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Poèmes .... (premier pas)

Par Mordom-Crystal le 10/3/2002 à 0:34:26 (#1091382)

Bah voila mes poème je ne suis pas sur qu'il soi bien dies moi q'y il son bien ou pas, hein *regard du coé des barde et de Walkyrie *sourir*

"Face à Face"

Ils etaient là , les yeux dans les yeux
Animés par on ne sait quel feu
Comme si leur yeux eussent été des dards
Ils s'affrontaient tous deux du regard
L'un c'etait tourné face au soleil
Qui begnait dans un ocean vermail
L'autre se tenait face à la lune
Qui se levait derriere les dunes
Ecoutant le mouvement d'une riviere
Sur le ruisseau afi nque le temps passe
Les yeux sages plongés dans les yeux verts
Ils se tenaient la face à face.




Apres tant et tant de fatigue
Espoir d'un sommeil d'enfant
Un repos enfin meilleur
Apres tous les sommeils noirs
Un bon repos nous invite
Ce soir à la fraicheur des draps
La blancheur de l'oreiller
A l'abandon de la nuit
Au bonheur de s'endormir
Le coeur déjà lie
Le coeur déjà delie
L'âme déjà allégé
Misérable dépaysé
Par le bonheur d aller dormir.



Par guerrier j'entend tout homme se battant pour ses idées
Aime le guerrier, déteste la guerre
Pour certains
Ces paroles sont erronées
Pour d'autres
Ces paroles sont la raison de vivre qui les habite
Et enfin
Pour les amis
Ce sont...
La raison d'aimer
Oui, car ces paroles sont clairs
Elles sont ce qui font ce que le guerrier est
Le guerriers est la chose la plus brave et honorable qui soit
Car il donne sa vie
Au service des autres
Pour un monde meilleur
Pour ses idéaux
Mais certains malheuresement
Ne le comprennent pas
Et c'est ce qui sera leur perte.




"Un homme dans le brouillard"
"Un vivant parmis les morts"
"Pointant son regard hagard"
"sur l'ombre qui le dévore"
"Pas à pas il avance lentement"
"Cherchant dans cette forêt damnée"
"Un long chemin inexistant"
"un chemin vers la liberté"
"Emprisonné dans la terreur"
"son coeur s'est refermé"
"ne demeure en lui que douleur"
"Qu'il voudrait tant repousser"
"larmes d'impuissance et de rage"
"roulent lentement sur son visage"
"un cri muet aux bords des lèvres"
"le Mal ne lui accordera donc jamais de trêves ?"
{Artherk tend ta main vers moi}
{Aide-moi a sortir de l'effroi}
"d'espoir il n'a plus la moindre once"
"Sa prière reste sans réponse"
"Alors dans un gemissement sourd"
"Il se laisse tomber, se disant qu'un jour"
"Quelqu'un retrouvera son corps inerte"
"Et pleurera peut-être sa perte"
"Un halo de lumière vive et blanche"
"Déferle soudain sur lui, telle une avanlanche"
"L'homme ne peut en croire ses yeux"
"Une créature, mi-humaine, mi-dieu"
"Se tient devant lui, lui tendant la main"
{Je t'ai entendu} "lui dit le Séraphin"
{Suis-moi et j'effacerais ton malheur}
{Je vais te conduire vers un monde meilleur}
"Sa main glisse dans celle de la créature"
"qui d'un simple geste détruit ces murs"
"de ceux qui l'ont longtemps emprisonné"
"Enfin un nouvel espoir est né"
"Les arbres maléfiques lentement ploient"
"dans un léger bruissement, leur montrent la voie"
{Allons-y}" murmure le Séraphin"
{Au bout du tunnel t'attend ton destin}
"Et sous le soleil illuminant cet endroit malfaisant"
"L'homme et l'ange lentement s'éloignent du néant"
"Maissant derrière eux un lieu maléfique"
"Un lieu qui n'avait plus rien de magique..."



Je peux empêcher les Séraphins de voler
La pluie de tomber
Le vent de Souffler
Le monde de tourner
Mais jamais je ne pourrais empêcher mon coeur de t'aimer.




J'aime tes yeux
Mais je préfère
Les miens
Car sans les miens
Je ne pourrai voir
Les tiens.



Il n'y avait plus âme qui vive
Tourmente s'était lentement éloignée
Le calme, doux et entêtant, venait de retomber
Un homme marchait doucement dans la plaine
Regardant de ces yeux le résultat de cette haine
Mille corps déchiquetés, dispercés çà et là
Pourquoi les dieux en étaient-ils arrivé là ?
Son soupir s'échappa de sa gorge
La guerre, la mort, son caractère se forge
Levant la tete il contemple le ciel
D'un bleu sombre piqueté d'étincelles
La nuit venait s'abattre sur les âmes
tourmentés pas ces combats de flammes
Son esprit ne sait plus que penser
Il est si simple pourtant de s'aimer
De la paix, la couleur n'aura jamais brillé
Ici s'étend la mort, la fatalité
Une guerre immuable que personne ne peut controler
Un instant si court mais si meurtrier
Il ferme les yeux, s'efforçant de penser sainement
Le calme règne à nouveau, mais pour combien de temps ?
La paix, mot futile, que tout le monde espère
Peut-être qu'un jour elle sera que la terre
Peut-être qu'un jour elle sera sur la terre
Mais dans l'esprit encore bafoué des hommes
Le mal coule à flot, leurs dieux les abandonnent
Alors la paix, viendra-t-elle un jour ?
Peut-on espérer un monde d'amour ?
L'homme ne le sait guère et se refuse à le savoir
Car de paix il n'y a qu'infime espoir
Lentement, sans que personne ne puisse le voir
Il se détourne du massacre et s'enfonce dans le noir...




Solitaire,
Je suis solitare,
Quel est ce néant autour de moi,
Est ce lui qui me conduit au trépas.
Non... ce n'est pas ça,
Moi... damné pour mes idées,
Moi... damné pour l'éternité,
J'aime la lumière,
Lumière Ô! Lumière,
Parvint à moi,
Et de ton feu brûle moi.
...
Non... c'est un rêve,
Oui... un rêve,
Car là où je suis,
Jamais la lumière je ne vis.
Seul mon feu intérieur me soutient,
...
Oui... le voila qui s'éteint,
Après le froid, la faim,
Enfin...
Lumière Ô! Lumière,
Je te vois, je m'élève au-delà de toi,
Damnés, Condamnés,
Dominés, Opprimés
Justicier et points chassés,
Pour tous ce moment,
Apporte la liberté...




Le passé douloureux aux batailles sanglantes
Se terminent aujourd'hui en amitié naissante
Les centaures, fiers guerriers,
Ont déposés les armes
Les humains décidés
A faire taire les larmes
Une alliance se crée par de là les ages
Qui ne tient qu'aux parole d'tres bons, d'etres sages
Par dela les ténèbres infimes qu'à provoquer la guerre
Qu'il est bon la nuit de croire en la lumière.



Et voilà un de mes plus beau:




Et de l'amitié naquit l'amour,

Toi seul sait trouver les mots
Qui apaiseront tous mes sanglots
Lorsque mon coeur tremble de froid
Un manteau tu me fais de tes bras
Lorsque mes pas sont hésitants
De ta présence tu chasses les tourments
Lorsque souffle l'ouragan
A l'abri de ton âme tu me prends
Lorsque mille mots briseront mon coeur
Tes douces paroles calmeront ma douleur
Dans ces nouveaux chemins
Tu me guideras de ta main
Cette amitié qui nous lie
Demeurera toute la vie
Pourtant je sens qu'un jour prochain
Quelque chose changera notre destin
Car de cette longue complicité
Un nouvt doux, cet émoi
Ami, notre amitié se meurt
Mais union de deux etres demeure
L'Amour désormais nous unit
Main dans la main nous serons pour la vie.


Et les autres :


"Hommage à la vie"

C'est beau d'avoir élu,
Domicile vivant
Et de loger le temps,
Dans un coeur continu
Et d'avoir vu ses mains
Se poser sur le monde
Comme sur une pomme
Dans un petit jardin
D'avoir aimé la terre
La lune et le soleil
Comme des familiers
Qui n'ont pas leur pareils
Et d'avoir confié
Le monde à sa mémoire
Comme un clair cavalier
A sa monture noire
D'avoir donné le visage
A ces mots: femmes et enfants
Et servi de rivage
A d'errants continents
Et d'avoir atteint l'âme
A petit coup de rame
Pour ne pas l'éfaroucher
D'une brusque approchée
C'est beau d'avoir connu
L'ombre sous les feuillages
Et d'avoir senti l'âge
Ramper sur les corps nus
Accompagné la peine
Du sang noir dans les veines
Et doré son silence
De l'étoile patience
Et d'avoir tous ces mots
Qui bougent dans la tête
De choisir les moins beaux
Pour leur faire un peu fête
D'avoir senti la vie
Hative et mal aimée
De l'avoir enfermé
Dans cette poésie.



"Tempête"

Ouragan, déchaîne-toi
Ciel, déchire-moi
Pluie, inonde-moi
Ruisseau, gonfle-toi
Roule, tempête, gronde
De par ta colère tu troubles l'onde
Du vent qui violemment ronfle
Faisant éclater mille rondes
Oeil de colère
Sur ce sol de misère
Larme de grêle tu lacères
Hurlant, tu sèmes l'Enfer
Que les cieux obscurcis
Détruisent le Paradis
Tremble terre
Tu te sépares et te libères
Laisse s'enfuir au loin
Les rayons du soleil qui s'éteint
L'orage roule et se déchaine
Zèbre le ciel de ses éclairs
Telle une immense vague de haine
Foudroie le sol, foudroie la mer
Rageuse vague, enroule-toi
Sur les coques, brises-toi
Mur d'écume ébranle
Sriste ponton qui tremble
Sous tes assauts répétés
Jusqu'à fendre et briser
Une lueur dans le ciel
Déchirure qui réveille
D'un sursaut, l'astre qui sommeille
Myriades d'étincelles
Irréelles et tremblantes
Chasse tempête
Ecourtant l'attente
Faisant rire les coeurs et lever les tetes
Ô quiétude retrouvée
Ouragan dérouté
Court répit
Dans le ciel de nos vies
Goûtons avec avidité
A cet instant inégalé...



Ton coeur est un rosier dans lequel je me suis piquée
De mon doigt du sang a coulé
De mon coeur un pétale est tombé
Ton coeur est un brasier dans lequel je me suis brulée
De mon coeur une braise s'est envolée
Ton coeur est un véritable acier
Avec lequel j'ai fusionné
De mon coeur une goutte de fer a coulée
De mon coeur une goutte de cuivre a coulée
De mon amour pour toi ,une goutte d'or s'est forgée



"Ode aux elfes"

Elfe, peuple des fées
Elfe, peuple damné
Ou est donc passée ta volupté ?
...
Simples, magnifiques et sacrés
Ces êtres dansent dans l'infinité
Beaux, animés de légèreté
Les elfes dansent et tout le monde se tait
...
Forts, agiles et aux cheveux argentés
Les fées volent dans des songes étoilés
Yeux de feu, yeux bleutés
Les elfes chantent et tout le monde est capturé
...
D'or, de jade et de sombres beautés
Tel sont leurs villes, leurs étonnantes cités
Nature séduite et alliée
Les elfes vivent dans un temps arrêté
...
Beaux, parfaits... jugés
Le verdict sombre tombe tel un couperet
Joyaux, danses, fêtes... balayés
Les elfes aimés deviennent damnés
Ames libérées et éternellement torturées
Les elfes meurent
Le monde pleure
Légendes deviennent vestiges du passé
Et perdues dans les récits...
De la seconde prophétie...




"Poeme a un ange"

Me voilà maintenant sur les chemins de terre
Chantant des louanges
A ce divin ange
Qui par ces temps de guerre
A pu réveiller en moi une inspiration lunaire
...
Ô ange !
Ange ni d'ébène ni de nacre serti
Ange juste, fier et surtout ami
Plus que d'amour pour toi
Mon cÂœur est rempli
...
Toi qui sans peur
Guéri mes peines de cœur
Toi ange aux ailes grises
Ton rire me caresse tel la brise
...
Ange, Ô séraphin
Mon âme chavire lorsque main dans la main
Mon esprit s'élève et touche le tien
Tes yeux se fondent dans les miens
Mon corps ne sent plus que les caresses de tes mains
Peur , pleurs et lassitude
Toutes fuient face à ton attitude
Souriant...
Volant au firmament
Mon ange ami sans être amant
Rêve avec moi oubliant le présent.



"L'étreinte maléfique"

Son coeur s'était refermé lentement
Sans le voir, il avançait vers le néant
Son regard levé vers les cieux
Silencieusement il implorait les dieux
A ses yeux, Artherk l'avait abandonné
Aujourd'hui il n'était plus qu'une âme damnée
Condamné, pour le restant de sa vie, à errer
Dans cet endroit sordide et glacial
Un monde maudit à la frontière du Mal
Mi-humain, mi-démon il était devenu
Son coeur, sa foi, son âme, il avait perdu
Victime d'une guerre qui n'était pas la sienne
Il s'était promis de survivre quoiqu'il advienne
Mais l'Ombre, cruelle et perdide, en avait décidé autrement
Par un acte diabolique, ce noble chevalier elle prit dans ses rangs
Se battre, l'homme savait que c'était inutile
Son espoir de revenir dans la lumière était si futile
Le néant désormais lui ouvre les bras
Et le conduira sur ce chemin qui, parfois
Amène les hommes à commettre l'irréparable
Ce que seul le Mal est capable
Son sang, doucement, devint noir
Son âme, si pure, appartient maintenant à Ogrimar...



Dans ces deux perles dorées
Cette étincelle est née
Celle qui, mon coeur, fait chavirer
Petite braise d'amour et d'amitié
Sur ma peau ta douce main
Efface tous les matins chagrins
Et lorsque le goùt de tes baisers
Se déposent sur mes lèvres, tu me sens frissonner
Dans tes bras je souhaite être pour l'éternité
L'amour, tu m'a appris et m'a émerveillé
Long sera notre chemin
Car les dieux on décidé de notre destin
Axel Vaylor je t'aime pour la vie
Ce sont les étoiles qui nous unis
Et lorsque le monde sera mort
Je te promet que je t'aimerais encore
Peut-être même si fort
Que rien ni personne ne saura détruire
Ce qui, par mon amour, doit vivre
De ces quelques mots je te prouve mon amour
Celui qui restera dans mon coeur, jusqu'à la fin de mes jours.



Encore un jour où je t'attend
Où je m'accrois et me decouvre
Au gré de l'hote intermitant
Et des portes qui ferment et ouvrent
Le temps en moi, passe le temps
Encore un jour encore un ciel
Vole un oiseau qui ne sait pas
L'aveugle absence et le noir miel
Qui se murit ici bas
Encore un jour et son soleil
La mer se dechire à l'avant
Mais à l'arriere l'ecume veille
Et recoud vite l'ocean
Un jour perdu joie qui s'envole
Et qui s'en va s'en rien donner
Où est le nord sur ma boussole
Compte sur tes doigt les années
Il faudrait convenir d'un sifgne
Il faudrait convenir d'un signe
Pour s'appeler de vie à mort
Un mot de passe entre les lignes
Un file lancé de bord à bord
Il faudrait le dire à voix basse
Et tu serais entre mes bras
Ma bien loingtaine et ma tant lasse
Ma tres absente et toujours là
Combien de temps nous faudra t'ils ?
Pour retrouver nos instants perdus
Comme un parfum qui se faufile
Si j'ouvre un livre deja lu
Vent qui me joue, vent desolant
Partageons nous notre mort
Ainsi du lit et des draps blancs.


Et voilà fini *espère que vous orès la force detous lir:D *
Vous me diriez
Se que vous avez
Aimés
Et je les garderai
Vous me direz
Aussi se que vous avez
Pas aimez
Et je les eliminerai
Pour fair un receuile
Où vous jeterai un coup d'oeuil
Ceci serons claser par ordre
exemple poème d'amour ... etc

Et merci :merci:

Par Dayel le 10/3/2002 à 0:59:10 (#1091466)

Un poeme n'est jamais mal dit du moment qu'il est dit avec le coeur !

Par Brianos le 10/3/2002 à 12:09:47 (#1092747)

Joli mais la longueur peut en rebuter certains...découpe en plusieurs morceaux la prochaine fois! ;)

Par Aubiwan le 10/3/2002 à 12:11:45 (#1092759)

*approuve Brianos*

Mais c' est quand même très bien!

Par King Nerkata le 10/3/2002 à 12:12:24 (#1092767)

Rohlala, ça y est j'ai finit de les lire ....

bribri a raison, essayes de les séparer la prochaine fois ....

mais sinon ils sont très beaux!

ijij

Par Mordom-Crystal le 10/3/2002 à 12:40:24 (#1092989)

ihih, désolé tous le monde mais les modos vont pas me dir de n'e fair qu'un message ?Si non j'y tiendrais conte pour la prochaine fois

Par Walkyrie Amazon le 10/3/2002 à 12:42:09 (#1093005)

Oui ils sont bien, mais certain sont un peu désagreable a lire a cause de leurs formes (ex: ton troisieme poeme).

Puis pour les autres, si vous trouvez ca trop long, allez voir les 79 poemes d'Aerandis ds son post... :D Moi je trouve ca pas tres long ;) mais c'est un tres bon debut

Mordom, un petit conseil: Continue !!! Et quand t'en aura fait pas mal, ouvre un recueil.

La quantité, c'est pas mal, mais neglige pas la qualité pour autant ;)

Par Aërandis le 10/3/2002 à 12:58:18 (#1093133)

"Ode aux elfes"


Toi je t'aime bien. :D Sinon, comme tout le monde, la prochaine fois poste les en plusieurs message, et puis pense à mettre un peu de ponctuation.

Puis pour les autres, si vous trouvez ca trop long, allez voir les 79 poemes d'Aerandis ds son post...


Sa veut dire quoi sa Walky ? :doute:

Par Walkyrie Amazon le 10/3/2002 à 13:02:57 (#1093169)

Sa veut dire quoi sa Walky ?

Ce que ca veut dire? Ben que tes poemes sont tres beaux mais il y en a bcp et la plupart abandonne la lecture a la deuxieme page mais moi, j'ai "presque" tout lue :D (j'ai buttée a la page 8)

Le prend pas mal....excuse moi :( (puis j'aurais fait de la pub pour ton post :) )

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