il retrouva ses traits et sa voie, il reprit son nom et sa splendeur
Nizza de Vald, autrefois seraphin d’Artherk, aujourd’hui Seraphin du Tres Haut !"


Histoire de la famille DE VALD :

La famille De Vald est née d'un hasard curieux....en effet, elle naquis de la rencontre de deux freres séparés a la naissance, abandonnés, et laissés a leur propre sort dès leurs premieres heures de leur terrible existance....Ces deux freres s'apellent Rayne de Vald et Nizza de Vald...Nul ne sait qui furent leurs parents, nul ne les connaissait, mais un seul indice leur permis de se retrouver, et surtout de connaitre leur nom, un sigle, une inscription, une marque scellée au fer rougeoyant...l'ecusson de la famille....Apres une enquete longue et minutieuse, Rayne pu retrouver dans les archives royales la signification de cette marque...elle etait celle d'une ancienne famille de Lightaven : les De Vald. Mais il n'eu d'autre explication, juste une ligne dans un livre, le symbole, et rien de plus...

Une fois les deux freres reunis, et malgré des parcours bien diffrerents, ils deciderent de redonner de l'éclat a cette famille, de la faire connaitre, d'honnorer ce blason, marque indelebile sur leur poignet droit...

Ainsi pu renaitre les de Vald, pour la joie des uns et l'inquietude des autres....

Histoire de Maylis et Nizza de Vald :

Cette histoire se passa il y a fort longtemps dans la bourgade de Lightaven. Alors que je mepromenais en compagnie de mes amis Aeddan, Silverblade et Maylinda dans la grand rue menant a
la taverne, nous appercumes une fete se deroulant en ce lieu. Arracé par de nombreuses batailles,nous decidames de nous accorder un temps de repos.
Nous entrames.Alors que la fete et l'alcool rejouissait chacun d'entre nous, j'appercut au fond de la piece une jeune
fille d'une beauté eblouissante, vetue d'une robe soyeuse , fine et ornee de perles rares. Alors que jedemandais a mes amis qui pouvait etre cette jeune femme si belle, Aeddan se proposa de mepresenter a elle.
Quelle surprise fut la mienne losque j'appris qu'elle etait sa propre soeur, lui qui fut mon eleve !
Nous discutames longtemps, puis la nuit tombant, nous decidames de nous isoler dans une deschambres de ce lieu.
Nous vecumes une belle et splendide nuit d'amour.
Le jour venu, nous reprimes le court de nos existences respectives, sans mot sur ce qu'il s'etaitpassé.

Or, ce ne fut que quelques mois plus tard que j'eu de nouveau des nouvelles de celle qui fut macompagne d'une nuit...Mais quelle nouvelles !
En effet, alors que je discutais avec mon frere Rayne, on tapa a la porte. J'appercu, en ouvrant cettederniere, une vieille femme et a terre trois berceaux et a l'interieur trois bambins....
Je tenta de questionner la vielle femme qui en guise de reponse me donna une lettre.
Celle ci m'expliquant que la jeune fille que j'avais connu autrefois, etait tombee enseinte de quatres enfants. Mais devant l'impossibilité de les nourrir, elle decida de me les confier.
Ces trois enfants dans ces berceaux se nommaient Kir, Kaars et Leo. le quatrieme ( qui ne me fut pas remis, je ne sais pourquoi ) s'appelait Mageos.
Je n'appris que quelques temps plus tard par son frere Aeddan, que Maylis, douce muse de mes nuit, se donna la mort, emplie de chagrin et de remors...


( dsl je sais tout ca c un peu long..encore dsl ...bon, ok je sort !)

Par Thalès Khay le 11/3/2002 à 0:17:31 (#1097479)

Oups trompé de trhead dsl

Par Profy le 11/3/2002 à 11:19:19 (#1098872)

Historique de Profy


Je me suis réveillé, il y a quelques années déjà, par un beau matin de printemps, vêtu seulement de haillons, dans un abri caverneux, dans un endroit où nul ne s'aventurait jamais. Cette grotte était ma foi bien protégée des diverses intempéries, et son entrée était bien cachée, si bien cachée en fait, que je n'ai jamais pu la retrouver par la suite. Quand je pris conscience d'où j'étais, je tentai alors de me rappeler qui j'étais, d'où je venais, et toutes autres questions auxquelles une personne saine peut répondre. Cependant, à mon grand désespoir, j'étais dans l'incapacité complète d'y répondre... J'avais perdu la mémoire. J'avais gardé toutes mes facultés..., comme le langage, la pensée, ou le fait de marcher, mais qui j'étais et pourquoi j'étais là, je ne pouvais le dire... Cependant, un sentiment extrêmement fort explosa quelques minutes après ce que j'appelle mon "réveil". Ce sentiment, c'était la faim, une faim horriblement présente. Toujours est-il que mon estomac me réclamait nourriture, et que dans ma caverne, il n'y avait rien pour le satisfaire - je n’ai pas voulu tenter d'avaler les silex que je trouvais là...

Je décidai donc de quitter ma caverne, une fois que j'en eus trouvé la sortie. Dehors, il n'y avait aucune trace d'être apparemment comme moi. En fait, c'est à ce moment là que je pris conscience de ce que j'étais. J'avais la peau rose, quoique assez foncée tout de même, peu de pilosité, hormis à certains endroits que vous devinez, et qui vous sont habituels. J'étais un humain, de grande taille, et d'épaules assez larges certes, avec une force physique assez impressionnante pour une personne non-entraînée. Peut-être avais-je été entraîné dans mon passé. Mais ces remarques, je ne pus les faire alors, n'ayant étrangement que peu l'habitude de mon physique. D'ailleurs, cette apparence, je ne compris alors pourquoi, me provoquait quelque répugnance. Mais ma faim me repris très vite, et je me mis en quête de nourriture. Un bosquet de petits arbustes se trouvait non loin de la caverne d'où je sortais, et, en m’approchant, je remarquai qu'il y avait là quelques petites boules rouges ou noires. Je les goûtais. Pas mauvaises, mais je sentais que j'avais besoin de plus, et que ces baies ne suffiraient jamais à combler l'appétit grandissant de mon ventre. Je me mis en quête de quelque chose, je ne savais quoi, mais qui allait certainement enfin me satisfaire. Enfin, au beau milieu d'un petit bois, paissant paisiblement dans une clairière doucement ensoleillée, j'aperçus un animal brun, avec de longues cornes. Mon instinct de chasse ne m'avait trompé, et cette bête allait finir dans mon ventre. Après quelques heures de traques, je parvins à saisir puis à abattre l'animal, à main nue, puisque je n'avais rien sur moi.

Mon estomac rassasié, je voulus trouver mes semblables, bien que ce corps ne me paraissait pas être le mien. Après maints jours d'errance, et quelques gibiers durement capturés, je tombais sur une créature qui m'était hostile, une créature ma foi pas très grande, d'une peau rouge, avec de grands yeux affamés, et un gourdin qui faisait bien sa taille. Malheureusement, ce fut elle qui me trouva plutôt que le contraire, et je dus fuir, à contrecœur. Dans ma fuite, je tombais sur ce que je cherchais : une trace de civilisation. Et pour cause, puisqu'il s'agissait d'une petite ville, assez grouillante de personnes qui avaient un physique assez semblable au mien. Et en prêtant attention, je m'aperçus que je comprenais leur langage, et que je le parlais couramment également. J'abandonnai alors l'idée que je n'étais point de cette race, et je choisis de m'intégrer à cette communauté, que ses habitants appelaient Lighthaven. A terre, je trouvai un petit couteau rouillé, je le pris donc comme moyen de défense, au cas où je retomberais sur cette être repoussant que j'avais croisé, qui était, je l'appris de passants, un gobelin.

Je m'aperçus rapidement que le monde où je me trouvais n'était pas réellement paisible, et je dus m'entraîner à me battre, maniant avec le temps des armes de plus en plus perfectionnées, et rencontrant de plus en plus d'êtres maléfiques, et d'animaux hostiles. Le gobelin qui m'avait pourchassé, je le rencontrai de nouveau. Et je crois que lui aussi me reconnut. Après une lutte acharnée, je le tuai, non sans être moi-même sérieusement touché. Je me mis alors à rêver que j'avais débarrassé une créature puissante, et que sa mort soulagerait de beaucoup le Havre de Lumière dans lequel je résidais, mais, peut-être quelques heures après ma victoire, je rencontrai ses semblables, qui étaient en nombre impressionnant. Je compris alors que, dans l'optique de servir à quelque chose dans la destruction de toute engeance maléfique de ce monde, je devais m'entraîner pendant longtemps encore. C'est ainsi qu'un jour, alors que je combattais des squelettes animés par je ne savais quelle force démoniaque, je ressentis de nouveau ce sentiment de non-appartenance à cette race qui m'avaient pourtant bien accueillit, et chez qui je m'étais fais des amis. En effet, j'avais quelques instincts naturels de chasse que je retrouvais chez peu de personne de cette race qui m'était en apparence semblable, et je me sentais quelque peu dans le corps d'un autre.

Un jour, en pleine chasse, je rencontrai un être étrange, qui ne m'était pas hostile, bien qu'il paraissait dénigrer les humains, et qui parlait le langage de Goldmoon d'une bien étrange façon. Il était un Troll, et malgré les rumeurs que j'avais entendues, particulièrement dans la ville de Windhowl, il n'avait rien de méchant, à moins, bien-sûr, de le provoquer. Et je m'aperçus que je comprenais sa langue natale aussi bien que la langue commune, et qu'elle me convenait parfaitement. Je restai une semaine entière chez lui, discutant et l'aidant à débarrasser la maison dans laquelle il vivait de rats. Il m'apprit beaucoup sur son espèce. Elle était apparue quelques temps avant la seconde prophétie de l'Haruspice, et vivait principalement de la chasse. C'est aussi l'époque à laquelle les humains apparurent. Ils étaient alors faibles, se terrant dans des grottes par peur de vruggules des steppes ou de plotouilles des marais, et se risquant parfois à sortir pour se nourrir de quelques feuilles, herbes ou baies, alors que les trolls gambadaient gaiement dans les plaines au milieu des pétaures laineux, et se nourrissant de viandes fraîches. La chasse était pour eux un vrai plaisir, et la bête était souvent traquée pendant des heures, voire des jours, avant d'être mise à mort. Les trolls aimaient bien les humains. Non-pas que leur chaire était particulièrement délicieuse, mais ils étaient tellement effrayés quand ils voyaient un troll, qu'en tuer un provoquait la terreur chez les hommes, et des fous-rires chez les trolls.

Le quatrième jour, il me dit ce qu'intérieurement je désirais. J'étais un troll... enfin, un demi-troll. Maman était une trolle toujours à la recherche de nouveauté, et papa, un paysan hardi. Mais j'avais été toujours considéré par mes parents maternels comme un troll à part entière. Et lui, Mhorgwloth, il était mon oncle, le frère de ma mère. En ce temps, je gambadais donc moi aussi parmi les pétaures, et c'était de cette époque d'où venaient mon instinct chasseur et mes facultés physiques hors-normes. Cependant, longtemps après ma naissance - car les trolls vivent très longtemps, si longtemps qu'aucun d'eux n'est jamais mort naturellement - l'Haruspice revint. Il devait juger les nains, qui étaient alors la puissance principale d'Althéa. Ceux-ci subirent un sort identique à celui des elfes, mais, dans le cataclysme provoqué, beaucoup de trolls périrent. Seuls quelques-uns furent sauvegardés de la mort. Quant à moi, il ne sait comment, je fus épargné, mais le cataclysme me changea en humain... Une vieille légende était racontée il y a bien longtemps sur un humain au tempérament troll qui devait venger ceux-ci mort d'une façon cruelle, et qui devait prendre part à la destruction du mal. Cette légende disait aussi que le peuple troll revivrait après que l'haruspice fut mort. Mhorgwlorth croyait que j'étais cet humain au tempérament troll. Enfin, le temps venait de le quitter. Il me donna comme dernier conseil de m'intégrer dans la communauté humaine, et il m'affirma que je trouverais des amis qui avaient un point commun avec les trolls, et avec qui je me sentais réellement bien.

Je continuai de m'entraîner, fier de savoir quelque chose de mon passé, et ma rage redoubla. Un jour, je rencontrai un humain étrange. Il était assez âgé, bien que l'âge semblait l'avoir grandit, arborait fièrement une robe rouge, et possédait maints talismans magiques. Il me parla d'une chose dont je ne m'étais que peu soucié : la religion. Il me parla des différents dieux qui régissent notre univers, les différents descendants d'Artherk. Lui était un adepte de Syl, fille d'Artherk et de la première Elfe. Elle était la déesse des Arcannes, et de tout ce qui à trait de prêt ou de loin aux différentes écoles de magies. Mais il me conseilla de ne pas suivre Syl, même si je devais la respecter. Son enseignement ne me conviendrait manifestement pas ; je devais trouver la voie que j'avais à suivre seul. A partir de ce jour, je décidai de vivre beaucoup plus en ville qu'auparavant, et, à ma grande surprise, les humains étaient intéressants, et pouvaient m'apporter beaucoup. Un jour, un groupe d'humain m'interpella. Ils s'étaient aperçus que je leur ressemblais, intérieurement je veux dire... Ils m'enseignèrent quelques trucs de chasse, étonnés qu'ils étaient par mon aptitude à cet art sacré. Il décidèrent alors, avec mon accord, de m'initier à leur culte : celui du dieu Brehan, maître de la chasse et de la guerre. C'était le culte qui m'était destiné, celui que je devais suivre comme me l'avais indiqué le vieil enchanteur.
Au fil des années, je m’intégrais de plus en plus à cette société et à ce culte, montant en grade dans le clergé même. Je rentrais également d’un une guilde, un ordre, l’Ordre de Camelot, plus par amitié pour un de ses fondateurs, du moins au début, que par conviction. Je me fis de nombreux amis. Mais un changement plus profond apparut chez moi. Je commençais à … à muter. Je grandissais, alors que je devais avoir fini ma croissance. Ma peau devint verdâtre et rocailleuse. Mes dents poussèrent, et s’aiguisèrent, telles les dents d’un loup. Mon langage commençait même à se dégrader (et je dois dire que j’ai du me reprendre à plusieurs fois avant d’écrire ce parchemin). Je devenais véritablement un troll.

Maintenant, je mesure près d’un mètre de plus que la plupart des humains. Mes mains sont capables de contenir la tête entière d’un orque. Mes dents peuvent traverser le cuir du skraug le plus solide. Je suis devins shaman, par l’enseignement de mon oncle. Et j’espère bientôt pouvoir venger mon peuple…




L'Histoire des Trolls

Les légendes trolles remontent au temps où les elfes avaient construit la plus formidable civilisation de tous les temps, malgré ce que pourront dire les nains, ou vous autres humains. Il n’existait alors qu’une petite tribu trolle, vivant de la chasse au pétaure, créature aujourd’hui disparue, sur l’actuelle île d’Arakas, articulée autour d’un Shaman, un chef spirituel qui pratiquait une magie rudimentaire basée sur l’herboristerie et quelques danses et rituels.

Après la disparition des elfes, la tribu trolle commença à grandir, une partie s’installant sur Raven’s Dust, et quelques conflits commencèrent à immerger. On raconte qu’un jour, un apprenti Shaman ambitieux tenta de défaire le Shaman en place, et qu’il fut chassé rapidement par le reste de la tribu. Cependant, il avait réussi à rassembler des partisans parmi les plus jeunes et les plus violents, et une quinzaine de trolls montèrent une seconde tribu sur Stoneheim, une île alors encore vierge de toute civilisation. A cette époque, les nains commençaient à peine à construire une civilisation consistante, en particulier dans les monts au nord d’Arakas - ils seraient à l’origine des nombreuses caves, grottes et mines de la région.

Le temps passa, les deux tribus grandissaient, l’une sur Arakas et Raven’s Dust, l’autre en autarcie sur Stoneheim. La tribu renégate possédait un unique Shaman. La tribu principale en possédait deux, un pour chaque île. Celui d’Arakas était traditionnellement le plus important, il était considéré comme le Grand Chef - car pour les "fidèles", comme ils se nommaient eux-mêmes, les "traîtres" n’avaient pas leur mot à dire. Les deux Shamans se voyaient lors de chaque pleine lune, afin de traiter des affaires de la tribu.

Une grande réunion était organisée (si on peut dire que quelque chose pouvait être organisé chez les trolls) tous les ans autour du cercle de pierre situé au-dessus de l’actuelle Windhowl, lors de l’équinoxe de printemps, et à laquelle tous les trolls étaient invités. Généralement, tous les chefs de famille parmi les fidèles étaient présents. Ce qui signifie qu’il y avait presque autant de trolls que de trolles - le chef de famille était celui qui tapait le plus fort. Ces réunions étaient prétextes à de grandes fêtes où la bière coulait à flot, pendant lesquelles on élisait le meilleur barde et le meilleur chasseur, et où l’on réglait les différents à coups de gourdin. Un autre grand événement pendant ces réunions était l’entrée dans la vie adulte des jeunes trolls méritants. La coutume était de leur faire prendre leur première vraie cuite, bien que la plupart avaient déjà goûté aux plaisirs de l’alcool dès l’âge de trois ans.

La vie allait ainsi gaiement, les journées variaient entre la chasse à l’antilope, la chasse à la femelle (ou au mâle, c’est selon), et la chasse aux humains (oui, vous étiez une heureuse distraction pour ma famille… Il paraît que vos aïeux étaient très imaginatifs dans leurs expressions de peur - mais la chasse ne se terminait que parfois par une mise à mort, et si la peur était réelle, le troll repartait en riant). Sur Stoneheim, les traîtres étaient devenus des tueurs féroces, et nul être sensé ne s’aventurait sur leur territoire.

C’est alors que ce qui devait arriver arriva : l’Haruspice revint pour accomplir sa prophétie, et les nains firent l’erreur de l’attaquer. Il envoya alors tous ses émissaires sur Althéa. Les trolls, fiers guerriers et défenseurs de la nature (mais pas druides pour autant !), ne purent que tenter de se battre. Mais les créatures de l’Haruspice étaient trop fortes, et les trolls n’étaient pas assez nombreux, et totalement désorganisés, la bataille tourna rapidement en déroute.

Sur Stoneheim, les traîtres subissaient les feux de Caern-Sidhe et Baazul. Le Shaman entama alors un rituel afin de mettre sa tribu dans un lieu à l’abri. Cependant, la création d’un portail demanda une telle dépense d’énergie que le Shaman décéda avant la fin du rituel, rendant celui-ci extrêmement instable. Les traîtres réussirent tout de même à le passer en dépit des lourdes pertes ; ils avaient découvert le passage vers les légendaires Iles Ethérées. Depuis cette époque, ils vivent cachés sous des ponts par peur de l’Haruspice, attaquant, pillant et tuant tout être sous-entraîné ayant le malheur de passer là.

Les fidèles, eux, affrontaient les autres envoyés de l’Haruspice. Les pertes furent extrêmement lourdes. Les deux Shamans alors en place se réunirent au Cercle : celui d’Arakas se nommait Mhorgwloth, celui de Raven’s Dust, Grott. Ils entamèrent un long rituel de plusieurs jours. A la fin du rituel, Mhorgwloth prophétisa qu’un jour, alors que l’Haruspice serait prêt à revenir, le fils d’un peau de glabre et d’une fidèle se réveillerait, et que, le jour du retour de la créature de cauchemar, il serait là pour représenter les trolls et se battre fièrement pour venger ses frères. Lorsque la prophétie fut dite, le ciel devint noir, l’obscurité la plus totale envahit Althéa.

Lorsque les deux Shamans se réveillèrent, le ciel était bleu, les oiseaux chantaient, les antilopes galopaient, mais il ne restait plus aucune trace de leurs frères, ni de l’importante civilisation que les nains avaient construite. Les créatures de l’Haruspice également n’étaient plus là. Et les deux Shamans avaient des séquelles du rituel : Grott était devenu fou, et Mhorgwloth avait perdu la majeure partie de ses pouvoirs. Ils n’étaient également plus affectés par l’âge, et semblaient presque immortels, incapables de réellement succomber aux attaques qu’ils subissaient.

Aujourd’hui, des signes avant-coureurs semblent montrer que l’Haruspice est sur le point de revenir. Aussi, le temps pour le peuple troll d’être vengé approche de jour en jour.

Par Felomes le 11/3/2002 à 11:29:14 (#1098930)

Glorifié du peuple qu'il a toujours défendu,
vilipendé par les fourbes, les révolutionnaires, et les ennemis du bien,
Felomes a toujours combattu pour les plus démunis, risquant sa vie maintes fois pour sauver qui des eaux, qui d'un coupe jarret, qui d'un haruspicien, une jeune fille, un enfant, un vieil homme.

Héros selon certains, homme détestable selon d'autres, Felomes a toujours été victime du mensonge de ses ennemis, qui lui ont valu souvent d'amères déboires.

Des rumeurs ont courru sur son compte, comme quoi il aurait espionné pour Caern-Sidhe, ce qui lui a valu d'être dénigré de tous. Felomes, n'ayant jamais cherché à jouir de la réputation héroïque qu'il mérite, est aujourd'hui consideré comme un homme mauvais.

Pourtant, les bardes encore aujourd'hui, chantent ses mérites, ceux d'un homme qui se voue corps et âme à la cause du bien, au combat contre les forces occultes d'Ogrimar, de l'Haruspice, et de tous ces maux qui menacent le monde et l'ordre établi.

C'est un soldat, certes, son sens du devoir le tient éloigné des magouilles de la pègre, toute puissante, mais il reste fidèle à ses engagements, et ne peut que dire à ceux qui l'accusent à tort de maux et l'humilient qu'il les aime, malgré tout, et fait la promesse devant Artherk de les aider malgré ces différends.

Par Meleri Bhey le 11/3/2002 à 12:57:37 (#1099433)

Elevée par mon père Kal Shin et ma mère Raphaelle ma vie n’a rien de bien extraordinaire.
J’ai eu une enfance merveilleuse aux côtés de mes parents et ma soeur Alésia.
Cependant, même si ma soeur s’est toujours montrée meilleure que moi, à l’époque je ne le remarquais pas.
Ce n’est que plus tard que je commencais à sentir la différence. Lorsque nous nous promenions ensemble elle et moi, c’était elle qui était toujours regardée, c’était elle qui avait toujours les félicitations à la fin d’une séance d’entrainement, ce fut elle qui fut abordée par Gardyl...
Là, je me rendis compte que je vivais dans son ombre, cela suffisait, cela ne pouvait durer plus longtemps...
Je pris à cet instant la décision la plus importante de ma vie, celle qui nous éloigna l’une de l’autre. Non je ne dis pas que nous nous détestons à présent, loin de là, mais nous ne sommes plus aussi proche l’une de l’autre qu’autrefois.
J’abandonnais donc la magie et décidais de me mettre à l’arc, domaine que ma soeur avait toujours refusé d’apprendre, et me mis à m’entrainer durement chaques jours. Je passais de moins en moins de temps avec ma soeur, pour finir par ne la croiser que lors des rares repas où je rentrais pour manger.
Mais cette séparation me fît le plus grand bien, je découvrais mon propre caractère, je ne plagiais plus celui de ma douce soeur.
Je la vit se marier et avoir des enfants alors que moi je passais mon temps à m’entrainer pour devenir plus forte qu’elle, mais cela ne suffisait pas, il me fallait à tout prix marquer la différence entre ma douce et gentille soeur et moi meme.
Voilà pourquoi à présent je porte ces ailes. Mais je pense que faire cette différence entre ma soeur et moi était obligatoire, si je n’avais pas eu le courage de le faire que serais-je devenue ?
Peut-être rien, juste l’ombre de ma soeur...

Par Alesia Bhey le 11/3/2002 à 13:00:35 (#1099455)

Pauvre orpheline que j'étais, heureuse fille retrouvée je suis devenue et enfin triste désillusionnée je suis, voici donc pour vous ma vie telle qu'elle fut et est à présent.
Séparée de mes parents par une triste nuit de tempête et de malheur, je me suis mise à errer cherchant, en vain, à retrouver la douceur et le confort des bras parentaux.
Mon histoire commence là bien mal me direz vous, mais attendez la suite et voyez comme le destin peut être cruel et empli de malheurs ainsi que de tristesse.
Un soir, affamée, errant en quête d’une nourriture capable de me revigorer et apaiser la longue faim agonisante de mon ventre, je me suis retrouvée face à face avec un géant, enfin, entendez moi bien c’était un géant pour les yeux de l'enfant que j'étais, il portait une splendide cotte de mailles, une masse pendait a sa ceinture et de petites bottes en peau de lézard. Ce géant vit tout de suite la peur qui se dessiner sur mon visage juvénile. Ne parlant que très peu notre langue il tenta à l aide de quelques mots appuyés par de doux grognements d’apaiser cette crainte qui me gagnait petit à petit telle une flamme consumant une brindille sèche. Il finit donc par sortir une miche de pain et se mettant à ma hauteur me la tendit, sur son visage, quelque peu difforme, je pouvais lire toute la tendresse et la pitié que je lui inspirait. Ne pouvant résister a l’appel de la faim je pris ce cadeau merveilleux et m’en nourris. Je me rappellerai toujours de son expression qui fut à ce moment celle d’un père regardant sa fille se nourrir avec ardeur. A la fin du succulent repas composé d une seule miche de pain, il me tendit la main, un peu plus confiante que je ne l‘étais auparavant, je la lui pris donc et le suivit jusqu’à une petite maison qui se trouvait être la sienne. Là il me prépara bain et lit afin de passer une nuit agréable.
Il peut être drôle de constater à quel point des choses aussi anodine qu’une miche de pain, un bain et une paillasse peuvent redonner sourire et bien être a une personne.
Le temps passa et je grandis, mon bienfaiteur m'élevait comme si j'étais sa fille, j'écoulais des jours heureux en sa compagnie. La pauvre petite a trouvé foyer et amour, douceur et tendresse pensez vous. En effet c’était le cas, mais peut être la suite de mon histoire vous effacera t elle ce sourire et cette pensée. Un jour lors de mon entraînement quotidien avec mon père, par procuration, ma lame m'échappa et me blessa la main.Ce n'était qu'une petite blessure, mais je pris conscience de l'étrange couleur de mon sang, en effet celui-ci était beaucoup plus dense et noir que celui des jeunes gens blessés que j'avais pu voir jusque là. Un homme passant à cet instant vit cet étrange liquide qui s'écoulait de ma blessure, je pu lire la surprise et la joie se former sur son visage. Puis il s’en alla d un pas haletant et rapide, le sourire aux lèvres.
Le lendemain nous reçûmes la visite d'un homme qui prétendait être mon père, nous avions du mal à le croire, ou plutôt ne voulions pas le croire car si cela s’avérait être vrai je devrai quitter mon ami de longue date afin de retrouver ma “vraie” famille si je puis dire. Mais il nous donna la preuve que nous redoutions, il sorti sa dague, se coupa la main, et là nous pûmes voir que son sang était noir comme le mien.
Il nous conta que la couleur du sang familial était du a un quelconque démon qui s avérait être son père. Je ne vous en dirai pas plus car cette histoire ne concerne en rien ce qui va suivre.
Je fis donc la connaissance de mon père, ma mère, ma soeur, oncles, tantes, cousins et cousines. Plus le temps passait, plus j’apprenais à les aimer.
Les années suivantes passèrent à une vitesse époustouflante et je devins donc une jeune femme attirant l’envie des jeunes hommes en quête d’amourettes.
Mais que nous dit elle, pensez vous, où donc sont passés la tristesse et le malheur dont elle nous parle tant ?
Ne vous inquiétez pas je ne suis qu’à la deuxième partie de mon récit le passage dont je vous avais parlé celui de ma vie où je suis devenue une heureuse fille retrouvée.
J'adoptais le culte Syl, retenez bien ce nom, car il est à l'origine de tout mon malheur. Oui, je sais c'est peut être triste à dire ou même à penser mais voyez comment une religion.. non excusez moi..comment les personnes prêchant cette religion peuvent détruirent et réduire a néant la vie de toute une famille, oui car ce n'est pas seul mon malheur que je vous conte mais aussi celui de ma famille. Ou en étais-je ?
Ah oui, donc comme je vous le disais j’étais devenue une jeune femme resplendissante et avais adopté la religion Sylienne après avoir découvert que Syl guidait mes pas sur les sentiers tortueux de la magie. Je fis la connaissance d'un jeune homme et nous découvrîmes une passion commune qui nous unissait. Cette passion, gentes dames et gentilshommes, elle se nomme amour. Nous nous sommes aimés quelques années et un beau jour, comme toute fleur, notre amour s'est épanoui et m'a demandé d'être son épouse. Heureuse, le coeur empli de bonheur, de joie, et d’impatience, j’annonçais cette bonne nouvelle à quiconque voulait l'entendre. Ma grande erreur fut d'inviter les Syliens afin qu'ils puissent partager mon bonheur, mais le soir de mon mariage certains se mirent à lancer de sombres paroles. Ils ne les lançaient pas seulement pour moi mais surtout pour mon mari et mon père. Ces viles paroles furent ensuite suivies par des menaces de mort qui prendraient effet à la fin de la cérémonie. Comme je les ai haïs, comme je les hais à présent, toutes ces paroles continuent a me tourmenter à ce jour, tant de cruauté, tant de méchanceté gratuite, des paroles aussi venimeuses que le venin du plus dangereux serpent d'Althea, aussi tranchantes que la lame la mieux aiguisée de ce monde et aussi froide et dénuées de sens que l’âme de jarko le nécromancien..
Plus la cérémonie avançait, plus ces paroles redoublaient de méchanceté, elles étaient aussi froides que la mort, nous enfonçant petit à petit dans de sombres pensées. Lorsque je fus enfin sa femme, nous sortîmes du cercle sacré afin de festoyer comme il était prévu, mais imaginez bien que pour cette fête la joie et la bonne humeur laisseront place à d’amères pensées.
Je regardais mon père et mon mari avancer vers notre demeure l'arme au poing craignant pour nos vies, mais bien sur, ces menaces n'avaient étés que des paroles en l'air tel un vent soufflant dans le désert. Comprenez maintenant, chers Syliens, que je ne veuille plus faire parti de votre culte mais sachez que Syl reste en mon coeur, je garde foi en elle, je sais qu'un jour Syl viendra à mon aide, et je sais aussi que ces personnes se font plus de mal à elles même car un jour ou l'autre on regrette le mal fait à autrui, pour cela je ne leur souhaite que bonne chance car leurs regrets ne pourront être qu'insoutenables. Depuis nous avons eu 2 beaux enfants, dont un est devenu Sylien....Asmodée... le cadet et Apophys l aîné qui lui préfère suivre la voie obscure de son père.
Sur ces paroles, je vous laisse méditer et puisse Syl pardonner à ceux qui font du mal..

*BG du Fiz*

Par Fizban le 11/3/2002 à 13:04:05 (#1099481)

Fizban


« Mais… que faites-vous ici ? Comment avez-vous… » demanda le mage vêtu de noir.
Mais il savait bien que c’était une question inutile… Les trois kenders qui avaient fait irruption dans son local secret allaient chacun lui donner une version différente des faits, tant et si bien qu’il finirait par avoir une sacré migraine. Par tous les diables ! Pourtant, son local se trouvait dans un endroit inaccessible à quiconque ignorait comment y entrer… Mais les kenders étaient pires que des rats, ils arrivaient partout, accompagnés d’une chance insolente et de mains agiles qui ramassaient tout ce qui…
« Hé ! Repose ce sablier là où il était ! Et toi, rends-moi la fiole que tu viens de faire disparaître dans ton sac… Où est ma boule de Cristal ? Qui d’entre vous l’a prise ? J’exige une réponse immédiate ! »
Les kenders se regardèrent les uns les autres avec des yeux ronds. Quand le mage noir comprit qu’ils se regardaient comme s’ils avaient à faire à un fou, il explosa de colère.
« Maudit soit votre Satané Dieu Fizban ! Rendez-moi mes objets ! » dit-il en se précipitant et en arrachant les sacoches de chacun.
« Vous connaissez Fizban ? Vous l’avez déjà vu ? Vous savez que moi aussi, je l’ai déjà rencontré… » commença un des kenders.
Le mage noir n’écoutait pas. Tout en grommelant, il sortit des sacoches sa fiole, sa boule de cristal, son sablier, ses bougies en os de dragon, trois parchemins magiques, son mouchoir, trois crânes de rats, et une bourse de poils de centaure.
« Oh ! C’était à vous ? Encore une chance que nous les ayons trouvés ! Imaginez ce qui serait arrivé si un voleur était passé par ici…
C’est vous, les voleurs ! Disparaissez de ma vue maintenant ! »
Les kenders se regardèrent, offusqués.
« Comment osez-vous nous traiter de voleurs ! C’est inadmissible ! Nous vous rendons service en mettant vos objets en sécurité, et pour tout remerciement, nous avons des insultes ! Enfin, je crois que c’est normal de votre part ! C’est pour ca que vous êtes dégarni ! Vos cheveux ne doivent pas avoir assez de substance en dessous pour pouvoir pousser ! »
Outre leur conception très particulière de la propriété, les kenders avaient une autre caractéristique : la maîtrise d’une ironie particulièrement mordante. Le mage noir rougit sous le coup. Tandis que les autres riaient de cette réplique bien sentie, un autre commençait déjà à prendre la relève, histoire de révéler à ce mage les ressources de la langue commune.
« Oui, ou alors tu as reçu un coup si fort sur la tête que tes cheveux ont été rentrés à l’intérieur et que cela a atrophié ce qui est sensé être dans ton crâne difforme ! Et ça, c’est quoi ? Ah ! C’est ton nez, j’ai cru que c’était une maladie ! Ta mère était bien une naine des ravins, n’est-ce pas ? Elle n’aurait pas fauté avec un orque il y a quelques années ? Ca expliquerait beaucoup de choses…
LA FERME !
Oh ! Ca y est ! Il est fâché ! Après tout, il renverse les rôles ! C’est nous qui sommes fâchés ! Alors ne faites pas votre mauvaise tête ! » dit le troisième kender en agitant un index sous son nez.
« Très bien, nous partons, de toute manière, ce n’est pas intéressant… Il ne sait même pas répliquer de façon ajustée. Il n’est pas doué pour les joutes verbales. Nous sommes arrivés chez un mage de bas niveau, voilà tout…
Attendez un instant… » dit le mage avant de se mordre les lèvres.
Il retenait les kenders car il lui manquait encore toute sorte de choses. Mais il aurait du sacrifier tout cela pour avoir la paix. Mais son honneur, sous le coup de l’insulte, l’avait fait parler plus vite qu’il n’aurait du…
« Soit, nous allons vous pardonner, puisque finalement, vous nous accordez l’hospitalité. Vous aviez parlé de Fizban, tout à l’heure… Savez-vous que mon Oncle Tasslehoff lui a sauvé la vie ?
Vraiment ? Oncle Tass a fait çà ? » demanda un des trois autres kenders en s’asseyant pour écouter la fabuleuse histoire qui allait suivre.
« Oui, je vais vous raconter toute l’histoire. » reprit le premier en s’asseyant lui aussi.
Le mage se sut condamné. Tout était fini pour lui. Il n’en réchapperait pas. Quelle cruelle fatalité s’était abattu sur lui pour que ces kenders aient fait irruption chez lui ? Fizban, alias Paladine, avait quitté Krynn il y avait maintenant bien longtemps… Le Dieu du Bien absolu n’était plus de ce monde. Qu’allait donc bien raconter ce maudit kender, avec sa langue pleine de poison et de mensonges ? Mais le mage noir se surprit à vouloir entendre l’histoire abracadabrante de la petite créature. Il s’assit sur le coin de la table en soupirant. Pendant la narration de l’histoire, au moins, les kenders ne feraient rien « tomber » de plus dans leur sac…
« C’était il y a bien longtemps, lors de la bataille contre le Chaos… Oncle Tasslehoff avait réussi à affaiblir le Père de Tout, grâce à sa cuiller à repousser les morts-vivants. Ce que personne ne savait, c’est qu’Oncle Tasslehoff était aussi un puissant magicien. Lui non plus ne le savait pas d’ailleurs, mais quand il brandit son puissant artefact, le Chaos a presque failli se transformer en beignet aux pommes… »
Le mage noir se prit la tête dans les mains. Un kender magicien. Un Dieu transformé en beignet aux pommes… Il savait qu’il n’aurait jamais dû écouter… Il regarda les autres kenders regarder le conteur, avec de grands yeux ébahis, poussant des « Oh ! » et des « Ah ! » aux divers passages de la ridicule histoire de la bataille de Tasslehoff Raclepieds contre le Chaos. Certes, ce kender avait été un Héros de la Guerre de la Lance, mais il n’avait accompli aucun exploit héroïque… Alors de là à dire qu’il avait vaincu le Chaos à lui tout seul…
« …alors, Oncle Tass déplaça son Cavalier et réussit à le mettre Echec et Mat ! Le Chaos dut ainsi tenir sa promesse ! Vaincu aux échecs par le Grand héros, il accepta de capituler et de quitter Krynn. Mais à la seule condition que les autres Dieux partent avec lui ! Oncle Tass accepta, mais il avait une idée derrière la tête ! Grâce à sa Cuiller à repousser les morts-vivants et grâce à sa puissante magie, il réussit à protéger une partie de Fizban, lui permettant ainsi de rester sur Krynn ! Maintenant, notre Dieu est encore avec nous, mais à l’intérieur de l’artefact ! Oh, attendez, je dois l’avoir ici, d’ailleurs… » dit-il en fouillant ses sacoches.
Après avoir fait un inventaire complet de ses sacoches en contemplant les objets qui en sortaient comme s’il les voyait pour la première fois, le kender du convenir qu’il n’avait plus l’artefact. Alors, un deuxième qui regardait aussi dans ses sacoches, en sortit la fameuse cuiller.
« Oh ! C’est toi qui l’as ! J’ai dû la faire tomber et tu l’as ramassée pour moi ! Merci !
Non, en fait, je ne me souviens pas de l’avoir ramassée…
Peut-être alors s’est-elle déplacée toute seule pour aller dans sa sacoche ! Après tout, c’est un puissant artefact, n’est-ce pas ? » railla le mage noir.
A son grand désarroi, les kenders le crurent sur parole ! Et ils regardèrent tous avec admiration celui que l’artefact avait choisi comme porteur ! Le mage noir s’affaissa sur la table. Décidément, quelle naïveté !
« Alors tu es l’Elu de Fizban ! Quelle chance tu as !
Vous… vous croyez ? J’en suis extrêmement honoré ! Si Oncle Tass pouvait me voir en ce moment… » dit-il en brandissant la petite cuiller devant lui.
« Par les Abysses ! Ce n’est rien d’autre qu’une stupide cuiller ! Aucune magie n’habite cet objet ! » cria le mage en arrachant l’objet des mains du kender et en le jetant au loin.
Alors, au même instant où la cuiller heurta le mur, une puissante lumière en jaillit, éblouissant tout le monde. Les kenders glapirent de joie en se tenant les yeux ouverts avec les doigts pour ne rien perdre du spectacle. Quand la lumière se dissipa, un vieillard vêtu d’une robe grise et d’un chapeau pointu à larges bords se tenait devant eux. A ses pieds, la cuiller gisait, brisée en deux. Le vieux mage regarda autour de lui, découvrant l’environnement qui l’entourait.
« Mais qui êtes vous ? » demanda le mage noir, abasourdi.
« Mais c’est Fizban ! Bien sûr ! » crièrent les kenders en chœur.
« Fizban ? C’est donc mon nom… » dit le vieillard à voix basse en se grattant sa longue barbe blanche.
Puis, surpris, il regarda l’étrange médaillon qu’il portait autour du cou. Il figurait un magnifique dragon de Platine. Le mage noir tomba par terre. Comment cela était-il possible ? Se pourrait-il que Fizban, ou bien Paladine, ai pu réchapper à l’ordre du Chaos ? Le vieillard regarda le mage noir et fronça les sourcils. Alors, son regard se fit dur et austère. Une voix retentit à l’intérieur du crâne du mage noir.
« Oui, je suis Fizban. Rien n’est impossible quand on a la Foi. Les kenders ont tellement cru à cette histoire qu’elle est devenue réelle, et qu’une partie de ma divinité s’est véritablement attachée à cette cuiller. Ce n’est qu’un fragment de Paladine qui se tient devant toi, mais c’est comme si j’étais de retour, terriblement affaibli… Il va me falloir tout réapprendre. La magie ne fonctionne plus comme avant. Toutes mes connaissances sont inutiles, je suis comme un nouveau né. Pourtant, je sais que ce monde n’est plus pour moi, et je n’y resterais pas très longtemps. Vous n’avez plus besoin de nous. L’Age des Mortels a commencé. Même si les Dragons ont pris le pouvoir pour l’instant, je sais que ce n’est que momentané. Vous autres, humains, possédez un pouvoir encore plus puissant que ceux des Dieux… Le pouvoir de l’Humanité peut vous faire faire des miracles… Et j’ai envie de connaître cela. C’est pourquoi je reviens en tant que Mortel. Mais il me faut un autre monde, un autre univers. Et c’est toi qui va m’aider à cela… J’ai besoin que tu m’envoie dans un autre monde, loin de Krynn. Et pour m’assurer ta gracieuse collaboration, nous allons rester ici, mes chers kenders et moi-même, jusqu’à ce que tu aies trouvé un moyen.
Mais, mais… mais… mais… » bégaya le mage noir.
Le vieillard reprit son air confus et regarda le mage comme s’il le voyait pour la première fois.
« Merci de nous accueillir chez toi, mon jeune ami. Je te remercie de ta gentillesse. Tu seras grandement récompensé, je le jure sur mon nom… Euh… Comment c’est déjà ? Fizdol ? Forban ? Fardeau ?
Fizban ! » répondit l’Elu kender d’une voix terriblement excitée.
« Ah oui, Fizban. Fizban… »
Plus aucun doute pour le mage noir. Il s’agissait bel et bien de Fizban. Et il était également certain qu’il était maudit par… Il ne savait qui, mais il était maudit, réellement maudit et poursuivi par la malchance ! La seule façon de se débarrasser des kenders serait d’envoyer loin de lui le vieillard. Et s’il échouait, il ne faisait aucun doute que le vieillard viendrait le hanter encore et encore jusqu’à ce qu’il réussisse. Très bien. Son destin était scellé ! Autant se mettre au travail tout de suite…

Après avoir passé plusieurs semaines à essayer d’envoyer Fizban et sa clique loin de lui, le mage noir n’avait toujours pas réussi malgré ses nombreuses tentatives. Non seulement il avait du mal à concentrer la nouvelle magie de Krynn, mais encore fallait-il qu’il retrouve ses composants de sort qui disparaissait toujours dans un endroit des plus incongrus. De plus, il tenait vraiment à réussir, car il en avait plus qu’assez de nourrir un vieillard paresseux qui polluait toute sa maison en fumant sa pipe d’où sortait non pas de la fumée, mais des bulles de savons qui explosaient en libérant des odeurs entêtantes. Un soir, alors qu’il sortait afin de respirer un peu d’air pur, le mage noir vit une étoile briller au loin, dans le ciel. Elle brillait d’un éclat si puissant qu’il lui semblait qu’elle prenait de l’ampleur, jusqu’à envahir le ciel. A moins que… qu’elle en se dirige droit sur lui.
« Par les Dieux ! » souffla-t-il, paralysé par la peur.
« Qu’y a-t-il, mon jeune ami ? » demanda Fizban en sortant.
Alors, il suivit son regard et vit une intense étoile argentée fuser sur lui. En réalité, il comprit qu’il s’agissait d’un puissant globe rempli de Magie qui consumerait aisément toute la partie de Krynn qu’elle toucherait. Le vieillard se jeta devant le jeune mage afin de le protéger, oubliant que lui-même n’était plus qu’un mortel. Le puissant orbe magique le frappa de plein fouet, le projetant dans les abîmes de l’inconscience.

Quand il parvint à se relever, le vieillard se trouvait dans des ténèbres insondables. Il voulut lancer un sort de lumière. Alors qu’il psalmodiait les dernières paroles du sort, il vit qu’il était en train de lancer une boule de feu ! Le sort de boule de feu qu’il oubliait tout le temps ! Un des sorts dont il n’arrivait jamais à se rappeler ! Et voilà qu’il l’utilisait pour faire de la lumière ! Hélas, la boule de feu disparu, engloutie par les ténèbres, ne lui permettant même pas de voir où il se trouvait… Soudain, une voix douce et puissante retentit.
« Alors, mon cher Fizban, tu souhaites donc connaître le pouvoir de l’Humanité ? Soit, je vais te permettre d’accéder à ce souhait… Mais saches que tu ne découvriras ce pouvoir qu’à travers les autres humains que tu rencontreras, et avec lesquels tu noueras des liens, que ce soient des liens de haine ou d’amitié. Car ce n’est pas seul que tu apprendras cet étrange pouvoir. Je vais t’envoyer sur un monde qui s’appelle Althéa. Là-bas, tu trouveras un puissant dragon du nom de Caern-Sidhe, et qui sème la terreur.
Caern-Sidhe ? Ce nom me dit quelque chose… Mais je n’arrive pas à mettre la main dessus…
Quoi qu’il en soit, l’équilibre de ce monde est en grand péril. Pour la faveur que je te fais, je ne te demanderais qu’une seule chose en échange. Sois un être humain. Un être humain, fasciné par les voies obscures, mais rassuré par les voies du bien. Tes choix affecteront l’équilibre précaire de ce monde. Oublie donc que tu as été un Dieu du Bien. Si tu agis en tant que tel, tu ne seras jamais capable de comprendre le pouvoir de l’Humanité. Vis donc cette vie d’humain. Risque ta vie pour des causes qui te tiennent à cœur. Choisis d’adorer ou non une divinité. Car tu es maintenant un humain. Et voici la preuve de ta mortalité ! »
Une magnifique gemme taillée apparut devant le vieillard. Une douce lueur pulsait à l’intérieur, au même rythme que les battements de cœur du vieux mage.
« Cette pierre est ta pierre de Destinée. Elle te sauvera la vie à plusieurs reprises, te rappelant que tu n’es pas un dieu, mais un être dont la vie ne tient qu’à un fil. Va maintenant, et tâche d’en apprendre un peu plus sur l’Haruspice. Envole-toi pour vivre la Quatrième Prophétie… »
Alors les ténèbres furent repoussés par un voile lumineux qui aveugla le vieux mage. Quand celui-ci rouvrit les yeux, il se trouvait au milieu d’un temple. Le temple de LightHaven… Il fut chaudement accueilli par une jeune prêtresse qui ne rougit pas devant la quasi-nudité du vieillard. Une fois qu’elle lui eut remis des vêtements et quelques pièces d’or, le vieillard sortit du temple. Le visage baigné par la douce chaleur du soleil, Fizban ferma les yeux afin d’apprécier ses premières sensations humaines sur ce monde. Oui, il connaîtrait le pouvoir de l’Humanité… Mais il ne savait pas encore qu’il découvrirait bien d’autres merveilles...

Fiz..
PS: un merci à Dalamar

Par Nizza de Vald le 11/3/2002 à 18:12:02 (#1101227)

*donne un grand coup de pied a ce post pour qu'il remonte, c'est quand meme deplorable de le voir descendre...*
*fellicite tout ceux qui ont eu la volonté, le courage et le temps de rediger leur bg ;) *
C'est l'occasion de poser ici vos histoires, le backbround de votre pesonnage, on va pas vous obliger non plus, mais ca peut aider les plus jeunes a comprendre ce qu'est le RP, la creation, la vie, la mort d'un personnage. Ceux qui se sentent bien au dela de tout ca, qu'il ne parlent plus de rp. Merci.

Nizza, ennervé de voir des posts utiles sombrer dans l'anonymat

bg de Seph

Par TheSeph-irot le 12/3/2002 à 22:58:40 (#1108733)

Né d’une brumeuse nuit d’hiver, je vis la lumière du jour au travers d’innombrables arbres, lassés de voir retomber sur leurs branches de la neige. Neige sur qui je reposait… Je devais avoir 2 ans, pas plus… Je me souviens de ces mystérieux bruits faisant vivre cette forêt, je ne savais d’ou ils venaient, tantôt des cris, tantôt des craquements… A l’âge ou je me trouvais indisposé à survivre au beau milieu de ce lugubre lieu je ne me rendis point compte. La peur alors ne pouvait m’emparer. Je ne savais qui m’avait mis au monde, recueillit, déposé sur cet amas de neige fraîche. Je ne savais rien…
Une lueur éblouissante me fit ouvrir les yeux à nouveau. Se tenant devant moi, 2 silhouettes, la première, à ma gauche celle qui s’illuminait le plus bien que contradictoire était sombre, son regard me fructifiait et me parla… Une dizaine de minutes plus tard, elle disparut, laissant place à l’autre silhouette qui elle, d’un vif mouvement s’empara de moi. Un frisson, une douleur me persécuta quelques secondes. Le sommeil m’oppressa alors, je tombais rapidement dans les bras de la Morphée peu de temps après cette…entrevue…
A mon réveil, un homme adossé au mur me regardait… Melgoth était son nom. Ma jeunesse se déroula à ses côtés. J’acquis de l’expérience à ses côtés. Mes combats furent effectués à ses côtés. C’était comme un père. Je ne me voilais pas la face, je savais que mes origines étaient brouillées… Qu’inéluctablement la trace de mes origines resterait à jamais enterrée. Comment savoir qui m’avait mis au monde ? Aucune solution possible mais je m’attachais peu à peu à cet homme, à ce père dirais-je…
[…]
Sa disparition m’affecta terriblement, ou était t-il ? Aurait t-il disparu en considérant mes capacités suffisantes pour survivre ? Je préfère penser à ça que de songer à sa probable mort, mystérieuse du fait qu’il ne me disait rien et que je ne su rien… Je grandis seul donc, trouvant refuge dans une autre famille : la CdS, on m’accueillait avec la plus grande hospitalité, je me retrouva alors parmi ces rangs très bien encadrés… C’est ainsi que ce termine cette mémoire, que mon passé ne s’oublie pas je préfère garder au secret ce manuscrit.

*Le cache au fond d’un arbre rongé par la vieillesse*

10 ans plus tard…

Une chose me réveilla au beau milieu de la nuit, douleur atroce, la silhouette s’étant emparé de moi lors de ma jeunesse s’extirpe avec difficulté de mon corps. J’eus alors un flash… L’arbre !
Je m’empressait alors, sous cette nuit pesante de retrouver le dit arbre. Toujours présent, toujours aussi imposant mais de plus en plus rongé par le temps, j’aperçu et m’approchait de ce monstre de bois. Je glissa mon bras à travers, j’en ressort alors un papier qui lui aussi à eu difficultés à surmonter les années passées.
Je m’assied.
Après lecture attentive je me rends compte de ce qui m’avait réveillé n’était autre qu’une âme de bien et… de mal qui elle, ne tardera pas à s’emparer de moi comme l’a fait le bon côté depuis ces nombreuses années…
Levant la tête au ciel je songe alors à mon futur proche qui lui, sera mené par une âme tourmenté, remplie d’amertume et de revanche… Souvenez vous de cette histoire, son épilogue resurgira… Garde à vous habitants d’Althéa je ne sais quand cette âme s’emparera de moi mais lorsque ce sera le cas, empruntez un autre chemin, ne croisez pas le mien…

Seph-irot

Histoire de Melissa

Par Melissa de Vald le 13/3/2002 à 13:37:06 (#1110821)

Une nuit sombre tombait sur Lh …
Des pleurs, un cri déchirant la nuit, voilà comment commençait la vie de ces 2 enfants , une mère morte , un père absent , un début de vie bien difficile Au fond du sous sols du temple, des enfants reccueillent de nouveaux arrivants : un garçon et une fille...
On les nomme Melissa et Lasco Pour subsister , ils apprirent jeunes à voler car mendier dans les rues ne suffisait pas à nourrir leur tribu …
La vie était difficile mais plein d’ aventures Un jour que Melissa se promenait dans la forêt , elle fut encerclée par une horde de brigand voulant lui voler le seul bien qu’ elle possédait : une chevalière .
Elle se débattit mais malgré ses efforts ils prirent le dessus .
Quand soudain une masse de rochers tua tous ses assaillant et une ombre apparut devant elle quand la poussière retomba …
Son sauveur Il était jeune et beau, son cœur frémit à sa vue … A ce jour ils ne se quittèrent plus Knucks épousa Melissa peu de temps après .Il la sauva des malheurs de la rue …
De cet amour naquirent deux filles Eska et Deftys .
Melissa devint disciple de la déesse Syl et travailla durement pour devenir une grande pretresse et pouvoir la servir .
Un jour qu’ elle venait se ravitaillait en potion à Stonecrest , elle remarqua un homme qui la fixait .
Elle fut gênée par ce regard insistant ne sachant que penser .Elle alla vers lui pour lui parler et savoir ce qu’ il voulait .
Cet homme s’ appelait Killou de Vald il lui prit la main et regarda sa chevalière. Son visage s’ assombrit ,il la sera contre lui.
Elle se recula
Melissa : « Messire qui êtes vous pour oser un tel geste ? »
Killou : « Mon enfant je suis ton père »
Il l’ emmena aux alentours de la ville et ils parlèrent longuement Melissa avait desormais un nom : De Vald.
Peu de temps après le malheur croisa à nouveau son chemin , son aimé mouru
Elle décida de se battre pour le bonheur de ses filles et ne voulant dépendre de personne, s’ en alla sur Sh pour trouver de l’ argent


Et encore merci a Nabu :amour:

je sais pas où j'ai trouvé le courage mais bon :D

Par Elunil le 13/3/2002 à 14:45:06 (#1111142)

L'histoire se passa en début de soirée, à l'intérieur d'une chaumière de la bourgade de LightHaven. Une chaumière simple, comme on en retrouve des centaines dans ce petit village. Deux pièces, une cheminée lançant des eclairs de feu dans la pièce principale.
Dans la chambre d'à côté, on pouvait entendre les cris de douleur d'une femme.
Puis le silence survint pendant quelques secondes. Et d'autres cris, plus aigus retentirent: Elunil etait né,garçon normal sans signe disctinctif mis à part de grand yeux bleus-gris. La seule particularité preovient de sa pierre de destinée : elle était fissurée et à regarder de plus près, il paraissait y avoir une alvéole à l'intérieur.
Son père etait resté dans la pièce d'à coté, son éternelle bouteille près de lui,affalé sur la table. Il ne broncha même pas...
Sa mère s'est donc chargé seule de son éducation. Etant une fervante adepte de Syl, l'eductation de l'enfant ne pouvait que se tourner de ce côté. Et c'est tout naturellement que celui-ci s'est tourné vers cette grande déesse.
Très tôt, dû au climat houleux de la maison, des certitudes se sont imposées à lui.
Il ne boirait jamais, et eviterait ces lieux où la tentation peut être grande.
Il ferait de son mieux pour aider les gens et surtout la gente féminine, qui peut être très vulnérable aux violences conjugales.
Et de peur qu'il ne commete cet acte odieux, il passa sa jeunesse très solitaire, toujours à combattre contre les invasions, et ne cherchant jamais le réconfort auprès d'une moitié, bien qu'il ressentit ce vide souvent dans ces voyages.
Un jour, alors qu'il était en train de combattre au fond d'une grotte, il rencontra et sympathisa avec un séraphin d'Artherk.
Ils discutèrent longtemps, et c'est à ce moment là qu'Elunil commença à s'intéresser au père de celle qu'il a toujours vénérée. La menace de la liche décrite par ce chevalier resta gravé en lui. Et il décida alors de preter allégeance au père, tout en gardant à l'esprit que seule Syl conservait une place dans son coeur et dans son esprit.
Et maintenant, sa vie continue, cheminant parmi les territoires de Stoneheim, en recherche d'ingrédients pour pouvoir accomplir son but, combattre Makrsh P'tangh.

Sans perdre de vue qu'il est là pour servir sa déesse.

Monéta... pour ceux qui ne connaissent pas son histoire

Par Moneta le 13/3/2002 à 15:21:35 (#1111321)

Le cercle de Syl à LightHaven.

Un rituel se déroule... la cible : Kallista.


Une maison/atelier de peinture quelquepart dans WindHowl... 9 mois plus tard.

Un cri s'élève de la chambre de Kallista.

Evelys tient dans ses mains un tout petit être frissonnant et pleurant.

Alors qu'elle s'affaire à envelopper ce "petit ange" d'un linge chaud, la nouvelle maman ferme les yeux, livide... sa respiration s'arraîtant soudain.

Un brouillard d'images et de bruits puis de nouveau le son de la respiration de Kallista.
Enfin le doux et chaud contact de sa peau contre ma joue et ses main caressant ma petite tête.


Des années à visiter les plans avec ses mères et sa soeur "jumelle" : Archanda, grandissant beaucoup plus vite que les enfants d'Althéa.

Enfin l'adolecence. Finit les voyages interplanaires.
Je découvre enfin le royaume de Goldmoon.

Y approfondit mes connaissance des arcannes magiques.

Y rencontre mon premier intense et douloureux amour : Faerya.
Puis celle qui fait battre mon coeur : Anda.

C'est le matin d'un départ, alors que je venais de finir mes bagages, que je partis me promener dans les montagnes non loins de WindHowl.
La contemplation intensive de l'horizon, les sons appaisants firent que je m'endormis... et fis un rêve, me semble t il à ce moment.

Je révais que Syl, ce ne pouvait être qu'elle, le visage voilé de magie, irradiant la puissance brute de la mana originelle et maitrisée... Je révais donc que Syl me prenait dans ses bras, m'appelant "mon enfant", et me fit don d'ailes, qui à l'instar des seraphins, m'identifierai comme étant son Ange-Mana.
Mais nulle explication, nul plan ne me fut donné, il en était ainsi et je découvrirai les détails en temps et en heure.


Voila pour mon histoire... Je me rend compte qu'elle peut paraitre confuse à vos yeux, mais il en est a peu pres de même pour moi.

Histoire de Kaïtal Ylis (Splotch) inscrite dans les Registres Royaux

Par Kaïtal Ylis le 13/3/2002 à 16:32:40 (#1111780)

Race : Humaine
Yeux : Noir-verts
Taille : 1m81
Age : 34 ans au moment de l'édition de ce parchemin
Cheveux : Bruns
Poids : 84 kgs
Etat civil : Mariage (Artherk)

Description :
Kaïtal est relativement grand et musclé.
De loin, ses yeux paraissent d'un étrange noir profond, typique des habitants de lïle d'Angélus, mais de plus près on remarque quelques reflets verts.
Ses cheveux bruns sont régulièrement coupés courts et il est toujours bien rasé.
Il est généralement habillé de sa fidèle armure de plaque océane, mais il porte parfois d'humble vêtements de simple cuir, ou une robe blanche de clerc lorsqu'il officie.
Il porte à la main droite une Etoile de l'Aube et à la main gauche généralement un bouclier arborant les couleurs de Windhowl, sa cité préférée.


Historique de la vie passée de Kaïtal Ylis alias Splotch :

Kaïtal Ylis est né sur l'île d'Angélus, un royaume éloigné, anciennement en guerre ouverte contre Goldmoon.
Son père, Ardeonic Ylis, était un noble angélien, amiral de la flotte royale, ce qui ne l'empêchait pas de prier Bréhan et d'être assez cultivé.
Sa mère, Anaelle Ylis, brodait magnifiquement bien, lorsqu'elle ne composait pas quelques odes en jouant de la lyre, au clair de la Lune de sa déesse Sélène.
Il passa son enfance, partagé entre l'excitation que provoquaient chez lui les récits de guerre de son père, toujours loyal a la couronne d'Angélus, et l'apaisement de la douce musique jouée par sa mère.

Un beau jour de printemps, Ardeonic décida que son fils alors âgé de 15 ans devait devenir un homme. Il était chargé d'une mission très importante : transporter une troupe d'orques en Goldmoon, un royaume ennemi à l'Angélus, puis simplement revenir, sans se soucier de ce qui se passait pour les orques. Ceux-ci étaient esclaves et servaient de troupes de combat. Ardeonic amena son fils avec lui, puis après avoir embrassé Anaelle, ils voguèrent en compagnie de quelques marins et des dizaines d'orques enfermés dans la cale.

Après quelques dizaines de jour de voyage, pas loin d'arriver en Goldmoon, le vigile installé en haut du mat principal indiqua une terre à proximité. Mais l'Amiral Ylis ne vit pas mention de cet îlot dans ses cartes maritimes. Les marins avaient envie de s'y dégourdir un peu les jambes, et Ardeonic voulait faire un petit plan de l'île afin de la faire répertorier par le Cartographe Royal d'Angélus. Il fut donc décidé d'accoster sur l'îlot et d'y passer la nuit.

Un petit groupe de marins menés par l'Amiral partirent en exploration, armés de simples épées. Kaïtal, inquiet, suivait son père de près. Ils firent d'abord un tour de l'île par la plage, et aperçurent quelques morceaux de planche de bois pourri, provenant sans doutes d'un navire naufragé. Mais pas de trace de vie intelligente ni de cadavre. Ils s'enfoncèrent alors vers l'intérieur de l'île. Elle fourmillait principalement d'oiseaux de toutes les couleurs. Puis ils virent une petite grotte autour de laquelle il n'y avait étrangement pas de végétation, alors qu'elle était luxuriante tout autour. Il allumèrent une torche puis entrèrent dans la caverne un par un, tant l'entrée était mince. Elle n'était pas bien profonde, au bout d'une dizaine de mètres ils conclurent qu'elle était vide ...
Mais alors qu'ils se retournèrent afin de sortir, une forme verdatre tomba du plafond sur le marin le plus proche de la sortie. Elle était informe, c'était une sorte de chair à moitié liquide et à moitié solide, de couleur verte opaque. La masse recouvra entièrement le pauvre marin qui hurla une seconde, puis qui se tut. La chose le brûlait et le rongeait à vue d'oeil, et il ne resta bientôt plus de lui que ses vêtements et ses armes, intactes.Puis la bestiole s'étala de tout son long, mesurant près de deux mètres de diamètre et bouchant la sortie. Deux hommes l'attaquèrent, mais leur arme sembla inefficace, elle la traversait sans lui causer de dommage. Elle s'approcha en coulant rapidement vers les marins, et dès qu'ils furent en contact avec elle, ils furent rongés par son incroyable acidité. Une atroce odeur de chair brûlée emplit la grotte. Ardeonic pria son dieu, Bréhan, puis dit à Kaïtal de rester bien derrière lui. Celui-ci était terrorisé et lui obéit. Un marin tenta de sauter au dessus de la créature verte, mais son saut fut trop court, et il retomba sur elle, puis s'écrasa contre le mur, les pieds brûlés. La créature se déplaça vers lui afin de le finir, ce qui laissa un espace aux autres pour s'enfuir. Tous les marins s'élançèrent alors vers la sortie. La masse verte lança alors un court tentacule qui blessa tous les marins en même temps. Ils s'effondrèrent tous sur le sol et rampèrent dehors. Ils furent rattrapés, et rongés par la terrible créature.
Il ne restait plus que l'Amiral Ylis et son fils. Ardeonic demanda à son fils d'attendre qu'il y ait la voie libre, puis de courir au bateau et d'ordonner le départ aussitôt. Puis il courra et sauta au-dessus de la flaque acide, mais il fut blessé par le tentacule. Il continua tout de même en boitant, poursuivit par la créature.
Kaïtal était toujours au fond de la grotte. Il entendit son père crier. Il attendit quelques minutes, tremblant de peur, s'attendant à voir arriver la chose. Mais rien ne vint. Il s'élança alors vers la sortie. Il découvrit dehors son père, seul, saignant et à motié brûlé. Son fils le prit dans ses bras, se tachant de rouge. Mais Ardeonic était déjà mort.
Après avoir adressé une prière à Bréhan, Kaïtal laissa le cadavre de son père et s'enfuit en direction du bateau, ne voulant pas voir la créature revenir. Il ordonna le départ, et le navire repartit en hâte. La nuit était tombée. Le second de l'Amiral était resté sur le bateau, et continua la route vers Goldmoon qui n'était plus très loin.
Durant la nuit, la tempête se leva. Tout à coup, les cris des orques alertèrent tout l'équipage. La créature s'était infiltrée dans le navire, et massacrait tous les orques impuissants. Il ne lui fallu pas longtemps pour prendre au piège tous les marins au fond de la cale. Elle n'avait pas de pitié, elle avançait inéxorablement, grillant la chair, rongeant les os à une vitesse incroyable.
Il ne restait plus que Kaïtal. Alors qu'il priait pour sa sauvegarde, le monstre s'arrêta devant lui, et se mit à changer son aspect. Il devenait de plus en plus transparent. Il devint de plus en plus gazeux et s'évapora enfin. La brûme verdatre se mit à tournoyer autour de Kaïtal, puis s'infiltra en lui par ses narines.
Kaïtal perdi alors connaissance. La créature avait fait un avec lui. Elle avait mis l'esprit de l'humain en retrait, et manipulait son corps. La mémoire de Kaïtal se dissipa, il ne se rappellait de plus rien quant à son passé. Elle avait besoin de ce corps, parce qu'elle voulait se déplacer librement en sa nouvelle terre : Goldmoon. Mais l'esprit de Kaïtal luttait contre l'esprit de la créature infiltrée dans son corps. Elle ne contrôlait pas le corps à sa guise, elle influençait uniquement ses idées, ses envies.

Kaïtal se réveilla sur une plage au nord de Lighthaven. Il y avait quelques débris du navire naufragé. Ne se souvenant de rien, il pris quelques torches et une dague rouillée qu'il trouva dans les débris, puis partit vers le sud. Il découvrit une ville, Lighthaven, et se réfugia au temple. La prêtresse Moonrock lui demanda son nom, et il fut forcé par l'esprit de la créature à répondre son nom à elle : Splotch.
C'est ainsi qu'on l'appella depuis. Il se comportait bizarrement, il était quelqu'un d'original. Comme tous les angéliens, il avait les yeux très sombres, mais lorsqu'on s'approchait de lui, la noirceur laissait place à des éclats verts. Il protégeait les larves comme Zorglub. Mais l'esprit de Kaïtal, aidé par sa foi en Bréhan, luttait toujours pour empêcher son mauvais esprit de provoquer des actions maléfiques.

Plusieurs années plus tard, il s'attacha à une demoiselle... et l'amour lui permit de combattre l'esprit de la créature malfaisante. Quelques jours après, il pourfenda Zorglub, acte contraire à la volonté de la créature en lui, ce qui força son esprit à passer en second plan, et permit à l'esprit de Kaïtal de revenir au contrôle total de son corps. Mais les souvenirs de son passé ne revinrent pas.

Le temps passa. Kaïtal, toujours nommé Splotch par tout le monde, tomba amoureux de Mabelle, et un beau jour ils décidèrent de se marier. C'est alors qu'il voulu retrouver des traces de son passé, pour elle et pour leur futurs enfants. Il se rendit au lieu du nauvrage, et trouva des morceaux d'épave sous la mer, à quelques brasses de la côte. Il plongea et au bout de plusieurs heures d'efforts, il retrouva une plaque de métal sur laquelle était gravée le nom du bateau : le Boréal. Il se rendit à l'arsenal de SilverSky, et on lui renseigna que le bateau venait d'Angélus.
Il partit alors à bord d'un navire iagonite, un des rares qui font encore du commerce avec l'Angélus. Arrivé là-bas, il demanda des informations au sujet d'un navire nommé le "Boréal" qui aurait disparu plusieurs années auparavant. On lui donna le nom du célèbre Amiral Ardeonic Ylis, et l'adresse de sa veuve.
Elle vivait dans une très riche demeure de la splendide capitale Eden. Splotch restait discret et parlait peu, les gens le regardant d'un air méfiant, et préféra demander audience par lettre à celle qui pourrait peut-être lui dévoiler une partie de l'histoire du Boréal.
Il fut reçu par Anaelle Ylis, celle-ci reconnu tout de suite Splotch comme étant son fils. Il lui exposa l'histoire de sa vie, puis elle lui raconta tout son passé, et c'est avec émotion que les souvenirs de Kaïtal revinrent petit à petit. Mais sa vie était en Goldmoon à présent, et celle de sa mère Anaelle en Angélus. Ils se quittèrent donc quelques jours après, Kaïtal ayant fait la promesse de revenir régulièrement pour voir sa mère, et prier sur la tombe de son père. Et il retourna à Windhowl.

Par Horn Demon le 13/3/2002 à 17:03:58 (#1111938)

/Aelfwin je trouve pas.

Par Rochel Anor le 13/3/2002 à 18:35:49 (#1112477)

Moi je vous propose d'adopter le site des personnalités de Tunare plutot que de faire un post persistant.

http://membres.lycos.fr/dicot4c/