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Ma tendre Dolce

Par Shetan_Averam le 8/3/2002 à 23:37:51 (#1086683)

A son Reveil , Shetan pu s'apercevoir que Dolce etait serré tout contre lui . un sourire se dessina sur son visage qui parraissai etonnament serain . Il lui carressa les cheveux en la contemplant sans se lasser . Il avait encore un rendez vous vous secret l'obligeant a la laisser . il aurai preferé la contempler encore ou meme la reveiller afin de voir se dessiner un sourire sur son visage rechauffant son coeur comme elle savai si bien les faire puis l'emmener se ballader sur les magnifiques sentier de Raven's Dust . Seulement il avai des obligations ....
Il se leva en prenant soin de pas la reveiller , la couvra de couverture afin qu'elle ne prenne pas froid et se mit a ecrire :

Il faut oublier
Tout peut s'oublier
Qui s'enfuit déjà
Oublier le temps
Des malentendus
Et le temps perdu
A savoir comment
Oublier ces heures
Qui tuaient parfois
A coups de pourquoi
Le coeur du bonheur

Moi je t'offrirai
Des perles de pluie
Venues de pays
Où il ne pleut pas
Je creuserai la terre
Jusqu'après ma mort
Pour couvrir ton corps
D'or et de lumière
Je ferai un domaine
Où l'amour sera roi
Où l'amour sera loi
Où tu seras reine

Je t'inventerai
Des mots insensés
Que tu comprendras
Je te parlerai
De ces amants-là
Qui ont vu deux fois
Leurs coeurs s'embraser
Je te raconterai
L'histoire de ce roi
Mort de n'avoir pas
Pu te rencontrer

On a vu souvent
Rejaillir le feu
De l'ancien volcan
Qu'on croyait trop vieux
Il est paraît-il
Des terres brûlées
Donnant plus de blé
Qu'un meilleur avril
Et quand vient le soir
Pour qu'un ciel flamboie
Le rouge et le noir
Ne s'épousent-ils pas

Ne me quitte pas
Je ne vais plus pleurer
Je ne vais plus parler
Je me cacherai là
A te regarder
Danser et sourire
Et à t'écouter
Chanter et puis rire
Laisse-moi devenir
L'ombre de ton ombre
L'ombre de ta main
L'ombre de ton chien

J'ai du partir mais je reviendrai au plus vite. n'oublie jmais que je t'aime .

Affectueusement
Shetan

Il pliat la lettre et la mit dans son gantelet. Il embrassa Dolce sur son front puis descendit a l'auberge. Il remit la lettre a l'aubergiste avec ordre de la mettre avec le petit dejeuner de sa douce. Il but encore une biere puis partit.

Par Dolce Agonia le 9/3/2002 à 12:03:48 (#1087398)

Elle se trouvait là, endormie et sereine, souriant dans son sommeil, reine parmi les reines. Cette nuit là avait changé sa vie, plus jamais elle ne serait vraiment seule. Elle se trouvait là, endormie et sereine, plus rien ne pouvant l'éveiller, et cela lui aurait fait grand peine. Il partit sans mot dire, sans bruit, il voulait le meilleur pour elle. Elle se trouvait là, endormie et sereine, mais s'éveilla les draps froid à la place qui était la sienne. Elle se dit qu'il devait avoir été appellé, quel homme occupé!! mais ayant toujours trouvé pour elle une place privilégiée.

Elle parti de là, loin de la chaleur de son lit, enfilant une douce nuisette pour aller déjeuner. L'aubergiste l'acceuillit d'un sourire qu'elle lui rendit, complice d'un bonheur que tous ignorent sauf eux. Elle s'asseya à sa table, petit déjeuner servit, et lut la lettre qui s'y trouvait aussi avant de manger. Comme cela lui ouvrit l'appétit!! Et dans sa tête elle se répetait: il m'aime. Petit déjeuner terminé, elle se vêtit tout de blanc et lui demanda par missive de bien vouloir la rejoindre au plus vite pour profiter de cette journée si ensoleillée. Elle y avait ajouté ces quelques mots et ce poême:

Ce matin, j'ai rêvé de toi... du regard de tes yeux qui m'amenaient vers les cieux. Tout etait parfait, de la forme de tes lèvres à leur le goût du miel et ta main possédait la douceur du satin.

Le ciel était d'un bleu azur, la couleur que j'aime tant... près de nous il y avait des mouettes et des cormorans. Nous sommes partis tous les deux sur un petit bateau: tu étais le capitaine, moi, le matelot.

Vers une île sans nom nous naviguions, enlacés tendrement. La mer était belle et bleue, calme sous les cieux... C'était ton île à toi... Si belle à mes yeux. Seuls au monde, sur l'île de bonheur, heureux, amoureux, nous étions... Câlins du matin, ivresse du soir, folies de la nuit, extase continue... Ton île était si belle que j'y serais resté pour la vie... Mais le brouillard a tout emporté, Ce n'était qu'une illusion... Ce n'était qu'un rêve...

Marchant sous une mauvaise étoile
Ma vie aurait pû n'etre que pleurs
Cris et râles
Si tu n'y avais ajouté une lueur

Fini le désespoir, la haine, le mal
Tu viens mettre un peu de velour
Sur moi et tout autour
Tu vois je ne suis plus aussi pâle.

Je t'aime mon amour, rejoins-moi vite à la fin de ce jour.




Savez-vous que le bonheur a un goût?
Savez-vous que l'amour révolutionne tout?
Elle ne le savait pas et de ses surprises elle n'est pas au bout.
L'amour fait mal, l'amour est doux, l'amour rend fou..

Ah, l'amour...

Par Shandril Crey le 10/3/2002 à 20:50:12 (#1096694)

Shandril avait croisé ses amis Dolce et Shetan à maintes reprises ces dernières semaines, et elle avait remarqué de grands changements dans leurs attitudes. Ce rayonnement, ce regard pétillant, seule une grande passion amoureuse pouvait les provoquer...

Elle décida de leur envoyer une petite missive.

Ma chère Dolce, mon cher Shetan, je vois que l'amour a fait son travail et qu'il vous a rendus heureux, je tenais à vous dire que cela me réjouit au plus haut point.

J'espère vous voir un peu dans les jours prochains, peut-être pourrions nous dîner ensemble si l'envie vous en prend. N'hésitez pas à me contacter, cela me ferait un immense plaisir.

Amicalement, Shandril

Elle plia la lettre et chargea un coursier de la déposer à l'auberge où logeait Dolce depuis quelques temps.


Provient du message de Dolce Agonia
Savez-vous que le bonheur a un goût?
Savez-vous que l'amour révolutionne tout?
Elle ne le savait pas et de ses surprises elle n'est pas au bout.
L'amour fait mal, l'amour est doux, l'amour rend fou..


Voilà des mots qui résonnaient encore dans l'esprit de Shandril, elle qui avait tant souffert depuis sa rupture avec Kal... Mais une rencontre venait de bouleverser sa vie et son coeur, ballayant ses larmes, et brisant ses tabous

A toi qui as su soulager mon coeur, et qui a su y faire revenir le bonheur, je tenais à te dire : je t'aime...

Un sourire se dessina sur son visage rayonnant. Elle repartit chasser quelques monstres errants, le coeur en joie.

Par Ioreth de Sylph le 10/3/2002 à 21:10:13 (#1096816)

Ioreth, qui n'en finissait plus de ses voyages sur les trois îles, avait croisé et observé à mainte reprise la jeune seraphine Shandril Crey s'entrainer sur Raven's Dust. Il y remarqua sur son visage un sourire discret mais n'osa point lui demander d'où il venait... Aurait-elle trouvé l'amour ? Peut être.. mais qui ? .. Ioreth, toujours aussi curieux que le jour de sa naissance, resta perplex à cette idée... tout en se demandant qui pouvait-être cet homme...

Par Shetan_Averam le 11/3/2002 à 3:52:51 (#1097841)

Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Shetan embrumait Silversky. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Il traversa les rue, et bizarrement sourit au pretre qui le regardait d'un oeil morne. Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte.
Il n'avait pas abaissé la poignée que la porte s'ouvrit.
- J'ai pensé à toi toute la journée!
Dolce se tenait là, devant lui. Sa bouche angelique se fondait en une sorte de croissant de lune mielleux, et ses yeux brillaient comme deux étoiles.
- Tu viens? Dit-elle.
Shetan la suivit jusque dans sa chambre
- Assieds-toi, fit Dolce.
Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise. Puis il fixa Shetan. Celle-ci était debout près de lui. Lui tremblait d'émotion. Elle, ne disait rien. Il se leva, s'approcha d'elle.
- Dolce...
Elle détourna la tête.
- Dolce, répéta-t-il.
Alors elle le regarda. Au moment où leurs regards se croisaient, leurs lèvres se touchèrent.
- Euh... bredouilla Shetan.
Mais les mots ne venaient pas... alors Dolce passa sa main derrière la nuque de son ami, et l'embrassa. Cela dura une éternité. C'était la première fois qu'ils ressentaient une telle émotion, et ils ne s'arrêtaient plus.
Puis lorsque les premières étoiles scintillèrent dans leurs yeux épuisés, leurs lèvres se quittèrent. Comme deux plongeurs en apnée, ils reprirent leur souffle en même temps que leurs émotions.
Ils se regardèrent. Shetan approcha sa bouche de l'oreille de Dolce et chuchota:
- Je t'aime...
Bien sûr, il lui avait déjà dit qu'il l'aimait. Bien sûr, il lui avait dit des milliers de fois. Mais ce sentiment était toujours le même. Il voulut le lui dire.
- Cela fait déjà plusieurs semaines... plusieurs semaines que nous nous sommes vus... plusieurs semaines que la foudre m'a frappé... et bien que j'aie eu d'autres aventures avant de te connaître, je t'aime cent fois plus que toutes les autres femmes réunies.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Dolce.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus merveilleuse que je n'ai jamais connue! La plus merveilleuse de tout Althéa! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si humble...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce loup, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Shetan, tu as beaucoup de qualités...
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Dolce pour saisir le bras de Shetan et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau d'un grand peintre, ou comme la musique d'un talentueux barde. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Shetan ferma les yeux et eut l'impression de contempler en haut d'un chene. Et soudain tout s'arrêta. Il s'evanouit et tomba a meme le sol d'un bruissement qui fit sursauter Dolce . Il s'etait battu il y a quelques heures et avait recu un coup d'epée l'ayant transpercé l'epaule . il avait de la fievre et se mettait a transpirer a grosse goutte ...

(a toi la suiteuh blblblblblblblb :ange: )

Par Dolce Agonia le 11/3/2002 à 14:28:08 (#1100069)

Il était venu, elle l'attendait sans vraiment se faire de soucis, elle savait qu'il allait venir. L'amour la comblait, elle le lui donnait tout entier, sans demi-mesures, elle voulait qu'il ressente la même joie qu'elle. Mais cette fois-ci quelque chose n'allait pas.

Son amour pour lui devait l'aveugler, elle n'avait pas vu qu'il saignait, elle n'avait pas vu la douleur sur son visage, son souffle qui parvenait tant bien que mal à atteindre ses poumons. Il était tombé parterre, à moitié inconscient, il avait chaud, il disait avoir froid, elle était perdue.

Elle lui dit à l'oreille de garder ses forces, de se reposer, qu'elle allait chercher de l'aide. Sur ce elle courru à la taverne et alla en avertir le tavernier.

- Je ne sais pas quoi faire l'aubergiste, prépare de l'eau propre et des serviettes, aide le a se débarasser de ses vêtements et panse quelque peu ses blessures. Prends ca et fais lui une infusion de ces plantes, ce sont celles qu'un druide m'avait donné lorsque le mal m'étreignait. Je reviens au plus vite, je vais chercher du secours, fais vite et qu'il ne lui arrive rien avant mon retour ou tu écoperas de toute ma haine.

Sans mot dire il fit ce qu'elle lui avait demandé, demandant à une force qu'il croyait supérieure (le pauvre n'était plus croyant depuis bien longtemps) esperant que Shetan reste en vie le temps qu'elle revienne. Pendant ce temps Dolce avait déjà enfilé sa cape, avait mis son capuchon et ses sandalettes et courrait déjà en direction du village druidique de Raven's Dust.

Elle arriva là-bas à bout de souffle, la tête lui tournait tellement que près du petit puis elle s'effondra quelques minute, reprenant son souffle. Elle se releva avec difficulté et alla toquer à une première porte qui malheureusement ne s'ouvrit pas. Elle vit une seconde chaumière et toqua violement à le porte en hurlant à la bonté de ses habitants. La porte s'ouvrit tranquilement et un homme se présenta au pas de la porte. Voyant l'état de Dolce il la prit par le bras puis la fit s'asseoir sur une chaise près du feu.

- Non non Monsieur, je vous en prie je n'ai pas le temps de me reposer, mon tendre aimé, mon Shetan est gravement blessé, il est mourrant, délirant à la taverne de Silver Sky. Venez à notre aide je vous en prie, seul vous pouvez le guerir, vous savez quoi faire. Si c'est de l'or que vous voulez vous en aurez mais par pitié aidez moi...

Elle s'effrondra en larmes à genoux devant lui, et l'homme la voyant dans un tel état lui promit de l'aider au mieux qu'il pût.

- Dites-moi ce qu'il a, que j'emporte avec moi les remèdes nécessaires. Et surtout, calmez-vous Madame.. je vous aiderai si vous v ous calmez

- Il est gravement blessé Monsieur.. un coup d'épée.. mortellement lui fût infligé.. dans l'épaule.. le pauvre délire fièvreux, je n'ai sû comment intervenir, aidez-moi..


L'homme prit quelques plantes dans des récipients, des bandages ainsi qu'un grimoire et lui demanda si elle était assez forte pour invoquer le sort de retour à son sanctuaire. Elle acquiesca et le vit partir dans un grand bruit. Elle invoqua le sort qui la fit disparaitre à son tour loin du village druide et se retrouva étendue devant le frère Giamas, qui l'étendit sur un des bancs du temple de SilverSky. La pauvre s'était évanouie..


(à ton tour ;))

aie aie aie aie !!!! (:p)

Par Shetan_Averam le 12/3/2002 à 21:54:58 (#1108282)

Shetan etait sur le lit en train de legerement divagué malgré une legere vague de claireté :
- Oula la mon dieu , j'ai l'impression de plus sentir mes jambes ... l'idée de quitter les miens peu a peu me hante... ou suis-je ? entre la vie et la mort... purin Seigneur ... je n'ai pas envie de mourir ... mon ancienne femme porte la vie... et de cette vie j'aimerai encore voir un ptit sourire... mes paupieres sont de plus en plus lourdes.. a cette instant precis .. j'aimerai faire tout ce que je n'ai jamais pu faire... j'aimerai entendre une voix me dire papa et une autre papy ... je pense a tout mes amis et surtout a ma Dolce que je cherie ... j'ai l'impression d'entendre la voie de celui ki ma mis dans cette etat.. comme un homme fier je retourné a la terre.. ma mort sera bete oui mais quand meme.. mon sang coule mais mon coeur ne peut se vider... une lame pour les larmes et le reste au passés... et bien c'est bizarre.. je sens une drole d'odeur.. sa doit etre l'odeur de Dolce que j'avais senti hier.. si tu m'entend cherie.. ne te sens surtout pas coupable.. ma dettresse ne peut etre senti et surtout pas palpable ... car chacun a son destin qui mene a son courroux.. c'est un peu comme l'aveugle qui a l'impression de voir flou ... si tu va vite .. tu rattrape le malheur ... et si tu va lentement.. c'est le malheur qui te rattrape.. jamais de la vie je n'aurai imaginé que ma vie ... sera ainsi finie.. le vent tourne .... mais la peur reste et et devient statique.. si je crains pour ma vie.. ce n'est rien comparé a ce que je laisse maintenant que c'est fini... maintenant la haine que j'avai est démodé.. comment leur dire que maintenant j'aimerai construire une vie... mainetant me voila.. moi je suis las... gisant sur ce lit comme une jeune proie ... maintenant laissez moi partir en paix... mais je reste une victime de la mort ... comme un homme fort.. abattu comme un porc.. pourquoi doit 'on toujours s'entretuer ? pour la haine... couler le sang c'est rarement la dissimuler.. du boulot en plus pour les croque mort.. d'un simple coup d'epée.. il arrive que meme l'erreur parfois se trompe... on peut etre un heros ... sans etre marqué du sceau de l'assassin... la haine est un condiment que l'on devrai eviter de manger a sa faim... je ferai partie de ceux qui sont parti prématuremment... pourquoi la vengeance et la forme la plus sur de la justice ?... le vice cache toujours une vertue mal placé..

pendant que Shetan continuait ces paroles melé de mort et d'amour, Dolce venait de reprendre ses esprits et avec le druide , ils partirent en direction de l'auberge de Silversky. une fois qu'ils arriverent dans la chambre... c'etait l'horreur... une mare de sang se trouvait sur le lit et sa continuait de couler.. Shetan gisait sur ce lit teinté de "rouge" ... quasiment sans vie...

(a toi la suite :D euh jve pas mourir alors trouve une solution ! et tout de suite !! :D :)

Par Dolce Agonia le 12/3/2002 à 22:37:59 (#1108586)

Horreur, voici le seul mot qui sû trouver le chemin vers sa bouche. Il divagait, ses paroles étaient floues, incohérentes à ses oreilles et surtout désespérées...

Elle décida d'accompagner le druide dans ses actions, lui passant bandages, onguents et plantes à sa demande. Le druide mit quelque poudre dans l'eau des bandages de Shetan en invoquant on ne sait quelle force mystique. Shetan, à l'application des bandages, hurla de douleur et s'évanouit à son tour. Dolce pleurait sans cesse, elle le sentait l'abandonner, abandonner la vie qui s'offrait à eux depuis si peu de temps..

Au bout de quelques heures de rituel, le druide se redressa, refermant son grimoire et soufflant ses bougies qui encensait l'air de la pièce. Il lui donna quelques dernières recommandations avant de partir, lui conseillant surtout de ne jamais cesser de lui parler jusqu'à son réveil, qu'il sache que quelqu'un l'accompagnait dans ses douleurs. Elle le remercia et resta au chevet de son aimé.

- Shetan.. Ô mon Shetan.. tu vois je ne t'abandonnerai pas.. sent ma main sur la tienne, mes yeux te caressent d'un regard aimant et confiant.. tu vas sortir de ce mal crois moi.. il faut avoir confiance.. sent mon souffle sur tes lèvres, si je pouvais respirer à ta place pour ne serait-ce que t'accompagner dans ta convalescence je le ferais.. mais tu dois être fort mon amour, tu dois vivre... pense à ta fille.. pense à tes amis... pense à l'avenir.. tu es encore jeune.. tu as encore toute ta vie devant toi..

Lui caressant la nuque et le torse de sa main, versant quelques larmes sur son corps meurtri, Dolce continuait à lui parler, il fallait qu'il vive.

- .. ma vie est à tout jamais reliée à la tienne.. je t'aiderai à t'en sortir car sans toi je ne suis pas moi.. il y a tant de choses que je ne t'ai pas encore dites.. par peur.. par manque de temps... si tu t'accroches mon amour tu verras tu mèneras une vie de Roy.. je serai ta reine.. je serai toujours là pour toi.. Je t'en pries accroches-toi..

Et là il ouvrit les yeux, son visage se crispa.

- Douleur... comme j'ai mal.. mais ton visage dépose sur moi un voile de douceur... Dolce.. Dolce je suis vivant.. grâce à toi, ne t'en fais pas je ne t'abandonnerai pas. Je.. suis si fatigué.. il me faut me reposer.

- Oui, dors mon amour je suis là pour veiller sur toi. L'homme qui t'a guérit m'a dit que ce qu'il t'avait donné allait te faire dormir pour mieux guérir. Tu passeras la nuit ici, et moi à tes côtés. Je ne suis pas fatiguée..


Shetan ferma les yeux et s'endormit, son souffle était lent, elle le sentait se reposer. Lorsque la bougie s'éteignit d'elle-même, Dolce s'était elle aussi endormie, la tête déposée sur l'oreiller de Shetan, assise à même le sol. La fatigue avait été trop grande et lui dormait comme un bébé. Le mal s'était envolé avec la nuit, et un nouveau jour se levait à l'horizon.


(T'es pas mort na :p)

Par Shetan_Averam le 12/3/2002 à 23:03:06 (#1108760)

Dolce se reveillat.. une fois les yeux bien ouvert ses pensées allèrent vers Shetan ce qui la fit se retourner brusquement de peur qu'il n'ai fait une rechute . Celui-ci dormait d'un sommeil agité. la fievre l'avai regagné malgré que ses blessures commenceai a cicatriser. Dolce lui mettai du linge mouillé sur son front afin de faire baisser la temperature et me fesai avalé des potions faites par le druide.Il dormit tout le jour et toute la nuit a la difference pres que Dolce s'etait allongé a ses cotés le serrant. Il s'eveilla le lendemain matin contemplant la beauté de ce paysage qu'etait Dolce. Il n'avai de cesse de l'aimer et de voir cette amour grandir en lui.Quand ,a son tour , elle se reveilla , il fit mine de dormir en la serrant un peu afin de faire durer ce moment d'enlacement qui fesait battre son coeur.Elle se leva pourtant , avala en vitesse son petit dejeuner et lui fit prendre ses potions et changea le linge mouillé sur son front malgré la presque disparition de sa fievre. Elle se recoucha aupres de lui le serrant encore plus fort.Il fesait toujours mine de dormir ne voulant pas gacher ce moment merveilleux et de peur de ne pas savoir quoi dire ou quoi faire pour lui avoir sauvé la vie.Il etait d'un coté amusé de voir qu'il etait nu sous ces couvertures et du fait qu'ele l'ai vu ainsi et d'un autre fou amoureux de cette etre angélique.

(a toi si tu trouve une suite... chui K.O et g plus dimagination la :D )

Par Dolce Agonia le 13/3/2002 à 11:33:17 (#1110255)

Elle n'avait plus de soucis à se faire, il était guérit, elle avait réussi. Sans mot dire elle s'était éveillée a nouveau et se mit à le regarder dormir. Rien à ses yeux n'était plus beau que cet homme dans les bras du sommeil, et plus doux que la chaleur qu'il dégageait en dormant.

Elle attendit son réveil et ils allèrent tous les deux petit déjeuner à l'auberge. L'aubergiste prit des nouvelles de Shetan, ne voulant pas de morts sous son toit.

- Vous avez de la chance d'avoir une telle femme à vos côtés Monsieur d'Averam, sans elle je ne pense pas que vous auriez survêcu. Elle a été forte, Madame a bien plus de courage en son coeur qu'elle ne le croit, je l'ai toujours sû, ne trouvez-vous pas que cela se lit dans ses yeux?

- Toi aussi l'aubergiste tu as été courageux, je ne devais pas être beau à voir, délirant et mourrant. Sans toi je ne serais peut-être pas guérit.


Après le repas ils se dirigèrent au village druide et allèrent porter un présent pour leur sauveur qui ne voulût premièrement l'accepter mais en fût obligé. Leur vie était rentrée dans l'ordre et Dolce esperait que jamais plus un tel drame n'arriverait à nouveau.

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