Rôle PLay TLM 2

Par Athelor le 5/7/2001 à 11:13:00 (#6391)

Encore sur mes gardes, je sorti une seconde lame etincelante d'un vert pale. Malgré mon ame guerrière, je concentra toute l'énérgie de mon bras gauche pour en sortir une vague d'énérgie pur. A quelques pieds devants les créatures, la source se disolva dans le sol. A cet instant precis, la végétation commença à s'éveiller, les graines désechées qui n'aurait normalement jamais vue le jour commencèrent à s'enfoncer dans le sol pour laisser place à de la vegetation luxuriante. Les petites fleurs qui jonchaient le sol entrelacaient les pattes des créatures en poussant. les petits amas de ronces grossirent et blesserent les les créatures. Gené par la vegetation, les semi-loups detournèrent l'attention. Profitant de ce moment je m'elanca dans la bataille esperant voir mes compagnons faire de même. Sautant sur une premiere branche, je me propulsa sur un deuxieme arbre. plus proche des animaux, je cherchaient une proie facile. De branches en branche, je fixaient un loup prit dans un ama de hautes herbes. D'un bond precis, je me jeta sur lui deux longues épées aux mains. Trop freiné par la végétation, il ne pouvait que degusté ce que je m'apretais a lui faire subir. Malheureusement, les autres commencaient deja à me fixer. :(

Par GChalumot le 5/7/2001 à 11:33:00 (#6392)

Pendant quune partie de la horde attaquait de front le village pour y attirer ses défenseurs, plusieurs petites escouades sy introduirent sournoisement par-derrière, recherchant chacun un objectif précis. Lune dentre elles le trouva sur la place du village, où un individu recouvert de goudron et de plumes était attaché au piloris, entourés des fruits pourris et des ufs avariés que lui avait lancés la populace.
« Hola, messieurs, cria Jean-Wilfried Romano de Kuiperdolin en voyant se profiler dans lobscurité des silhouettes indistinctes. Auriez-vous lon ne peut plus extrême obligeance de me soustraire à cet ignoble supplice auquel ma astreint la vindicte roturière ? »
Les monstres velus eurent un grognement de satisfaction. Bien quils ne comprissent que peu le langage du proscrit, ils reconnurent la voix que leur avait décrite le chef de meute. Dun seul coup de dents, le plus grand dentre eux brisa la chaîne qui retenait leur infortunée victime. Celle-ci, ne se doutant encore de rien, se répandit en effusions et remerciements à grands renforts de pédantisme.
« Ah ! Loué soit Oghma ! Et louées soyez-vous aussi, sylvestres créatures, qui nonobstant la fâcheuse propension de nombre de vos pairs à se sustenter danthropophagique manière, êtes sans nulle crainte venues à mon secours. Ah ! Combien injustifiées furent mes doutes quant à la compétence de mon éminent précepteur Eric de Popaul lorsque celui-ci minstruisit que daucuns, parmi votre engeance, sont de bonnes et aimables gents ! Sachez que je me tiens, dorénavant, pour votre débiteur, et que ce sera pour moi bien davantage quun plaisir et un honneur de vous vous aider dans la mesure de mes moyens. Jai, entre autres, quelques talents de prosateur, et pourrai, pour peu que bon vous semblât, rédiger votre panégyrique »
Il séclaircit la gorge
« quoi que ceci me semble une entreprise singulièrement ardue .» poursuivit-il en toisant ses interlocuteurs.
Une violente bourrade interrompit la théorie de ses affabilités, et il se sentit saisi par quatre paires de mains velues, ce qui lamena à concevoir de sérieuses incertitudes au sujet de linfaillibilité de son mentor.
Cependant ses ravisseurs senfonçaient de plus en plus profondément dans le sous-bois, et Jean-Wilfried, reprenant son calme olympien, sinterrogea sur les motivations de ce rapt, tout en cherchant quel sort pourrait le sortir de là. Faute de pouvoir bouger les bras, il dut sen tenir à une prière silencieuse à Oghma. Une fois de plus, il songea que le soutien dune divinité, si puissante soit-elle, est un secours bien faible et quil lui faudrait sans doute un jour ne compter que sur lui-même*.
Tout à coup la troupe sarrêta, et il fut jeté à terre avec rudesse. Il balaya du regard la zone environnante. Cétait une petite clairière dont le sol portait les traces de multiples passages qui indiquait que les loups-garous avait lhabitude de sy retrouver régulièrement. Il en déduisit que cétait le point de ralliement où la meute devait se réunir après la bataille. Deux sentinelles veillaient soigneusement sur lui, mais ces bêtes avaient commis une lourde erreur tactique car ce point était assez près du village, et un prompt renfort pourrait venir le délivrer. Restait à savoir si les villageois se risqueraient à une semblable expédition pour le secourir malgré leurs algarades antérieureses.
« Palsambleu, songea-t-il, me voilà en bien mauvaise posture »
Et il ferma les yeux pour lieux réfléchir à une solution et aux objectifs de ces monstres.

* en littérature on appelle cela un indice prémonitoire.

[ 05 juillet 2001: Message édité par : Jean-Wilfried Romano de Kuiperdolin ]

[ 05 juillet 2001: Message édité par : Jean-Wilfried Romano de Kuiperdolin ]

Par Myvain le 5/7/2001 à 12:25:00 (#6393)

Le danger etait grand et l'attaque de ces loup-garou n'était que le prémice de problême plus important.
Le druide confia la garde du bosquet à l'un de ses plus dévoué compagnon et lança un sort de voyage par les arbre. La petite cinabre au regard toujours aussi ébahi vit le druide pénétrer dans l'énorme chêne qui trônait au centre du bosquet. Il voyagea ainsi jusqu'à arriver à proximité de l'auberge qu'il avait vu dans son songe et qu'il connaissait bien.
Une bataille faisait rage.
Un des humains venait de se faire enlever par une bande de loup-garou tandis qu'une dizaine d'autre protégeaient leur fuite en attaquant les citadins. Décidé à comprendre ce qui se passait, le druide décida d'intervenir afin d'aider ces personnes.
La nature était éffrayée, et cela faisait parti de son devoir que de comprendre ce qui se tramait. Un peu en retrait du combat, il fût bientôt rejoint par les 3 loups noir précedemment appelés. Il leur fit signe de venir en aide à ces humains et ils s'attaquèrent au premier des loup-garou qu'ils aperçurent.
Le druide aperçu un rodeur en mauvaise posture et,il transforma le parterre de glands et de baies qui jonchaient le sol en projeciles de feu qu'il lança sur les monstre attirés par l'homme. Appeurés et blessés par ces projectiles enflammés ceux-ci quittèrent des yeux leur proie, ce qui laissa au rodeur le temps de s'échapper. Le druide préparait déjà des sorts de guérison afin de soigner les bléssés...

[ 05 juillet 2001: Message édité par : Myvain ]

Par RODOKOPP le 5/7/2001 à 13:19:00 (#6394)

Dunkan se battait comme un lion depuis un bon quart d'heure, à trancher du loup garou, quand Zinius, resté à l'écart du combat, l'interrompit en lui assainant un coup de baton sur la tête, le demi_orc lui demanda (en langue commune des profondeurs):
-Mon seigneur et maître, que doit faire Kundan pour vous servir?
-Arrêtons le combat, j'ai horreur des adorateurs de la nature (une vraie merde cette forêt), laissons les avec leurs problèmes, on se casse.
-Tout de suite mon seigneur!
Zinius lança une fiole aux pieds des plus proches combattants, Kundan rangea son épée pleine de sang dans son fourreau et se plaça derrière Zinius qui exécuta la séquence de sorts suivantes : convocation de monstres V,
porte d'ombre Kundan, porte d'ombre Zinius,
et les deux compagnons s'éloignèrent tranquillement le long de la route principale..

Par Vermeil de Syl le 5/7/2001 à 14:58:00 (#6395)

Le gnome suivit du demi-orc marchaient paisiblement sur la route de pavé alors que les cris d'agonies resonnaient encore dans les ruelles de la ville. Mais leurs pas furent interrompus par l'apparition d'une silhouette à une 20aine de metre d'eux. La chose était agenouillée en bordure de route et semblait trifouiller la terre fraiche de la lisière de forêt. Une longue cape sombre envelloppait ce qui semblait etre un elf mais l'odeur d'eau croupi qui en emannait convaincu le gnome que ce qui ce trouvait devant eux n'avait rien d'un de ces prétentieux et hautain de la surface. Dunkan porta alors son imposante main sur le pommeau de son épèe...

"Je n'y penserai même pas, Male !" dit la créature en langage commun des profondeurs. Le gnome assaini alors un nouveau coup de baton sur la tête du stupide Dunkan. La creature se leva, après avoir rebouché le petit trou qu'elle venai de faire dans le sol. "Je vous ai observé Males, j'ai un marché a vous proposer" continua-t-elle.....

Par Athelor le 5/7/2001 à 15:26:00 (#6396)

Encore éssouflé, je fit un signe de tête au druide Myvain. Mais mon profond respect pour la nature m'obligea à continuer cette lutte sans merci.

Par kelden's le 6/7/2001 à 7:33:00 (#6397)

Les lycanthrope bondissaient entre l'arbes jouent etre les ombres de la forêt pour mieux bondire sur les combatants qui avait de plus en plus de mal à les diserner parmis les arbres. Cela ne pouvais duré empognant une lanterre et un peu de poudre souffre je lancai le tot dans les air en prononcant rapidement quelque parole. Pui sortit tou droit du coeur de la laterne une lueur incadessante brûla de se blanche lumière la nuit.

-Maintenant on est à égaliter espèce chien batard!

Une créature bondit dans ma direction puis s'élança avec la ferme intention de frapper...? de frapper lequel il y en avait 6 maintenant? Avant de comprendre le jeu le pauvre lycanthrope reçus une flèche emflammé en pleine gueule. Roulant et toussant pour étouffer les flammes le muloup ne fesais qu'atisé le feu avant qu'il ne puisse les éteindre plusieur projectiles magique allèrent le frapper en pleinne poitrine la dernièr image qu'il vut avant de reprendre ça forme humaine fut une pleine lune quelque peu cacher par les nuages...

Par GChalumot le 6/7/2001 à 12:13:00 (#6398)

"Ah! Je me meurs!" hurla Jean-Wilfried Romano de Kuiperdolin en se laissant retomber à terre de tous son long. Il connaissait cette ruse qu'on employait contre les ours, et, en désespoir de cause, avait songé qu'il n'avait plus grand'chose à perdre.
Le chef de l'escouade de loups garous, à la fois perplexe et visiblement inquiet, lui asséna un coup extrêment douloureux, lui arrachant un cri de souffrance.
"D'accord, d'accord, je suis vivant, plus vivant que nature, plus vivant que jamais, plus vivant que la vie même! Plus vivant que moi, on meurt..."
Une autre bourrade le persuada de mettre un terme à ses scurrilités, et il s'accroupit pour réfléchir.
Le loups-garous s'inquiétaient de sa survie éventuelle; ils tenait donc à l'avoir vivant, ce qui était de toutes façon logique, car autrement ils l'auraient tué dès le début, et ne se seraient pas encombré d'un prisonnier qui pose toujours davantage de problème qu'un cadavre. Ce fait le rassura, car il signifiait qu'ils n'entendait pas le dévorer. Et, à force de réflexions, il en arriva à la conclusion qu'il y avait trois motifs possible à son enlèvement. Le premier d'entre eux était le projet de l'offrir en sacrifice à quelque divinité ténébreuse au cours de rites immondes, perspective, force est d'en convenir, bien peu rassurante. Le deuxième était la prime en or offert par un commanditaire pour sa capture; ces créatures en effet, selon Eric de Popaule, se livraient parfois au mercenariat. Mais qui pouvait être à la fois assez riche pour s'attacher les services de toute une meute et assez désireux de l'avoir en sa possession pour recourir à des expédients aussi peu souhaitables? la troissième était qu'ils voulaient lui innoculer la lycanthropie, sans doute pour bénéficier des imposante connaissances qu'il avait acquises auprès de son précépteur. Mais comment pouvaient-elles le connaître sans l'avoir jamais vu? Bref, de nombreuses questions restaient en suspens.

Par Athelor le 6/7/2001 à 16:16:00 (#6399)

Demoralisé, les muloups retrousèrent chemins. Heureux de cette victoire, Les Druides Vermeil et Myvain resterent cependant sceptique. Etant plus cultivé que toutes les personnes presentes au combat en matière de loups garou, Vermeil lança "Ils n'est pas dans leurs habitudes de quitter un champ de bataille aussi rapidement." Myvain l'interrompie "Ils ont trouvé ce qu'ils cherchaient, mais quoi ?".
L'air bien bête au milieu des carcassent encore sanguignolantes, nous ne savourions pas notre victoire. Au contraire, nous cherchions ce que les lycanthropes étaient venu chercher.

[h rp]J'ai bien aimé ton histoire Jean-wilfried :)[h rp]
P.S Désoler pour les fautes, j'ai fait ca au boulot.

Par <Emy> le 7/7/2001 à 1:59:00 (#6400)

[HRP] Bonjour, j'étais en vacances, me revoilà et oh surprise, voilà que les textes relatent une bataille... mon goût étant très réservés envers cet art je ne puis qu'en être désolée. [HRP]

Prise de panique devant cette agitation elle fuya. Elle courut dans la noiceur de la nuit, sans se soucier de la direction qu'elle prenait. Elle fuyait depuis trop longtemps la violence et la barbarie. Les larmes vinrent à ses yeux, et perlèrent sur ses paumettes juste le temps de s'en servir de tremplin pour s'envoler un cours instant et choir sans bruit sur le sol. De ces marques invisibles un sentiment de fuite éternelle s'émanaient. L'adieu à la vie ne semblait plus très loin.

Par kelden's le 7/7/2001 à 2:40:00 (#6401)

LA retraite dse loup garou était un bon présage du regard j'évaluais les perte de notre les perte en fais était presque nul de notre coté comme du leurs a pars des blessée et 3-4 morts aucun autre marque de combat ne marquais les combatans. Regardent autor de moi j'aperçus les quelle druide qui parsemenait nos rang réunis au même endroit m'approchent d'eux je demandais:

-Es-ce-que quelqun à vue la jeune fille qui est arriver avant le combat? Emy? Non?

Trouvent étrange qu'elle arrive et reparte avec les loupgarou je décidame de la chercher rentant dans l'Auberge je pris la chope à laquelle elle avait bue puis je lançais un sort de clairevision. Je la vit courant dans la forêt les larmes aux yeux puis tomber à genoux comme implorente. Ouvrent un portail en rapidité je me téléportais à quelque 50 mètre de ça position... pour me précipité ensuite vers elle.
-Quelle fou je fais à courir dans les bois pendant que le loup y est...

Par Willard FRA le 23/11/2001 à 19:56:00 (#6402)

Et un bruit ,semblant sortir de la cheminée,resonna dans la salle entiere