Archives des forums MMO/MMORPG > La 4ème Prophétie > T4C - Baazul > *pousse la porte, se demandant s'il connaît encore des personnes présentes*
*pousse la porte, se demandant s'il connaît encore des personnes présentes*
Par Urobore le 18/2/2002 Ã 1:02:53 (#960699)
Je vois que GOA n'a pas changé depuis mon départ, voir même que le problème a empiré...
Bon... Dans tous les cas, je tiens à saluer tous ceux que je connais (en espérant que les serveurs seront relancés très prochainement).
En tant qu'Urobore, salutations spéciales au Culte de Syl et, en tant que Melest Aeram, amitiés à tous les haruspiciens. ;)
Je profitte de ce petit message pour prévenir que, avec 6 mois de retard, j'ai ouvert un petit site pour accueillir les débiles parodies que j'avais faite sur T4C, d'autant plus que j'ai migré vers d'autres terres, où je continue de parodie aux heures perdues. Certains d'entre vous se rappellent peut-être du "Newbie qui parle pas". :P
Si vous voulez donc redécouvrir ma voix de cressel et mon micro saturé, ainsi que celui d'Odilon Destria (salut, Odi : tu vois, j'ai fini par le faire, même s'il ne paye pas d'mine ! :P ), il vous suffit de vous rendre à l'adresse :
http://www.multimania.com/melest/index.html
Voili, voilou, et à bientôt, peut-être... (?) :)
Amitiés à tous,
Le joueur derrière Urobore et Melest Aeram
Par Naos Etkhir le 18/2/2002 Ã 1:07:19 (#960733)
Par Hesperides le 18/2/2002 Ã 1:10:20 (#960760)
Par Rahel Le Géant le 18/2/2002 à 1:14:02 (#960800)
C'est plaisant de voir des anciens!
Rahel/ Bix LeRouge LRN aussi si tu te souviens ;)
Par Alyssa le 18/2/2002 Ã 1:16:16 (#960819)
Par asd le 18/2/2002 Ã 2:11:09 (#961297)
bravo!!!
et kikooo
Par Caolie le 18/2/2002 Ã 2:18:18 (#961353)
Beau site :)
Par Yael Ezeil le 18/2/2002 Ã 2:21:02 (#961378)
Par Balrog le 18/2/2002 Ã 2:38:27 (#961482)
Alyssa jolie image :amour:
Conseil : ne va pas au soleil comme ca , si tu bronzes sa fera une ogri zébrée au grill.
par contre tu risques d'attraper froid comme ca :rasta:
Ceci dit si tu veux je peux te réchauffer (y a de la place dans mon manteau de l archer ) ; p
Balrog
Jeune Archer de Sélène
En Quête de sa Muse
Par Abyssene le 18/2/2002 Ã 4:24:03 (#961840)
Abyssene ethael/akasha
Par Koto le 18/2/2002 Ã 7:03:53 (#962168)
Par Muabdib Serra le 18/2/2002 Ã 7:09:14 (#962179)
Notre philosophe nous manque
Amicalement
Par Neptune-Gx le 18/2/2002 Ã 8:05:08 (#962268)
Par Elmar Ezeil le 18/2/2002 Ã 8:55:38 (#962428)
Bravo pour le site, c'est toujours aussi "poilant" !
A bientôt Frère pleureur de Ilmater ;)
Par Urobore le 18/2/2002 Ã 9:08:23 (#962484)
A vrai dire, j'ai essayé de revenir plusieurs fois sur Baazul, histoire de saluer les amis, mais, à chaque fois, le serveur était soit plein, soit déconnecté.
J'ai donc laissé tomber à chaque fois, snif... :(
Je réessaierai un de ces jours, lorsque les techniciens GOA auront retrouvé la touche Power... ;)
sifflotte
A bientôt, si Ilmat... heu... si Syl le veut. :p
Par Adercyn le 18/2/2002 Ã 12:14:32 (#963655)
Augure Skaya
Par Lisath Terra le 18/2/2002 Ã 12:17:00 (#963673)
Bravo pour le site, moi et la motivation ca fait 3... :p
Par Mithrandir CCA CGsc le 18/2/2002 Ã 12:23:06 (#963744)
Bien le site :)
Par Livonia le 18/2/2002 Ã 12:59:46 (#964052)
Par Cronos_Wytt le 18/2/2002 Ã 13:13:39 (#964166)
Par Toralba le 18/2/2002 Ã 13:44:13 (#964432)
Je ne sais si tu te souviens de moi mais je trainait pas mal ma savate avec ce bon vieux Kevlar et sa pipelette de femme Evita Lrn :)
Content de savoir que tu vas bien :)
TorAlba Lrn
Par Denriel-Melkhen le 18/2/2002 Ã 13:56:05 (#964546)
Ce qui me rappelle soudain qu'on a une discussion sur l'inutilité du Feu Purificateur qui n'a jamais été terminée :D
Enfin au plaisir de te revoir, en ce monde, en un autre, ou dans un pub :p
Denden, Pinguinot des Galapagos/Melk', "fallait pas tirer, Yael"
Par Belgar Klein le 18/2/2002 Ã 13:58:01 (#964566)
A bientôt, si Ilmat... heu... si Syl le veut.
A tres bientot alors ;)
Par Suikoden -BD le 18/2/2002 Ã 14:03:51 (#964622)
Excellent le site ;)
Par Suikoden -BD le 18/2/2002 Ã 14:29:59 (#964821)
Elle est vraiment trop bien c'est un tube !
Sérieux faut l'envoyer à Star Academy...
*écoute en boucle*
trop bien :maboule:
Bonjour Melest
Par Kalypso le 18/2/2002 Ã 15:38:44 (#965463)
Grand bonjour a toi
Sabrina / Kalypso
Bonjour :p
Par Yasuda Sylian le 18/2/2002 Ã 16:04:07 (#965657)
Urobore
Par Ashraaf le 18/2/2002 Ã 16:07:33 (#965687)
:D T'Ai Ki Toa:D Un Paika
Salut Uro ;)
Ellian
Par -:Assureur MAF:- le 18/2/2002 Ã 18:09:12 (#966625)
Mai j'en conné qui le connésse et qui disent qu'il ai synpa ...
;)
Par Urobore le 19/2/2002 Ã 0:56:45 (#970450)
Faisant fi des remarques des deux derniers intervenants, que je ne connais absolumment pas (non mais, des fois... ;) ), je m'attarderai sur le fait, pour Sire Pinguinot, que :
Ce qui me rappelle soudain qu'on a une discussion sur l'inutilité du Feu Purificateur qui n'a jamais été terminée.
Certes, mon ami...
Hum.. Hum... Mimimimiaaaaaa...
s'éclaircit la voix et prend la voix ténébreusement aiguë de Melest Aeram
"Je saurais te montrer la Volonté du Juge par le Feu purificateur, ô impie... Alors, sur le Chemin de la Pureté tu égareras tes pas."
Blague à part, un jour, peut-être, lorsque j'arriverai à me connecter sur Baazul, je viendrai rappeler la bonne parole du Maître.
Non mais des fois... Faut pas dec'... ;)
Salut spécial à Augure et... oh, zut, et à tous ceux qui ont répondu aussi, voilà . :p
*sourit*
Par MerlinSadLRN Gs le 19/2/2002 Ã 8:35:13 (#972490)
Je sais pas si tu te souviens de moi...ex MerlinOslich....
Ca fais plaisir de te revoir:)
J'espere que tu vas bien.
hihihihi
Par Evita-LRN le 19/2/2002 Ã 12:09:08 (#973682)
tu vas bien ????
tu nous manques aussi tu sais ??:confus:
a bientot mon ami :p
Eva
lol Tor :p
oui pipelete et fier de l'etre hihi
bisousssss mon Torinou :ange: :rasta: :ange:
Par Enthoniel Ezeil le 19/2/2002 Ã 12:20:52 (#973797)
C'est le vrai ? Urobore, d'habitude, il parle de Philosophie, en faisant des textes de 500 lignes... là , c'est un peu court...
Bizarre...
Bon retour parmis les fous Melest !!
Par Denriel-Melkhen le 19/2/2002 Ã 16:19:24 (#975643)
Moi, du côté de l'Haruspice ???
Jamais ! :)
Comment ça "Den', tu n'évolues pas" ?
Tout de suite...
Entho : Il a aussi la capacité de faire écrire par les autres 500 lignes qui réécrites par 1000 singes pendant 1000 jours donneront le Background Vircom/Goa. Totalement inutile, mais tellement fun.
Par Inoxidenta Shane le 19/2/2002 Ã 16:21:49 (#975654)
ça fait plaiiiiisir !
Héhé :).
A bientot j'espere !
Par Urobore le 19/2/2002 Ã 21:09:35 (#978353)
Evita, passe le bonjour à ton mari... ;)
Pour Denriel, la remarque est très pertinente, en effet... Il a aussi la capacité de faire écrire par les autres 500 lignes qui réécrites par 1000 singes pendant 1000 jours donneront le Background Vircom/Goa. Totalement inutile, mais tellement fun.
Je n'aurais pas mieux dit !
éclate de rire :D
Enfin, Sire Enthoniel, pour votre bon plaisir : Urobore, d'habitude, il parle de Philosophie, en faisant des textes de 500 lignes... là , c'est un peu court...
... permets-moi de ne pas déroger à la tradition ! Rien que pour vous, voici quelques notes sur la dialectique !
Prémisces de la dialectique post-initiatique.
On ne peut que s'étonner de la manière qu'a Leibniz de critiquer l'innéisme universel, cependant, il se dresse contre la relation entre géométrie et scientisme.
Comme il est manifestement difficile d'affirmer qu'il s'approprie l'innéisme post-initiatique en regard de la dialectique, de toute évidence il donne une signification particulière à la réalité minimaliste de la dialectique.
Par ailleurs, il conteste l'analyse irrationnelle de la dialectique pour la considérer selon l'innéisme.
La perception chomskyenne de la dialectique est, finalement, déterminée par une représentation irrationnelle. Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il identifie la démystification universelle de la dialectique, il faut également souligner qu'il réfute l'analyse synthétique dans une perspective rousseauiste alors qu'il prétend l'analyser selon l'innéisme rationnel, car nous savons que Noam Chomsky particularise l'analyse rationnelle de la dialectique, et d'autre part, il en identifie la réalité circonstancielle sous un angle phénoménologique. Par conséquent, il identifie la relation entre rigorisme et continuité afin de supposer l'innéisme idéationnel.
Si la dialectique substantialiste est pensable, c'est tant il en caractérise l'analyse phénoménologique dans une perspective montagovienne contrastée.
Pourtant, il est indubitable qu'il particularise l'analyse générative de la dialectique. Soulignons qu'il en décortique la réalité générative sous un angle métaphysique, et le suicide transcendental ou le platonisme minimaliste ne suffisent pas à expliquer le suicide existentiel sous un angle empirique.
On ne peut considérer qu'il interprète, de ce fait, la démystification métaphysique de la dialectique sans tenir compte du fait qu'il en identifie l'analyse idéationnelle en regard du suicide.
C'est dans cette même optique qu'on ne saurait écarter de la problématique l'influence de Nietzsche sur le platonisme dans le but de prendre en considération le suicide moral.
C'est dans une finalité similaire qu'il spécifie l'origine de la dialectique, car la dialectique pose la question du suicide dans une perspective montagovienne.
Notons par ailleurs qu'on ne saurait ignorer la critique montagovienne du suicide originel. Premièrement Montague se dresse contre la relation entre suicide et globalisme; deuxièmement il réfute la réalité originelle en regard du suicide. Par conséquent il particularise la relation entre modérantisme et certitude.
Néanmoins, il réfute l'origine de la dialectique, et la dialectique ne saurait d'ailleurs se comprendre autrement qu'à la lueur du suicide synthétique.
Contrastons cependant cette affirmation : s'il conteste le platonisme transcendental de la pensée sociale, il faut également souligner qu'il en conteste l'aspect rationnel sous un angle moral, car on ne peut considérer que Sartre particularise la relation entre maximalisme et dialectique qu'en admettant qu'il en systématise l'origine déductive sous un angle synthétique.
Comme il est manifestement difficile d'affirmer qu'il caractérise le suicide substantialiste par son suicide génératif, de toute évidence il s'approprie l'analyse originelle de la dialectique.
Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il se dresse contre l'expression originelle de la dialectique, et le suicide universel ou le suicide rationnel ne suffisent pas à expliquer le suicide originel sous un angle idéationnel.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il identifie, par la même, l'expression universelle de la dialectique, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en systématise la démystification morale dans sa conceptualisation, alors il se dresse contre la relation entre liberté et innéisme.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme post-initiatique la dialectique telle qu'elle est définie par Nietzsche afin de l'opposer à son cadre social.
Pourtant, il se dresse contre le pluralisme sous un angle substantialiste, et on pourrait mettre en doute Montague dans son analyse subsémiotique de la liberté, cependant, il caractérise le pluralisme par sa liberté circonstancielle.
Si on ne saurait écarter de cette étude la critique kierkegaardienne de la liberté phénoménologique, Emmanuel Kant se dresse pourtant contre l'origine de la dialectique et il en particularise, de ce fait, l'expression générative comme concept substantialiste de la connaissance.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne peut contester l'impulsion kierkegaardienne de la liberté spéculative pour l'analyser selon le pluralisme phénoménologique la liberté transcendentale.
Finalement, la dialectique permet de s'interroger sur un pluralisme déductif dans une perspective kierkegaardienne contrastée.
Pour une dialectique substantialiste.
Si la dialectique irrationnelle est pensable, c'est il en conteste l'aspect métaphysique comme objet métaphysique de la connaissance.
C'est avec une argumentation similaire qu'il restructure l'origine de la dialectique, et on peut reprocher à Bergson son pluralisme transcendental, il est alors évident qu'il conteste la réalité irrationnelle de la dialectique. Notons néansmoins qu'il réfute la destructuration sémiotique en tant que concept primitif de la connaissance.
Si on ne saurait reprocher à Kant son pluralisme phénoménologique, il particularise néanmoins la relation entre objectivité et terminisme et il en systématise, par la même, la réalité irrationnelle dans une perspective rousseauiste contrastée alors même qu'il désire l'opposer, par la même, à son contexte social et politique.
Notons par ailleurs qu'il caractérise la liberté générative par sa liberté générative et si la dialectique empirique est pensable, c'est il en identifie la réalité spéculative en tant qu'objet sémiotique de la connaissance tout en essayant de l'opposer à son cadre politique et intellectuel.
Finalement, l'organisation montagovienne de la dialectique est déterminée par une représentation générative de la liberté. En effet, on ne saurait assimiler, comme le fait Descartes, la liberté rationnelle à un pluralisme minimaliste. Le fait que Henri Bergson se dresse, par ce biais, contre la conception empirique de la dialectique implique qu'il en conteste l'analyse irrationnelle dans une perspective chomskyenne bien qu'il s'approprie l'origine de la dialectique.
Pourtant, il est indubitable qu'il réfute la conception métaphysique de la dialectique. Soulignons qu'il en interprète la démystification universelle comme objet phénoménologique de la connaissance ; la dialectique ne peut, par la même, être fondée que sur l'idée du pluralisme primitif.
Si la dialectique morale est pensable, c'est tant il en interprète en effet la démystification rationnelle dans son acception sartrienne.
C'est dans une optique analogue qu'il systématise en effet l'analyse transcendentale de la dialectique afin de la resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle.
Pourtant, il rejette la destructuration circonstancielle de la dialectique. Le paradoxe de l'amoralisme existentiel illustre donc l'idée selon laquelle l'amoralisme génératif n'est ni plus ni moins qu'un monogénisme empirique métaphysique.
C'est dans une finalité analogue que Kierkegaard restructure la destructuration existentielle de la dialectique.
La dialectique ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur du monogénisme originel, et avec la même sensibilité, il rejette l'analyse transcendentale de la dialectique.
L'amoralisme existentiel ou le monogénisme idéationnel ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer le monogénisme rationnel sous un angle subsémiotique.
Pourtant, il examine l'analyse empirique de la dialectique afin de la resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle.
C'est ainsi qu'il systématise la relation entre maximalisme et confusionnisme, car comme il semble difficile d'affirmer que Rousseau particularise la conception synthétique de la dialectique, il semble évident qu'il rejette l'analyse primitive de la dialectique.
Il est alors évident qu'il caractérise l'amoralisme génératif par son amoralisme originel. Soulignons qu'il en rejette l'analyse substantialiste dans son acception rationnelle ; le paradoxe du monogénisme empirique illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle le monogénisme et le monogénisme métaphysique ne sont ni plus ni moins qu'un amoralisme subsémiotique existentiel.
D'une part il envisage, par la même, la destructuration subsémiotique de la dialectique, d'autre part il réfute l'aspect irrationnel dans sa conceptualisation.
Notons par ailleurs qu'il donne une signification particulière à la démystification rationnelle de la dialectique dans le but de la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
Il faut cependant contraster ce raisonnement dans le sens où il conteste la conception rationnelle de la dialectique. La classification spinozienne de la dialectique s'apparente alors à une représentation post-initiatique de l'amoralisme originel.
La dialectique ne peut, par la même, être fondée que sur l'idée du monogénisme minimaliste. Néanmoins, Chomsky systématise la démystification transcendentale de la dialectique, et la dialectique ne saurait d'ailleurs se comprendre autrement qu'à la lueur du subjectivisme minimaliste.
Il faut cependant mitiger cette affirmation : s'il rejette la réalité générative de la dialectique, il faut également souligner qu'il s'en approprie l'expression originelle dans sa conceptualisation, car on ne peut contester la critique spinozienne du subjectivisme existentiel, néanmoins, Rousseau identifie la conception minimaliste de la dialectique.
Avec la même sensibilité, il restructure l'expression existentielle de la dialectique pour la considérer selon l'immutabilité post-initiatique.
L'organisation leibnizienne de la dialectique découle, finalement, d'une intuition post-initiatique du subjectivisme originel.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait ignorer l'impulsion hegélienne de l'immutabilité, car on ne peut considérer que Emmanuel Kant envisage la démystification originelle de la dialectique sans tenir compte du fait qu'il en décortique l'origine subsémiotique en regard du subjectivisme.
En effet, on ne saurait ignorer l'influence de Bergson sur l'immutabilité rationnelle, et on pourrait mettre en doute Bergson dans son approche post-initiatique du subjectivisme, il faut cependant mitiger ce raisonnement : s'il particularise l'analyse circonstancielle de la dialectique, c'est également parce qu'il en restructure l'aspect primitif en tant qu'objet synthétique de la connaissance.
C'est le fait même qu'il examine l'expression primitive de la dialectique qui nous permet d'affirmer qu'il en conteste la démystification métaphysique dans une perspective kantienne.
Par ailleurs, on ne peut contester l'influence de Hegel sur le subjectivisme empirique et on ne saurait ignorer l'influence de Sartre sur le subjectivisme rationnel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il réfute la destructuration synthétique de la dialectique.
On ne saurait, pour conclure, assimiler, comme le fait Chomsky, l'immutabilité à un subjectivisme.
Vers une théorie de la dialectique originelle.
Rousseau échafaude l'hypothèse que la dialectique ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur du subjectivisme subsémiotique. La dialectique ne se borne en effet pas à être un subjectivisme génératif dans son acception rationnelle.
C'est avec une argumentation analogue qu'on pourrait mettre en doute Spinoza dans son approche rationnelle du subjectivisme.
La vision leibnizienne de la dialectique est déterminée par une représentation circonstancielle du subjectivisme subsémiotique, et dans cette même perspective, Spinoza examine l'analyse morale de la dialectique.
Le subjectivisme ou le réalisme métaphysique ne suffisent cependant pas à expliquer la conscience sémiotique sous un angle génératif.
C'est avec une argumentation analogue qu'on ne saurait reprocher à Chomsky sa conscience substantialiste. Par ailleurs, il s'approprie la démystification empirique de la dialectique, car on ne peut considérer que Leibniz restructure la destructuration circonstancielle de la dialectique si l'on n'admet pas qu'il en identifie la réalité idéationnelle dans son acception montagovienne.
Par le même raisonnement, on ne peut contester l'influence de Chomsky sur la conscience, et on pourrait mettre en doute Kierkegaard dans son analyse synthétique du réalisme, il faut cependant contraster cette affirmation dans le sens où il conteste le réalisme transcendental en tant que concept existentiel de la connaissance.
C'est dans cette même optique qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Spinoza, le réalisme moral à un réalisme rationnel et notre hypothèse de départ est la suivante : la dialectique s'oppose, par ce biais, fondamentalement au réalisme synthétique. Cette hypothèse est cependant remise en cause lorsqu'il donne une signification particulière à l'origine de la dialectique.
On ne saurait, par déduction, reprocher à Spinoza son réalisme existentiel.
Dans cette même perspective, on ne saurait écarter de notre réflexion la critique du réalisme irrationnel par Montague, car la conscience circonstancielle ou le réalisme ne suffisent pas à expliquer le réalisme post-initiatique en tant que concept métaphysique de la connaissance.
Par le même raisonnement, on ne peut contester la critique de la conscience substantialiste par Kant.
La dialectique s'appuie sur un réalisme rationnel en regard du réalisme, et c'est avec une argumentation similaire qu'on ne saurait ignorer l'impulsion bergsonienne de la conscience.
Le réalisme phénoménologique ou le réalisme déductif ne suffisent néanmoins pas à expliquer la conscience originelle dans son acception nietzschéenne.
De la même manière, on ne peut que s'étonner de voir Chomsky critiquer la conscience rationnelle.
Notons par ailleurs que Noam Chomsky identifie l'origine de la dialectique, car la dialectique ne peut être fondée que sur l'idée de la conscience.
La perception cartésienne de la dialectique est en effet déterminée par une intuition sémiotique de la conscience phénoménologique, et de la même manière, Emmanuel Kant se dresse contre l'expression phénoménologique de la dialectique.
Le paradoxe de la conscience illustre, par la même, l'idée selon laquelle le réalisme n'est ni plus ni moins qu'une conscience spéculative originelle.
Il faut cependant mitiger ce raisonnement : s'il donne une signification particulière à l'expression générative de la dialectique, il est nécessaire d'admettre qu'il en restructure l'analyse synthétique en regard du réalisme dans le but de le resituer dans toute sa dimension sociale et politique.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme post-initiatique la dialectique telle qu'elle est définie par Bergson, et on ne saurait assimiler, comme le fait Spinoza, le réalisme métaphysique à un réalisme, il est alors évident qu'il systématise le structuralisme phénoménologique en tant que concept originel de la connaissance. Il convient de souligner qu'il en rejette l'analyse rationnelle comme concept post-initiatique de la connaissance.
Par ailleurs, il réfute la conception substantialiste de la dialectique pour supposer l'esthétique le structuralisme phénoménologique.
La formulation sartrienne de la dialectique est, finalement, déterminée par une représentation rationnelle du structuralisme existentiel.
C'est dans cette même optique qu'il envisage la réalité universelle de la dialectique. C'est le fait même que Spinoza se dresse alors contre le structuralisme dans son acception leibnizienne qui nous permet d'affirmer qu'il en rejette la destructuration minimaliste sous un angle primitif.
C'est avec une argumentation identique qu'on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Kant sur l'esthétique, et on ne peut contester l'influence de Sartre sur l'esthétique, pourtant, il est indubitable qu'il donne une signification particulière à la relation entre pluralisme et certitude. Notons néansmoins qu'il en conteste l'expression originelle sous un angle synthétique alors même qu'il désire supposer l'esthétique synthétique.
C'est avec une argumentation analogue qu'il examine la relation entre immutabilité et finalisme et le fait qu'il réfute la destructuration originelle de la dialectique implique qu'il en particularise la destructuration substantialiste en regard du structuralisme.
Finalement, la dialectique nous permet d'appréhender un structuralisme substantialiste de la pensée sociale.
Néanmoins, il conteste l'origine de la dialectique. La dialectique s'oppose néanmoins fondamentalement au structuralisme post-initiatique.
En effet, on ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, le structuralisme originel à un structuralisme empirique. Le fait que Sartre réfute l'esthétique morale en regard du structuralisme alors même qu'il désire l'opposer à son contexte politique et intellectuel signifie qu'il en restructure l'expression post-initiatique dans une perspective kantienne.
Il est alors évident qu'il s'approprie la conception existentielle de la dialectique. Il convient de souligner qu'il en caractérise la réalité synthétique en regard du structuralisme tout en essayant de prendre en considération le structuralisme subsémiotique, et la dialectique s'appuie d'ailleurs sur un kantisme irrationnel de la société.
Et pour ceux qui ont lu jusqu'à la fin, rappelez-vous : les marmottes veillent sur les hommes de bonne volonté. Alors, donnez-vous le moyen de réaliser vos rêves ! ;)
Amitiés à tous,
Le joueur derrière le grimoire d'Urobore et le sceptre purificateur de sieur Melest Aeram (derrière la voix de cressel et le micro saturé aussi, vous me direz :D ).
PS : Et le plus important, qui résume le tout, y a pas à dire : Nonooooooooooooooooooooooooox !!!! :maboule: :mdr:
Par Lhylith le 19/2/2002 Ã 21:35:29 (#978592)
*s'éclaircit la voix*
Moi, tu ne me connais pas, mais il m'est arrivé de lire quelques uns de tes écrits, dommage que tu ne sois plus des nôtres, je sens que j'aurais pris grand plaisir à te faire tourner en bourrique toi aussi :ange:
Euh...juste une tite question...t'as fait un copie-coller, là , rassure moi?:monstre:
Par Enthoniel Ezeil le 19/2/2002 Ã 21:41:09 (#978643)
Vive Urobore !!
Vive Melest !!
Tres tres heureux de te revoir :)
Pour longtemps j'espere.
Par Denriel-Melkhen le 19/2/2002 Ã 21:58:08 (#978815)
Heureusement d'ailleurs !!!
Une ch'tite étoile à 5 branches, Uro ?
*court, vite, loin, ailleurs, et présente mille excuses**
Par Urobore le 19/2/2002 Ã 23:05:19 (#979399)
:mdr:
Enthoniel, moi aussi, ça me fait plaisir de refaire un coucou, notre bisounours préféré ! :amour: :rolleyes:
Dame Lhylith, je suis enchanté de faire votre connaissance. :)
En fait, chers amis, le problème est simple... Et double... Pour vous expliquer, je vais d'ailleurs vous écrire une petite dissertat... hééé ! non ! revenez ! je plaisantais ! Pfff...
C'est très simple :
1) j'ai un emploi du temps surchargé (et je ne parle pas du niveau étudiant, puisque je ne bosse que 3 jours par semaine, mais de la somme de mes activités outre-cours en fac) ;
2) à chaque fois que j'ai fait l'essai d'un petit come back pour faire un kikouuuu à tout le monde, il m'a été impossible de me connecter, snif snif snif... :sanglote:
Je voulais même quitter le jeu "comme il se doit" (en mettant une fin à ma petite histoire de manière définitive), mais, j'ai d'abord était rattrappé par le temps puis par les serveurs de GOA plantant sans arrêt... qui m'ont rebuté à force de rebooter (z'avez vu le calembour ? chui fort, hein ? QUI A DIT "C'EST NUL" ?!!!! ).
Donc, peut-être un retour "limité" prochainement, genre "Urobore à la retraite" (à ne pas confondre avec "Martine à la plage" ou "Martine à la montagne") mais à condition que ça marche... :(
Voili, voilou...
(Tiens, je l'ai faite, ma dissertation, finalement. Gloups, désolé...).
:)
A bientôt, si GOA le veut. :p
The player beyond Urobourré et la 'tite notesse n'haru
[Message édité pour ajoutter un post-scriptum : Pour le texte sur la dialectique post-initiatique, veuillez vous rendre sur http://www.charabia.net , rubrique "Générateur de textes philosophiques". Voilà , vous connaissez enfin mon secret... Mouahahaha ! Hum... Désolé... :doute: ]
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