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A NIJEL
Par l'angelot le 20/10/2000 à 21:28:00 (#65858)
TA GUILDE M'A L'AIR INTERRESANTE ET L'HISTOIRE EST VRAIMENT BIEN MEME SI ELLE FAIT BEAUCOUP PENSE A "PUG L'APPRENTI" DE FEIST (CHRONIQUE DU KRONDOR)
peut etre je vais me laisse tenter
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LE SAINT
Par Nijel le 21/10/2000 à 11:03:00 (#65859)
GK ferait du plagiat ?!
GK notre écrivaine qui a un talent hors pair, mais je l'ai plus vu depuis un bail :( :( :(:
...
Merci de ton compliment...Je ne sais pas si tu t'es inscrit ?...
Par Nijel le 21/10/2000 à 20:19:00 (#65860)
Par l'angelot le 22/10/2000 à 0:56:00 (#65861)
DONC JE NE SUIS PAS INSCRIT MAIS JE VAIS Y REMEDIER DIMANCHE PROMIS
DES QUE C'EST FAIT JE TE PREVIENS NE T'INQUIETE PAS
JE TE CONSEILLE CE LIVRE "PUG L'APPRENTI" DE FEIST
LA MAJUSCULE CAR HELM LE VAUT BIEN
Par l'angelot le 22/10/2000 à 1:24:00 (#65862)
ENCORE MOI SAIS-TU SI GABRIELLE FERA LA (UNE) SUITE DE L'HISTOIRE DE LA GUILDE ???
QUELLES SONT LES CLASSES LES PLUS PRESENTE DE LA GUILDE???
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LE SAINT
Par Nijel le 22/10/2000 à 8:50:00 (#65863)
J'ai pas vu Gabrielle Knight depuis un moment : elle est en déménagement, et pris par son boulot :(
Peut-être que sa ligne téléphonique n'est pas installé :(
Les classes qui dominent ?
Il y a les sorciers, les paladins...
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Sage, et fier de l'être...
Webmaster de l'Iris de Cristal : bg2.multimania.com
Flaneur des Huits Vertus
Futur moine ;)
Par l'angelot le 22/10/2000 à 17:00:00 (#65864)
ALORS J'HESITE MON GUERRIER CLERC OU LE GUERRIER DRUIDE???
A TON AVIS LEQUEL EST PREFERABLE??
POUR LA GUILDE ET POUR BG2
Par Baerauble le 22/10/2000 à 17:45:00 (#65865)
C'est tout à fait impossible car elle n'a pas que fait l'histoire d'une guilde mais de deux
elle a aussi ecrit deux prélude de personnage dont voici la mienne
Alyr, Druide Vengeur des Séléanes, Semi-Elfe 90 ans, TN
Assis en tailleur au pied d'un grand chêne, au sommet du promontoire, il contemplait l'à pic et la vallée qui s'étendait, étirée, au long de la rivière Khadçudhul. Lassive et presque paresseuse, cette traînée de nacre miroitante, gravait à travers les siècles en son lit, lhistoire des pêcheurs et des elfes sylves de cette contrée. Pour être né dans ces forêts luxuriantes, Alyr possédait une fibre particulièrement sensible aux parures des saisons. Limperceptible nétait plus, il sexpliquait dans le vol de lépervier ou du cygne, par le cri du renard ou le brame du cerf, par léclosion des orchidées au creux des branches ou par la pousse des champignons
Régénéré à chaque inspiration par les senteurs entêtante de lhumus et des plantes, immobile et silencieux, le demi-elfe semblait se fondre dans la roche sur laquelle il se tenait en tailleur comme une proue de navire au-dessus des bois. Statue imperturbable sur une mer végétale, lenfant de la forêt écoutait bouillonner en lui, les mille bruits et odeurs de cet univers émeraude. Telle une bulle immatérielle, sa conscience dansait autour de lui, irisant lair comme le soleil majeur au travers des pierres de quartz. Il se laissait totalement investir par les énergies du Ka de la terre, tout à son bonheur de cette communion avec la Nature.
Et des souvenirs affluèrent soudain, des images qui malheureusement refusaient de se perdre au fil du temps comme les larmes sous la pluie
Ils saccompagnaient toujours dune profusion de sentiments douloureux, injustice et cruauté gratuite, dégoût des hommes et de leur soif de destruction, incompréhension et révolte. Cela cétait déroulé dans cette vallée, il y a de nombreuses années. Plus de six fois deux mains, pendant lesquelles, saisons après saisons, il avait tenté de chasser le drame de son esprit et avait forgé sa vocation.
Mélusine était une humaine charmante, dune nature douce et toujours ravissante car, malgré le passage des ans, une joie intérieure illuminait son visage de sourires radieux pour y gommer loutrage du temps. Enfant, elle avait été recueillie par les elfes et sétait si bien intégrée à cette population accueillante de la forêt de Séléane, quelle ne les avait jamais plus quittée, y fondant un foyer avec Sioban Ormeclair, un elfe dune grande prestance, cousin du chef du clan. Ils élevaient leurs deux fils jumeaux, Alyr et Nathyel, dans une cabane suspendue dans les frondaisons. Tout le village dailleurs sétageait dans les branches dun groupe de chênes et de charmes plus que centenaires. Cela sétait déroulé en pleine renaissance de la nature, un matin de printemps au trentième anniversaire des jumeaux
sétait si proche dans les souvenirs dAlyr ! Une troupe importante dune centaine de bûcheron et de pillards avait investie la partie sud de la forêt pour y piller des essences rares en particulier le Teck, bois imputrescible recherché pour la construction navale et sur pilotis ainsi que des meubles de la haute bourgeoisie. Alyr et Nathyel, au mépris de toutes les recommandations sétaient aventurés au plus près de la zone de travail des bûcherons étroitement surveillés par les portes casques. La désolation quils contemplaient navait pas de nom. Les plus beaux arbres, les plus vigoureux étaient systématiquement abattus et tout ce qui pouvait gêner leur évacuation était brûlé, piétiné, détruit parfois sans véritable motif que de gagner un peu de temps ou de maintenir le feu allumé. Une odeur acre de broussailles et de bois vert en combustion se mêlait à celle de sève et de coupe fraîche qui flottait sur le chantier. Nathyel se penchait à outrance pour distinguer mieux les allées et venues des hommes tout à leur sinistre ouvrage. Et la branche sur laquelle les deux enfants se trouvait, cassa brutalement dans un grand fracas. Aryl, sonné, avait roulé sous un buisson tandis que Nathiel inconscient gisait en travers de la branche aux vues et aux sus de tous. Il fût découvert presque immédiatement par les bûcherons alarmés. De retour au village, blessé, Aryl fût vertement tancé et les chasseurs elfes du clan ourdirent un plan pour délivrer Nathyel. Lexpédition tourna court car Nathyel reparu, très faible et boitant, la hanche fêlée. Il avait été relâché pour mieux être suivi : une horde de soudards alléchés par lespoir de faire des prisonniers et des esclaves, déferla sur le village comme les sauterelles sur un champ de blé. Survivre à lhorreur indicible de cette soirée fût une gageure pour les quelques réchappés. Alyr perdit son père, sa mère et son frère jumeau. Les quelques chasseurs qui avaient pu prendre la fuite ainsi quune ou deux femmes, jurèrent de sinstruire et de se convertir au culte de la Nature pour venger ce sang et laver le monde de lorgie destructrice de certains hommes.
Des larmes coulaient sur ses joues. Il se remémorait ses années passées au plus profond de la forêt avec un vieil ermite, apprenant les arcanes de la magie de la Nature. Plusieurs fois, il s'était absenté avec un ami rôdeur qui passait régulièrement les voir pour retrouver dans d'autres parties de la forêt, les bûcherons. A chaque fois, ils posaient des pièges, truffaient le sol et les branches de sournoises chausses-trappes, collets, lacets, balanciers et baies empoisonnées. Il appelait les foudres du ciel sur le campement des hommes et ils les abattaient un par un dans la brume ou sous un ciel en tempête lorsqu'ils s'enfuyaient, apeurés cherchant refuge sous les arbres qu'ils détruisaient. La nuit, faisant appel aux loups, ils les empêchaient de dormir en les obligeant à se relayer autour du feu pour éloigner la meute tournant en cercle autour d'eux.
Aujourd'hui encore, la soif de vengeance dévore ses entrailles et son maître mourrant malgré ses discours modérateurs n'avait jamais pu l'éteindre. Cette voix rendue sifflante par la maladie résonnait encore à ses oreilles.
«Pourquoi, mon fils, tégarer sur les chemins de la colère et de la destruction ? Pourquoi tarrêter sur le chemin ardue de la maîtrise de ton esprit ? Quas-tu fais de mes conseils, si ce nest entraîner avec toi ces jeunes coureurs des bois au sang bouillonnant ? Turbulent, toujours impatient. Trop jeune, trop vif, tu as pourtant la carrure et lavenir dun Archi-druide
Lesprit de la forêt thabite et ta destinée telle un fleuve ne saurait être endiguée. Aucune chaîne ne retiendra la force de ton esprit qui, bien quà laube dune vie prometteuse, déjà fait preuve dun pouvoir immense presque supérieur à ce quil est possible daccorder à un humain. Au seuil de la mort, arrivé au terme de ma carrière, au crépuscule de mon séjour terrestre, je dois te mettre en garde. Tu es certainement ce que jai fais de mieux et désormais tes épreuves ne font que commencer sans que mes conseils désormais puissent taccompagner. Lorsque je tai recueilli, jai bien tenté de dénouer la trame de ta destinée pour savoir ce que te réservais lavenir car vois-tu, plus quun simple mortel, javais sur cette terre une mission particulière, jappartenais à un ordre ancien, lordre des Gardiens du Cristal des Mondes. Par le sable de la grève, par le vent dans les feuilles du hêtre, par murmure des arbres qui se parlent, jappris linsoutenable et ne pu te le révéler, à toi le jeune prodige, toi et cette facilité qui te caractérisait depuis que je tai recueilli, cette parfaite harmonie de tes incantations
Toujours tu me devançais dans mes leçons même si tes yeux pleins dadmiration et de reconnaissance pour moi ne perçaient pas lévidence. Juste te conseiller. Juste, avant de méteindre, laisse moi étendre sur ta tête un bras protecteur. Ecoute et noublie jamais car ta route passera par dautres sacrifices. De tous les choix que tu devras faire, il nen est quun qui tarrachera au Dieu des Morts jurant ta perte. Ne perd pas de ton humanité, la colère ne dois pas assombrir ton cur sous laveuglement de la vengeance. Toi pour qui lappel de la Nature est devenu familier, sache quaujourdhui souvre pour toi un nouveau savoir et que je te lègue un éclat de Cristal qui sera ton plus lourd fardeau. Tu lui sacrifiera ta vie et ta vengeance, tu devras en accepter le destin par un libre consentement. Voilà, mes forces mabandonnent. Quitte notre hutte, je ne souhaite pas que tu me vois mourir. Reviens dans laprès-midi car poussière redevenant poussière, pluie retombant dans locéan tu conduira mon corps au bûcher et offrira mes cendres aux terres quoi mont portées.»
Alyr, ne regardais plus la forêt. Immobile sur son rocher, yeux fermés il était tout au tourbillon de sentiments contradictoires qui lagitaient. Dune tristesse infinie, il ne se sentait pas près et ses doigts jouaient avec le Cristal quil portait en pendentif autour du cou. Mais le serait-il un jour ?
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ecrit par GK
Par l'angelot le 22/10/2000 à 17:49:00 (#65866)
EXCUSE NIJEL JE CROIS,APRES INTENSE REFLEXION,QUE JE VAIS PRENDRE MON GUERRRIER DRUIDE (POUR LES SORTS DE SOINS) DONC POUR LA GUILDE AUSSI.
Par Baldurien le 22/10/2000 à 18:30:00 (#65867)
Par l'angelot le 22/10/2000 à 21:18:00 (#65868)
Baerauble PARDONNE MON IMPERTINENCE JE NE FAISAIT QU'EXPRIMER CE QUE CELA M'AVAIT RAPPELER.
NIJEL MON FORMULAIRE D'INSCRIPTION EST PARTI CE SOIR TU PEUX ME JOINDRE SUR: LANGELOT.88@wanadoo.fr
J'AI INSCRIT MON GUERRIER-DRUIDE LVL7-8
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je suis capable du meilleur comme du pire, mais pour le pire c'est moi le meilleur
Par Nijel le 21/11/2000 à 8:06:00 (#65869)
Ouf, nous sommes sur une vrai découverte archéologique ;), il date d'un mois http://forums.jeuxonline.info/eek.gif
Baldurien> L'ancienne et peu vivante Rose Noire...je crois ;)
L'Angelot> Désolé de n'avoir pas répondu, je t'ai inscrit...
Par Braxus le 23/11/2000 à 0:03:00 (#65870)
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