Retour de mission

Par Turin Endery le 4/3/2002 à 15:08:02 (#1061710)

Dans un endroit mystérieux , Turin Endery arpente une colline pour des raisons connu de lui seul...
Il admire le ciel bleu et décide de faire une halte un moment
Cela fait des mois que je suis partie mais cela m'a semblé des années... ma mission n'est pas encore terminé hélas...
Continuant à contempler le ciel il vois un point à l'horizon qui l'intrigue, puis peu à peu celui-ci prend forme un sourir s'esquissant peu à peu sur son visage
Oui il s'agit bien de mon faucon Azur que je reconnais à sa façon de virvolter à ma vue *il sourit*, la seule présence amicale que je reçoit en ces lieux. Je ne me souviens même plus depuis combien de temps je l'avais envoyé aux nouvelles, j'éspère que les nouvelles sont bonnes.

Il tend alors la main pour acceuillir son fidèle compagnon et lui détache un parchemin enroulé étroitement sur sa patte et tend un morceau de gibier au faucon, il commence à le lire son visage s'obscursi peu à peu...
Les nouvelles sont loin d'être celles que j'éspèrais je dois revenir au plus tot.

Il griffone alors une réponse à l'arrière du parchemin qu'il viens de recevoir et l'accroche à la patte du faucon
Part Azur, part annoncer mon retour!!
Et il envois le faucon dans le ciel lui jetant quelques sorts dissipant la fatigue occasionné par le voyage de l'animal.
Il se met alors sur le chemin du retour pour être suffisement proche du royaume pour utiliser ses sort de rappel, mais avec le sentiment de ne pas avoir fini sa tache...

Par RoadRunner le 4/3/2002 à 19:43:59 (#1063336)

Bon retour Lieutenant,
en espérant que vous aurez l'occasion de vous reposer assez longuement avant que notre Roy ne vous donne une nouvelle tâche, ou ne vous envoie terminer celle qui apparemment, n'a pas été achevée (d'après vous).

Par Tirane le 4/3/2002 à 20:00:25 (#1063470)

Tutu tu courts plus apres je sais plus quoi ...

A oui !! l'horloge du temps !! lol

tutu le nb !!! ;)

Par Turin Endery le 4/3/2002 à 20:07:58 (#1063544)

*colle de l'adésif sur la bouche de Tirane* tiens salut Titi :p
edit pour loupage de post :p

Le retour

Par Turin Endery le 6/3/2002 à 3:10:54 (#1070437)

Après deux jours de marche il était enfin arrivé à proximité du royaume. Il n'avait pas dormi, pas manger mais ne paraissait guère affecté par cette route.

Il utilisa alors son sort de rappel pour se rendre directement dans son bureau, il faisait nuit et tout le monde dormait, personne pour l'accueillir. Mais après tout il en avait sans doute voulu ainsi...

Il pouvait voir bon nombre de documents relatant divers larcins perpétrés au cours de son absence. Il les parcouru rapidement pour se mettre au courant des histoires du royaume. Puis il s’assis pensif…

En effet sa mission n’était pas vraiment aussi officiel qu’il l’avait annoncé et il devait se préparer aux questions qui allaient bientôt affluer. Il avait obtenu un congé du Roy, chose rarement accordée et plutôt mal vu, c’est ainsi qu’il avait eu l’idée de maquiller ceci en mission , ce qui arrangeait bien le Roy.
Il se dit alors qu’une nuit de sommeil ne lui ferait pas de mal, cela fait des lunes qu’il n’avait pu dormir en sécurité malgré la garde de son fidèle faucon et que demain il y verrait plus clair. L’animal était là tapis dans un coin il avait attendu le retour de son maître.

La nuit fut courte mais réparatrice, il se leva à l’aube prêt à affronter la cours dont il avait un peu oublié les coutumes de par sa rapide vie d’ermite. Mais tout lui revint rapidement il salua le Roy et lui remis un parchemin vierge qui constitué son rapport de mission. Le Roy le rangea aussitôt dans son manteau prétextant qu’il le lirait plus tard un peu plus au calme. Il salua le Roy lui demandant congé, le Roy acquiesça d’un clignement des yeux. Il avait ainsi réussi à réchapper aux questions des nobles de la cours, même s’il n’aurait pas vraiment était tenu de leur répondre
Il se mis en route pour sa maisonnée, prendre un peu des nouvelles de sa famille mais il ne trouva personne, seul le Roy avait été averti de son retour. Il s’installa alors dans sa chambre et commença à écrire sur un parchemin. Il s’apprêtait alors à rédiger se qu’il avait entrepris seul durant des mois.

Personne ne connaissait rien de lui. Il était arrivé un jour de nul part et avait sauvé une habitation reculé de LightHeaven d’une attaque de pillards. Il se fit rapidement enrôlé dans la Garde Royale qui manqué cruellement de personnel sans que jamais on ne lui posa aucune questions. Il avait réussi à créer une famille les Endery, nom qui avait été inventé de toutes pièces par sa femme et lui, même elle ne savais pas d’où il venait mais étrangement ne lui avait jamais posé la question. Il est vrai aussi qu’il était passé maître dans l’art habile de détourner les questions, dame Darla en ayant suffisamment fait les frais ( ;) ).
Mais lui-même savait-il réellement d’où il venait… Il était donc partie si longtemps afin de le découvrir, la plume à la main il allait retranscrire tout ce qu’il avait appris sur lui…
(a suivre)

Par Ansi de Keyl le 6/3/2002 à 10:00:41 (#1070940)

Oh oui une suite ! Bien tutu :)

Par Falvel Bagarth le 6/3/2002 à 11:11:30 (#1071201)

bon retour tutu :)

aller vite envoi la suiteeee :)

Par Turin Endery le 6/3/2002 à 15:43:46 (#1072803)

Il commença le récit de son histoire…
J’étais partie seul sans que nul ne su où je me rendais, guidé par toutes les questions qui me brûlaient pendant toutes ces années, aujourd’hui la douleur devenais trop grande elles allaient dévorer…

Je me souvenais de mon premier jour sur ses terre qui m’ont accordée asile moi qui des années de cela avait fuit ma famille…ou plutôt ma famille adoptive…
Je n’ai jamais su d’où je venais hormis qu’un matin celui qui allait devenir mon père me trouva emmitouflé dans des draps blanc à bordure dorée devant sa porte. Il pris cela comme un présage des dieux et m’accepta tout de suite comme son fils lui qui vivait seul avec sa sœur qui devint un peu ma mère.

Mon père était alors un riche menuisier qui n’avait pas son pareil dans la restauration de vieilles bâtisses, il était renommé dans toute la région et se n’était pas le travail qui manquait à l’époque. Je grandis ainsi paisiblement à ses cotés lui m’inculquant son art et elle la foi en Artherk dont elle était une fervente adepte.

Je devais aller sur ma quinzième année (bien que je ne connaissais guère le jour de ma naissance) quand mon père m’envoya en foret repérer un arbre qui servirait à la construction d’un long escalier en colimaçon pour la nouvelle demeure de riche bourgeois récemment installés.

Après de longue recherche j’avais enfin trouvé l’arbre adéquat, fière de moi je le marqua de deux coups de pinceaux formant ainsi une croix rouge grossière. Puis je me mis sur le chemin du retour d’un pas rapide car l’heure du soupé ne devait plus tarder. C’est alors que j’aperçu au loin un nuage de fumée, je me demandais bien d’où il pouvait venir, mais au fur et à mesure que je me rapprochait je m’aperçu qu’il venait de chez moi. Je me mis donc rapidement à courir et je vis la demeure où j’avais vécu tant d’année la proie aux flammes…
Je fis alors mon père mourrant allongé par terre à coté de notre puit, sans doute avait-il tenté d’éteindre l’incendie, mais il était grièvement blessé comme-ci il avait été rué de coups.
Il m’expliqua rapidement qu’ils avaient été victimes de pillard mais au son du « ils » je mis aussitôt à me demander où était passée ma « mère adoptive ». Il m’annonça qu’elle avait été tuée par les pillards dès leur arrivé, j’appris bien plus tard que cela était faux et qu’ils l’avaient tous violé un par un devant mon père qu’ils battaient pendant qu’ils se relayaient mais que de faible constitution elle en avait péri ce qui ne les avait pas arrêté dans la profanation de son corps même morte.

Mon père ne succomba pas à ses blessures qui rapidement disparurent du moins les plus apparentes mais il avait perdu l’esprit et peu à peu la raison l’abandonné. N’ayant plus de chez nous , nous fumes recueilli peu de temps après dans un couvent, où je vécu les quelques années qui me séparé de mes vingt printemps. Puis je confia mon père à Artherk, plus exactement à sœur Eloyse, car de toute façon il n’était plus vraiment apte à se débrouiller seul, et je me mis en route pour LightHeaven pour y débuter ma nouvelle vie et arriver là où j’en étais à présent.

Les années avait passé et je ne tentait alors qu’oublier mon triste passé sans jamais en parler car j’en était aussi un peu honteux, mais la foi me sauva néanmoins de la perversion de mon esprit et je trouvais alors dans mon rôle de Garde Royale un moyen d’éviter que ce que j’avais vécu n’arrive à d’autres m’efforçant de toujours rester juste dans mes jugements mais néanmoins ferme, bien que souvent on me reprocha d’être trop bon avec certain, ce que je ne dément pas…comme trop dur avec d’autres qui me faisaient penser à ceux qui ont brisés ma vie.
Les cicatrices qui avait griffée mon cœur était bientôt renfermé et une nouvelle allait bientôt se rouvrir, je devais savoir d’où je venais réellement et si j’avais quelque part encore une famille, c’est ainsi que je me mis en route pour aller questionner mon père ou plutôt tenter de le faire.
(à suivre)

Par Turin Endery le 6/3/2002 à 18:31:39 (#1073937)

C’est ainsi que j’avais demandé un congé au Roy et partit le plus rapidement et discrètement possible argumentant une mission secrète.
Je parcouru alors la route qui m’avait mené là où j’en étais, pour revenir à la source, au commencement de ma vie, je pensais alors nager à contre courant de ma destiné. Il me fallu plusieurs semaines de marche pour parvenir à l’endroit où il y a de cela plusieurs années j’ai laissé mon père aux bons soins de sœur Eloyse mais c’est avec beaucoup de peine que j’appris sa mort il y a quelques année m’en voulant de ne pas avoir été là pour son enterrement.
Je partis donc déposé quelques fleurs fraîchement cueilli sur sa tombe, une Flaxinnelle exprimant la gratitude, une Saponaire exprimant le deuil et une sauge pour l’estime… C’est elle qui m’avait appris le langage des fleurs… elle qui les aimait tant. Je lui rendais ainsi un dernier hommage. Je me tint un moment debout devant sa tombe lui donnant ainsi un dernier adieu.
On m’indiqua que mon père allait un peu mieux et qu’il arrivait de nouveau à raconter autre chose que la triste histoire de notre maison pillée… Il ne me reconnu pas mais s’émerveilla à la vu de mes ailes et me pris pour un ange. Il me demanda alors si j’étais venu le délivrer de sa triste vie et mettre ainsi fin à toutes ses souffrances en le menant auprès de sa sœur. J’eut du mal à dissimuler les larmes qui naissait peu à peu et n’eut pas le courage de le contredire car de toute façons une fois parti il n’aurait plus souvenir de ma venue.
Il me fallait savoir je commençais donc à le questionner habilement mais il ne se souvenait visiblement plus, j’eut alors l’idée d’utiliser un des dont que j’avais peu à peu cultivé au sein de la Garde Royale. J’avais en effet la faculté de lire certaine pensait dans les esprits les plus faibles, mon père ne me résista pas.
Il me fallait dans un premier temps affronter le souvenir le plus présent en lui, celui de la fameuse journée où notre vie bascula, et je vis alors qu’il m’avait préservé pendant toutes ses années, mais ma vie aurait sans doute était tout autre si j’avais su la vérité plus tôt. D’ailleurs mon cœur en fut changé, endurci un nouveau Turin était alors réveillé, je sentit la haine monter en moi mais elle fut distancée par la tristesse qui me fit défaillir, mes années de prières faisaient leur office préservant ainsi mon âme. Mes larmes coulaient telle une digue qui venait de rompre, je revivrais sans cesse la scène sans jamais pouvoir rien faire, elle enterrait mes nuits, voilà le prix à payer pour utiliser se dont, voilà aussi pourquoi j’ai souvent laissé partir des voleurs leur détresse faisant parti de moi à présent…
Il fallait néanmoins que j’en sache plus, je devais lire au plus profond de lui, une expérience que je n’avais jamais tenté auparavant. Les souvenirs étaient agréables à présent mais me laissait quelque peu mélancoliques car ils me faisaient aussi un peu penser à tout se que j’avais perdu. Je me voyais alors enfant puis bébé et là un flash je voyais l’étoffe dans laquelle j’avais été découvert et je pouvais même voir un nom inscrit dessus, je pu lire « Turin », d’où mon nom. Je vis alors une enveloppe et mon père la placer dans une boite qu’il avait jeté dans notre puis.
Je devais alors retourner chez moi et découvrir peut être mon histoire et mes origines.
(à suivre)

Par Arta Rhéo le 6/3/2002 à 19:15:33 (#1074284)

* retient son souffle pour ne pas couper son inspiration*

Congratulations :)

Par Ansi de Keyl le 6/3/2002 à 20:48:04 (#1075141)

Standing ovation !!!

Par Turin Endery le 6/3/2002 à 23:11:56 (#1076162)

Maintenant il ne me restait plus qu’à retrouver l’endroit où j’avais passé la majeur partie de ma jeunesse. J’en savais suffisamment j’arrêtais donc de filtrer la mémoire de mon père. Mon père me regardait alors différemment, il était très pâle, le visage en larme prêt à s’assoupir. Sans doute j’avais ravivé en lui tous ces souvenirs, je l’entendis alors faiblement me murmurer : « Mon fils… tu es venu me délivrer… merci… ». Mon père ferma les yeux et tomba alors dans mes bras, jamais plus il ne les rouvert…

Je me demandais alors qu’elle cruelle destin était le mien et si ce n’était pas moi qui traînait la mort dans mon sillage. Je ne me mis en route qu’après plusieurs semaines les récents deuils m’ayant beaucoup affectés. Je ne perdis pas mon temps non plus car sœur Eloyse avait laissé pour moi un étrange livre. J’en fit une brève lecture et découvert ainsi comment perfectionner mes sorts de guérisons et de protection.

Je partait donc pour ainsi dire à la recherche de mon passé toujours accompagné de mon fidèle faucon qui se chargeait de me ramener du gibier régulièrement. Je connaissais bien la route celle que j’avais parcouru avec mon père à demi mort.

Après quelques jours de marche j’étais enfin arrivé, il ne restait plus rien de mon ancienne demeure, le vent et les hivers avait fini par faire s’effondrer la bâtisse calcinée, il ne restait plus qu’un tas de planche avec une cour et en son milieu… un puis.
Je m’imprégnais du lieu, les souvenirs récemment révélés qui étaient devenu miens refirent surface peu à peu, je revivais encore une fois la scène bien qu’en ce lieu tout me paru si vrai. Je me réveilla quelques heures plus tard me demandant comment j’avais fini par atterrir au sol inconscient, je m’aperçu alors que la nuit venais de tomber mais je devais savoir, il le fallait, peut être cela arriverait il à apaiser mon esprit tourmenté. Il me fallu un moment afin de trouver le moyen de récupérer ce qui se trouvais au fond du puis, ce n’était pas les idées qui me manquais mais je devais être sur de garder la boite intact coûte que coûte. Je devais donc le chercher moi-même au fond du puis , m’attachant à la corde qui servait à remonter l’eau.

Peut-être aurais je du vérifier la solidité du bois auquel était attaché la corde mais ce qui devait arriver, arriva et en moins de temps qu’il en aurait fallu pour le dire je me retrouvais au fond du puis avec de l’eau jusqu’au cou. Par chance le puis était toujours alimenté par une source souterraine et l’eau était encore bonne, presque potable mais je ne m’y risqua pas.

Je sentais alors à mes pieds une pierre, je tentais alors de la bouger, elle était plutôt légère, c’était le coffret !!
Je récupérais alors rapidement le coffret mais il me fallait trouver un moyen de soustraire au puis. Je mis la nuit entière à remonter en haut, surgissant du puis en même temps que le soleil surgissait de la montagne. Je fis alors un feu pour me réchauffer et je contemplais la boite, une jolie boite en bois vernis un ouvrage comme seul mon père pouvait les réaliser.

Je ne pu tenir plus longtemps et je l’ouvris rapidement, l’intérieur était encore sec et je voyais le fameux parchemin de mes visions. Il s’agissait d’une lettre de mes véritable parents…
(à suivre)

Par Kleny Senkarst le 7/3/2002 à 1:37:50 (#1076493)

oulala Bravo tutu !
:lit:
*attend la suite*

Par Turin Endery le 7/3/2002 à 4:10:20 (#1076712)

Pour la suite j'ai un peu de mal là en attendant j'écris ça
Une arrivée bien mystérieuse (à lire en parallèle).
Merci de vos encouragement :)

Par Flotteur Endery le 7/3/2002 à 5:00:27 (#1076739)

génial Turin !

(ho et a ta prochaine connection, jai des trucs intéressent a te donner.)

Par Turin Endery le 19/3/2002 à 6:54:27 (#1136928)

Je prenais alors la lettre délicatement, elle avait été serti par un sceau en cire mais bien sur décachetée à l'époque par mon père adoptif. J'ouvris alors la lettre curieux d'en apprendre plus sur mes origines. Je regardais dans un premier temps l'écriture sans la lire, une jolie écriture sans aucun doute, une écriture de femme même en observant le style. Je ne pouvais tenir plus longtemps je me plongeais alors dans sa lecture.

Bonjour à vous noble étranger,
Je me nomme Morween, je suis la reine d'un royaume reculé, royaume jadis prospère qui est aujourd'hui la proie d’une guerre qui le ravage. L’avenir est donc devenu pour nous incertain et je ne pouvais me résigner à perdre se qui pour moi était le plus chère. Connaissant votre réputation honnête qui vous a précédé jusque chez nous, j’ai décidé de vous confier le bien le plus précieux qu’il m’ai été donné : mon fils.
Prenez soit de lui je vous en supplie comme s’il était votre propre fils, je ne pouvais me résigner à le perdre dans cette guerre qui m’a fait perdre tant d’être chère. Je ne pense pas être en mesure de le récupéré mais si je ne le fait pas sachez que je reposerais sereine car le dernier être que j’aime est en sécurité.
Je n’ai pas pu vous dire c’est chose en personne hélas… mais je vous en pris acceptez de vous occuper de lui, c’est une mère qui vous le demande…

Signé Morween.

On pouvait remarqué sur la lettre des taches vers la fin de celle-ci.. sans doute n’avait-elle pas pu retenir quelques pleurs, elle qui perdait son fils pour pouvoir le préserver. Je restais moi même ému devant la lettre versant une larme aussi qui curieusement vint se placer prêt de la tache sur la lettre. J’avais donc une famille du moins j’avais eu une famille, je me demandais alors ce qui avait pu en advenir mais je ne trouverais certainement pas les réponses à mes doutes en se lieu. Un mystérieux désire de retrouver ma mère me gagnait peu à peu, elle avait peut être réussi à s’en sortir après tout mais elle serait venu me rechercher…
Nous avions donc perdu cette guerre… moi qui les haïssait profondément. Je décidais alors de rentrer à Goldmoon à cet instant..
Il posa sa plume et rangea le livre de sa vie qu’il cacha par la capacité à cacher.
(à suivre)