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Un Livre Interdit

Par Lord Horus le 23/2/2002 à 13:10:58 (#1004653)

***lors de vos recherches dans les bibliothèques de Lightaven, vous vous êtes égaré et vous tombez sur un petit livre poussiéreux à la couverture bleue ornée d'argent. Intrigué par le blason en forme de tête de loup représenté sur la gravure de sa couverture, vous vous installez dans un coin de la bibliothèque afin de commencer sa lecture***
***ce livre semble être le journal d'une noble personne, à en juger par son écriture précise et soignée***

Né il y a 38 ans dans une lointaine contrée appelé Fenris, je fus élevé par une louve et mon premier apprentissage a été celui que m'a apporté la meute. J'ai vécu dans cette meute jusqu'à l'age de 8 ans, lorsqu'un guerrier du nom de Sigmar, à la recherche de l'élu, me trouva et me ramena dans son royaume pour m'y apprendre l'art du combat. C'est au bout de 14 ans d'entraînement que Sigmar m'affirma que j'étais prêt (pourquoi ? je ne le sais toujours pas). C'est alors que je rencontra la plus belle créature du royaume: Fanella, et 2 ans plus tard nous nous sommes mariés et avons eu deux fils.

Sigmar m'embarqua dans l'une de ses nombreuses quêtes ; il fallait tuer un démon nommé Drach'nyen dont les troupes harcelaient le royaume. Arrivés dans son enclave, Sigmar et moi-même avons été surpris de voir que le démon nous attendait. Un combat acharné commença alors et je fus violament frappé à la tête. A mon réveil je pu apercevoir le corps de Sigmar gisant sur ce qu'il restait de son flanc et lorsque je retourna au royaume, je n'aperçu que massacre et désolation. Ma femme avait été sauvagement empalée sur un pieu du donjon de même que l'un de mes deux fils, mon autre fils Cypher avait disparu. Je sentais alors la Rage Noire monter en moi et je fis voeux de retrouver ce démon et de le torturer.

Mort à Drach'nyen


***vous tournez la page***

Quelques heures après le grand massacre, les rares survivants s'étaient rassemblés dans la salle du trône. Dès mon arrivée aux grandes portes qui fermaient la salle, j'entendais la voix de plusieurs d'entre eux en train de débattre, dont celle de Lben et Galros. Je fus soulagé d'entendre leur voix.

Galros et moi avions été tout deux les apprentis du bon Roi Sigmar à la même époque. Nous avions d'ailleurs été les seuls, le Roi n'ayant jamais eu d'autre d'élève… d'ailleurs personne à part lui et peut-être Lben ne savait pourquoi il avait choisi de nous transmettre son savoir. Quant à Lben, c'était un grand sage, et aussi le conseiller de Sigmar.

Lorsque je fus rentré dans la salle, tous les yeux se tournèrent vers moi et un silence de mort régnait à présent. Lben me demanda alors où était Sigmar… je dû leur apprendre la tragique nouvelle. La mort soudaine du roi signifiait qu'il fallait en trouver un nouveau. Une attaque orc semblait imminente et seul le roi pouvait prendre la décision, mettant fin aux chamailles des nobles encore en vie : fuir ou bien risquer de mourir en protégeant notre royaume.

Lben était sans nul doute la personne la plus digne d'entre nous pour succéder au Roi. Alors que certaines personnes divergeaient encore et encore, Lben haussa la voix et me désigna comme étant leur nouveau roi… personne ne s'opposa à sa parole. J'était encore sous le choc de sa mort, mais ce fut un honneur pour moi de continuer ce que l'homme que j'avais eu pour maître pendant quatorze ans avait commencé.
__________

Le Chef de Guerre orc Gunkahl avait eu vent du sort que venait de subir le royaume. Cela faisait des années qu'il vous voulait s'approprier les terre du défunt roi, qui l'en avait toujours empêché. Profitant du chaos semé par Drach'nyen, il rassembla alors une horde et lança une grande offensive contre la ville où siégeait le palais de Sigmar.

Ma décision était prise : je n'avais plus rien à perdre, et je me serais battu jusqu'à la mort. Le sacrifice des quelques survivants que Drach'nyen avait laissé était cependant inutile. De plus les nobles se battaient très bien en duel singulier, mais ils n'étaient pas préparé à un affrontement si violent . Je les avais envoyé se réfugier dans un royaume non loin du notre. Seuls Lben et Galros désiraient rester à mes cotés, jugeant que Sigmar leur interdirait de m'abandonner. Rien ne pouvait les faire changer d'avis . Une dernière prière à Sigmar dans la salle du trône et nous nous présentions alors à l'entrée de la ville.

Très peu de temps s'écoula avant que les orcs ne se lancent à la charge. Le combat fut acharné, les orcs innombrables, et nous fûmes vite submergés par la déferlante verte. C'est alors que Lben attira mon attention sur des bannières qui flottaient non loin de nous, dans notre dos. Je pu reconnaître le blason du royaume dans lequel j'avais envoyé les survivants ; le soulagement fut de taille quand les autres hommes se mirent à charger à leur tour. Nous étions fatigués, et un prêtre du nom de Setwolf nous soulagea de ses incantations. Les orcs cédèrent alors sous le poids de nos coups, tels le blé coupé par la feau. L'armée orc fut rapidement mise en déroute. Seul Gunkahl refusa de fuir, il se lança dans un dernier assaut et si ma lame n'avait pas sectionné son bras, Setwolf aurait probablement été tué sur le coup. Sans son arme, l'orc était perdu. Je le renvoya parmi les siens, chargé d'un message : le premier qui s'en prendrait de nouveau aux terres de Sigmar connaîtrait sa colère.

La bataille terminée, nous retournions au palais. Les nobles revinrent et un festin fut organisé en l'honneur de nos sauveurs. Setwolf m'impressionna grandement. Il dégageait une sagesse et un charisme qui égalaient ceux de Lben, bien qu'à coté de lui, il semblait bien plus jeune. Sa connaissance des sciences magiques était telle qu'il parvint même à faire douter Lben sur la manipulation de Cumtis Sulfurus (de mémoire d'homme, personne n'avait vu un prêtre faire douter un membre de la famille de Lben sur ce sujet, qui d'ailleurs leur était propre). Les festivités durèrent deux jours d'affilé, et alors que l'armée retournait d'où elle venait, Setwolf choisi de rester à nos cotés, prétextant qu'il me devait la vie. J'avais beau lui affirmé que c'était le contraire, il insista. En très peu de temps une amitié s'installa entre Setwolf, Lben, Galros et moi même.
__________

Nous étions partis pour mourir et nous revenions victorieux. Sigmar aurait été fier de nous voir ainsi. J'avais demandé à Lben et à Galros de me laisser un peu seul pour aller me retirer sur les tombes de mon prédécesseur, de ma femme et de mon fils. J'étais en pleine prière et je fus soudainement submergé de flashes dans lesquels une femme au teint pâle et en robe blanche et or était entourée de loups.

Elle se présenta à moi. Elle était l'héritière d 'un ancien dieu oublié des hommes qui se nommait Ogham. Sigmar m'avait vaguement parlé de la Grande Prêtresse des Loups. Il m'avait dit qu'un jour elle me guiderait vers ma destiné et que je devrais avoir une confiance aveugle en ces paroles.

Une autre serie de flashes m'inondait ; une île en contre-plongée… puis une lune, d'une telle brillance qu'elle semblait recouverte d'or… de nouveau l'île. Alors que je revenais à moi… une nouvelle vague de visions ; Sur l'île, Drach'nyen… mon fils, à… à ses cotés !!!!

Je me précipitai alors dans les quartiers de Lben afin de lui faire part de ces visions. Il n'y avait pour lui aucun doute sur l'île que j'avais vu : c'était Goldmoon. Il n'ajouta rien sur la femme en robe blanche, si ce n'est que j'en saurai bientôt plus par moi-même.

Il n'y avait pas une seconde à perdre, nous devions partir sur le champs pour cette île. Une seule chose devait être réglée avant mon départ : il fallait quelqu'un de confiance pour gouverner en mon absence. J'avais besoin de la sagesse de Lben à mes cotés pour me guider et les nobles ne connaissaient pas encore assez Setwolf pour lui obéir aveuglément. Galros me jura fidélité et il reçu ma bénédiction, j'avais pleinement confiance en lui.

A peine quelques heures plus tard, nos destriers étaient enfin prêts.
__________

Notre voyage allait être long et périlleux. Il nous fallait rejoindre la ville des mercenaires, dans le nord est d'Asaheim, qui était sa seule ville portuaire dont les navires avaient pour destination Goldmoon. Les relations commerciales entre ces deux royaumes étaient inexistantes, les marchands d'Asaheim jugeant Goldmoon peu recommandable. Seuls les mercenaires à la recherche d'aventure et de trésors perdus s'y rendaient. Mais pour y arriver nous devions traverser les Terres de Désolation où les orcs étaient les maîtres, et surtout les Crocs de Fenris, la chaîne de montagnes réputée pour ses nombreux dangers. Lben et Setwolf redoutaient cette dernière traversée dès le départ de notre périple. Rien que celle des Terres de Désolations ne les enchantait guère, et à vrai dire moi non plus. Mais quelque chose en moi était attiré par Fenris. J'avais hâte de retrouver les êtres qui furent mes premiers maîtres, les loups.

Notre passage sur les Terres de Désolation se fit sans encombre. Les quelques orcs que nous croisions se tenez toujours à une bonne centaine de mètre de nous, sans doute avaient-ils reçu le message de Gunkahl.

Trois jours s'écoulèrent depuis notre départ. Nous mettions enfin le pied sur les glaces de Fenris. Dès lors, je me sentis soulagé. La nuit approchait et j'amenai mes deux compagnons à la grotte où Sigmar m'avait trouvé. Nous allions y passer la nuit, autour d'un bon feu.

La nuit tombée, la pleine lune brillait dans un ciel sans étoiles et les premiers hurlements de loups se firent entendre. Setwolf n'était pas bien à l'aise, et Lben l'avait bien senti. Il lui dit alors qu'il n'avait rien à craindre avec le '' Fils de Fenris ''. Je ne l'avais jamais entendu me nommer de la sorte, ni lui ni personne d'ailleurs, pas même Sigmar. Je suppose qu'il faisait allusion aux circonstances de ma rencontre avec Sigmar.

Je décidai d'aller faire un tour dans les environs afin de rencontrer mes frères d'enfance, c'était pour moi une manière de renouer avec mes racines.

Un vieux loup vint à ma rencontre. Il était gris foncé, avec un croissant de lune blanc sur la partie frontale de sa tête. Il fut bientôt rejoint par quatre autres loups, plus jeunes. Il me fixèrent droit dans les yeux. Les souvenirs de ma vie passée dans les montagnes étaient très flous, mais j'avais l'impression de les avoir connus.

Je ne sais pas combien de temps cet échange de regards dura, mais au bout d'un moment, la femme de mes visions apparu au milieu des cinq loups. Les présentations entre elle et moi étaient inutiles. Elle me présenta tout de même Thorolf, le loup au croissant de lune, et Freki et Geri, deux frères loups. Elle me rappela que c'était grâce à Thorolf que je fus accepté par la meute. Il m'avait protégé des autres loups alors que je n'étais qu 'un bambin et il était devenu le Loup Suprême de Fenris, ayant vaincu en duel son prédécesseur Morkai. Je demandai alors à la Grande Prêtresse des Loups qui j'étais et le pourquoi de ces visions. Sa réponse fut que je n'étais pas encore prêt à l'entendre. Elle me dit alors de me préparer, Ogham avait décidé de l'heure de mon initiation... et apparemment l'heure était venue.

Avant que j'eus le temps de lui demander qui était Ogham, elle avait disparu. Freki, Geri et les deux autres jeunes loups s'écartèrent, me laissant seul, face à Thorolf. Ce dernier avait retroussé ses babines, mettant en évidence sa puissante mâchoire, comme s'il voulait m'attaquer. Je ne comprenais plus ce qu'il nous arrivait. Il me bondit dessus, comme enragé. Mon cou fut à plusieurs reprises à portée de ses crocs, mais il ne paraissait pas vouloir me porter le coup fatal. Je le repoussai violemment. Il était pour moi hors de question de tuer l'être grâce auquel j'avais survécu dans les montagnes de Fenris. Inconsciemment j'avais sorti ma lame de son foureau. Il me chargea une ultime fois, feignant de me mordre le cou. Mes réflexes dépassèrent ma pensée et dès que je sentis ses crocs, ma lame alla s'enfoncer directement dans son abdomen. Il fut projeté à terre et les quatre jeunes loups hurlèrent. Thorolf était à l'agonie, je ne pouvais pas le laisser ainsi. Le coup fatal s'imposait, malgré moi. Les loups cessèrent leurs cris. Un croissant de lune apparu alors sur mon front, comme si ce fameux Ogham avait confirmé mon initiation.

Les jeunes loups m'accompagnèrent dans une grotte où ils m'aidèrent à creuser la tombe de Thorolf. La Prêtresse réapparut à ce moment. J'étais devenu le Loup Suprême de Fenris et, malgré mon appartenance à la race humaine, aucun loup de la meute qu'on me présenta par la suite ne protesta. La communication entre nous se faisait essentiellement par le regard. La femme me révéla que j'avais été choisi par Ogham, et que je serai à la tête d'une communauté, dont faisait parti la meute, qui anéantirait la menace qui avait jadis éliminé les elfs et qui guettait à présent les hommes. J'en saurais d'avantage sur cette communauté en Goldmoon.

Setwolf et Lben en faisaient désormais partie... nous étions des Loups de la Lune. Je les présentai alors à la meute et je fus stupéfait de voir à quel point Setwolf et les loups s'entendaient, un peu comme si lui aussi avait vécu avec eux. Il m'assura que non, et que cela lui venait probablement de ses origines. C'est à ce moment qu'il remarqua la marque sur mon front, et il sursauta. Puis il me montra une marque qu'il portait dans son dos : le même croissant de lune. Cela expliquait bien des choses. Mais une fois de plus, la Prêtresse avait disparu avant d'avoir répondu à mes questions. Nous nous sommes alors remis en route.

Notre voyage jusqu'à Goldmoon se passa très bien. Notre route croisa celles de nombreux aventuriers qui se joignirent à nous dans notre quête contre le mal, en particulier sur Goldmoon. Il y eut un grand guerrier du nom de Ragnar qui attira particulièrement mon attention. Sa douceur m'impressionna, surtout de la part d'un guerrier de cette carrure. Nous avions l'air tous les deux aussi surpris l'un que l'autre par cette rencontre... il portait une marque sur l'épaule gauche, c'était la troisième fois que je la voyais.
__________

Je commence à en connaître un peu plus sur ma destiné.

La Prêtresse des Loups m'a apprit il y a quelques semaines pourquoi Sigmar m'avait élevé et tant protégé. Il semblerait que je sois la réincarnation d'un elfe nommé Aenarion qui avait annoncé la première Prophétie. La Prêtresse m'a demandé de partir à la recherche des Onzes. Je suppose qu'elle parlait des onze autres prophètes mais je ne sais pas où chercher. Elle a juste ajouté que notre union était scellée dans le sang.

Peut-être sont-ils des frères, des parents, ou même des Lunar Wolves ?

Il y a tant de questions qui restent sans réponse.
__________

J'ai fait un rêve la nuit dernière, ou plutôt j'ai eu des visions. Une cité, au milieu des glaces, probablement sur Fenris. Enfin non, il n'y avait pas de doute ; bizarrement, je savais que c'était sur Fenris. Je connaissais même son emplacement exact et ce qu'elle était : la Cité perdue des loups.

Une vieille légende raconte qu'avant la première Prophétie, il y avait sur Fenris une petite communauté d'elfes qui vénéraient le culte des Loups. On dit que parmi ces elfes vivaient les douze Prophètes qui annoncèrent la Première Prophétie et qu'à la suite de la venue de l'Haruspice, la cité qu'avait bâti cette communauté au fil des siècles s'était séparée de Fenris, dérivant ainsi éternellement sur le vaste océan qui entourait la contrée ; on les appelait les Prophètes d'Ogham.

A mon réveil, je présentais que certaines des réponses que je cherchais s'y trouvaient. Durant l'hiver fenrissien, le froid est d'une telle intensité que l'océan des alentours est glacé, emprisonnant l'île de la cité perdue. L'hiver est bientôt terminé et je dois me dépêcher car je connais son emplacement actuel, mais après la fonte des glaces, la cité sera libérée et elle continuera sa dérives. Je partirai dès ce soir sur cette mystérieuse île.

Que la Grande Prêtresse des Loups guide mes pas.
__________

Mon pèlerinage à la cité perdue dura une quinzaine de jours. C'était désert, mise à part la végétation il n'y avait aucune trace de vie. Une grande partie du temps que j'ai passé là-bas a été consacré à méditation dans la sanctuaire. C'était un lieu magnifique. Le sanctuaire donnait l'impression d'avoir été entièrement taillé dans la roche, avec à l'intérieur des rangés de colonnes dépassant les dix mètres de haut. Le plafond s'était écroulé, laissant ainsi pénétrer la douce lumière du soleil. Une végétation luxuriante avait envahi l'intérieur ; on voyait par exemple des lauriers grimper le long de ces colonnes et de la mousse verdoyante pousser sur les dalles du sol. Au fond de la pièce se trouvait un magnifique autel lui aussi sculpté dans de la pierre, mais pas n'importe laquelle : de la pierre de lune. Les sculptures de l'autel représentaient une louve combattant un être hideux, probablement l'Haruspice. La louve était entourée de douze croissants de lune. J'ai aperçu un os appartenant à un bras derrière l'autel et en m'approchant, j'ai vu le squelette d'une personne en robe de cérémonie. C'est en cherchant un peu que j'ai trouvé onze autres squelettes tous en robes de cérémonie éparpillés un peu partout dans la salle.

Je sentais qu'une forte énergie mystique se dégageait de ce lieu et je décidai de commencer une longue méditation dès le deuxième jour passé là-bas. C'est alors que les Anciens sont entrés en contact avec moi. Ils m'ont ouvert les yeux, sans utiliser de langage précis, sur la réalité de l'Haruspice. Ce dernier c'est présenté comme un justicier, punissant les civilisations pour leurs méfaits. Mais il ne faut pas oublier qu'il a déjà anéanti deux ou trois civilisations parce qu'elles ne correspondaient pas à son idéal. De quel droit peut-il juger si une civilisation mérite de vivre ou non ? Jusqu'à aujourd'hui nous, les humains, nous sommes plus ou moins inclinés devant lui. Nous essayons de correspondre à ses exigences au lieu de chercher un moyen de le combattre. Les nains sont les seuls à s'être battus ; ils ont été réduits à néant sans doute parce qu'ils n'étaient pas prêts pour ce combat. Mais là où ils ont échoué, nous réussirons.

Le dernier jour, les Anciens m'ont aussi permis d'en apprendre d'avantage sur Aenarion en créant un lien psychique entre nos deux esprits. Aenarion est en fait en moi, mais tant que nos esprits n'auront pas fusionné, nous n'auront pas d'autre moyen pour communiquer que celui qui vient de nous être accordé par les Anciens.

Aenarion faisait parti des douze prophètes elfes, comme me l'avait signaler la Grande Prêtresse. Il m'a dit qu'il y avait un moyen de reconnaître les onze autres Avatars (hôte des Prophètes), que je trouverai ce moyen en temps voulu et que nos chemins allaient forcément se croiser. Le premier squelette que j'avais trouvé était en fait le sien, et avec les onze autres Prophètes, il préparait une incantation.

Mais soudain, au moment où il allait me révéler quelle cérémonie il préparait, la liaison psychique fut rompu et le sol se mit à trembler. Les quelques colonnes qui étaient restée debout se mirent à vaciller. Je me précipita dehors, évitant les débris qui tombaient des murs. Heureusement, le sanctuaire était proche du bord de l'île, ce qui me permit d'atteindre rapidement le sol gelé de l'océan. La glace autour de l'île se fendit et la cité coula sous mes yeux, comme attirée vers le fond. Un rire machiavélique se fit alors entendre. Je venais d'échapper de peu à la noyade ; une minutes dans ces eaux gelée et mon corps se transformait en glaçon. Mon pèlerinage était fini et je me mettais sur le chemin du retour avec des réponses mais aussi avec de nouvelles interrogations.

***alors que vous tournez une page, un grand mage vous interromp dans votre lecture, sans doute le responsable de la bibliothèque. Il vous retire violament le journal des mains en vociférant "que faites vous dans cette partie de la bibliothèque??!! c'est interdit au public ici!!! nous n'aimont pas les curieux! qu'avez vous lut de ce manuscrit??!! Répondez!!"***
***vous remarquez que la pierre au bout du septre du mage commence à s'illuminer. "Je ne sais jusqu'où vous avez lut mais ce savoir ne doit pas sortir de ce lieu!!! Je suis désolé pour vous..." avant même que le mage ne finisse sa phrase, vous renversez brusquement une bibliothèque sur le vieille homme et vous en profitez pour vous echapper. Au bout de dix longues minutes à chercher la sortie avec à vos trousses un mage hurlant de rage, vous trouvez enfin la sortie de la bibliothèque et la foule de Lightaven...***

http://www.multimania.com/lunarwolves/image/membres/Horus2.JPG

Par Aekol le Sombre le 23/2/2002 à 13:16:48 (#1004680)

Si Games Workshop tombe dessus ouille ouille ouille ;)

Tres beau recit ;)

Aekol(d le Miraculeux)

Par Lord Horus le 23/2/2002 à 13:41:03 (#1004877)

me fallait bien une source d'inspiration pour les noms ;p

Cependant merci pour le compliment ;)

Par Darmys DeMizhar le 23/2/2002 à 15:32:22 (#1005631)

Bonjour Folio Junior? Oui on a un ecrivain ici, oui doué wouais ok jenvoi son texte :pp

Non mais....
tres joli :))

Par Taramir Valdamor le 24/2/2002 à 22:03:42 (#1016424)

Très intéressant...

*essaye d'en savoir plus, demande à ses informateurs*

Par Lord Horus le 25/2/2002 à 8:32:26 (#1019595)

Hum... vos informateurs devraient allé voir de ce coté:
*pointe son doit*
Registre des Loups de la Lune ;)

Au plaisir Messire le Duc



Un simple bibliothéquaire (non non... C pas Rurus :p)

Par Opale le 25/2/2002 à 19:34:08 (#1023242)

*relit tout ca avec le plus grand plaisir* *s'aventurera plus souvent la nuit dans la bibliotheque* ;)

Par El zar le 5/3/2002 à 1:01:16 (#1064861)

Cher Lord Horus, c'est un plaisir que de vous retrouver sur ce forum.
Votre histoire me plait toujours autant et j'espère que j'aurai le plaisir de parler avec vous d'ici peu au cours d'une rencontre RP.
En ce qui me concerne j'attendrai de finir de mettre mon histoire à jour avant de la poster sur ce forum.

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