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Songes d'une nuit glacée, l'histoire d'Opale

Par Opale le 5/2/2002 Ă  19:18:38 (#867104)

Depuis plusieurs jours, la bibliothèque du temple de LightHaven compte une adepte de plus. Une jeune femme au visage tiré et sévère, mais néanmoins aux gestes doux, semble s’afférer à la préparation d’un ouvrage dont elle seule connaît le contenu. Par une nuit d’orage, le sommeil vint la cueillir, et un veilleur, attiré par la curiosité que suscite le parchemin déposé devant elle, subtilise discrètement le document afin d’en apprendre le contenu.

« Ma plume hésite, puis échappe à ma main noueuse, laissant une bavure d’encre sur le papier. Encore une feuille de ce fin matériau gâchée, dans une entreprise que je soupçonne fort d’être vaine. Je me demande si je puis écrire cette histoire ou si, à chaque page, transparaîtra un peu plus l’amertume que je croyais être éteinte depuis longtemps. Je m’imagine guérie de tout dépit mais, quand je pose ma plume sur le papier, mes blessures d’enfance saignent au rythme de l’écoulement de l’encre, et je finis par sentir un froid glacial m’envahir à chaque caractère que j’y appose.

Pourtant, l’histoire des Sept Plaines aurait bien besoin d’être sauvegardé quelque part, dans un endroit sûr, autre que mon esprit un peu plus tourmenté de jour en jour. Mais chaque fait que je tente d’écrire réveille en moi un souvenir dont je ne puis me cacher bien longtemps, et ce qui devait être un récit neutre de toute pensée personnelle se transforme en un recueil relatant de l’enfance à la fois commune et insolite d’une solitaire au cœur glacé.


Le Royaume des Sept Plaines a été bâti il y a tellement longtemps que peu se rappellent encore l’histoire de sa création, et je n’en fais malheureusement pas parti. Tout ce que je puis dire, c’est que la coutume voulait que les nouveaux nés portent un nom qui guiderait leur destiné, et cela en l’honneur du Prince fondateur qui se nommait Prince.
Certaines légendes populaires racontent que l’on usait parfois de magie pour lier indéfectiblement les rejetons à leur sort. Trempés dans les flammes, plongés dans l’eau salé, et séchés au grès du vent, tel était le rituel.
Pourtant l’histoire a prouvé qu’il ne suffisait pas d’un nom pour déterminer une vie …


Là encore, mes propres souvenirs m’envahissent … Comment passer à côté ? Cette coutume traça mon histoire et m’a emmenée là ou je suis en ce moment même, et sans doute mon avenir est il contenu dans mon nom.

Les souvenirs de ma petite enfance sont vagues. Je me souviens d’une main, rêche et dure, serrant la mienne d’une poigne intarissable. Je me souviens d’un chemin enneigé, d’une plaine déserte et glaciale, de l’allure que je devais adopter pour suivre celui qui me menait là où mon destin allait basculer. Je me souviens d’une voix, la voix suppliante d’une femme « Père ! Non ! Pitié ! »; En revanche, je ne me souviens pas avoir tourné la tête pour apercevoir le visage de ma mère, nous suivant en trébuchant dans les traces laissées dans la neige. Je me souviens avoir senti ma main piquée par le froid lorsque son homologue géante me lâcha pour ramasser un bloc de glace laissé sur le bas côté, et le jeter violement. Je ne me rappelle aucun cri, ni aucune complainte supplémentaire.

Après une durée que je ne pourrais déterminer, je finis par entrevoir de hauts murs se dressant devant moi. Ceux d’une forteresse bâtie ici il y a fort longtemps sans doutes. La main calleuse de mon grand-père pris le gond qui se tenait au milieu de la lourde porte de chêne, et donna 3 grands coups en le repoussant contre son point d’origine. Quelques bruits se firent entendre, et contre toute attente, ce n’est pas un majordome aux attitudes accueillantes et courbées qui nous ouvrit la porte, mais un homme aux cheveux grisonnant, portant une lourde armure sur les épaules. Son regard se posa sur le visage du vieillard qui m’accompagnait, puis sur le mien. Il nous fit entrevoir ses dents jaunies par le temps au travers d’un sourire quelque peu agacé.
« Et bien Renard, ne me dit pas que …. » Puis il me dévisagea à nouveau. L’étreinte qui emprisonnait ma main se relâcha, et je me senti poussé par derrière par celui qui aurait du être mon protecteur. L’homme en armure me retint par le col, m’empêchant ainsi de tomber.
« Voilà le petit, comme convenu, je ne veux plus jamais en entendre parler ».

Ces mots raisonnent encore dans ma tĂŞte, bien que du haut de mes six ans je nÂ’en avais alors pas compris la signification.
Jason, le garde qui s’était présenté à nous et semblait connaître mon grand-père, lui lança une bourse en cuir solidement fermée par un cordon noué.
Une fois les portes refermées, il fit appeler une femme, qu’il me présenta comme étant ma nourrice, puis lui donna quelques indications quant à ce qu’elle devait faire de moi. Puis il me dévisagea à nouveau, le regard vide et dénué d’expression.
« Et bien petit, comment tu t’appelle ? »
« Petit » …. Etait ce parce que je répétais intuitivement ses mots que je dis cela ou bien était ce là le nom que j’avais toujours entendu me concernant …
Quoi qu’il en soit, ma nourrice me fit traverser maintes salles, contourner diverses cours, et arpenter quelques couloirs et escalier avant de me présenter ce qui devait être ma chambre.


Ici, Jason commença mon entraînement aux arts du combat. Secrètement, il venait le soir après avoir finit son service, et m’apprenait à manier une épée. Mes seuls moments de répits étaient le bain et la prière, autrement, lorsque Jason n’était pas là, c’était Nanie qui veillait sur moi.

Mais un jour, la vérité éclata. Mon grand-père, qui avait toujours refusé que sa fille ai un enfant sans père, d’autant plus si celui là était une fille, m’avait toujours considéré comme UN étranger, et me nommait ‘petit’ à longueur de journée, imité par ma mère sans doute trop heureuse de pouvoir me couvrir de l’affection qu’elle souhaitait pour oser contester.
Vint un jour où Nanie, qui je pense l’avait toujours su, se vu obligée de dévoiler mon secret à mon maître d’arme, de peur d’être réprimandée s’il venait à comprendre tout seul. Le soir de ce même jour, il vint me trouver dans ma chambre, s’assit à côté de moi sur mon lit, et commença à me parler.

Alors que je m’attendais à me faire bannir sous le coup de féroces accusations, il me parla d’une voix douce, chose surprenante venant de sa part. Il m’expliqua alors plusieurs choses : Il avait toujours su que je n’étais pas petit, mais petite, mais il m’avoua que la bravoure et la sagesse dont je faisais preuve l’avait toujours poussé à me considérer comme bien meilleure que tous les poltrons fortunés qu’il entraînait à longueur de journée. Il me remit également une chaîne, qui brillait de par sa splendeur aux rayons de la lune que filtrait la fenêtre de mon refuge. Ce bijou lui avait été remit par ma mère, qui était venue il y a quelques années demander de mes nouvelles.
« Ton destin n’est pas d’être petit, tu te nomme autrement ».
Ne comprenant pas le sens de ses paroles, je restais les yeux écarquillés, fixant toujours le bijou qu’il suspendait dans les airs à ma hauteur.
« Tu te nomme Opale »
Il relâcha alors le pendentif qu’il tenait jusque ici caché dans sa main, et une gemme, que je supposait être une opale, vint parcourir chaque maille de mon précieux bijou avant de se balancer lentement au bout de celui-ci.


Mon destin était donc autre que celui que j’avais toujours imaginé. Mon nom avait une grandeur bien plus imposante que celui qu’on me donnait jusque ici. Mais quelle était sa signification ? Que pouvait bien être le destin de quelqu’un qui porte le nom d’une gemme, et qui manie l‘épée ? Mes questions ne trouvèrent pas de réponses. Une seule vint à mes oreilles :
« Je ne peux plus te garder avec moi, Petit. Nanie est venue me chercher avec un air d’une telle gravité que je soupçonne beaucoup de mes disciples d’avoir écouté aux portes la confession qu’elle avait à me faire. Tu dois partir à présent. Avant de venir, j’ai demandé qu’on selle un cheval. Ton chemin se trouve au delà de la Plaine Gelée, là où le blizzard souffle, et là où ton destin te portera. Tu relèveras cette épreuve, je le sais, je le lis dans tes yeux. Mes muscles sont avachis par le temps, mais mon esprit sait encore me porter où je le désire. Va mon enfant, va, et porte en toi le souvenir des Sept Plaines. Tu trouveras, j’en suis sûr, la voix qu’est la tienne ».
Sans me laisser le temps de répondre, il me saisit par l’épaule, et me dirigea vers la porte. Nous parcourûmes ainsi la forteresse entière, arrivant jusque à la lourde porte de chêne qui scellait autrefois ma séparation familiale. Un cheval gris m’y attendait. Sans plus échanger une parole, Jason me fit monter en selle, et me mena à la sortie du château, puis se retourna après m’avoir encouragé de son regard paternel.


Regardant le chemin qui m’attendait, je pris la route qu’il m’avait indiquée.
Les Sept Plaines …. Vastes terrains recouverts d’une neige qui se renouvelle chaque nuit, mais parsemés de roquasses assez grandes pour offrir un refuge pour la nuit à quelques voyageurs égarés. Mes souvenirs s’arrêtent ici. Les seules images que j’ai sont des montagnes, des plaines, le froid qui m’embrassait les joues, les rayons du soleil qui venaient laisser leur trace sur mon visage, créant quelques engelures passagères. Combien de temps dura mon périple ? Je ne saurais le dire. Le cheval gris ne demeura pas bien longtemps en vie. Jason devait le savoir, car les vivres qu’il avait laissé à son intention était plutôt maigres, contrairement aux miennes. Mes jambes flageolaient , mes muscles m’abandonnaient, la faim me rongeait l’estomac comme les termites rongent le bois. Soudain, le noir, le néant, la mort. Tout flottait autour de mon corps, à moins que ce ne soit mon corps qui ait flotté autour du monde.

Ce que je vis à mon réveil, ce fut une longue toile blanche, surplombant l’arche de bois qui formait le dôme d’une caravane marchande. Je restais incapable de prononcer un mot durant plusieurs jours, puis de semaine en semaine mon état s’améliora, à mesure que le Royaume Glacial d’où je venais s’éloignait de notre vue. Ce fut au port de Brinkahâm que je quittais mes sauveurs, leur souhaitant toute la chance et la prospérité qu’ils méritaient. Je demandais au premier capitaine venu où se rendait son cargo.
« Goldmoon, LightHaven ma p’tite ».
La réponse aurait pu être autre, peu m’importait, je ne connaissais le nom d’aucune contrée. Jason m’avait dit que c’est en suivant mon intuition que je découvrirais ma destinée, alors soit, j’embarquais donc dans ce navire et quittait les Terres de Glace pour un temps incertain …»


Ici se terminait le parchemin … Semblant réfléchir à maintes choses, le veilleur déposa le parchemin là où il l’avait trouvé, puis se dirigea vers la sortie, conter à d’autres ce qu’il venait de lire.

Par Kristell le 5/2/2002 Ă  20:40:59 (#867736)

*applaudit* Superbe récit mon p'tit:bouffon:

*se rejouit deja de lire le prochain*

Hihi

Par Opale le 6/2/2002 Ă  8:24:43 (#870963)

Merci Dame, je vous ferais part de la suite, si suite il y a ;)

Opale, Humble guerrière aspirant à la sagesse paladine.

Par Menforu le 6/2/2002 Ă  8:43:38 (#871056)

( hrp : Bravo !!!)

*vient d'entendre un récit captivant*

*repart en espérant secrètement entre-apercevoir cette étrange Opale, car curieux de savoir ce qu'elle est devenue sur ces terres riches en rencontres innatendues et improbables ailleurs*

Précision

Par Opale le 6/2/2002 Ă  22:35:57 (#876863)

*Un prêtre de la ville de HavreClair voit arriver une jeune femme, qui après une brève explication lui remet quelques pièces d'or, lui demandant d'écrire pour elle ce qu'elle ne saurait écrire assez lisiblement*

Habitants de Goldmoon,

J'ai rencontré hier un problème qui semble se concrétiser de minute en minute. En effet il semblerait qu'une femme ayant des traits similaires aux miens (exactement le même nom pour être plus exact) ai réalisé par le passé des actes honteux, comme l'agression de plusieurs personnes, aidée de deux acolytes.

La ressemblance qui nous lit m'est donc néfaste, puisque hier je rencontrais au pont gobelin une jeune femme, qui après avoir clamé que le monde était petit a plusieurs reprises (je n'ai au début pas compris qu'elle s'adressait à moi) m'a expliqué qu'un de ses amis fut lâchement agressé il y a de cela plusieurs années, mais qu'elle ne m'avait pas oublié.

Etant arrivée sur ces terres depuis peu de temps, je ne pouvais me trouver la à ce moment la, mais trop fière de m'avoir retrouvée (et cela se comprend) elle n'a voulut en entendre un mot et m'a donc menacée.

Sa réaction est compréhensible, une vengeance ruminée pendant tant de temps doit être agréable à savourer, mais je tiens a préciser que les personnes ayant été victimes d'une certaine -Opale- par le passé ne la trouveront plus, puisque le bourgmestre de LightHaven m'a permis de m'inscrire sous ce nom dans le registre du pays.

L'erreur étant donc expliquée, j'espère que les habitants de ces contrées comprendront

Bien amicalement, -Opale- Humble Guerrière Bréhanite, aspirant à la sagesse paladine


*après lui avoir confié le message, le prêtre regarde partir la jeune femme aux traits sévères, qui prend bien soins d'afficher son parchemin devant le temple, parmi d'autres messages, puis retourne a ses occupations*

(*a visiblement mal choisit son nom*:( )


Par Aekol le Sombre le 7/2/2002 Ă  16:12:19 (#879887)

Hum... interessant... je vais essaie d'avoir plus d'ample renseignement sur cette denomme Opale.
Tiens prend c'est quelques piecettes et sort de ma vue avant que je decide d'offrir ton ame au maitre.

L'homme attrapa la bourse au vol et s'enfuis dans l'ombre

Peut-etre arriverai-je a lui montre la veritable lumiere...

(EHLP)

Par Opale le 7/2/2002 Ă  22:46:40 (#883049)

Se décidant à sortir de la chambre où elle médite depuis quelques jours, lassée de sa solitude qui ne lui apporte aucune réponse, elle trouve enfin une douceur qui lui parvient au visage: les doux rayons du soleil, non agressifs cette fois, qui berce l'air d'une douce ambiance.

Elle revêt alors son armure de cuir récemment achetée, et se dirige vers le temple de la ville. Les habitants de la région paraissent bien moins hostiles que la dernière fois qu'elle avait daigné se meler à la population locale. Une chaleur moite règne à ce jour dans l'air, et seul un sourire peut orner son visage.

Pourtant, une étrange sensation la dérange. Regardant autour d'elle, elle se dit qu'elle se fait des idées, voyant que chacun est occupé à ses affaires ... Mais elle se sent observée ... Cette idée ne veut pas s'effacer ... Pourquoi cela? Que se passe t'il? Depuis quand a t'elle des craintes comme ca ?

Finalement, après un moment passé au pont nommé gobelin, elle retourne dans sa chambre d'auberge, tenant à la main un pendentif qu'elle sert fort. Ces contrées dégagent une étrange impression, il lui faut à présent comprendre.

Par Aekol le Sombre le 7/2/2002 Ă  23:00:30 (#883147)

Une personne glissa une lettre en dessous de la porte de la chambre d'Opale

Chere demoiselle
J'ai pu remarque que vous etiez nouvelle en ses contrees, je vous invite donc a prendre contact avec moi soit pour discute ou si vous avez besoin de quoi que se soit.
Aekol Vanderzar

Par Opale le 7/2/2002 Ă  23:18:25 (#883266)

*rentre dans l'auberge*

-On m'observe, j'en suis sûre ... Ce picotement derrière la nuque ...

*se secoue la tĂŞte comme pour signifier qu'elle se sent divaguer*
*introduit la clef de bronze dans la serrure, tourne la poignée, puis pose un pied à l'intérieur de la salle*

-Tiens, qu'est ce que c'est ?

*regarde une enveloppe jonchée sur le sol*
*l'ouvre et lit*

-Hum ... De plus en plus étrange ... Il ne dit même pas où le joindre ce *lit* Aekol. Bien, sans doute quelqu'un de connu par ici dans ce cas, c'est pourquoi il n'aura pas pensé à cette précision. Bien je me renseignerais donc auprès des gardes.

*pose sa lettre en évidence sur sa table de nuit, enlève sa légère armure et la dépose sur une chaise*
*s'assoit sur le rebord de sa couche, puis dévoile la chaîne qu'elle porte autour du cou*
*regarde avec de grands yeux interrogateurs la pierre qui pend à son extrémité*

-Opale ... Petite Opale ... Mmmmm ...

*sent son regard se perdre*
*s'en apercevant, elle secoue à nouveau la tête, passe un peu d'eau sur son visage après avoir prit soin de remettre son pendentif caché des regards à l'intérieur de sa chainse, puis se blottit dans ses couvertures de laine épaisse*

(orthographe inconnue du mot chainse, désolée pour les fautes probables ;p)

Par Lylas de Arnise le 8/2/2002 Ă  12:49:55 (#885852)

Comme toujours , ces derniers jours, la PrĂŞtresse garde un oeil sur la jeune fille ...
"Mon Frere Aekol te veut du bien, et c'est rare" se murmure-t-elle ... Elle la voit entrer dans l'auberge, voit sa lampe s'éclairer dans sa chambre ... Elle se demande encore une fois ce que cette jeune demoiselle peut bien avoir de spécial, et, comme à chaque fois, décide que peu importe ...
Elle rentre dans l'auberge, et ignorant les regards malveillants des Impurs qui la reconnaissent, elle s'installe Ă  une table puis elle sort d'on ne sait oĂą une feuille et un Kalam.

Demoiselle
Je sais que tu nouvelle en ces terres mon enfant, je sais que mon Frere Aekol t'a proposé son aide ... Sache que tu as là un grand privillège... Et suivant son exemple, je te propose a mon tour mon soutien ...
Pour prendre contact , rien de plus simple... prononce le nom de mon frere Aekol , ou de moi mĂŞme, et nous viendrons ...

Le Maître te garde

Mère Lylas de Arnise


L'Haruspicienne se dirige alors vers le tenancier et lui tend la lettre. "Tiens, remets ca a ta jeune pensionnaire" Puis sans attendre la réponse, elle se dirige vers la sortie, souriant discretement.

Par Trautorn le 8/2/2002 Ă  21:07:38 (#889199)

Excellent !! Bravo j'aime beaucoup .

Pour les Paladins de Bréhan, contacte leur haut commandeur Hobsek.

Par Opale le 8/2/2002 Ă  21:33:38 (#889386)

*se réveille de bonne heure, dérangée dans son repos par quelques rêves étranges, dont le souvenir s’éteint au fur et à mesure que ses yeux s’ouvrent*
*après avoir émit un long bâillement, elle se lève enfin, et ses yeux se posent alors sur la lettre qu’elle a pu lire la veille au soir*
*un sourire se dessine sur son visage encore endormi*

-Il va me falloir faire quelques recherches je crois.

Elle étend enfin ses bras à son maximum pour s’étirer, puis revêt son armure déposée à coté de son lit. Elle part déjeuner d’un pas décidé, après avoir pris soin de déposer la première lettre qu’elle a reçu en ces contrées dans une poche intérieure.

Elle sort de sa chambre, traverse le couloir, puis, en pénétrant dans la salle commune de l’auberge, la sensation d’être observée la reprend, mais cette fois elle est justifiée. En effet, Halam, l’aubergiste, la fixe d’une façon très étrange, il semble plutôt mécontent. Voyant que la guerrière regarde dans sa direction, il pointe malicieusement le doigt vers elle, et lui fait signe d’approcher.

Opale fronce alors les sourcils, se demandant quel méfait elle a bien pu commettre pour mériter tel mépris de la part de son logeur.

-Tenez, cÂ’est pour vous, mais la prÂ’chaine fois, dites a votÂ’ copine de pas venir dans mon aubergÂ’ ! Elle nÂ’est pas la bienvenue ! QuÂ’elle fasse porter lÂ’message par un gamin !

L’homme tend alors un morceau de papier, que son interlocutrice prend d’un air prudent … Une amie ? Aucun ami, ni aucune amie. Ni ici, ni ailleurs. Intriguée, elle ouvre sur place le message.

-Tiens, encore quelqu’un qui prétend me vouloir du bien, je me demande bien qui sont ces gens.
« Le maître vous garde » Qui est donc ce maître ? Cet Aekol semble bien important visiblement… Mais pourquoi me porter cet intérêt ?

Se grattant légèrement le cuir chevelu, signe de réflexion, elle finit par hausser les épaules et plie la lettre en la remettant dans sa poche …

-Bien, je vais essayer. Voici donc trois personnes Ă  contacter Â… Messire Aekol, Dame Lylas, et Messire Hobsek Â… Bien Â…

La rue est très ensoleillée ce jour là, ravissant la jeune paladine. Après avoir fait un petit tour dans les lieux qu’elle connaît pour s’assurer que tout se passe pour le mieux, elle se rend dans la salle de lecture de la bibliothèque, où elle réalise quelques écrits.

Elle sort alors de son sac quelques pages dÂ’un fin parchemin, et une encre dÂ’un bleue assez pale.
Elle écrit d’une main un peu gauche 2 messages, l’un pour le Haut Commandeur Paladin, expliquant qu’on lui avait conseillé de prendre contact avec lui, puis un autre pour le premier auteur de la lettre, lui demandant ou et quand se rencontrer.

Sortant alors à nouveau dans les rues pavées de la ville portuaire, elle confie le message à un enfant, ravie de se faire quelques sous, et lui demande de les porter à bon port.

Se rappelant la deuxième lettre, elle hésite un moment puis ….

-Messire Aekol ?

Par Hobsek le 9/2/2002 Ă  11:52:42 (#891764)

Après un début de journée peu commun il se décide à rejoindre sa demeure afin de se restaurer. Alors qu’il s’apprête à apercevoir les premier contours de sa maison, c’est un jeune enfant qu’il voit détaler puis s’arrêter jusqu’à sa porte.

-Hum, je peux vous aider jeune homme ? *sourit*
-Vous ĂŞtes mÂ’sieur Hobsek ?
-Lui-mĂŞme.
-Une fille m’a demandé de vous remettre cette lettre.

L’enfant sort de sa poche une lettre légèrement froissée de part la course effrénée qu’elle a du subir, puis regarde Hobsek étrangement.

-C’est ta fiancée ?
-EuhÂ… non pas du toutÂ… je vais bientĂ´t me marier Ă  une tout autre personne *sourit*.
La lettre ne porte pas de sceau, je me demande bien qui est la fille qui te lÂ’a remiseÂ…
Je t’en prie entre, je vais lui répondre immédiatement.

Tous deux entre dans la maison, l’enfant fermant doucement la porte derrière lui.

-Ma fille est un vrai garçon manqué, tu devrais trouver ton bonheur parmis les jouets qui lui appartiennent, en attendant que j’ai finit. Si tu as faim tu peux te servir, il y a une corbeille de fruits sur la table.

Après une lecture approfondie de la lettre il se munit rapidement d’un parchemin vierge et de sa plume puis se met à écrire.

Demoiselle Opale

Je suis ravi que vous ayez pris les devants afin de m’écrire cette demande. Ceci peut paraître anodin mais il est rare que ce genre de demandes se fassent ainsi.
Vous pourrez me contacter dans la ville portuaire de Windhowl. Ma demeure se situe au sud de la ville à côté de plusieurs Pommiers luxuriants. Vous ne pouvez la rater c’est la seule maison construite en pierres anciennes.
Je ressent une impression étrange à lire vos mots. Pas une sensation de malaise mais plutôt de la mélancolie.
Ceci me donne maintenant deux bonnes raisons dÂ’ĂŞtre impatient de vous rencontrer.

Amicalement,
Hobsek, Haut commandeur


-Voilà j’ai terminé, désolé de t’avoir fait attendre.

Il rentre dans sa chambre et en ressort avec une bourse Ă  la main.

-Tiens, accepte ceci, ça te paiera le fait de m’avoir attendu et surtout celui de remettre la lettre que voici à la jeune fille qui t’as fait venir jusqu’ici.

Rapidement lÂ’enfant sort de la maison et se met Ă  courir dans la direction apparente de Lighthaven.

Par Opale le 9/2/2002 Ă  15:36:23 (#893083)

Ces derniers mots un peu maladroits, et prononcés sans grande conviction, se perdent bien vite dans le brouhaha de la ville qui s’éveille.
La jeune guerrière se secoue la tête.

-Comment diantre quelqu’un pourrait-il apparaître sous prétexte que quelqu’un prononce son nom *pense tout bas*

Continuant son habituel tour de ville, elle rencontre quelques personnes fort charmantes.

Un archer, à l’accent bien original, se propose de lui offrir une arme surpassant les capacités de celle actuellement flanquée dans le fourreau d’Opale. Regardant sa dague rouillée et ébréchée, elle accepta donc cette charmante donation.
Après avoir admiré avec de grands yeux son acquisition, et après l’avoir inaugurée en pourfendant quelques gobelins un peu trop insistants, elle finit par rentrer vers l’auberge, dans le but de déjeuner.

Halam, qui semblait calmé, lui servit son habituel plat du jour : poularde rôtie aux pommes de terres.
Alors que son repas touchait à sa fin, Opale vit un jeune garçon faire irruption dans l’auberge. Elle le reconnut aussitôt, et se dirigea vers lui après avoir prit soin d’essuyer sa bouche d’un revers de la manche.

-Et bien petit, tu n’as pas trouvé les destinataires de mes lettres ?

Le jeune garçon la reconnue à son tour

-Oh si mam’selle, Le sieur en armure m’a donné la réponse à votre lettre *tend une lettre pliée en 3, portant le sceau des paladins*
Pour l’aut’, j’ai pas trouvé la personne dont vous m’avez dit le nom, mais une personne au pont *à voix basse* pas très commode d’ailleurs, et vêtue toute de noir *reparle a voix haute* m’a arraché la lettre des mains en me disant qu’il savait de qui il s’agissait, et qu’il s’occupait de la faire arriver à bon port.

Il baissa ensuite les yeux vers le plancher, dÂ’un air coupable

-J’espère qu’il a dit vrai, j’ai po eut le courage de le contredire m’dame.

Le regardant avec des yeux bienfaisants, elle ébouriffa quelque peu les cheveux de l’enfant, en disant qu’il avait agit pour le mieux, et le renvoya chez lui avec quelques pièces de plus dans la poche.

De retour Ă  sa table, elle lut la lettre du Paladin, esquissant un sourire en lisant les mots accueillants auxquels elle avait Ă  nouveau droit.

-Bien il me faudra le rencontrer, je vais tenter de savoir où se trouve cette ville de WindHowl dont on m’a tant parlé, et de trouver sa maison. J’espère qu’il ne me tiendra pas rigueur de lui avoir fait savoir que je souhaitais le voir par courrier ; apparemment ça n’est pas d’usage ici … Je pensais pourtant ….

Elle replia la lettre et la glissa dans sa poche avec ses deux consoeurs, puis finit son repas.

Par Xadius le 10/2/2002 Ă  14:45:04 (#898690)

[Bravo pour ton récit :)]

*Ne remarque même pas la présence de la nouvelle guerrière dans la ville en allant rencontrer son ami Balork.*

Par Opale le 10/2/2002 Ă  21:24:07 (#901417)

Après une matinée tout ce qu’il y a de plus banale, Opale se rend comme tous les midis dans la bibliothèque de la ville pour continuer ses écrits.
Cette fois ci, deux carnets sont disposés devant elle, l’un, bien court, relate des idéologies et coutumes des Sept Plaines, l’autre, étendu sur une grande quantité de parchemins, raconte l’histoire de sa vie.
Sa plume gratte quelques mots sur le carnet Ă  reliure Rouge, puis sÂ’Ă©gare bien rapidement sur son voisin aux couleurs vertes.



« Ces quelques jours passés dans la ville de LightHaven ont été très agréables, et les habitants de ces trois îles semblent très accueillant. Au delà même de toutes ces impressions, une voix en moi me dit de rester où je suis pour le moment … Pour combien de temps ? Je ne saurais le dire …

Je suis ici tranquille, je peux Ă©crire Ă  mon aise, bien que ces mots ne sont pas ceux qui devraient venir ternir ces monceaux de parchemins Â… Mais comme disait Jason, chaque chose en son temps, et chaque chose en son cÂśur.
La seule chose qui me préoccupe, c’est cette constante impression d’être épiée, observée, connue … Les gens qui me croisent dans la rue arbore un grand sourire et me salue de façon familière, et en y regardant de plus prêt, ça n’est pas une attitude générale. Aujourd’hui quelqu’un m’a même appelée petit … Je soupçonne que quelqu’un ai subtilisé discrètement mes écrits … M’enfin laissons cela pour plus tard.

A partir de maintenant, je suis tenue de rester ici quoi qu’il arrive. J’ai rencontré un haut dignitaire de celui qui, je pense, guide mon arme à chaque danger qui se présente. Le Sir Hobsek, Haut Commandeur des Paladins de Bréhan, m’a en effet reçue aujourd’hui pour un entretien concernant mes motivations quant à l’entrée dans sa caste. J’espère avoir été digne de l’honneur qu’il me fait, mais en tout cas je suis restée sincère, honorant ainsi la pensée de Jason, si loin de moi à présent … Ses conseils me manquent … Les coups que je recevais parfois lorsque ma pensée dérivait aussi à vrai dire … L’honneur, la discipline, la dévotion, toutes ces vertus existent encore en moi mais sont éteintes, et j’espère que ces fiers paladins sauront les réveiller à jamais, à condition qu’ils m’acceptent parmis eux… »

Une tâche d’encre vient brouiller le texte, écrit jusque ici en suivant le fil d’une pensée un peu perplexe. A y regarder de plus prêt, la guerrière a en effet levé le nez, et semble réfléchir à maintes choses, ne s’apercevant pas de l’encre qui coule faiblement mais à son gré sur le bas de la page.
Sursautant, comme réveillée soudainement, elle penche alors le nez sur l'autre parchemin à demi vide, fermant et rangeant pour la journée le carnet aux reflets verts, et gardant machinalement au cœur de sa main inutile pour l’écriture la gemme qui lui sert de pendentif.




Ps: Merci Xadius ;)

Par Xadius le 10/2/2002 Ă  21:32:21 (#901478)

;)

Par Yodavid le 11/2/2002 Ă  16:55:53 (#907103)

Il y aura toujours quelqu'un pour tirer la corde fixée à un trait que vous aurez décoché si vous souhaitez revenir nous voir de l'autre côté du miroir.
*continue de regarder les jolies journées de l'archère au nom bien taillé à travers la surface argentée du lac au bord duquel sa fermette est sise*
Ca a du bon la magie de clairvoyance finalement...
----------------------------------------------------
Papi Sinople, simple fermier de par lĂ -bas

P.S. : et surtout ne vous arrĂŞtez pas d'Ă©crire du joli, beaucoup y perdraient

Par Opale le 11/2/2002 Ă  17:04:47 (#907180)

:lit:
Je suis toujours contente d'avoir un soutien du Papy Sinople, au vocabulaire bien original et aux manies chaleureuses. Je passerais moi aussi le miroir dès que mon courage me le permettra, assister à la fête fermière promis ;) Toujours ravie d'avoir des nouvelles . Pour les journées, je vais faire de mon mieux, j'attends une intervention pour continuer, sinon on va dire que je parle toute seule (ce qui n'est pas faux ;p) *grand sourire*

Par Aekol le Sombre le 17/2/2002 Ă  13:40:01 (#955394)

Aekol est de retour sur GoldMoon, il depose deux planches de bois appelle Ski en language Elfique, se dirige vers l'autel, addresse une priere a la Gloire du Juge

Que ton pouvoir soit sur la terre.
Que ton pouvoir dure des millenaires.
Laisse voir aux hommes la verite.
Et que tes paroles soient sanctifiees.
Mais, s'ils ne meritent que ton courroux.
Fait que cette tache nous echoue.
S'il reste des ames qui ne veulent pas croire.
Elles mediteront au purgatoire.

Depose un genoux a terre, presente son epee a l'autel.
Recite quelque paroles de son ancien mentor.

Tu n'es qu'un pion. Un vulgaire pion utiliser pour la Gloire et la Victoire de Notre Maitre.
En tant que Haut grade de l'Armée Harucpiscienne tu te dois de livrer bataille sur les scenes sanglantes de ce monde, de te relever encore et toujours pour et au Nom du Seigneur.
Tu te dois de poursuivre et d'eliminer ceux qui salissent son Nom.
Tu te dois de Lui offrir tous les jours ta vie.
Tu te dois de Lui offrir ton ame.
Tu te dois de Lui sacrifier tout ce qui t'es precieux.

Tu es un instrument du Maitre.
Tu agis en Son Nom.
Tu n'as pas d'honneur.
Tu as l'Honneur du Maitre.

N'oublie jamais ça, quoi que tu fasses tu le fais pour la Gloire de l'Haruspisce.

Tu dois detruire sans pities ceux qui font obstacle au Maitre et non pas les defendre.


Apres avoir rendu gloire au Grand Juge et a son ancien mentor, Aekol remarque une lettre depose sur une table.

Hum... bien bien...

Prend un parchemin et une plume d'oie, et commence a ecrire avec de l'encre rouge....

Veuillez m'excuse pour mon retard, j'ai du me rendre a mon ancien temple pour me recueillir.
Nous pourrions nous rencontre au cercle des pierres de la ville portuaire de Whindhowl, pour si rendre il suffit de prendre la sortie oest de la villle et en suite de suivre la mer en direction du nord, prononcez mon nom trois foix et j'arriverai.

Aekol Vanderzar.

Sort de sa maison en frondonant une chanson qu'une druidesse a ecrit pour lui...
Une âme s'est fânée
à l'aurore qui se lève
sombre est la destiné
de cet ange qui rĂŞve
un enfant Ă  la peau blanche
le démon prit sa revanche
d'une épée levée vers le ciel
le mal en fit son emblème
Amis, sentez la peur
humains, craignez son heure
Aekol est de sortie
et son arme est brandie
de vos âmes elle se nourrit
de sa flamme, elle grandit

Vive-lame prit possession
de son corps, puis de son nom
et de cet ange au tendre visage
un pantin, elle fit... outrage !
l'amour elle se vengea
quand Shandrill, il aima
et d'un coup de poignard
mit fin aux doux regards

Amis, venez vers moi
humains, entendez ma voix
Aekol est de sortie
et son coeur est meurtrie
de son amour, de son désir
il ne reste qu'un souvenir

LĂ , voilĂ  la fin
qui se dessine au loin
ses amis, bien peu nombreux
ensemble, iront au feu
et de cette ignoble possession
notre Aekol, nous délivrerons

Amis, venez Ă  moi
Humains, allons, aidez-moi
Aekol est notre ami
le mal ce soir, sera puni
de Vive-Lames, sa triste épée
nous allons le délivrer



Rit a la fin de la chanson
Ahahah, ils se trompent largement je suis un des seul a suivre le bon chemin.

Par Opale le 17/2/2002 Ă  18:55:51 (#957735)

Un feu de bois crépite bruyamment dans une petite clairière non loin de LightHaven. La nuit noire paraît peu opaque tout à coup, puisque chants danses et conversations agitées couvrent le silence habituellement pesant des forêts. Même les créatures étranges et agressives qui dorment non loin n’osent approcher. Un petit groupe semble là festoyer sans raisons apparentes autres que l’envie de jouir à plusieurs du temps printanier qui s’annonce.

Une fois le feu éteint, tous les fêtards s’en retournent vers leurs habitations respectives. Guerriers, mages, hommes vêtus de noirs, femmes agrémentées de bijoux, le groupe est bien vaste et original. Une fois le pont gobelin passé, chacun se salut et s’en va pour passer la nuit. Une guerrière semble s’écarter du groupe dès la première intersection. Elle se dirige vers la première bâtisse sur la droite et entre dans la taverne. Tout est silencieux, et nul bruit ne se fait entendre.

Passé le pas de la porte, elle trouve comme plusieurs fois précédemment une lettre glissée sur le sol. Non surprise, elle s’en saisit alors, et s’assieds sur le bord de son lit et commence à lire le parchemin.

-Joli rouge.

Elle parcourut alors les quelques lignes écrites, et fit une grimace facilement déchiffrable : l’idée de retourner a WindHowl ne l’enchantai guère.

-Bien, je demanderai aux autres de mÂ’accompagner Â…

Elle répéta alors quelques mots lus sur le parchemin d’Aekol.

-Répète trois fois mon nom … c’est donc pour cela que ça n’avait pas marché … Tout ceci est tout de même bien étrange. Bien, demain, je me mettrai en route.

Elle se dévêtit ensuite, et se glissa bien vite dans ses couvertures pour se réchauffer du froid nocturne qui envahissait sa chambre.

Euh!! désolée ...

Par Lady-Van CFD le 17/2/2002 Ă  23:55:43 (#960115)

Désolée , c'étais un peu long... je me suis endormie avant la fin , mais je me reprendrai , promis :)


Lady-Van CFD

Mère de Choy :)

Par Opale le 18/2/2002 Ă  18:12:42 (#966655)

*arrive au dit Cercle*
*sent que ce lieu est un lieu particulier, aux dégagements bienveillants*
*dépose son arme dans le couloir de sable menant au lieu de rendez-vous, puis vient se placer prudement quelques pas plus loin, en direction du centre*

-Bon ... Essayons ....

Messire Aekol Vanderzar ? *repete trois fois le nom, non sans grimacer à l'idée qu'elle parle dans le vide*

Par Aekol le Sombre le 18/2/2002 Ă  21:31:38 (#968471)

Une ombre est adosse a une pierre du cercle.

- Bonsoir, je me presente Aekol Vanderzar pour vous servir, ou plutot vous guide petit *esquise un petit sourire*.
Je vous ai remarque depuis votre arrive en ses contree, vous avez quelque choses de different, vous etez different du commun des mortels qui habitent sur GoldMoon.
Avez vous deja entendu parle de l'Haruspice... laisse moi vous conte sa veritable histoire.

En des temps où le Temps débutait, deux Etres d'une puissance infinie luttaient pour notre monde : le Bien et le Mal. En ces temps la, tout n'etait que choc titanesque... Le sol vibrait, les montagnes s'élevaient, les flots rugissaient... Notre monde était voué à la destruction, ces deux êtres ne pouvant pas se départager. Leur sagesse était grande : ils décidèrent de laisser ce monde et ces peuples à leur propre destinée. Ils quittèrent alors ce monde... Mais les peuples ne pouvant pas être maître de leur destinée, ils créèrent alors un être unique, parfaite fusion de leur deux êtres, mi bien, mi mal, un être qui aurait pour mission de juger de les peuples afin de voir si le Bien et le Mal auraient pu être fier d'eux... Cet Etre, vous le connaissez sous le nom d'Haruspice. Le reste... vous le connaissez. Deux peuples ont péri... Et je ne laisserai pas le troisieme perir...


En des temps bien anciens où le destin de notre monde fut scellé et où le Bien et le Mal le quittèrent, la magie divine planait en toute chose. Quelques êtres, plus fourbes que les autres, prirent pleine possession de cette magie. A leur tête, un être fourbe, haï de ses semblables, et qui avait dû trouver retranchement en une sombre grotte afin d'éviter la mort que tous lui destinaient : Artherk. Cet être abject étudia plus finement la magie divine que ses semblables. Aidé par ses enfants, il mit au point un sortilège qui les enferma dans un non-lieu, prisonnier du non-temps. Cet "endroit", infini et universel, lui permit une emprise totale sur ses semblables, qui tombèrent en adoration devant cet être sans foi ni loi et ses enfants. Ce forfait accompli, il chassa toute magie divine, afin que son rang ne soit plus menacé, et s'auto déclara "dieu", lui et ses enfants... Puis vint l'Haruspice... Artherk le fourbe pris peur de Celui ci, pensant qu'Il serait la fin de son règne, et il ordonna à son peuple premier, les elfes de rire de ce piètre adversaire... Et ce fut leur fin... Puis il demanda aux nains de se révolter... Et ce fut leur fin... De tout temps, Artherk, sous différentes identités, a mené les êtres à leur perte... Le laisserez vous agir une dernière fois?

Ces paroles je les tiens d'un des plus fideles du Juge le grand Oniros...

Aekol tent sa main vers la jeunne paladine

Prend ma main et rejoins moi vers la lumiere, nous ferons de grande chose tous ensembles.... mais souvient toi je ne fait ma proposition qu'une et une seul foix...

Pense a tous se que le Juge peut t'offrire, mais n'oublie pas nous lutons pour le bien de l'humanité, nous désirons que tous deviennent les enfants de l'Haruspice. Nous répandons sa parole afin que tous atteignent le Paradis. On peut comprendre que les humains puissent avoir peur du changement que provoquerait le règne du maître. Voici en quelques points ce que sera la vie lors de son règne :
- La Vie et la Mort n'existant plus, chaque être baignera dans une immortalité surnaturelle.
- La Barrière de la Nature et du Physique abolie, les grossières limites de l'être physique n'existeront plus et chaque être pourra réaliser ce qu'il désire sans voir un corps le lui interdire.
- L'ensemble des âmes s'uniront et ne feront plus qu'un avec l'Haruspice, chacun aura accès a l'universalité et a l'infini de l'Haruspice.
Ces êtres décrits ci dessus sont des sur-êtres. Aucune limite ne leur est connue.


Alors voila...

Aekol attent la main tendu vers Opale

Par Opale le 18/2/2002 Ă  22:20:12 (#968903)

Sursautant en entendant les premières paroles d’Aekol, elle regarde la silhouette noire s’approcher d’elle à mesure que son discours s’allonge. Ecoutant avec attention, elle dévisage par la même occasion celui qu’elle reconnaît enfin comme étant haruspicien. Les paroles relatant de mort et de destruction la font quelque peu reculer à son insu, et la main qui se tend à présent vers elle semble la laisser perplexe.

Après un instant de réflexion, elle se décide enfin à parler.

-Vous me semblez sage et réfléchit, mais pourtant quelques mots sonnent faux à mes oreilles. Artherk lâche et traître, l’Haruspice envoyé du Bien comme du Mal, tout ceci, je le laisse aux plus sages. Mais dire que la mort et la destruction sont les voix menant au bien de l’humanité, cela me laisse perplexe.

Elle regarde à nouveau la main, hésitant à continuer.

-Si vous êtes prêcheurs pour le Paradis des hommes, alors en quoi consiste votre mission ... Pardonnez mon doute, mais l’on m’a jusque ici parlé de massacres, de purifications, d’âmes volées, et de familles déchirées au nom de votre Maître… Est cela que doivent accomplir les Haruspiciens ?

Son visage laisse deviner une honneté certaine dans ses propos, et l’attente d’une réponse à ses questions. Son regard parcours les pierres disposées tout autour, comme pour se raccrocher hors des visions d’horreurs qui semblent la submerger.

Par Akira Sindriel CptGR le 18/2/2002 Ă  22:54:41 (#969228)

Cela fesais longtemps qu'Akira n'etais revenu vers La Baronie d'HavreClair.
Il n'etais plus le Capitaine de La garde royale comme avant il etais redevenu un chasseur tenebreux.
Akira etais assis au sommet d'un arbre dans la periferie de la ville et observais le va et viens de la foule et observant les Jeunes guerries combatres les gobelins.
Il senti la passage d'Aekol et de Vive-Lame,cet epee maudite qui l'avais pourfendu il y a si longtemps.Il replia ses ailes et redescendis de l'arbre ou il etais dissimulé et il pris la direction de sa petite maison d'hantan.La poussiere etais dense mais il n'en fit rien et remis juste son ancienne armure de plate et repris sa fidele epee geante a deux mains.
Le va et viens des haruspiciens dont sa cousine Lylas l'avais intrigué et il vit leur centre d'interet dans une jeune paladine qu'il ne connaissait pas.

Hum.... Lylas,Aekol qu'etes vous encore en train de faire?.....
il avait observé la jeune fille et la vit se rendre a la bibliotheque.akira la suivie et entra dans la bibliotheque,Adossé a un mur dans l'obscurité il reconnu la jeune guerriere affairé a l'ecriture.
*un bruissement d'aile se fit entendre*
Il s'approcha silencieusement


Bonjour Mademoiselle , j'aurais a vous parler si vous le voulez bien....

Par Aekol le Sombre le 18/2/2002 Ă  23:19:55 (#969463)

Aekol a toujours la main tendu vers la jeunne paladine.

-Hum... tu es encore jeunne, je me suis peut-etre trompe sur ton compte... je vais te compte mon histoire tu comprendras peut-etre mieux pourquoi je suis cette voix.

-Ma soeur et moi sommes nee de l'union d'Uragn Vanderzar et de Lyandrielle, a se temps la, mon pere etait le Grand Maitre Templier, il servait Artherk, a l'aube de mes 17 ans, mon pere fut pris de vision et il brula notre maison avec ma mere de dans, puis il pendit haut et court ma soeur, il voulu me fair subire le meme sort qu'elle mais j'ai eu plus de chance, j'ai pus m'enfuire...

Je fus recueillit par un homme droit et bon , Jeham dit le Pur, il m'enseigna l'art de la guerre et l'art de la religion, c'est comme cela que je suis devenu paladin, il en profita aussi pour m'ouvrir les yeux sur se monde... il me montra que l'homme n'etait anime que par de vil intention, la cupidite, le meutre, la soif de sang, la vanite, la corruption des ames etc... et ces grace a cette homme que je suis rentre chez les Enfants du Juge.... et depuis je reve d'un monde meilleur, ou les guerres et la famines n'excisterai pas ou tous le monde serait egaux.

C'est pour cela que j'essaie de fair ouvrir les yeux au hommes, pour pouvoir vivre en paix... et s'ils restent meme qu'une seule personne qui n'aurait pas ouvert les yeux, notre Maitre rendra se monde pur par les flammes, pour pouvoir recommence a zero, et dans un sens j'aurai echoue dans ma mission.

C'est pour cela que nous devons prendre le temps d' explique au peuple qui nous sommes vraiment, mais il ne nous reste que tres peu de temps, ces pour cela que nous prennons les armes, pour que notre Maitre trouve un monde pur a son arrive, ainsi il epargnera les hommes et nous pourrons vivre en paix...
Je suis pres a mourir pour ma cause, je suis pres a mourir pour l'avenir de l'humanite.

Ceux qui te parle de familles dechire, d'ames volee et de massacre ne cherche qu'a te trompe, ils cherchent qu'a te fair ferme les yeux...

Allons prend ma main, et suis moi vers la lumiere...

Par Opale le 18/2/2002 Ă  23:25:07 (#969522)

(*suppose cette intervention pré-rencontre avec Aekol*)

Machonant le bout de sa plume, elle relève la tête, soudainement arrachée à ses pensées. Elle dévisage l'homme qui se tient debout devant elle, et dont les dernières plumes de ses longues ailes frolent le plafond pourtant haut de la salle. Impresionnée par l'homme qu'elle n'a pas vu entrer, elle répondit maladroitement à sa requête, se demandant quelle erreur elle avait pu commettre pour qu'un séraphin à la puissance aparente s'adresse à elle.

-Euh .... Oui ? Que puis-je pour vous ?

Son regard étonné se plonge alors dans les yeux de l'homme ailé.

Par Lylas de Arnise le 18/2/2002 Ă  23:54:23 (#969816)

Elle a remarqué la surveillance ... 'discrete' ... d'Akira ... Leur tourner autour .. Elle a reconnu sa silhouette familiere quand il prit le chemin de la jeune Opale ... Elle sourit

Akira ...

Dans la Bibliotheque, elle étouffe un rire en voyant entrer le Bréhanite

Akira - Bonjour Mademoiselle , j'aurais a vous parler si vous le voulez bien....
Opale - -Euh .... Oui ? Que puis-je pour vous ?

Lylas intervient

Lylas - Ooh mon cousin bonsoir elle lui fait un beau sourire Toi dans une Bibliothèque hé bien que t'arrive t-il ? Si c'est pour la sécurité de la demoiselle que tu t'inquiete il faut pas on s'occupe bien d'elle tu sais ... Elle est notre petite protégée maintenant ... le sourire s'élargit ... Moi par contre ... J'ai des affaires en ville, et tu sais mon cousin comme je suis exposée ... Tu pourrais m'accompagner et me protéger mon cousin ??? le sourire s'élargit encore, mais les yeux derriere sont froids

Par Akira Sindriel CptGR le 19/2/2002 Ă  0:38:04 (#970278)

*detourne son regard un instant et repond a Lylas*
hu hu Lylas.... Je viens souvent ici meme si je ne suis qu'un petit Brehanite.
Ne te meprend pas sur mes intentions,Je viens juste proposer mon aide a cette jeune Paladine.
Je ne me mele plus des questions de religions,ni de politiques elles m'ont apportées trop de malheurs.
Ne t'inquiete pas je ne viens pas reprendre une Brebis egaré je viens juste m'assurer quelle est le Choix a propos de son destin.
Je pense que cela ne nous concerne pas.
J'ai vu Aekol tourner autour d'elle et toi aussi.Et j'ai fais en sorte que vous me remarquiez.
Allons ne me regarde pas comme ca tu sais que je n'aime pas...
*se retourne vers la jeune fille*
Mademoiselle vous avez tout entendu.
Ecoutez votre coeur il vous guideras sans doute mieux que moi.
Neanmoins si vous avez besoin d'une habitation ou d'autres choses n'hezitez pas a m'appeller....

Par Eender le 19/2/2002 Ă  5:21:18 (#972114)

*court apprendre competence lecture rapide*
*mince j'ai mis trop de point en flodage de forum :doute: *

Par Opale le 19/2/2002 Ă  11:04:03 (#973185)

Le regard un peu perdu, elle les regarde l’un après l’autre …

-Pardonnez moi mais … on se connaît ? Et.. Le choix de quoi ?

Son regard se détourne vers les autres occupants de la salle, puis une légère teinte rosée apparaît sur ses joues. Voyant qu’elle n’est pas écoutée par les deux arrivants qui discutent, elle griffonne un petit mot sur un parchemin.

-Hum ... pourrions nous sortir discuter ? Je ne tiens pas Ă  recevoir les foudres de Moonrock Â…

Elle pose du haut de sa frêle jeunesse une main dans le dos de chacun, et les emmènent vers la sortie de la salle. Elle en profite pour glisser discrètement le morceau de papier dans le sac de l’homme ailé.

-Bien, nous serons plus tranquilles ici. Vous êtes donc Dame Lylas, ravie de vous rencontrer. Je dois voir votre frère cet après midi même au cercle de WindHowl. Mais j’avoue que tout ceci me semble de plus en plus étrange. Vos protections à tous m’honorent, mais pourquoi ?


(HRP : lol désolée Eender, j’arrive pas à faire plus court pour ma part ;p)

Par Opale le 19/2/2002 Ă  11:28:35 (#973375)

Un peu plus tard dans la journée, Cercle de WindHowl ;) )


Elle le regarde toujours, plus troublée que jamais. La stature et l’aura qui se dégage d’Aekol ne la rassure pas, et prendre une décision à la va vite ne lui à jamais été enseigné comme étant une bonne chose.

-Permettez moi de refuser votre main pour le moment. Votre attention à mon égard et toutes vos paroles méritent réflexion. Laissez moi quelques jours pour méditer à tout cela, je vous en serait reconnaissante … Si vraiment vous luttez pour le bien des hommes, nous partagons certains idéaux, mais vos manières sont peut être trop … Radicales pour moi …

Ses yeux sont à présent brillants, et elle attends avec appréhension la suite des évènements.

huhu Eender

Par Lylas de Arnise le 19/2/2002 Ă  12:09:06 (#973681)

(Mdr Eender :p demande des boosts-modos :p :p :p)

Par Hobsek le 19/2/2002 Ă  12:47:15 (#974019)

Alors qu'il finit une conversation entammée depuis un moment avec le Baron Orthon, il remarque la jeune apprenti paladine sortir de la bibliothèque, accompagnée de deux ailés. S'approchant d'un pas discret il arrive a discerner la silhouette d'Akira et de Lylas.

- Mais que peut bien vouloir une haruspicienne de renom comme Lylas Ă  Opale...

S'interrogeant sur les actions qui peuvent pousser les haruspiciens à trouver leur intérets sur la paladine, il apperçoit le jeune enfant qui avait servi d'intermédiaire entre eux deux.
Tout en cherchant dans son sac de quoi payer l'enfant il s'approche.

- Bonjour jeune homme, tu te souviens de moi?
- Euh... vi !
- ça m'ennuit de te demander ça mais j'aurais encore besoin de tes services... j'aimerai si possible que tu suives Opale là-bas, le plus discretement possible, il ne faudrai pas que tu te fasses voir.
- Enquéter comme les grandes personnes ! D'accord !
- Si tu te fais remarquer laisses tout tomber et rentre chez toi c'est d'accord?
- Vivi
- je m'arrangerai pour te retrouver ici dans LightHaven. Je ne pense pas que ce soit dangereux, mais reste prudent.
Elle séloigne, vas y...

Grimaçant sur le fait d'envoyer un enfant faire un travail qui peut s'avérer dangereux il se décide de le suivre à son tour, la distance sera une arme pour agir.

Par Aekol le Sombre le 19/2/2002 Ă  17:48:11 (#976408)

Aekol baissa sa main
-Tu es libre de ton destin, reflechit a ma proposition, en attendant adieu... nos routes se recroiseront peut-etre.

Aekol s'envola au loin Il resta un moment a plane au a l'entour du cercle, puis il remarqua la silhouette d'un enfant qui etait cache non loin du cercle

Hum...

Aekol plonga sur l'enfant, et l'attrapa par les epaules.

-Alors petit on espionne!!! tu sais que se n'est pas bien d'espionne les grandes personnes, QUI ta donne cette ordre.

-C'est une grande personne que j'ai vu a LightHaven, il ma propose de l'argent pour suivre la dame repondit l'enfant.

L'enfant tremplai de toute part.

-Hum... la cupidite... elle sera une des pertes de se monde... tu dois etre purifier mon garcon... allez vas donc retrouve ta mere... vas.

Aekol regarda l'enfant courir a toute jambes il attend que l'enfant soit hors de la vue d'Opale puis tendi la main vers l'enfant et prononca une formule magique.
A la fin de la formule l'enfant pris feu comme une torche.

-Adieu petit... hum je vais etre bon avec toi vu ton jeune age, je vais diminue tes souffrances...

Il fit un grand bond grace a ses ailes, il degena la Vive-Lame et trancha la tete de l'enfant.

-Que ton ame repose au pres du maitre, dans un monde meilleur.

Il s'envola au loin apres avoir verife que personne ne l'avait vu.

Opale... petite Opale....

Par Hobsek le 19/2/2002 Ă  19:58:15 (#977704)

Après avoir tergiverser avec moults passants le demandant, il arrive enfin à retrouver la trace de l'enfant en suivant ses petites empreintes, non loin du cercle de Windhowl.
S'approchant sans doute du lieu de discussion il avance prudemment... Alors qu'il arrive de plus en plus près du cercle une impression de malaise et de culpabilité le saisit... Impression justifiée par ce qui s'offre à sa vue, la tête de l'enfant gisant non loin... Son regard se détourne alors et il est pris de convulsion.

- Bréhan qu'ai je fais ?! J'ai envoyé un enfant innocent à la mort...
Bréhan, puisses tu un jour me pardonner ma faute...

Prenant son courage à deux mains il se décide à assainir ce spectacle de désolation, et va faire une tombe à l'enfant pour aller se recueillir, les larmes aux yeux.

- Haruspiciens, vous paierez pour tous vos crimes... dusse-je en mourir vous paierez...

Entendant des bruits de pas non loin il se retourne vivement en prenant soin de se saisir de son arme.

- Qui va lĂ  ?!

Par Opale le 19/2/2002 Ă  20:10:03 (#977828)

Après un moment de recueillement sur tout ce qu’elle viens d’entendre, Opale se décide à s’en aller. La nuit commence à tomber, et le cercle n’est plus qu’un lieux desert de tout bruit et de toute vie. Elle prend donc, encore pensive, le chemin de WindHowl, où elle compte passer la nuit.

Arrivée à la sortie du chemin de sable menant au cercle, elle entend une voix.

Elle s’approche et reconnaît, non sans mal étant donné l’armure complète qu’il porte, heaume compris, le Haut Commandeur dont elle a fait la connaissance il y a peu.

-Messire Hobsek ? C’est vous ? Mais que …. Oh vous semblez troublé, qu’y a t’il ?

Voyant son regard, fuyant, elle nÂ’insiste pas.

Par Hobsek le 19/2/2002 Ă  20:26:30 (#977967)

Après avoir jeté un coup d'oeil aux alentours et voyant qu'il s'agit d'Opale il range son arme.

- Je suis surpris de vous voir encore ici, j'espere que vous ĂŞtes seule.
Je vous ai vu sortir de la bibliothèteque de LigntHaven en compagnie de Lylas de Arnise, une haruspicienne renommé. Quand j'ai vu l'attention qu'elle semblait vous porter je vous ai fait suivre par l'enfant qui nous avait servi d'intermédiaire...
Je comptais le suivre mais malheureusement les personnes que j'ai croisé en on décidé autrement.
Voilà le résultat...

il pose un genoux Ă  terre et baisse la tĂŞte

- C'est comme si j'avais tué cet enfant...
Quoi qu'il en soit je ne ferais pas la mĂŞme erreur avec vous, si les haruspiciens vous veulent quelque chose il faut me le dire.
Ils paieront pour leur cruauté...

Par Opale le 19/2/2002 Ă  20:37:22 (#978046)

A la vue de l'anéantissement visible d'Hobsek, un sentiment de doute la prit. Elle réfléchit à toutes les paroles qu'elle venait d'entendre.

-L'enfant me suivait, mais ... OĂą est-i ....

Ses mots s'arrêtent là au moment où il posa son genou contre le sol. La terre avait visiblement été retournée ici, et l'armure poussiereuse du paladin montrait que c'était là son oeuvre. Comprenant alors ce qu'il se passait, et redoutant ce qui pourrait encore arriver, elle le saisit doucement par le bras, et l'insita à se relever.

-Ne restons pas lĂ  ... J'espere que ce n'est pas lui qui ... Allons venez, allons boire du vin chaud Ă  la caserne, cela vous fera du bien.

Prenant une voix rassurante, et ne laissant pas transparaître son effroi, elle l'accompagna jusque à la ville bréhanite de WindHowl, où ils pourraient trouver un moment de paix.

Par Opale le 19/2/2002 Ă  21:41:51 (#978652)

Une fois la soirée finit, et un bon verre de vin chaud au fond de l'estomac, Opale s'éclipse discrètement au dehors. Elle repense au rendez vous qu'elle a fixé à l'homme ailé un peu plus tôt dans la journée, puisque visiblement une conversation privée n'était pas possible sur LightHaven, et se rend aussitôt au lieu fixé, dans l'espoir d'y revoir le cousin de Lylas.

Par Lylas de Arnise le 19/2/2002 Ă  22:09:07 (#978919)

Vraiment très intriguée par tout ce qui se passe autour de cette étonnante donzelle, Lylas se couvre tout entière d'un voile noir et suit la jeune fille, silencieuse dans la nuit

Mais qu'a-t-elle donc cette Impure, par le Maître???

Par Opale le 20/2/2002 Ă  19:41:43 (#986556)

S'aventurant plus profond dans la ville, elle arriva enfin à une place éclariée au milieu de laquelle se tenait une fontaine sculptée dans de la pierre massive. Parcourant des yeux les alentours pour voir si personne ne se trouvait la, elle s'assit sur la pierre gelée par l'eau qui s'écoulait en tous point de la fontaine et attendit quelques instants.

Le froid qui enrobait la ville lui valut quelques frisonnements, puis elle appercut une ombre voilée dissimulée dans le noir. Froncant les sourcils dans l'espoir de savoir ce que faisait là cette forme étrange à cette heure de la nuit, elle s'appercut que c'était dans sa direction qu'elle regardait.

Faisant mine de ne rien avoir vue, elle se leva, et continua de marcher un peu aux alentours de la fontaine, pour vérifer ses doutes.

-Hummmm me voilà espionnée ... D'abord l'enfant, puis cette ombre ... Et pas d'homme ailé à l'horizon ...

Elle commenca donc à prendre le chemin du retour. Les hommes de la caserne lui avait proposé de l'héberger pour la nuit. Elle avisa le garde dormant en chambre voisine qu'elle comptait ressortir, et que si elle n'était pas rentrée d'ici peu, il serait bon de prévenir sir Hobsek.

Puis, recouverte d'une cape noire prêté par le garde, elle sortit de la bâtisse par derrière et retourna, une heure plus tard, près de la fontaine de la ville. Restant dans un coin sombre, elle espèrait desespérement comprendre ce qui se tramait.

Les yeux grands ouverts et aux aguets, elle attendit donc lĂ  plusieurs heures, tapie entre le mur ruisselant d'une maison et le buisson Ă©pineux qui la bordait.

De retour a son sanctuaire

Par Aekol le Sombre le 20/2/2002 Ă  22:41:41 (#988257)

Aekol rentra dans son sanctaire, enleva son armure, il revetit un costume de ceremonie.
Il s'agenouilla devant l'autel, deposa la Vive-Lame devant lui et commenca a prier.

Ă” Grand Haruspice,
Je t'implore, Ă” Grand Maitre !
Fais de ma haine une croyance,
Fais que ma Foi soit Force au combat
Je prĂŞche chaque jour en ton nom et,
Chaque jour ma Foi grandit,
Ă” Grand Maitre rend Pure mon Ame de Nephandis,
Donne moi la force de vaincre et de convaincre,
Ce monde n'est pas digne de te recevoir,
Mais tes enfants, eux, le sont.
Nous préparons ta venue en luttant contre les impurs,
Ce soir, le soleil se couchera sur une terre de sang,
Nous vaincrons en ton nom Ô Grand Maître,
Acorde nous le Salut Ă” Grand Haruspice.



Une foix sa prier termine, il medita sur l'avenir des hommes.

Par Akira Sindriel CptGR le 21/2/2002 Ă  9:17:39 (#991199)

Akira etais tapis dans l'ombre... seule la lune pouvais le voir, il avais assisté au decapitement de l'enfant et comme il etais trop loin il n'aurais rien put faire.....
Il serras plus fort son epee elfique a deux mains et se juras de terrasser Aekol pour tout ses crimes commis on nom de l'harupice...
La manege continuais et il poursuivais sa route silencieusement....*

*marmonne* grmbl.... leur but est noble a ces haruspiciens rendre le monde meilleur qui ne le voudrais pas?.... mais leur moyens...... *grince des dents*

Hum les autres ombres sont partis je vais pouvoir aler voir cette jeune femme.... *Akira s'envolas lorsque un nuage couvris le clair de lune et dans les airs il apercut La jeune femme a moitié endormis pres d'une fontaine .
Il atterit silencieusement derriere elle , seul un battement d'aile de fit entendre, il s'approcha et posa une veste de cuir sur ses epaules.


bonjour jeune fille... j'ai aprecu votre mot dans mons sac.. vous vouliez me parler?

Par Opale le 22/2/2002 Ă  13:20:00 (#997918)

Comme soudainement sortie de ses songes, elle regarda l'homme se présenter devant elle ainsi, et sentit une douce chaleur lui envahir les épaules.

-Oui, en effet, vous semblez connaitre Dame Lylas, et je suppose son frère aussi. Comme vous avez sans doute pu le voir, ils semblent s'interesser aux nouveaux venues, et en faisant partie, je me pose des questions quant à leurs intentions ...

Un vide se fit dans ses yeux, quelques pensées lui foudroyèrent sans doute l'esprit, pensée auxquelles elle ne trouvait aucune réponse. Elle posa sa main sur un relief qui se faisait perceptible près de sa poitrine sous son armure, puis parut revenir à elle.

De ce temps d'arrĂŞt relativement cours vint un nouveau doute.

-Je me trompe peut-être, mais j'étais suivie tout a l'heure ... Il faudrait peut etre mieux partir discuter en paix ailleurs ... Vous vouliez me parler la dernière fois, et je n'aime pas entendre que la moitié de ce que les gens veulent me dire, c'est une question de respect ... Si l'on veut m'apprendre quelque chose, il faut le faire jusque au bout ... Allons, venez ...

Elle se leva alors et partit d'un pas peu assuré vers des coins plus sombres de la ville. Là, une maison non éclairée et visiblement inhabitée se tenait dressée entre plusieurs arbres, la cachant quelques peu à la vue des passants. Elle entra donc, suivie d'Akira, dans celle-ci, alluma le reste de bougie posé depuis longtemps sur la table, et s'assit.

Par Akira Sindriel CptGR le 22/2/2002 Ă  15:47:19 (#999269)

akira se dressa, il suivie la jeune femme et la laissa entrer .Il posa sa lourde epee a deux mains contre le bord de la table et repila ses ailes.

Oui c'est exact je voulais vous parler.
je connais Dame Lylas et c'est ma cousine,quand a Aekol c'est son Frere spirituel de religion.
Je voulais juste m'assurer que vous ne subiriez aucune pression de la part des haruspiciens.
Leur belle parole ont un fond de veritée mais leur facon de les appliquer sont mauvaise.... *repense au petit garcon*
*se resaisit,et observe Opale un petit moment *
Oui... donc il vont sans doute vous proposer la voie de l'haruspice en vous prometant un avenir meilleur.
Je n'ai rien contre ca,votre destin vous appartient ,et je m'assure qu'il ne vous y force pas.
En l'occurence vous allez devoir faire le meme choix que j'ai eut a faire.L'harupice ou Brehan.
Tel est le choix et il vous regarde moi je n'ais rien a dire.
Apres si vous voulez connaitre mon Point de vue vous n'avez qu'a me le demander,je suis la pour ca.
*akira pris soin d'eclairer un feu dans la cheminee avoisinante*
Le Duc de cette ville est mon amis,vous pouvez rester ici je pense ,la nuit et froide prenez y garde.
*il repris son epee ,fit un signe de la main et repartit dans un leger bruissement d'ailes*

Par Opale le 22/2/2002 Ă  16:58:20 (#999941)

L'homme avait parlé très vite et Opale n'avait eut le temps d'ajouter un mot, bien que de toute façon aucun n'aurait été nécessaire.

Elle resta là un long moment, pensive, éclairée par la bougie dont la cire sécoulait généreusement sur chaque versant du bougeoir pour finir étalée dans la secoupe qui le maintenait. Le feu allumé commençait à faiblir, et la chaleur nouvelle faisait ressortir une odeur humide du bois quelque peu pourri du plancher.

Elle avait posé ses talons sur le bord de la chaise, ses mains passées autour de ses jambes, et son menton reposait sur ses genoux. Tout ce qu'elle avait appris lui trottait dans la tête, de même que l'image de la minuscule tombe dont elle n'avait encore put s'expliquer avec Hobsek.

Tout doucement, et au fur et Ă  mesure que la nuit se passait, le feu s'eteingnait, et Opale ne vit mĂŞme pas la bougie finir de se consummer: elle s'Ă©tait assoupie.

Par Aekol le Sombre le 22/2/2002 Ă  21:44:43 (#1001865)

Le Nephandis, rentra au temple Haruspicien.
Il detacha son armure et la jeta sur le cote.
Il se coucha dans son lit, et regarda la lune par une lucarne.

-Je pense qu'elle a besoin de medite sur sa destine, laissons lui le temps d'ouvrir les yeux, j'irais la trouve a la nouvelle lune...

Il ferma les yeux, et revit le doux visage de la jeunne paladine. Il s'endormit et reva d'un monde au ciel bleu et clair

Par Lord Horus le 25/2/2002 Ă  1:14:11 (#1018003)

Horus se dirigea vers l'étagère d'une partie retirée de la bibliothèque du HavreClair, connue du seul vieux mage qui en avait la garde, où était habituellement rangé son Journal. Mais celui-ci n'était plus à sa place.

-Diantre!! qu'a fait ce vieux fou de mon Journal??!! Je lui ai toujours dit de s'assurer qu'il ne bougerait pas de cette étagère, hormis en ma présence!!

Décidé à le retrouver, Horus se hata à la recherche du gardien de cette partie de la bibliothèque, et il croisa dans sa colère une jeune femme, aux accoutrements de guerrière, affairée à l'écriture de manuscrits.

-Etrange, les personnes de cette espèce n'ont pas pour habitude de fréquenter ces lieux. Les robes défillent ici bien plus souvent que les habits de cuire.

Il tomba finalement sur le viel homme. Tendu et apparament très énervé par cet évenement:

-OĂą est mon journal??!!
d'une voix tramblante
-Ne... ne vous en faites pas messire, je l'ai t...tout simplement mis en sécurité. L'autre soir un homme s'est retrouvé pas hasard dans la mauvaise zone de la bibliothèque et il est tombé sur votre livre. Oh, mais ne vous inquiétez pas... je ne me suis absenté que quelques instants et il n'a pas pu en lire grand chose. Malheureusement ce vaut-rien s'est enfui et a renversé des étagères sur mon vieux dos. Mais il a oublié votre livre dans sa course.

Le serviteur d'Ogham reprit alors son calme

-Ce n'est pas bien grave dans ce cas. Ne le retrouvant pas à sa place, j'ai cru que quelqu'un l'avais volé. Vous avez très bien fait de le mettre en sureté. Tenez, quelques pièces d'or, vous pourez vous acheter les meilleurs remèdes contre le mal de dos avec ceci. Veuillez me rendre mon journal je vous prie.

Le viel homme menna alors Horus à son journal, et la jeune paladine était toujours assise à sa place, mais cette fois-ci endormie. Un homme dont la joue droite était balafrée était en train de lire ses notes.

-L'homme qui vous a renversé la bibliothèque dessus n'avait-il pas une cicatrice sur la face droite du visage?
-Si messire Horus, mais comment le savez vous? vous connaissez cette homme?
-Non. Mais regardez à la table derière nous, celle où il y a une jeune femme assoupie, et dites moi si c'est bien l'homme qui est à ces cotès. Soyez discret!


Le vieille homme tourna sa tĂŞte prudemment.

-Non messire. Je ne vois qu'une jeune femme.
-Bon sang! vous me rendrai mon livre plus tard!


Horus se précipita hors de la bibliothèque. Il n'eut pas grand mal à retrouver l'homme au visage balafré non loin de la bibliothèque. Ce dernier avait l'air précé, mais sans donné l'impression d'être au courant qu'on le poursuivait. Horus fini par le ratraper. Le prenant à part, il le bouscula dans une ruelle sombre la ville où ils pouraient discuter à l'écart des curieux, le plaquant contre un mur et lui imposant une dague elfique sous la gorge.

-Hola... je vous en prie, ne me... ne me tuez pas! Je p... je peux tout vous expliquer!...
-Alors qu'attends tu? Parle !
-bien bien... euh... c'est un grand homme, t...t...tout habillé de noir. Il m'a demandé de lui raporter le contenu du manuscrit qu'écrivait cette jeune paladine. Je...j'ai une grande mémoire vous savez...
-Et bien si tu as une si grande mémoire, pourquoi ne me donne-tu pas le nom de cette homme en noire?
-je ne peux pas sir. Il...il me tuerait...
-Ă©videmment... mais oĂą avais-je la tĂŞte? Et que crois tu que je te ferais si tu ne me dis pas ce que je veux entendre??!!
-et bien t...tuez moi si vous le v...voulez!! je préfere mourir par votre lame que par ses flammes et ne pas connaitre la s...soufrance éternelle. Mais d'après ce que j'ai lu de votre "Journal", le contenue des documents que je viens de lire pouraient vous intéresser.


L'homme sembla reprendre confiance.

-hum... je vois. Raconte moi ce que tu as appris sur cette aventurière alors.
-euh... une compenssation serait la bienvenue Sir, je vois que vous votre bourse est bien remplie.


Horus remonta un peu sa dague, forceant l'homme à pencher la tête légèrement en arrière.

-tu ne manque pas d'audace mon ami... mais la vie sauve ne te suffit-elle pas?
-Oh si si!!


L'homme balafré raconta alors tout ce qu'il avait pu lire de la jeune femme, tout en baigaillant. Mais le contenue de l'histoire resta clair et précis.
Une fois le conte achevé, Horus replaça sa dague dans son foureau, tout en dévisageant l'homme du regard. Il fini par décrocher sa bourse de sa ceinture pour la lui lancer. Puis il ajouta:

-profite de cette or tant que tu pouras, car j'ai bien peur que ton employeur ne mette fin à tes jours. Et malgrès ce qui vient de se passer, tu peux compter sur moi si tu as besoin de protection. N'hésite pas à venir me demander de l'aide, je serai à la bibliothèque pour les jours à venir. Sur ce, je dois te laisse. Puisse Ogham te protéger.
-m...merci bien Sir


L'homme desséra la ficelle qui maintenait la bourse fermée, puis il écarquilla les yeux. Le temps qu'il relève la tête, plus personne ne se tenait devant lui.


Quelques jours s'écoulèrent et Horus se décida à continuer l'écriture de son journal, et une fois de plus il trouva la jeune paladine assise à la même place.
Mais contrairement à la dernière fois, elle était accompagné de la splendide mais néanmoins dangeureuse Lylas, ainsi que de son cousin Akira. Le Fils de Fenris se mis dos à une étagère fesant fasse à la jeune femme nommée Opale, de l'autre coté, plongé dans sa réflexion.

-hum... il y a pas mal de monde qui s'interessent à elle. L'aubergiste qui la loge m'a fait par d'une visite de l'Haruspicienne dans sa propre maisonnée. Sans compter tous les petits messages qui vont et viennent.
Beaucoup trop de détails de son histoire coinsident avec celle des Avatars. Mais je ne peux intervir maintenant, pas avant de savoir ce que lui veulent les haruspiciens. Quelque chose me dit qu'elle doit d'abord se rendre compte par elle même de la réalité de l'Haruspice. Mais d'un autre côté, il ne faudrait que le Fléau s'apperçoive qu'Ogham a réussi a réveiller les douzes Prophètes. S'il s'avère qu'Opale est bien l'une des Avatars, et si Il la demasque avant qu'elle même ne sache réellement qui elle est, le sort de l'humanité restera à tout jamais entre les mains de ce "Maître". Pour le moment, il ne se doute de rien, sinon elle serait déjà morte. Elle est donc autant en sécurité avec Ses "enfants" qu'avec moi.



Les jours qui suivirent, Horus essaya d'en apprendre d'avantage sur les allées et venues d'Opale, tout en restant un maximum à l'écart pour éviter ainsi de se faire remarquer par ceux s'interessant de près ou de loin à la paladine. Il apprit par un garde qu'un jeune garçon avait mystetieusement disparu et qu'Opale s'étaient rendu à plusieurs reprises à la ville portuaire de Windhowl.


Un soir, chassant les ombres maléfiques, et protégé des regards grâce à la lumière de la Lune, il retrouva Opale qui s'était étendu sur le rebord d'une fontaine. Les sens d'Horus étant en pleine effervéscence les soirs de pleine lune, il pu sentir la présence de deux autres personnes et il préféra rester à l'écart. Une fois de plus, Opale était sous les regards de quelque haruspicien. Il ne pouvait rester là sans risquer de se faire remarquer.


Le lendemain, ses investigations à la bibliothèque fit de nouveau se croiser les chemins d'Horus et d'Opale. Il l'observait entre deux livres, pendant qu'elle fouillait dans les étagères d'en face, où étaient rangées des manuscrits sur de vieilles légendes. Elle fit alors tomber l'un de ces livres et en se baissant pour le rammasser, un pendentif glissa hors de son décolté, faisant face à celui qui l'observait. A sa vision, Horus eu un brusque sursaut. Comme ayant entendu un bruit, Opale se redressa et scruta du regard les allentours.

-Ce collier... je l'ai déjà vu quelque part. Mais où?? Il y a aussi cette marque sur sa poitrine... je n'ai pas pu voir si c'était exactement la même que Setwolf, Ragnar et moi-même nous portons.
Il réfléchit
Rahh bon sang! Je dois absolument l'emmener voir la Grande Prêtresse. Elle seule poura répondre à mes interrogations.

C'est alors qu'il sentit un soufle glacial venir de derrière lui...


http://www.multimania.com/lunarwolves/image/membres/Horus2.JPG

Lord horus !!!

Par Moi le 25/2/2002 Ă  1:26:56 (#1018108)

Format non conforme la signature !!! :enerve:

Calme ;op

Par Opale le 25/2/2002 Ă  1:32:50 (#1018153)

(sympa la signature moi ;p C son premier message ici, il ne savait sans doute pas *lui en fait part* :) )

(*rédige sa réponse*)

héhé

Par Moi le 25/2/2002 Ă  1:38:43 (#1018207)

Merci Opale , *chuchotte* je vien de la faire :D Sinon , ton nom .. tu serais pas le deuxiemme perso de "Copal" ? Sinon ca sent le Copyright :D

Au fait .. ca fe longtemp ke g plus foutus les pieds sur Aphrael , c juste une question ... t'es peut etre vieille mais je t'ai jamais vu avant (y a+/- 6 mois) sinon , si t'es copal Salut mon poooooooooooooooooteeeeeeuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu :D

Moi :D

Par Opale le 25/2/2002 Ă  1:43:57 (#1018251)

(Lol ;) Non déjà je ne suis pas un poteu mais une ;) Et puis Opale n'est sur Aphrael que depuis *compte* Ben elle a mis les pieds 2 fois sur Althéa en fait ;) Mais Copal est inconnu au bataillon désolée )

Par Lord Horus le 25/2/2002 Ă  1:48:21 (#1018283)

dsl pour la signature... en effet je ne suis pas au courant. Quelqu'un peu me mettre au parfum?

*ose plus mettre sa signature*

Par Aramis le 25/2/2002 Ă  2:19:22 (#1018549)

(La signature doit faire 500 par 200 et 100ko maxi
Bonne continuation ;))

oué

Par Moi le 25/2/2002 Ă  2:50:06 (#1018791)

500 de longueur et 200 de largeur , nonon pas des metres ni des centimetres, mais bien des pixels :p *les prend pour les ignards mais sais bien qu'ils ne le sont pas*

Dsl opale pour t'avoir confondue , mais quand j'ai dite mon "poteu" c'etait pour le joueur irl ;)

Bonne continuation alors :D

Moi :D

Par Akira Sindriel CptGR le 25/2/2002 Ă  9:55:16 (#1019849)

(ps: je suis le cousin de Lylas mais je suis un Chevalier Celeste Brehanite et Ancien Capitaine de la GR :D , je suis pas un vil Haru :D )

Par Lylas de Arnise le 25/2/2002 Ă  10:19:58 (#1019941)

(PS : Akira c un Vil Brutanite vous pouvez pas savoir comme g honte de l'avoir comme parent :p :p :p)

Par Lord Horus le 25/2/2002 Ă  10:34:17 (#1020006)

(Akira il ne me semble pas avoir sous-entendu que tu Ă©tais un n'haru, s'il y a une citation qui te fait penser le contraire redonne la et je m'empresserai d'aller la modifier ;))
(ça serait bien qu'Aekol prenne le relai là... Opale n'attend que ça :p)

Tssss

Par Opale le 25/2/2002 Ă  14:03:12 (#1021449)

(Quiiiii moiiiiii ? nonnnnnn pas du tout !! *voit son nez s'allonger un peu* bon un petit peu j'avoue .... Bonnnn okkkk C la première chose que j'ai regardé en me levant ce matin ;) Un joli post comme ca faut pas qu'il rese aux oubliettes ;p)

Par Aekol le Sombre le 25/2/2002 Ă  18:15:35 (#1022623)

Le Nephandis etait entrain de fair sa prier quotidienne, quand un homme rentra dans la piece.
Le Nephandis etait a genoux dos tourne a l'homme.

-Alors Evans m'as tu rapporte des nouvelles de la jeune paladine?

Evans raconta se qu'il avait lu dans les notes d'Opale.

-... voila , ces tous se que j'ai pus avoir sur elle, Ă” maitre Sanglant.

-Hum... tu es sur que ces vraiment tous Evans... Ca voix etait toujours douce.

Evans etait visiblement destabilise.

-Bien... bien sur Ă´ maitre.
-Evans... Evans.... tu sais bien que je lit dans ton ames comme dans un livre ouvert, allons raconte moi se qui ces passes apres que tu sois sortit de l'auberge.


Evans raconta qu'un homme l'avait menace d'une dague, et qu'il l'avait finallement assomme.

-Hum... tu ments Evans.... tu ments...,tu lui as parle et tu as accepte son argent, mais sais tu que le mensonges et la cupiditer sont des plaies du monde??repondit le Nephandis qui etait toujours a genou dos tourne a l'homme.
-Je... je sais maitre... je sais.... je vais de se pas allez me fair pardonne en priant le maitre... je ... je vais vous laisse termine vos priers.
-Attends Evans.... attends je vais moi meme te confesse de tes actes apres tous tu n'es pas responsable hein?
-Non... non bien entendu...
-Approche!

Le Nephandis se leve et se retouna vers l'homme
-Ke'i! ordonna l'ange noir.

A ces mots Evans se mit a genoux.

-Onak Sha kree ?? Evans, onak sha kree!!
-En l'Haruspice maitre, en l'Haruspice.
-Qu'IL te pardonne de tes peches...

L'ange noir tendit sa main vers Evans, et incantat.

-Mak'ola'Jak'Una She'oli'odak'ik ,Anaraak ,Ja'ia.

Les paroles semblait sortir de nul-part, la temperature de la piece s'eleva d'un coup et Evans s'enflamma.

-Onak holka shaka Evans, c'etait pour ton bien Evans...

Le Nephandis sortit du temple, et regarda la lune...

-Hum... ces la nouvelles lunes, il est grand temps pour Opale de choisir sa destine.

L'Ange dechu s'envola vers la ville portuaire de Havre-Clair.

Par Aekol le Sombre le 25/2/2002 Ă  18:55:37 (#1022943)

Aekol arriva a Havre-Clair, il se possa pres du verge a l'abris des regards indiscrets et des gardes.
Il diriga vers l'entre dans un endroit sombre, ou il pris contact avec une "ombres".
-Voila ta mission, elle est simple tu vas glisse cette lettre sous la porte de la jeune paladine.

L" ombre" executa sa mission, et glissa la lettre sous la porte d'Opale.

La lettre:
Une lune est passe de puis notre rencontre, je vous attendrai au cercle de la ville portuaire de Wh, pour avoir votre reponse.

Aekol Vanderzar
ps: fait attention de ne pas vous fair suivre, les espions sont partout.

Par Opale le 25/2/2002 Ă  21:19:47 (#1024088)

… La nuit était à son comble, et pourtant une lueur sombre éclairait faiblement la plaine, bien que sa source fût introuvable. De chaque coté venait un tumulte, comme un galop de centaines de chevaux et d’autres animaux, qui s’approchaient vers le centre de la plaine.

Effrayée, suffocante, Opale se tenait là, à demie courbée et l’arme à la main, prête à se défendre à l’approche du danger. Et c’est alors qu’ils surgirent. Des dizaines de cavaliers noirs, montés sur des destriers aussi sombres qu’eux, s’approchaient à présent d’un pas lent. A leur coté, des loups, beaucoup de loups, et des femmes à la tenue d’un blanc fantomatique. Aucun n’avait de visage, tout au moins, aucun visage ne se laissait voir.

Tous les chevaliers mirent pieds à terre, sauf un, qui resta immobile en hauteur. Ils se précipitèrent tous pour immobiliser Opale, qui malgré tous ses efforts, ne pouvait se dépêtrer.

C’est seulement à ce moment là que l’homme descendit à son tour de son destrier, et s’approcha d’un pas lent et étouffé. Il leva la main, puis la baissa d’un coup sec, et alors tous les loups qui l’entouraient lui foncèrent dessus, les crocs en avant et le poil hérissé, quand soudain …

Le sol était dur et toujours aussi humide. La pièce n’avait pas changé d’allure et le feu était parfaitement éteint. Opale se releva en se frottant son flanc endolori par la chute.

-Encore ce rêve … Bien je ferais mieux de rentrer, les gardes doivent s’inquiéter.

Apres un bon déjeuner et quelques explications hâtives sur la raison de son absence pendant la nuit, Elle reprit alors le chemin du retour de LightHaven. Une fois sur place, elle décida que son œuvre avait trop traîné ces temps ci, et qu’elle passerait la fin de l’après midi à la bibliothèque.

Une fois sur place, elle gratta quelques mots, et voulut trouver une référence dans un ouvrage du temple. Elle chercha donc parmis les étagères, et finit par trouver ce qu’elle cherchait. Elle souleva donc légèrement le livre et le pris dans ses mains lorsqu’elle eut un malaise. Sa poitrine la brûlait et ses forces l’abandonnaient. Elle fit tomber tout ce qu’elle portait, et posa un genou à terre. La dernière douleur identique, bien que moins forte, qu’elle avait ressentie avait été lors de l’arrivée d’Aekol au cercle, pourtant, dans la bibliothèque, elle ne vit personne.

Une fois le malaise passé, et inquiétée de son état peu compréhensible ces jours ci, elle décida de rentrer se reposer. Elle ramassa donc ses affaires, remis en place ce qu’elle avait dérangé, et repartit vers sa chambre d’auberge.

Une fois de plus, un mot était déposé, mais cette fois ci il avait directement été posé sur le lit, pourtant la porte était fermée a clef. Elle lut le message, et décida de se rendre au cercle pour mettre tout cela au clair, bien que sa première volonté ait été de se reposer.

Elle parcourut donc à allure soutenue la route reliant LightHaven et WindHowl, déposa quelques affaires à la caserne, puisqu’elle refusait de dormir dans une chambre ou quiconque pouvait entrer, et se dirigea vers le cercle.

Une fois là, elle s’assit péniblement contre une des pierres entourant le lieu, et attendit.

Par Aekol le Sombre le 25/2/2002 Ă  21:35:08 (#1024184)

Aekol etait la, il etait appuie sur une des pierres en face de la jeune Paladine. Il se leve et s'avanca vers Opale.

-Alors petite, tu as reflechis a ma propositions...

L'homme tendi la main vers la jeune femme.

-Allons... viens... Je m'occuperai de toi et je terminerai ton entrainement de paladine et je te ferai decouvrir la veritable lumiere.Si tu es venu jusqu'ici ces que je ne me suis pas completement trompe sur toi et sur ton ame.

Le nephandis, attendit la reponse de la paladine.

Par Opale le 25/2/2002 Ă  21:54:59 (#1024339)

Péniblement, Opale se releva pour faire pleinement face a Aekol, et le regarda droit dans les yeux, l'air déterminé.

-"Je suis ravie de vous rencontrer à novueau. J'ai beaucoup réfléchit à votre proposition de m'aider, et je me suis beaucoup renseignée sur l'Harpuspice et ses enfants ces derniers jours. J'ai également pu faire la rencontre de maintes gens, aux intentions plus ou moin claires, et plus ou moins bonnes.

Vous avez été honnête avec moi, et je vous en remercie. Si votre but est de défendre l'espèce humaine, alors nous recherchons le même bien. En revanche, les manières dont vous optez ne me plaisent guère, je suis suivie, espionnée, et même ma chambre d'hôte ne m'apporte plus de sécurité."

Sa voix devint alors plus saccadée, légèrement tremblante.

-"Un enfant a été trouvé mort peu après votre passage près d'ici, coincidence ou banalité Haruspicienne, je ne saurais dire. Mais quoi qu'il en soit, tout ceci est trop sanglant pour moi, si je dois servir le Bien, ce sera par le Bien.

Vous disiez que les enfants de l'Haruspice accèderaient à un status spécial, l'immortalité, et autres gratitudes divines, mais qu'est ce que l'immortalité lorsqu'on n'a pas sut vivre sa mortalité? La vie éternelle ne m'attire pas plus que les honneurs ou les richesses n'attisent mon coeur. Les hommes ont de vilains penchants, mais ils savent se rattraper."

Elle regarda alors la main tendu d'Aekol, et plongea la sienne dans sa besace, pour en ressortir un maigre livre, dont la couverture rouge et dorée semblaient rongée par le temps et par le froid.

-Ceci me vient de mon pays de naissance, je l'ai subtilisé à ma nourrice durant son sommeil jadis. Il me suit depuis un long moment à présent. Il relate de la création de ma contrée, la Plaine Gelée. C'est sur ce récit que je base mon rapport. Il ne m'est plus d'aucune utilitée, je le connais par coeur, mot à mot. Il explique plus précisement comment les hommes, mains dans la mains, ont sut battir une forteresse solide, des villages alentour, et des lieux de paix pour chacun. Il raconte aussi comment les opinions divergentent et le respect s'organisent par chez moi.
Je doute que vous connaissiez ma contrée, vu son éloignement, mais prenez en connaissance, peut être que la mauvaise image que vous avez des hommes s'atténuera ......

Par Aekol le Sombre le 25/2/2002 Ă  22:24:43 (#1024572)

Le Nephandis se contentait de sourire.

-Hum... bien,.... tu as choisi ton destin, ces ton choix..., quel dieux pries-tu deja?... attend ne dit rien... Brehan non? oui Brehan le dieu de la guerre et du sang, dieu de la chasse... sais tu que son gibier prefer est un animal doue d'inteligence et extrement hargeux, lui qui aime releve les plus grands defi, son defi prefer est la chasse a l'humain... enfin libre a toi de ne pas me croire... mais tu parles d'un enfant mort au pres du cercle... ces la meme personne qui l'a enterre qui la tuer.... Messir Hobsek le Grand Commandeur de Brehan... enfin... tu as choisi la voie de l'impurete... nous sommes ennemis a partir de maintenant... je regrette que les choses se passe ainsi... j'aurais tellement aime connaitre un peu plus ton histoire, pouvoir termine ton entrainement...

Par Opale le 25/2/2002 Ă  22:38:09 (#1024682)

Un petit sourire apparut au coin de sa bouche.

-Je me doutais un peu de votre réponse, mais je vous pensais plus ouvert que cela. Si vous voulez que je sois votre ennemi alors considérez moi comme tel, mais je n'étiquette pas ainsi les gens pour ma part. En fin de compte nous servons la même cause, mais sous des moyens différents. J'esperais néanmoins que vous comprendriez mon choix.

Oui je pense servir Bréhan, Dieu de la Guerre et de la Chasse, mais sous la caste la plus sage et la plus posée qui existe, celle des paladins de Bréhan. Le "gibier" comme vous dites que nous chassons n'a rien de véritablement humain ... quels humains peuvent commettre des crîmes tels que tuer des innocents ou de jeunes enfants? En cela je pense que vous vous trompez quant à la mort de l'enfant. Je suis ravie d'apprendre que vous n'en êtes pas l'auteur, ou tout au moins je préfère le penser plutôt que de croire que vous êtes capable de mensonge.

Bien, si notre conversation doit s'arrĂŞter lĂ  ....

Elle se coupa tout à coup la parole en pleine phrase, posa ses deux mains sur ses tempes, et crispa ses machoires, signe de faiblesse. Elle tenta de se ressaisir et de rouvrir ses yeux jusque ici clot par la douleur, mais sa tentative ne tint que quelques secondes. Elle posa de nouveau un genou à terre, les mains toujours appliquées sur les côtés de sa tête.

Par Aekol le Sombre le 25/2/2002 Ă  22:44:36 (#1024729)

Se precipite vers la jeune femme, se jete a genoux, mets ses mains sur les mains d'Opale.

-Vous allez bien??

Par Lord Horus le 26/2/2002 Ă  8:58:56 (#1026466)

Une soudaine douleur s'insinua dans sa poitrine. Son coeur lui faisait attrocément mal, comme si son sang se glaçait de l'interieur. Il se retourna, tout en retenant un cri de douleur qui pourait le trahir et attirer l'attention d'Opale. Il avait machinalement sorti sa dague...

Rien! Il n'y avait rien d'autre derrière lui que de simples étagères. La douleur le reprit de plus belle. Il entonna alors une pière à Ogham. Sa voix n'était pas celle qu'il avait d'habitude, elle était douce et mélodieuse, comme venant d'une autre personne. Ses paroles n'étaient que murmures dans une bibliothèque silencieuse et malgré la douleur, il semblait dégager une certaine sérénité. Une ombre sembla alors passer au-dessus de sa personne, comme fuyante. Petit à petit, son coeur sembla reprendre vie et de nouveau le sang parcourait chacune de ses veines.

Il retourna Ă  son inquisition, cherchant Ă  savoir quel livre elle pouvait bien cherchait. Mais elle avait disparu...

-Où diable a t-elle pu passé? Cette douleur et sa disparition ne sont certainement pas pur hasard! Quelque chose se trame et j'ai bien peur qu'une force exterieur ne m'empêche de la suivre. Je dois absolument aller lui parler, même si je dois m'attirer les foudres de quelque haruspicien.

Il se précipita à l'auberge, mais sa clé était dans sa case. Il couru alors à l'entrée de la ville afin de trouver le garde qui lui avait rendu compte des allés et venus de la jeune femme. Mais un autre garde s'y trouvait, et il le renvoya à la caserne où se trouvait probablement celui que cherchait Horus. Il s'y rendit au plus vite et y trouva ce qu'il cherchait.

-OĂą est-elle?! cracha le serviteur d'Ogham Ă  la figure du garde, sans mĂŞme le saluer comme la coutume l'Ă©xigeait.
-La nouvelle paladine!! l'as tu vu??!!
-J'allais justement partir à ta recherche, mais je ne pouvais quiter mon poste que maintenant. Elle est passé il y a peu pour déposer ses affaire ; elle avait l'air précée. Et d'après ce que je sais, elle a prit la route de Windhowl.
-merci, je te revaudrai ça, tu peux y compter!


Sans plus de civilités il prit la route de la ville portuaire d'Arakas, saluant au passage assez brièvement la personne de garde.

A peine quelques minutes plus tard, il se trouvait à Windhowl. Le Soleil étendait ses rayons sur la mer ondulée. Il ne tarderait pas à rejoindre les entrailles de la terre, laissant place à la nouvelle Lune.
Horus demanda au garde de l'entrée de la ville s'il avait vu une jeune paldine passer. La seulle femme qu'il avait apperçu n'avait pas passé les portes, mais elle se dirigeait le long du port, vers le nord.
Pas de doute pour le Loup de la Lune... c'Ă©tait bien elle et elle se dirigeait vers le cercle de pierres. Il s'y rendit sur le champ, et non loin du cercle, sa progression se fit sur des pattes de loup.

http://www.multimania.com/lunarwolves/image/membres/HorusZoJ.jpg

(impossible de poster hier soir :( )

Par Opale le 26/2/2002 Ă  9:02:17 (#1026476)

Au contact des mains, la douleur se dissipa légèrement. A présent assise dos contree la pierre qui la soutenait à la base, elle rouvrit les yeux.

-Je ne sais pas, ça n'est pas la première fois ....

Tout à coup elle fixa l'entrée du cercle, en fronçant les sourcils comme pour améliorer sa vue.

-LĂ  ...

Par Aekol le Sombre le 26/2/2002 Ă  16:09:54 (#1029832)

Aekol se redressa, degeina l'epee de l'Haruspice et se mit en garde.

-Hum... qui vas la??? crie a-t-il.

Il n'y eu aucune reponse, il n'y avait que le silence, un silence pesant.
Aekol fouilla dans son sac, il sortit un parchemin et le tendit a Opale.
-Tenez dechire se parchemin vous arriverez au sanctuaire un pretre pourra vous aide a fair passe votre mal... si vous refusez de l'utilise ces votre droit apres tous vous ne pouvez me fair confiance..., mais je vous demanderai de quitte ses lieux au plus vite cela risque de chauffe...

Aekol sourit

Il recita une prier en l'honneur du maitre et se remit en garde.

Par Lord Horus le 26/2/2002 Ă  17:16:06 (#1030342)

Il sentait une forte aura se dégager du cercle, sans pour autant voir ce qui se trouvait au pied des pierres. Sa progession se faisait de plus en plus lente et l'enregie que dégageait le cerlce de plus en plus forte.

-Hum... Opale n'est surement pas seule, si cette aura avait été la sienne, je l'aurais surement déjà senti à la bibliothèque.

Il continua cependant Ă  marcher dans la mĂŞme direction. Un cri se fit alors entendre!

-Qui va lĂ ???

La voix était ténébreuse et provenait du cercle. La puissance que ressentit Horus augmenta légèrement lorsque la voix s'éleva. Cette force provenait alors bien d'une personne et non du lieu. La voix se fit de nouveau entendre, mais plus discrète, comme si elle a s'adressait à une personne proche de celui qui parlait.

J'ai dû me faire remarquer. A moins que cet individu ne parle à Opale, il doit avoir ordonné à ses complices de se dispercer... je dois rester prudent.

Il s'avança et fini par voir la jeune femme au centre du cercle. Un grand homme aux ailes plus noires que les ténèbres se tenait à ses cotés, brandissant une longue épée noire. Une léger déchirement parvint jusqu'aux oreils d'Horus et Opale disparu soudain dans une pâle lumière. N'ayant pas compris ce qui venait de se dérouler, il ne pu retenir sa gorge.

-Nooooonnnnnn!!!

L'homme en noire tourna la tête vers lui. Horus brandit son épée de cristal, et se précipita en direction de l'Haruspicien.

-Meeeeuuuurrrrss vermine !!!!!

Dans une gerbe d'étincelles, le Croc d'Ogham rencontra Vive-Lame. Le nephandis avait esquivé l'attaque d'Horus, et ce dernier se retrouva à terre. Son armure était souillée par la boue. Il pu se relever et à présent les deux êtres se faisaient face.

http://www.multimania.com/lunarwolves/image/membres/HorusZoJ.jpg

Par Opale le 26/2/2002 Ă  17:44:01 (#1030561)

Elle prit le parchemin que lui tendait l'haruspicien, un peu machinalement, puis commença à se relever pendant qu'Aekol faisait une prière au langage inconnu à ses oreilles. Voyant qu'il avait sorti son arme, elle posa sa main sur la sienne et exerca une mince pression pour lui faire baisser le bras. Sans autre mot qu'un simple regard, elle tourna ensuite la tête vers l'entrée du cercle, esperant enfin comprendre ce qu'il se passait.


Voyant le regard insistant d'Aekol, et se sentant un peu plus mal de minute en minute, finit par accepter de se retirer.

-Soyez prudent, pas d'imprudence, et n'attaquez pas sans savoir de qui ou de quoi il s'agit ...


Sur quoi elle déchira comme convenu le parchemin, et retrouva la douce ambiance regnant dans le temple de LightHaven, sentant son mal disparaitre à grande allure.

Par Hobsek le 26/2/2002 Ă  18:25:29 (#1030847)

Il arrive au cercle de pierre le souffle encore halletant de la course effectuée. A peine à quelques dizaines de mètres du lieu il entend le choc sourd de deux armes se confrontant l’une à l’autre. Les gardes de Windhowl ne s’étaient pas trompés, et encore une fois ce cercle sacré était le lieu de rixes pouvant certainement être évitées. Il trouvait néanmoins probablement un allié de circonstance s’il devait lui aussi avoir à combattre Aekol le sombre.

- Attendez !!

il se positionne aux côtés d’Horus, sachant pertinemment dans quel camp il doit se trouver si il ose se mesurer à Aekol.

- Avant que quiconque souille cette terre jÂ’aimerai ĂŞtre mis au courant de deux ou trois petites chosesÂ…
Trop de mystères rodent sur Opale, je voudrais savoir quelles sont vos intentions envers elle… je ne peut laisser un danger tel que l’haruspice lui tourner autour.
Puis j’ai une question qui s’adresse plus personnellement à toi Aekol…j'avais fait suivre Opale par un jeune enfant, car j'avais vu Lylas s'approcher un peu trop près d'elle dernièrement, malheureusement sa fraîcheur de vie et son innocence ont cessé au moment où sa tête s'est vu détacher de son corps carbonisé... il n'y a pas de mots pour exprimer le dégoût profond et l'amertume qu’il me reste depuis ses funérailles... maintenant réponds moi... est-ce toi le responsable de sa mort?

Par Aekol le Sombre le 26/2/2002 Ă  18:37:38 (#1030928)

-Tiens, tiens Hobsek, le Grand commandeur des paladins de Brehan.
-Si je tiens a montre la veritable lumiere a Opale ne te regarde pas, mais pour le jeune garcon je n'y suis pour rien...
Il sourit
Il tendit sa main vers le nouveau venu et incanta un sort de flamme.

-Mak'ola'Jak'Una She'oli'odak'ik ,Anaraak ,Ja'ia.
que vos ames soient purifier par les flammes du Maitre!!!

A ses mots les deux hommes s'enflammairent. Aekol profitta de la suprise des guerriers pour s'envole.

-Je suis desoler mais je n'ai pas le temps de joue avec vous...

Le Nephandis s'envola un peu plus haut et incanta une pluie de feu sur le cercle, puis il se laissa planer vers Havre-Clair, sans regarde si son adversaire etait mort ou seulement blesse.

Par Lord Horus le 26/2/2002 Ă  19:09:41 (#1031219)

Voyant la sérénité face à la disparition soudaine d'Opale de l'homme qui se tenait à ses cotés, Horus s'accorda quelques secondes de réflexion.

-Mais c'est bien sur... pourquoi ai-je foncé tête baissée? Le bruissement que j'ai entendu... et la lumière... probablement un parchemin de rappelle. Cette homme ne semble pas très affolé pour quelqu'un qui aurait vu quelqu'un mourir. J'ai sans doute raison, Opale doit être en sécurité. Mais que faire? Dans quel pétrin me suis-je fouré? L'Haruspicien doit se douter que je cherchais à protéger Opale... il va se poser des questions.

Horus s'apperçut alors que l'haruspicien le fixait droit dans les yeux, ignorant la question qui venait de lui être posée, concentré sur les yeux du serviteur d'Ogham.

Ă  lui mĂŞme:
-je vois... tu lis dans mes pensés. Je ne peux malheuresement en faire autant.

Se tournant vers Hobsek:
-Je ne peux vous expliquer ce qui se passe réellement, en tout cas pas devant ce serviteur de l'Haruspice. Vous ne devez pas entendre ce que j'ai à lui dire. C'est pour votre bien, croyez moi...

Horus flanca un coup de crosse sur la nuque du Haut Commandeur. Le brehanite s'Ă©croula, ne comprenant pas ce qui lui arrivait. Horus marmona quelque mot en elfique en posant sa main sur la tĂŞte de l'homme Ă  terre, toujours en vie.

Il senti alors son armure le brûler, la chaleur croissait et il vit son corp se couvrir de flammes. Il entendit la sombre voix sans comprendre le sens des paroles puis celle d'Aenarion résonner dans sa tête en langage elfique, avant de voir l'haruspicien rejoindre les nuages.

Dans son agonie, il cru voir la Prêtresse des Loups dans sa robe blanche, comme illuminée de l'interieur et sa longue chevelure dorée flottante au gré du vent. Elle s'approchait de lui. D'une voix douce, lente et paisible, elle pronnonça elle aussi des mots elfiques, puis en langage courant:

-Ne craint rien Fils de Fenris. Nous veillons sur toi...

Mais il sombra dans l'inconscience, aux cotés d'Hobsek.

http://www.multimania.com/lunarwolves/image/membres/HorusZoJ.jpg

Par Opale le 26/2/2002 Ă  19:45:55 (#1031535)

La pièce emubaumait l'encens. Une cérémonie avait lieu, un baptême était celébré au nom d'Artherk, et personne ne remarqua l'arrivée de la paladine.

Elle se releva péniblement, soulagée de sentir à nouveau tous ses membres, et à la fois perplexe quant à sa réaction ... Elle avait fuit, abandonnant là quelqu'un à un danger qu'elle ne savait évaluer... Et les raison de cela ? La supposition qu'elle ne lui serait d'aucune aide, et qu'il valait mieux ne pas hatiser sa colère en ce moment. Décue par elle-même, elle décida de retourner sur WindHowl, prévenir la garde qu'il se passait quelques choses louches et étranges près de leur ville.

N'ayant plus aucun lien avec Havre-Clair, elle prit donc la route qu'elle avait déjà emprunté le matin même. Lorsqu'elle arriva, la nuit était plus qu'achevée, et le soleil perçait à l'horizon ... Ne sachant que faire, elle partit chercher le garde qui l'avait jadis aidée dans son escapade nocturne, et lui demanda de prévenir ses comparses de venir au cercle au plus vite.

Elle partit en avant, inquiète de ce qu'elle pourrait y trouver. Le choc fut grand. L'herbe avait été brûlée en plusieurs endroits, laissant dans l'air une odeur ecoeurante de brûlé, mais surtout, deux formes étaient étalées au sol.

Elle se précipita à leur côté. Son coeur fit un bond lorsqu'elle reconnut le Haut Commandeur, ainsi évanoui et blessé. Le deuxième homme ne lui rappelait rien, mais ce qui lui importait c'était que tous deux furent en vie. Aucune trace d'Aekol ... Son doute était grand ... Que penser?

Les gardes arrivèrent, et s'occupèrent de soulever à plusieurs les hommes en lourde armure pour les remmener au temple de la ville, ou les prêtre veillèrent sur eux toute la matinée durant...


Elle èra ainsi toute la journée dans la ville, se méfiant de tout et de rien, perdue dans ses pensées abstraites. Elle faisait rouler son pendentif entre ses doigts, puis finit par s'asseaoir sur un banc lorsque le coucher du soleil se faisait proche, et ne bougea plus.

Par Hobsek le 27/2/2002 Ă  12:05:06 (#1033970)

Tourmenté durant son profond sommeil c'est finalement la douleur de son dos encore brûlé qui le réveilla. Lorsqu’il ouvrit les yeux il ne se souvenait plus de rien, et il se demandait dans quel lieu même il se trouvait. Alors qu’il scrutait les ornements de la pièce dans laquelle il était une voix familière lui parvint aux oreilles, c’était la voix de sa bien-aimée Merinia ; elle paraissait soulagée de le voir enfin réveillé et lui conta brièvement ce qui lui avait été rapporté de l’évènement. Il l’a pris machinalement dans ses bras, la rassurant et lui demandant des nouvelles d’Opale et de l’homme qui se tenait à ses côtés durant l’altercation. Visiblement l’homme avait mieux récupéré que lui car son lit qui jonchait le sien était maintenant vide.

Au moment où il retrouvait le repos, un homme tout vêtu de blanc entra dans la pièce ; c’était le haut prêtre du temple qui arrivait enfin pour lui soigner son dos flétri par les brûlures. Le prêtre lui expliqua que ses frères n’avaient pas les compétences nécessaire afin de lui soigner son dos qui avait été profondément atteint, en revanche si le reste de son corps était en parfait état c’était du à leurs premiers soins.
Merinia du s’écarter et le haut prêtre venu s’asseoir à ses côté, il commença à prononcer une petite litanie et mis ses mains à quelques centimètres de son dos. Sous l’élan de la guérison il se sentait merveilleusement bien et sombra même dans ce qui allait être son dernier sommeil réparateur au temple.

A son réveil il ne sentais plus aucune douleur. Il passa sa main derrière son dos et à sa grande satisfaction il sentais que plus aucune marque de brûlure n’était présente, sa peau avait retrouvé sa vigueur d’antan.
Il se leva et s’habilla, il était temps de savoir ce qui c’était réellement passé…

Par Aekol le Sombre le 1/3/2002 Ă  7:36:26 (#1042864)

Aekol ne trouva aucune trace d'Opale a LightHaven, apres avoir menace l'aubergiste de brule son etablissement, il sut qu'elle etait partie pour Windhowl la ville portuaire.
Le Nephandis s'envola vers l'ouest, il survola la ville en esperant trouve la silhouette d'Opale, il commencai a se dire qu'elle l'avait bien eu, puis la il vit une jeune femme endormie sur un banc.
Il mis pied a terre dans un coin d'ombre, sortit une dague et l'enfonca dans le bras gauche.

-.... Il regarda la sang coule le long de son bras sans bronche.

Il s'approcha de la jeune paladine, et la reveilla.

-Jeune fille, il est l'heure de se reveille, d'ouvrir les yeux.... voix rassurante

Par Opale le 1/3/2002 Ă  12:01:46 (#1043593)

Elle crut entendre une voix l'appeler ... La douce voix n'ayant aucune cohérance avec son rêve, celui ci commenca à s'estomper, et elle put ouvrir un oeil.

La nuit était déjà bien avancée. La rosée avait recouvert le banc où elle se trouvait, et un frisson la parcourut.

Elle ouvrit l'autre oeil, puis se redressa. A coté d'elle se tenait Aekol. surprise, elle se leva d'un bond.

-Mais que ??? Ou étiez vous ? Vous n'avez rien ? que s'est il passé ? Les autres ont été ....

Elle vit alors son bras blessé, et le dévisagea.

-vous vous êtes battus ? Mais pourquoi ? Je n'aurai jamais dût vous laisser! Ne m'en veuillez pas, la douleur m'a poussée ...

Elle s'approcha de lui pour mieux voir sa robe ensanglantée.

-C'est une blessure profonde et récente, il faut vous faire soigner

Par Opale le 3/3/2002 Ă  17:17:04 (#1056079)

Ne voyant aucune réaction elle le tira doucement par le bras et le mena vers la fontaine d'eau claire pour nettoyer un peu la plaie.

Elle plongea un bout de linge dans le liquide transparent au clair de lune, puis appliqua délicatement celui ci sur la plaie ouverte.

Observant tous deux un silence de plomb, elle se décida à le briser, puisque sa présence ici blessé suscitait trop de questionnement dans l'esprit de la jeune paladine...

-Que s'est il passé? Pourquoi ne vous a t'on pas retrouvé avec les autres ? La logique voudrait que je pense à une attaque de votre part, mais je m'y refuse.

Voyant le silence persistant, elle n'ajouta pas un mot avant une demie douzaine de minutes.

-J'aurais la versions de Sir Hobsek vous savez ... J'aurais aimé avoir la votre voilà tout ... Qui était l'autre homme ?

Toujours aucune réponse. Le silence était toutefois non pesant, une sorte de climat de confidentialité reignait plus qu'un sentiment de gène ou de malaise.

-Venez, ne restons pas ici, je sais que vous n'aimez pas être observé.

Elle plia son linge à présent taché à quelques endroits par le sang de l'haruspicien, puis le rangea soigneusement dans son sac.

Par Aekol le Sombre le 3/3/2002 Ă  18:56:03 (#1056764)

Ils se dirigerent vers dans un endroit a l'ecart des maisons.

-Maintenant, je peux parle... je vais vous explique se qui ces reelement passe,... j'ai demande au deux hommes de baisse leurs armes car je n'avais pas envie de me battre, ils sont accepte et on range leur armes dans leurs foureaux, j'ai donc regaine mon epee et je m'appretait a m'envole quand soudain je resenti une vie douleur dans le bras gauche... ces chiens d'impurs m'ont attaque dans le dos, alors que j'etais desarme... vous voiyez comme les paladins de brehan font preuvent de sagesse, ils preferent attaque un homme dans le dos qu'en face... j'ai du me defendre en invoquant une pluie d'etincelle pour masque ma fuite, je me suis dirige vers la ville portuaire je me suis ecrase non loin de la car j'etais a bout de souffle et puis je suis tombe sur vous par hazard...

-Merci de m'avoir soigne... mais je vous en conjure ne faitent pas confiance a ses brehanites, ils sont fourbes et ils n'hesiteront pas a vous poignarde dans le dos , comme ils l'ont fait avec moi.

-Pour se qui est du deuxieme homme, il s'emblait etre un assassin selenite... il vous recherchai surment pour un "contrat".

Par Opale le 3/3/2002 Ă  20:57:36 (#1057743)

Elle écoutait attentivement, sans ciller ou faire le moindre mouvement. Enfin, elle se décida à parler.

- Pour ce sylien, tant que je ne saurais qui il est, ce qu'il faisait au cercle lorsque j'ai trouvé le Sir Hobsek, et pourquoi un tel malaise à son approche, je vous croirais sur parole ... S'il veut ma tête, pour une quelconque raison, alors qu'il vienne, il ne me fait pas peur, et je refuse de fuir.
En revanche, j'ai peine à croire vos dires sur le Haut Commandeur ... J'en ai entendu beaucoup de bien, et non uniquement de la bouche de bréhanites, et il me semble bien trop droit pour attaquer un homme dans le dos ...

Je ne vous connais pas plus que je ne le connais, c'est pourquoi je me permettrais d'emettre ma propre opinion sur ce sujet ....


Elle regarda ensuite une derniere fois sa blessure à la lumière du clair de lune.

-L'entaille est profonde, mais elle ne saigne plus. Reposez vous au moins quelques jours, pour éviter de souffrir ... Je vous abandonne là, cette ville devient malsaine pour ma sécurité, je vivrais donc seule et en ermite pour quelques temps, du moins jusque à avoir retrouvé ce Sylien ... Si je devais mourir lors d'un affrontement, au moins je ne serais pas morte ignorante.
Adieu Messire Vanderzar ...

Après un dernier regard, elle retourna en direction de la caserne, laissant là le néphandis seul dans l'ombre. Elle prit toutes ses affaires, écrivit un bref message sur le lit, puis s'éclipsa.

Le lendemain, les gardes trouvèrent sur le lit de sa chambre.

Il semblerait qu'on en veuille à ma vie, qui ? pourquoi ? je ne sais pas, et ce sont ces questions que je suis partie résoudre. Merci pour votre acceuil, et adieu.

Opale

Par Lord Horus le 4/3/2002 Ă  17:18:47 (#1062215)

Durant sa brève convaléscence au temple de Windhowl, des visions des Crocs de Fenris l'envahirent. La neige recouvrant les plus haut pics d'Asaheim reflétaient la lumière de la Lune, dont les rayons d'or donnaient un spécacle d'une beauté inégalable. Seule une ombre planait dans le ciel. Et ses ténèbres s'entendaient peu à peu sur les glaces éternelles des montagnes, voilant ainsi la lumière des étoiles et celle de la Lune.

Horus se réveilla dans une chambre dont l'air était pur, aux mur peints de blanc et au plafond vouté. Son lit se tenait à coté de celui de l'homme qu'il avait assomé au cercle. Entre les deux se tenait un petit meuble suportant une bassine d'eau dont les émmanations parfumaient légèrement la pièce. Une femme se tenait au chevet de cet homme, et elle semblait presque souffrir autant que lui. Elle lui passait un chiffon humidifié sur le front. La peau du Haut Commandeur était brulée, mais elle semblait avoir déjà entamé un processuce de renouvellement, probablement grace à l'aide des prêtes qui étaient allé et venu durant le someil d'Horus. Ce dernier tatona son visage, sa peau s'était bien remise, et aucune trace ne pouvait laisser penser qu'il avait été brûlé il y a quelques jour. Il se releva et prit un mirroir qui était posé sur le petit meuble et se dévisagea.

C'est à ce moment que la femme s'apperçu qu'il était réveillé. Se relevant de sa chaise, elle se retourna vers lui.

-Comment vous sentez vous? Et qui êtes vous? Qui vous a fait ça?

Il esquissa un sourir.

-Lord Horus, pour vous servir. Pour votre première question je me sents plutot bien pour quelqu'un qui est passé au buchet. J'aimerais pouvoir en dire autant pour cette homme, mais apparament Ogham n'a pas pu le protéger autant que moi. J'éspere qu'il s'en remettra. Je n'ai aucune idée de l'identité de l'être qui nous a fait ça. La seule choses que je sais, c'est qu'il est vétu de noir, qui est également de la couleur de sa lame et de ses ailes. Mais cet homme avait l'air de bien le connaïtre. Où sommes nous, quel jour? Le connaissez vous?

-Celà fait maintenant trois jours que vous êtes ici, au temple de Windhowl. Oh excusez moi, j'ai oublié de me présenter. Je suis Mérinia, compagne d'Hobsek, Haut Commandeur brehanite, membre de la Garde Séraphine et Conseiller de Lighthaven. C'est l'homme qui se tient là.


Horus s'en approcha et posa de nouveau sa main sur son front en murmurant d'autres paroles elfiques.

-VoilĂ . Je dois maintenant vous quitter. Des affaires urgentes me pressent. Merci d'avoir veiller sur moi.
-Je n'ai rien fait.
Elle sourit. Vous ne voulez pas attendre le prĂŞtre pour le remercier?

Mais il avait revêti son armure qui se tenait dans le coin de la salle et parti pour Lighthaven et sa bibliothèque afin de retrouver Opale, avant même même que Merinia ne finisse sa question.

http://www.multimania.com/lunarwolves/image/membres/HorusZoJ.jpg

Par El zar le 5/3/2002 Ă  1:20:12 (#1064898)

Quel plaisir que de vous retouver chere Opale.
Je suis toujours aussi admiratif. Votre histoire est magnifique et merveilleusement contée.
(Et dire que je connaissais pas ce forum :( )
J'espere avoir le plaisir de faire votre connaissance RP d'ici peu.
Nous nous sommes déjà rencontrés sur un autre forum et même sur le chat de Goa, mais rien ne vaudra cette rencontre RP

le rève continue

Par xylian le 5/3/2002 Ă  22:50:54 (#1069883)

*reste stupéfait* Décidément Opale, tu m'étonneras toujours ! Lorsque tu décides de prendre la plume, tu ne fait pas semblant. *s’incline respectueusement devant elle* Tu es toujours prête à batailler contre vents et marées pour tes convictions. Peut être me feras-tu l'honneur d’être mon scribe attitré pour relater mes années d’errances jusqu’à mon arrivée à Light Haven où j’ai enfin découvert la lumière depuis peu.
Je constate, à la lecture de ton parchemin, que ta vie est le fidèle reflet de ton caractère taillé dans l’acier.
Je ne te souhaite qu’une chose : qu’un jour, les blessures qui meurtrissent ton cœur soient complètement cicatrisées. Comptes sur moi pour y contribuer. Comme tu le sais, je suis toujours disposé à prêter mon épée pour protéger la veuve et l’orphelin, et ta cause est des plus nobles. Je me fait donc ton serviteur. *s’incline à nouveau devant elle*
Je note avec attention que tu as décidé d’embraser l’ ordre des paladin. Il se trouve, en l’occurrence, que moi-même je chéris ce vœux depuis ma plus toute jeune enfance. Peut être me feras-tu l’honneur de devenir mon maître dans cette ardue mais noble voie.
A bientôt sur les sentiers périlleux d’Arakas.
*se relève et lui lance un baiser*

Xylian alias Vulgus alias ton GOA ami !

Par Opale le 5/3/2002 Ă  22:58:49 (#1069917)

Bonjour Ă  tous les deux et merci de votre soutien :))

Vulgus je serais ravie de coucher sur papier les dires que vous dédciderez de m'apprendre sur votre passé *sourit* a vrai dire vous ne seriez pas le premier.

A bientot mes amis et bonne continuation.

Par Opale le 5/3/2002 Ă  23:07:17 (#1069967)

Après deux longues journées passées à harpenter les fôrets et montagne, la faim rammena Opale sur le chemin de WindHowl.

Elle s'introduisit de bon matin dans la ville, en longeant les rempart jusque à atteindre l'entrée cachée du temple. Elle y penetra et aborda un prêtre.

-Excusez moi ... Deux hommes vous ont été emmenés il y a 3 jours, comment vont ils ?

L'homme se gratta la longue barbe qui terminait son visage, et répondit

-Et bien le premier est partie sans dire mot, et le second a été gravement brûlé. Mais il a maintenant pu repartir chez lui, sous bonne garde de sa compagne *rire lent et sage* Allons mon enfant, pas d'inquiétude, Artherk veille sur eux.

-Merci mon père, bonne journée a vous.

Rassurée, elle se dirigea vers l'auberge de la ville pour y faire quelques emplettes alimentaires.

Histoire privée...

Par xylian le 6/3/2002 Ă  18:06:29 (#1073717)

Finalement, je n'aurais pas besoin de vos talents de narratrice puisque je me suis attelé à la lourde tâche de rédiger mes mémoires. Me voici maintenant en partie dévoilé...
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