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Recueil de poèmes
Par King Nerkata le 19/2/2002 Ă 2:56:00 (#971492)
Cette petite ville portuaire
Vieille de plusieurs millenaires
S'élève toujours aussi fierement,
Aux aventuriers et autres marchands.
D'une architecture élaborée
Ornée de jardins toujours ensoleillés,
Elle est un véritable havre de paix
OĂą il fait bon vivre et se ballader.
Des habitants travailleurs et courageux,
Pecheurs ou bien simples paysans
C'est ce que l'on trouve en ses lieux,
Une magnifique diversité de gens.
Cris d'enfants et chants d'oiseaux
Mais aussi presence de nombreux animaux
Tel est l'atmosphere des rues du Duché
Où la promenade est enchantée ...
C'est la raison pour laquelle
j'y ai acheté une maison
Et que je trace l'aquarelle
De cette sombtueuse région
http://nerkata.multimania.com/forum/windhowl.jpg
Par Lloyd Winglies le 19/2/2002 Ă 4:01:23 (#971793)
Par King Nerkata le 19/2/2002 Ă 4:40:03 (#971952)
Un autre poème ....
Par King Nerkata le 19/2/2002 Ă 5:09:11 (#972077)
La vérité, vertue parmis d'autres,
Elle ne me merite pas, pas plus que les autres,
J'aimerais parfois la dire, parfois la penser,
Mais je ne sais pas, ou plutot j'ai oublié...
L'amour, Passion suprème, essence divine,
Je ne l'ai que peu cotoyé, elle est pourtant sublime,
Il est parfois bon d'aimer lorsque l'on en puis plus,
Malheureusement je ne sais pas, ou plutot je ne sais plus...
L'amitié, mère de toutes les erreurs,
Pour elle on se damnerais, en lui ofrant des fleurs,
J'ai eu beaucoup d'amis, je les regretterais,
Manque de chance il ne le savent pas, ou plutot ne le savais...
La vie, la plus dure des experiences,
Les ames ne s'en remettent pas, elles vont a la potence,
J'aurais aimé l'avoir, la vie,
Mais je ne sais plus, ou plutot n'ai jamais apprit...
Par King Nerkata le 19/2/2002 Ă 5:17:11 (#972099)
Par delà les contrées, au delà les journées,
J’ai migré tout l’espoir des cieux et des mers,
Celui d’un cycle fringant, celui d’une bise levée,
D’un frère pour une sœur, d’un fils pour sa mère,
L’espoir d’une vie bien trop peu agayée,
Que le chant dÂ’un oiseau, que le hurlement du vent,
D’un chatouillement lointain dont la remarque se fait aisée,
Celui d’un éternel moment, figé, un instant.
Qui sait si un jour tu remplumeras mon cÂśur,
De ton aura féline qui a su m’amadouer,
De ton âme si profonde et tant convoitée,
Si loin de moi peut on nommer douleur.
Mon amour tu mÂ’ennivres lorsque tu froles mes sens,
Mon amour je tÂ’envie lorsque tu captes cette danse,
Celle là même qu’ensemble nous abordâmes,
Celle dont la vie nous abordions les trames,
Si un jour mémorable où tu refoulerais ces terres ..
LÂ’envie te venait dÂ’arborer de nouveau mon cÂśur ..
Je serais là pour toi mon ange des ères ..
Pour toi j’irais traverser mers et déserts ..
Â…
Revient moi mon cÂśur ..
Je perds de ma valeur ..
Sans toi mes peurs ..
Innondent mes pleurs ..
Par King Nerkata le 19/2/2002 Ă 5:21:02 (#972112)
Ces trésors qui nous ont fait, tout ces souvenirs, ces baumes au cœur,
Ainsi que la folie qui nous saisit et nous taraude lÂ’ardeur,
Tout comme la haine, lÂ’incandescente vertu du pervers
Que ce soit en fuite ou en ballet, en fugue ou en calvaire,
Cette humaine perfection, cette existence remplie
Se dépouillera des ornements fallacieux, le jour du grand Départ
Car la Vie est un banquet-bordel, une orgie,
Un vestiaire, une oboleÂ…un contenant Ă©pars.
Nos vides adultères la convoitent, s’ouvrent vers cet unique à -voir .
Mais nos fantasmes ne sont que pillages, et mémentos d’avoir
Fous que nous sommes ! Illusoires pesmergas !
Ne savons nous pas qu’au réveil, rien ne nous restera ?
Mais voilĂ le crime commis, car on ne veut pas rentrer bredouille
Et c’est nos mains sales, chargées d’un crime nécessaire, que nous courons
Rongeant le temps imparti, pour, croit on, ne pas mourir nouille
En vain, car la Mort, cette surveillante, couvre déjà nos talons
Dans la folle poursuite, semant notre larcins Ă mĂŞme nos traces
Sous nos cents-pas apeurés d’échappée que la Vie harasse,
Viendra le jour ou nous marcherons sur notre impropre pied
Et tomberons, à la grande joie de notre poursuivant affamé.
Notre corps appartient Ă la Mort, et nos souvenirs Ă la Vie ;
La Charogne a deux visages : il faut dévorer deux « je suis ».
Avec de la chance, la Vie prendra un de nos os comme trophée
Qu’il laissera sur son étal, sous la convoitise d’autres tarés.
Notre erreur a été de vouloir tout posséder
Stupides d’avoir laissé la peur nous conseiller
Car dans tout cela, nous avons perdu de vue lÂ’important
Qui était simplement de crier « Moi, je vis maintenant ! »
Pourtant, mĂŞme si nos souvenirs sont emprunts
Même si réduits au néant le plus pathétique, notre cri
Magnifié d’Amour et d’agonie gardera chez la Vie
La trace de notre passage faquin.
Par King Nerkata le 19/2/2002 Ă 5:23:52 (#972125)
Amicalement, King
Longue vie au Roy!
Felicitation!
Par Arwen Dracks le 19/2/2002 Ă 8:50:24 (#972528)
Continu a nous emerveiller avec de beaux poemes.
Par Fragtux Arco-Gr le 19/2/2002 Ă 8:52:56 (#972537)
en effet
Par Brianos le 19/2/2002 Ă 10:58:06 (#973142)
Par Kaoryo des Ctcs le 19/2/2002 Ă 11:34:41 (#973415)
Humm.... Bravo je ne savasi pas que tu avasi ces talents continue donc ainsi c'est super :)
Par Noa le 19/2/2002 Ă 11:37:18 (#973432)
Par AĂ«randis le 19/2/2002 Ă 11:39:44 (#973467)
Un nouveau barde est né à WH :)
Par King Nerkata le 19/2/2002 Ă 16:13:22 (#975586)
Amicalement, King
Longue vie au Roy!
Par King Nerkata le 19/2/2002 Ă 16:41:30 (#975800)
Une nuit sans lune, parfaite obscurité,
OĂą une femme met au monde son enfant.
Le ciel pleure en voyant couler son sang,
Rouge sombre, couleur de mort et atrocité.
La pluie ruisselle sur son corps ensanglanté,
De nombreux gémissements emplissent la nuit.
Les larmes coulent sur les joues de la rejetée,
Voilent le ciel où derrière les nuages, la lune luit.
Mais tout s'arrête, la mort l'a emporté,
Ainsi que son pauvre enfant mort-né.
Le ciel pleure toujours sur son corps,
Engloutissant les ravages de la mort.
Les hommes, dans leur douce chaleur,
N'entendaient pas ses cris et ses pleurs.
OĂą peut-ĂŞtre ne voulaient-ils pas voir,
Qu'autour d'eux tout est bien trop noir.
Des nombreux enfants naissent sans pères,
Finissent morts, noyés par des larmes amères.
De nombreuses femmes perdent leur Ă©poux,
Finissent mortes, rejoignant leur aimé si doux.
Mais le malheur des uns fait le bonheur des autres,
Alors pourquoi chercher Ă apaiser leur souffrance ?
Si le sombre malheur frappe aux portes des autres,
Pourquoi les aider, risquant d'illuminer leur existence ?
Par King Nerkata le 19/2/2002 Ă 16:50:50 (#975884)
A toi Idjiin, disparue je ne sais oĂą ....
Un coeur peut-il changer ses sentiments ?
Oublier, effacer un être aimé totalement.
Ne plus penser à celle si longtemps adoré,
Défaire le lien unissant leur deux âmes liées.
Un homme peut-il effacer ses promesses,
Gravé dans un coeur avec tendresse ?
Peut-il vraiment oublier pour toujours,
Celle qu'il a enveloppé de son amour ?
Un ĂŞtre peut-il oublier dans son coeur,
Tout ses moments partagé avec douceur ?
Peut-il effacé à jamais celle qu'il a adoré,
Pour une autre, avoir un amour passioné ?
Comment un coeur pourrait-il oublier,
Qu'à une autre il aurait tout donné ?
Comment peut-il promettre d'aimer,
Une autre, par son amour aveuglée,
Qui préfère ne pas voir ce sentiment,
Envahissant toujours son ange charmant.
Par King Nerkata le 19/2/2002 Ă 16:53:47 (#975913)
Les vents sur nos terres se sont mit Ă hurler
Est ce des dieux la colère qui ainsi se manifeste ?
Les vents sur nos terres se sont mit Ă hurler
Ou une Ă©preuve soumise quÂ’ils envoient tel un test ?
La mer s’est gonflée et tel un monstre a surgit
Avalant les bateaux amis ou ennemis
La mer s’est gonflée et tel un monstre a surgit
Recouvrant de ses flots tant dÂ’insignifiantes vies
Tempête destructrice qui nos rêves déracine
De ceux qui attendent, guettant chaque soir
Tempête destructrice qui nos rêves déracine
Ne pourra arracher ce quÂ’il leur reste comme espoir
Car ta rage ô tempête finira essoufflée
Te mettant hors dÂ’haleine et ta course terminer
Car ta rage ô tempête finira essoufflée
Et les hommes pourront de nouveau vivre et s'aimer
Par Rufy-o le quot;Brownquot; le 19/2/2002 Ă 17:22:39 (#976161)
Les actualités de Wh, avec Rufy-o Brown bien sur:
Vous le savez, les seraphs xp power, c'est ma grande passion.
Alors en effet, les voleurs de Wh ont sont plutot tendance Amu héros/plastron océane.
C'était les actualités de Wh, avec Rufy-o Brown bien sur;
Vous le savez, les seraphs xp power, c'est ma grande passion.
Par Tamerdo Brown le 19/2/2002 Ă 17:46:49 (#976393)
*essaye de décoller ce Brown*
ARf il est collé OUIIINNNn :sanglote:
*essaye de mettre du typ-ex*
Arf mon Ă©cran il est tout salle :(
Bon bah je le garde mais tu ne me mérite pas en tant que frere
Ps : coucou pitit ze suis rentré de vacance
Par Snaky Chylls le 19/2/2002 Ă 17:51:58 (#976457)
J'aime
J'aime la pluie qui ruiselle sur mon visage
Et ses délicieux picotements
Je vis avec rage
Je vis en aimant
Chaque goutte d'eau
Chaque brin d'herbe, chaque instant
Qui réveille sur ma peau
L'écho de sensations défiant le temps...
J'aime la chaleur du soleil
C'est comme une incroyable caresse,
Une invitation Ă l'Ă©veil,
Une initiation Ă la tendresse...
J'aime la vie
J'aime la douceur
Qui est plus immortelle que l'infini
Qui est la plus belle symbolisation du bonheur...
J'aime la lumière irrisée
Et ses couleurs changeantes
J'aime lunivers inexploré
Et ses Ă©toiles brillantes...
Aimer c'est plus fort que l'Ă©motion
Plus intense qu'une sensation
Plus vrai qu'un rêve inachevé
Plus grand que l'immensité...
Mais t'aimer si c'est impossible
Ce n'est pas aimer.
L'amour ne connait pas de cibles
Pas de limites pas de frontières inventées.
T'aimer si c'est une réalité
C'est oublierl'instant présent
C'est vivre avec intensité
C'est le vouloir aveuglément.
Non non , je vous promets il est destiné a personne :ange:
Par King Nerkata le 20/2/2002 Ă 0:27:40 (#980182)
Le chant des anges s'élève dans les cieux
Je plane tel l'oiseau que rien ne retient
Si libre que mon corps même ne pèse rien
Plus rien de compte désormais en ces lieux
Mon âme s'évapore de tant de bonheur certain
Qui saura l'arrĂŞter, mais qui osera l'attraper
Nul ne sait mieux que moi ce qu'est le divin
Le plaisir suprême de n'être plus que pensée
Une vision éphémère, peut être juste une idée
Une sensation de bien ĂŞtre, tout simplement
S'abandonner corps et âme, totalement
N'être en sommes qu'ici, avec toi mon aimée
J'ouvre les yeux et je suis dans tes bras
Un sourire illumine ton si doux visage
Je chavire, mÂ’Ă©chouant sur tes rivages
Le paradis est la, ne le cherchez pas ....
Puis je revient brutalement à la réalité
M'aperçoit que tu n'es pas à mes côtés
Une larme parcourt mon minoi
Tu me manques tant, je ne suis rien sans toi
Par King Nerkata le 20/2/2002 Ă 0:47:19 (#980341)
Il Ă©tait beau, ce monde, quand les hommes naquirent
Althéa tout entier n'était que beau et paix
Ils apprirent Ă vivre, ils apprirent Ă rire
Tous y étaient liés par un langage muet
Il devint las, ce monde, quand apparurent les mots
Instrument de conflit, la parole prit son règne
Des groupes se formèrent, devant des idéaux
Peu voyaient donc en soi l'humanité qui saigne
Il fut triste, ce monde, quand vinrent les chimères
Des idéaux des hommes, ainsi naquirent les Dieux
Illusions rassurantes, et mobiles Ă la guerre
Epaules majestueuses, rendant les hommes surs d'eux
Il est toujours, ce monde, oĂą les Dieux illusoires
Servent à l'humanité comme un grand exutoire
Personne n'est responsable, les Dieux ordonnent leurs gestes
L'humanité ainsi se croit digne de reste
Il doit changer, ce monde, les rĂŞves doivent cesser
Ouvrir bien grand les yeux, voir ces divinités
Tomber en fine poussière, dans un nuage de songes
Et voir enfin de quoi l'humanité se ronge
Il sera beau, ce monde, quand reviendra la paix
Et les Dieux oubliés, sans fidèles disparaitre
Perversions de l'esprit, le regard enfin clair
Vaincues par ses créateurs, et par l'amour, fiers
Et il restera beau, ce monde empli de paix
La seule foi en l'homme, du jugement nous sauvera
Ainsi serons nous dignes, et ce Ă jamais
RĂ©pandre autour de nous, l'amour... et la joie
Puissent la paix et l'amour vous guider dans vos actes et ouvrir vos yeux...
Voila, je viens de lire un texte sur les redempteurs, j'éspère que ce poème traduira bien leurs pensées
Par King Nerkata le 20/2/2002 Ă 2:37:41 (#981050)
sinon, ton poèeme est zoli snacky, mais c un thread consacré aux miens :D
donc ce serait gentil de vôtre part d'éditer et de faire des remarques constructives (eloges ou critique) en rapport avec ce thread ou de demandé a un modo de supprimer vos reponses.
merci bien, king
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