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SouvenirS [Recueil]

Par -Tulipe- le 17/2/2002 à 19:15:09 (#957901)

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((Je t’invite Lecteur à partager ce qui fut les débuts de ma chère -Tulipe-.
((Je voudrais également remercier tous ceux qui ont participé aux différents posts de ma plume.
((Par ailleurs, je dédicace ce post avec toute mon amitié à celui qui fut à l’origine de ma fleur,
((celui qui a su me faire partager son goût de la prose, et sans lequel je n’aurais jamais osé mettre en ligne mon travail.
((Vous le connaissez sous le pseudo de Jeune Inconnu, par respect de son anonymat, je dirais seulement, MERCI G., je ne t’ai pas oublié :)
((Bonne lecture.))
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Quand elle y repense, elle ne peut s’empêcher d’esquisser un sourire, de regrets ? de nostalgie ?

Tantôt le soir, elle ouvre son cahier de cuir rouge terni par les ans, et, devant un feu crépitant de joie, elle entame la cérémoniale lecture à ses enfants tout heureux de pouvoir partager ces moments intenses de souvenirs avec leur mère.

Tantôt, elle s'arrête devant le soleil flamboyant, sur une plage dorée, oubliée et seule.

Et d’une voix douce, elle parcourt certaines pages, tournant le coin du cahier d’un geste habile et lent.


Les Amants de la Nuit
Extrait :
Lune, Lune, qu’as-Tu dit ?
A la Nuit ébène et profonde,
J’ai dit : Enveloppez ces tendres amants enlacés…

Une Douce Rencontre I
Extrait :
*s’assoit sur le sable, les vagues lui léchant les pieds*
*et observe le lever de soleil qui se reflète sur l'horizon*
*entend le murmure de la Brise légère*
*voudrait être le sable, le soleil et la mer...*
*lui répond d'un doux sourire*
*un sourire, qui le ferait frémir*
*un sourire, qui le ferait mourir*

Une Douce Rencontre II
Extrait :
*sourit, yeux malicieux*
*perdue dans son regard...*
*une étincelle dans son regard la contemple un instant*
*détourne rapidement les yeux*
*sourit, amusé*

Une Douce Rencontre III
Extrait :
*passant une main douce pour peut être vérifier*
*sur la joue de l'ange étendu à ses cotés*
- Non, ce n'est pas un rêve *a-t-elle murmuré*
*et d'un geste tendre elle a effleuré*
*son visage effrayé, pour le rassurer*

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PS :
La série de La Clef, nécessite, si vous le voulez bien entendu, de charger deux polices d’écriture Black Chancery ainsi que Harrington pour windows. Cliquez ici pour les télécharger
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La Clef I
Extrait :
Si toujours est une porte close,
Que meurt alors cette triste prose.

La Clef II
Extrait :
Pour te guider ô Toi que j'aime
J'ai cherché longtemps sous la douce clarté
Où était la Clef de mes yeux fermés…


Extrait :
… Laisse mon Amour, veiller sur tes rêves,
Mes rêves, vivre de tes souvenirs,
Les souvenirs, de tes tendres lèvres,
Tes lèvres, pour lesquelles je suis prêt à mourir.


Extrait :
Toujours le mot qu'il faut
Pour te faire sourire
Jamais trop d'efforts
Pour t'arracher un rire


Extrait :
Ton visage heureux,
La lumière de tes yeux,
La douceur de tes cheveux,
Aurait-ce été qu'un jeu?


Extrait :
Le ciel entier vient de s’illuminer
Mais dans ma grotte c'est la Nuit
Et je ne peux qu'imaginer
Celui qui m'imagine aussi.

Seule je suis sous le regard…
Extrait :
Dans le sable humide, je me repose.
Le clapotis des vagues
Me berçant lentement.
Seule je suis.

[Réponse Seule je suis…]
Ensemble.
Extrait :
Un jour, sous un pommier,
J'étais en train de méditer,
Seule la brise semblait m'écouter,
Pourtant je n'étais pas seul.

[Réponse2 Seule je suis…]
Songe.
Extrait :
Dans la fraîcheur de ma couche, je me suis endormie,
Et l'étreinte de tes bras m'ont réchauffée.

Je pense à toi
Extrait :
Pourquoi existes-tu ?
Pourquoi m'ensorcèles-tu ?
Pourquoi je t'aime comme ça ?
Pourquoi, je ne le sais pas.

Par Elrond Alantis le 17/2/2002 à 19:32:41 (#958041)

*va lire ces magnifiques contribution de tulipe* :lit: :lit:

Par Iryamar le 17/2/2002 à 20:24:01 (#958439)

Merci à toi pour toutes les fleurs que tu as semées dans ton jardin depuis des mois ! Et merci au Jeune Inconnu de t'avoir révélée :)

Par Soupir S le 17/2/2002 à 20:43:55 (#958566)

*Youpiiii ! Avait perdu les poèmes en même temps que le changement de disque dur !*

Par -Tulipe- le 19/2/2002 à 19:29:59 (#977450)

Lit doucement, sous les rayons de Lune...

J'ai mis mon coeur.... entre tes...
Lève son regard.

entre Tes mains... oui...
Oui, je l'ai fait... soupire à la Lune.... et tu l'as brisé...
Regarde son fils, son poitrail se soulevant au rythme lent de sa respiration.

*hésitation*

Par -Tulipe- le 8/3/2002 à 13:15:29 (#1082807)

Elle hésite. Non. Pas ce soir.

Mais sa main se tend vers ce qui était... un cahier... pour une fleur.
Et souriante mais triste, elle parcourt de son regard azur les pages noircies d'un cahier de cuir.

Par -Tulipe- le 15/4/2002 à 20:27:28 (#1291014)

Un soir de pleine lune, sur le sable frais, à la lueur d'un petit feu de camp.

Voilà longtemps que le livre n'avait été ouvert...

La lune, les étoiles et la mer l'écoutaient, d'un calme profond.

Par Keraunos le 15/4/2002 à 23:21:09 (#1292093)

Un homme se tenant en bordure de mer, portant une armure grinçante teintée d’un pourpre macabre. Teinture venant de son propre sang et de celui de ses victimes. Sa tête penchée, il semblait penser, ses cheveux maintenant assez longs pour lui couvrir le visage pendaient lamentablement. Il resta un long moment dans cette posture puis il releva la tête le brise marine lui écarta les cheveux de la figure, celle ci était blême et méconnaissable à présent noyée dans la crasse ne laissant apercevoir qu’une paire d’yeux rougie imbibée de tristesse et de mélancolie, ses pensées voguèrent toutes vers cette femme, cette femme qui lui changea sa vie.

Il emprunta un petit sentier et son regard changea, il était maintenant dur et fixe. Un regard d’assassin, ressemblant à celui des dits sans âmes. Le regard des gwadeks.

Comment oublier lorsqu'on ne cesse d'y repenser

Par Un jeune inconnu le 22/4/2002 à 14:50:51 (#1327339)

Il n'a pas oublié, et reste songeur de loin mais présent plus que jamais...

Un souffle, une parole prononcée,
Un regard, un baiser échangé.

Comment oublier,
Lorsqu'on ne cesse d'y repenser.
Comment même tenter,
Lorsqu'on ne veut pas oublier.

Si les choses étaient différentes,
Si malgré ce qui la retiens, elle le désirerais,
Alors, il faudrait qu'elle tente,
Alors surement il voudrais.

Qu'importe ce qui c'est passé,
Qu'importe ce qui se passeras,
Elle resteras dans son coeur bléssé,
L'amante qui le combleras.

Jamais, peu importe le prix proposé,
Il n'effaceras la douceur de son baiser.

Par Odysseus le 25/4/2002 à 2:17:33 (#1341944)

J'apporte ma modeste pierre a ce magnifique édifice en remontant le poste et en vous mettant un petit lien qui si il n'a pas la saveur de l'original n'en est pas moins bien!

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