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Oubliée pour oublier, OU Une Fleur et son Dragon.

Par Fanzine le 12/2/2002 Ă  13:48:10 (#913495)

Elle les regardait jouer. Sur le sable. Tranquillement.
Petite plage paisible, petit endroit serein, dans sa vie qui s’achève, dans leur vie qui débute…

Deux très jeunes bambins, riant aux éclats, faisant fis du temps qui passe, aux sourires innocents…
Ils couraient à perdre haleine, ils s’élançaient vers la mer, s’éclaboussant mutuellement.
Revenant chasser quelques bĂŞtes rampantes, qui sÂ’enfouissaient aussitĂ´t dans le sableÂ… creusant un trou pour sÂ’y faire enterrer Ă  leur tour.

Elle souriait.
Pourtant, sur le vieux cahier de cuir rouge, Â…


Â…
Le cœur vide d’amour, et lavée de tous sentiments.
Seule je chemine vers mon destin qui à présent,
Â…
Je suis fleur, une fleur damnée.
J’ai été femme, mais jamais n’a aimé.
Â…
Je n’ai jamais aimé personne, car personne ne m’a aimée…
Â…

Elle leva sa plume un instant, observant les fleurs plantées au pied du grand chêne.
Elle regardait en direction de son sac, dans lequel était précieusement rangé, enroulés dans un carré de soie, deux bijoux…

Elle soupira, alors que sans un bruits, les enfants sÂ’approchaient doucement dÂ’elleÂ…


BOUH !!!!Â… HihihihiÂ…

Et ils partirent tous les trois dans un fou rireÂ…
Elle posa rapidement son ancien cahier à ses cotés, criant au loup auprès de ses deux anges…
Ils s’éloignèrent joyeux, et content que leur maman jouait avec eux deux.
Elle les poursuivait gaiement, leur faisant peur de sa magie, leur jurant de leur mettre la fessée si elle les rattrapait…

Pieds nus sur le sable mouillé, elle les coursait, bras en avant, tentant de les attraper.


Si je vous attrape, vous allez voirÂ… je vais vous manger !!!
Tu mÂ’attraperas pas heuu ! Tu mÂ’attraperas pas heuu ! criaient les petits Ă  tue tĂŞteÂ…

A la fin, ils se laissaient rattraper, tombant dans les vagues, leur mère derrière eux, les éclaboussant, les prenant dans ses bras, les couvrant de son amour
… ils étaient trois, esseulés sur une plage.

Et ainsi toute la journée… jusqu’au crépuscule.

Un feu crépitait.
Une bonne odeur de poisson émanait des feuilles posées sur les genoux des enfants.

Une nouvelle journée s’achevait. Encore une… à venir… puis une autre. Solitude.

Les étoiles s’illuminaient une à une. Allongés sur les genoux de la dame, les enfants observaient la voûte céleste, puis finir par s’endormirent, sous les douces caresses d’une mère.

Â… et dans la Nuit sÂ’Ă©levait la voix dÂ’un angeÂ…
et dans les ténèbres résonna une douce voix mélodieuse,
quand la mer berçait le sommeil des deux bambins.

Â…et les trois fleurs resplendissaient, sous les rayons de Lune.

Par Lucielle le 12/2/2002 Ă  14:57:19 (#913918)

((j'adore tes histoires :) *s'y croirait hihi*))

Par Fighter le 12/2/2002 Ă  16:35:17 (#914618)

( :lit: )

*sommeil* LÂ’Aube du Dragon.

Par Fanzine le 20/2/2002 Ă  10:35:18 (#982377)

QuÂ’est-c'tu fais, MÂ’man ???

Sa voix si innocente la surprit en pleins préparatifs.
Elle releva les yeux vers lui.
Il se tenait debout, légèrement penché, interressé sur ce qu’elle traçait, sur le sol humide, éparpillant la poudre blanche comme pour faire un...


Dis ? Moi aussi je peux faire un joli dessin, comme le tien ?

Disant ces mots, le garçon s’accroupit, et tendit une main vers le sachet de poudre posé aux cotés de sa mère.

NON !!!

Le ton Impératif et trop fort fit tomber le gamin à la renverse, alors que Fanzine lui prit le poignet d’un geste sec et terrifiant pour le jeune, qui se mit aussitôt à pleurer.

Elle le regarda, consciente de son geste, ne sachant que lui dire pour le consoler, elle l’enlaça dans ses bras, tendrement, lui chuchottant des paroles rassurantes alors que sa sœur arrivait vers eux en courant.


Il ne faut pas que tu touches Ă  cette poudre, mon angeÂ… Que devait-elle dire de plus ?Â… Elle faisait cela pour luiÂ… mais ce nÂ’Ă©tait pas encore le moment de tout lui dire, il Ă©tait encore trop jeuneÂ… Et la Lune se leva, rondeÂ… et rougeoyante, sur lÂ’aube de leur trois ans.
Ce nÂ’est rien mon petit angeÂ… ChuutÂ… Ne pleure plus, voilĂ  cÂ’est finitÂ…

La petite fleur les rejoignit dans leur Ă©treinte, sanglotant Ă  son tour, ne sachant mĂŞme pas pourquoi.

La femme les souleva tous deux et les emporta Ă  leur couche, Ă  l'abrit du vent levant.


Il est temps pour vous de dormir mes enfantsÂ…

Disant paroles, elle jetta un regard en arrière, vers les runes, tracées au sol, … marquant les contours d’un pentacle…
La nuit s’annonçait longue… et difficile.

Par Rolland le 20/2/2002 Ă  14:15:08 (#984101)

(:lit: *adore* encore :amour: :amour: :amour: )

Par Sakapuss Aello le 20/2/2002 Ă  14:18:29 (#984131)

(( http://forums.jeuxonline.info/ubb/read.gif http://forums.jeuxonline.info/ubb/read.gif http://forums.jeuxonline.info/ubb/read.gif http://forums.jeuxonline.info/ubb/read.gif http://forums.jeuxonline.info/ubb/read.gif ))

(( tres joliment ecrit ))

(( *va essayer d'ecrire aussi , attention tza va etre tres touloureux, ach* ))

Par Fighter le 20/2/2002 Ă  15:16:54 (#984582)

( toujours aussi beau :) )
*se demande ce que deviens morlhok*

Par TalyVif le 20/2/2002 Ă  15:50:48 (#984850)

( Tres beau tres beau :) )

Par Fanzine le 20/2/2002 Ă  21:07:05 (#987282)

Cette nuit-lĂ , elle ne dormit pas.
La boisson proposée aux jeunes, leur permir de ne rien savoir, mais ils dormirent d’un sommeil plutôt agité, surtout le garçon.

Elle termina le rituel quand la Lune Ă©tait haut dans le ciel.
Un bref regard vers les deux enfants la détendit légèrement.
Un frère et une sœur, que tout opposait, dormaient ensemble, côte à côte, inséparables, une Fleur et son Dragon.
Cette illusion la fit sourire.

Mais celle-ci s’effaça rapidement.
MòrLòkh était aux prises avec son cauchemard… comme elle l’avait rêvé.

Elle savait d’avance ce qu’il fallait faire. Mais était moins confiante dans le résultat.
Elle trempa son doigt dans le mélange confectionné de sang et de poudre d’os, traça grossièrement sur le front de son fils une rune. Puis alla s’assoir au milieu du
joli dessin.

Si seulement, IL l'avait vraiment aimée... tout cela ne serait pas.

Par Fighter le 20/2/2002 Ă  22:31:36 (#988167)

doute avoir aimé quelqu'un comme il a aimé Fanzine

Par Mercutio Lunos le 20/2/2002 Ă  23:01:58 (#988434)

:)

Le reveil

Par Fanzine le 22/2/2002 Ă  13:11:00 (#997833)

Méditant intensément au centre du pentacle, elle récita les runes dans l’ancienne langue, calmement, doucement. Une bourrasque de vent marin se faufila dans ses cheveux, faisant danser ses boucles blondes.
Elle envoya alors son esprit vers ce qui paraissait ĂŞtre un simple rĂŞveÂ…

Et se retrouva dans un endroit sombre, froid… à la croisée de chemins.
Elle dĂ» prendre un long moment avant de pouvoir apercevoir quelque chose.

Se souvenant que ce n’était qu’un rêve, elle se concentra sur… une torche ! non, une lumière… diffuse mais qui lui permettait de voir où elle se trouvait… La plage ?…
Elle avança droit devant elle…foulant le sable blond et si chaud de ses orteils, sentant la douce brise marine caresser son visage…

Mais ce silence… le silence l’entoura. Aucun murmure…aucun bruit… rien que… qu’une odeur nauséabonde ? Emanant de cette direction.. ?
Il Ă©tait lĂ  devant elleÂ… sanglotantÂ… appelant en vainÂ…

MòrLokh !?!… MòrLokh !??…

Elle cria…tenta d’appeler, mais aucun son ne sortait de ses lèvres.
Alors elle couru… couru…mais… mais n’avança pas !

Un rire s’élevait tout autour d’elle, la sorcière leva les yeux et vit une silhouette sombre… évanescente… tel un fantôme surgissant… du petit… mais qui disparu soudainement.

Et les ténèbres les envahirent.

Par Keraunos le 22/2/2002 Ă  16:13:32 (#999548)

Et hop

Par Thoril le sage le 22/2/2002 Ă  21:22:06 (#1001685)

*c'est tres beau *

*délires*

Par Fanzine le 23/2/2002 Ă  13:47:43 (#1004936)

Puis elle se retrouva seule devant La grotte.

Comment ? Sa grotte. Pourquoi ?Â…
Elle se retourna, s’attendant à Le voir là, derrière elle, comme avant, comme quand elle avait six ans.
Non. Rien.
Ni personne.

Juste un corps.
Un petit corps.
Allongé devant elle
A ses pieds.
Le corps dÂ’une fillette de Â… six ans. Aux cheveux blonds. Un corps baignant dans le sang, si chaud et si rouge.


Ma sÂśur !.. Oh ma sÂśur !!!

Fanzine s’effondra en larmes aux cotés de la petite fille, la prenant dans ses bras, la pleurant de tout son saoul, se balançant inconsciemment d’avant en arrière, et ce sang, du sang, plein de sang sur sa peau.. et un rire, un rire effrayant dans ses tympans !

NOON !! Partez !! Ordonna-t-elleÂ… Partez je vous en conjure !! Laissez moi tranquille, laissez la tranquille !!

Tandis qu’elle pleurait, criait… les villageois, ses parents, sa sœur aînée arrivèrent sur les lieux du ''crime''.
Ils ne purent que se rendre à l’évidence de la possession maléfique de Fanzine : sa jumelle gisait morte, alors que celle-ci répétait sans cesse : pardonnes-moi, pardonnes-moi, serrant sa défunte sœur dans les bras.

Fanzine leva des yeux rougis et Â…retrouva ses six ans.



MòrLòkh était là, marchant hésitant vers Lui, Lui si sombre, si grand, immensément dangereux.

Elle aurait bien voulu lui crier de ne pas Le suivre, de ne pas Lui faire confiance. Puis elle se souvint de son rĂŞve.
DÂ’un sac, sorti dÂ’on ne sait oĂą, elle tira la poudre blanche, quÂ’elle saupoudra autour dÂ’elle, psalmodiant quelques mots, quÂ’elle-mĂŞme ne comprenait pas, ne comprenait plus. Elle s'en moquait, il fallait le faire.

Le vent se leva, la silhouette se retourna vers elle, et elle Le vit. Lui… qui la regardait… qui la transperçait de son regard froid, son regard glacial, vidée… la déshabillant dans son esprit, faisant ressurgir toutes ses craintes, et surtout sa plus profonde peur.

Elle. Si petite. Si fragile. Perdue dans la forĂŞt, noire et humide, comme Â…
Une cave.

*Non. Pas la caveÂ… Pas encore. Pas aujourdÂ’hui. *

Elle se prit la tĂŞte entre les mains, et poussa un hurlement strident. Il Lui arrachait lÂ’esprit, il lui faisait malÂ…

*Syl aide moiÂ… aide-nousÂ…*

Elle se rendit compte avec effroi, qu’elle retombait vers les profondeurs de son inconscient, retrouvant ces pensées, celles qu’elle avait oubliées, celles qu’elle avait désespérément essayé d’effacer.
Il fallait qu’elle se reconcentre. C’était si dur. Il était parvenu à l’éloigner, la repousser hors du chemin. Loin de son fils, loin de leur délivrance.

Elle n’avait que six ans, et ses oreilles s’emplirent d’un son démoniaque, ce son… c’était… Le chant ! Oui, elle s’en souvenait. Elle jura qu’Il ne l’aurait pas, pas lui ! Pas lui !!

Elle se sentit tellement lasseÂ…

Par Fighter le 24/2/2002 Ă  12:07:40 (#1012183)

( paf :) )

l'Ă©panouissement.

Par Fanzine le 25/2/2002 Ă  15:39:21 (#1021535)

Elle entendit tout à coup un chant mélodieux qui la réchauffa. Un chant qui recouvrait la plainte du démon. D’où venait-il ? Comment ? Qui ?

Elle sentait surtout une petite présence, qui la rassura. Elle vit une fleur, qui dansait au rythme lent du vent qui s’affaiblit aussitôt. Puis une main, une douce main, la cueillit… Fanzine se rendit compte que… mais ?

LĂąmLoth ?!?Â… cÂ’Ă©tait LĂąmLoth !!

La petite fille chantait joyeusementÂ… marchant vers la noire silhouette qui rapetissait, rapetissait.
Autour de la fillette s’étendait une aura, douce et sereine, grandissant à chacun de ses pas, alors que le chant s’emplifiait, mélant les voix de LùmLoth, Fanzine…

LùmLoth prit délicatement la main de sa mère qui reprit alors ses esprits devant l’amour de son enfant, de sa chaire. MòrLokh vint alors les rejoindre. Et la lumière les envahit.
Ensemble ils chantèrent un psaume, dans une langue étrange, bien qu'inconnue des petits.

Puis ils sortirent de la forĂŞt, marchant sur le sable finÂ… vers ce qui allait ĂŞtre un sursis, un moment dÂ’accalmie, pendant lequel, ils se retrouveraient.

Seuls, mais ensemble.

Â… et, levant leurs yeux sur lÂ’astre luisant,... qui les Ă©blouirentÂ…

La fin du cauchemar ? ...

Par Fanzine le 26/2/2002 Ă  19:33:46 (#1031443)

Ils se tenaient là, encore endormis, recroquevillés l’un dans les bras de l’autre.

Elle se concentra une dernière fois pour s’assurer que ce terrible cauchemar avait prit fin. Elle avait très mal à la tête, mal comme si un mauvais diable entaillait avec sauvagerie son cerveau avec une dague mal aiguisée.
Ce nÂ’Ă©tait quÂ’une partie remise elle le savait malheureusement, et Fanzine en payerait tĂ´t ou tard le sombre prix.


Je suis perdueÂ…
se dit-elle tout bas, mais un triste sourire sÂ’afficha sur son visage blĂŞme.
Mais son fils était sauvé… pour l’instant.

Elle sÂ’Ă©croula sur le sol, laissant dans sa chute des traces du pentacle, et quelques runes.

Elle put toutefois entrouvrir suffisement ses paupières pour voir ses enfants, paisiblement enlacés.
LùmLoth tenait dans sa petite main, une frêle Tulipe blanche aux traînées de sang écarlate. MòrLokh, lui, souriait : il avait alors une… une cicatrice !?!… par Syl…elle fut choquée par la ressemblance avec… La même que son père. Le sang traça sur sa peau abricot juvénile une petite traînée noire.

Elle tomba inconsciente malgré elle, alors qu’un rire dément, un rire guttural s’amplifiait dans son esprit, lui glaçant le sang.

Elle avait peur,
peur comme jadis,
peur pour elle, peur, pour ses enfantsÂ…
une larme coula sur sa joue, une larme de sang.

Par Fanzine le 28/2/2002 Ă  20:38:13 (#1041384)

Le jour suivant, sur cette même plage ensoleillée…


- QuÂ’est-ce-tu fais Maman ? demanda LĂąmLoth.
- JÂ’Ă©cris un message.
- A qui tÂ’Ă©cris alors ?
- Je vous Ă©crisÂ…Ă  vous.
- ??
- Tu comprendra plus tard ma jolie fleur. Viens me faire un gros câlin.. ma fille.


Elle referma le cahier, le lia soigneusement et le mis à coté de sa besace, à coté de trois bijoux emballés, et de lettres cachetées.

Comme elle lui ressemblait. Elle lui caressa les cheveux, longs, bouclés, et noir de geai, comme son père. Le même regard si doux, si serein. Ma fille, mon Amour. Ma moitié. Tu comprendras un jour, et je ne serais plus là…

Le garçon enfin s’éveilla, et LùmLoth parti vers lui, le tirant vers leur mère.


Maman nous a Ă©crit une jolie lettre !!

Dit-elle fièrement. MòrLokh la regarda un instant, le regard dur mais en même temps mature, *froid ?* de l’enfant la surprit. On eu dit qu’il lisait dans ses pensées, et un doux sourire éclaira son visage. *oui, maman je Lui ressemble, je le sais, je le lis dans tes yeux*. Elle observa son petit garçon que la fillette rejoignit sautillant, elle suivait des yeux la courbe que dessinait cette étrange cicatrice.

Mes enfantsÂ…

Elle tourna la tĂŞte, masquant son chagrin, refoulant les larmes qui pourtant la soulageraient tant. Il ne faut pas, pas devant eux.
Ils ne doivent se douter de rien. Et elle se força à sourire, songeant au bonheur des jours à venir, oubliant le dessein que cette nuit, elle a du promettre à cette chose.

Elle sourit.

Cette nuit sont nés Une Fleur et Son Dragon.




-hrp-
Bon voilà, j'achève ici cette présentation de MòrLokh et de LùmLoth. Si par le plus grand des hasards, ces personnages vous intéressent, mailez moi, les places sont encore vacantes.
Merci Ă  ceux qui ont lu dans son entier.
-rp-

Par Fighter le 1/3/2002 Ă  0:32:22 (#1042441)

( ouais :) )

Par Mabelrod le 1/3/2002 Ă  11:12:41 (#1043363)

:lit: (*en veut encore * superbe !! ;) ) (et Paff ! ) ("Spécial" encouragement :D )

Par Aurezia/Nekresh le 2/3/2002 Ă  12:53:45 (#1048796)

*encore sous le charme du texte ...*

Il faudrait que tous puisse le lire

*sort une baguette magique et le fait apparaitre en première page*

Par Fanzine le 7/3/2002 Ă  11:04:02 (#1077334)

Veille inlassablement sur le sommeil des ses chers petits.
Emmène souvent LùmLoth à la ville, MòrLokh, lui, n'étant attiré que par la chasse, préférait rester dans la cave...


-hrp-
Le perso de MòrLokh étant toujours libre, je remonte mon zouli post :p.

Par Fighter le 7/3/2002 Ă  21:40:19 (#1080514)

( hop en haut )

Par Cixi de Troy le 8/3/2002 Ă  8:41:13 (#1081965)

( :lit: :amour: )

Par Kreslack Slay le 8/3/2002 Ă  21:47:34 (#1085869)

( *Avait déjà lu tout ça à chaque nouvelle partie, ou presque ..
Vient de le relire, et trouve ça encore plus joli qu'à la première lecture* *Paffe le post, parcequ'il le vaut bien* )

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