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Le Fabuleux destin de ZĂ©lica la Gueuse:

Par ZĂ©lica le 30/1/2002 Ă  9:51:24 (#816733)

NONNNNNNNNNNNNNN!!!! Toujours ce même hurlement guttural qui hante la fin des rêves de la petite souillonne . À son réveil, une effluve cramoisie chatouille ses narines. (Maintes personnes pourront croire que c’est sa propre odeur qui lui vient au nez ... mais non ). La petite ouvre ses yeux crasseux, les frotte pour en dégager la souillure matinale. Elle regarde ses mains pour y voir des salissures d’une matière visqueuse noire et rougeâtre! Une certaine allégresse parcourt l’âme de la jouvencelle ...Elle glisse sa langue sur sa main pour identifier la substance collante qui macule l’ensemble de son corps et de ses vêtements. C’est bien l’odeur rêche et le goût mélancolique du sang qu’elle y reconnaît. Un sourire traverse son visage. Elle regarde alentour d’elle et y voit une flaque de sang froid qui poisse l’herbe qui lui a servi de lit. Comme à chacun de ses réveils, elle tente de trouver la source de cette marée bileuse. Cette fois-ci, c’est la dépouille fétide d’un cheval qui fait office de garde mangé pour la faune carnassière des environs. D’énormes mouches planent au dessus de la chair lacérée de la bête. Les yeux écarquillés, Zélica observe la scène. Une coulée d’écume dégouline aux commissures de ses lèvres. Comme si la vue de ces insectes frétillants lui donnait une fringale. La faim la pousse à méditer à son passé, à ses parents, à son jeune âge. Elle pense au sang qui jonche le sol, au cheval piège à mouches et aux mouches nourriture essentielle pour ses merveilleuses grenouilles. C’est le chant de ces dernières qui résonne autour d’elle qui la sort de sa léthargie matineuse. Une vieille litanie que chantait sa mère, comme une ballade, résonne dans sa tête avec pour fond musical le coassement sonore des mâles en chaleur, en désir de leurs petites dames grenouilles.


[|]Mouarvribittt ....Mouarvribittt....Mouarvribittt.....
Deusse gornouilles sur un nymphéa
Mouarvribittt... Mouarvribittt ....Mouarvribittt.....
tiriont la langue Ă  une bibitte ....[/|]

[ Au son des ondulations vibrantes des choristes batraciens , la petite poisseuse récolte une mignonnette grenouille entre ses mains et lui raconte ... comme toujours elle raconte ]

- Eh ben ! Je reste en bas, mais c’est pas là que je suis née. Ben pus haut, vers le nord , pardis ! L’autre nord, oui... oui celui qui tourne vers la gauche ... .. eh ben !!! suis une folle qui disent ! J’ose le crouère! Mais l’histouère de la guerre des elfes je l’ai point connue même si je la trouverions ben belle. Moy des guerres, j’en ai connu deusse; de par ma mére ! Ça suffit pour qu’en s’en faise un idée. Sa P’tite idée .....


[|]Mouarvribittt ....Mouarvribittt....Mouarvribittt.....
Deusse gornouilles, lÂ’une informe et scintillante
Mouarvribittt...Mouarvribittt... Mouarvribittt ....
et l’autre délicate et plaisante coume une elfes....[/|]

---------
(suite de MÂ’zelle Hermyn)

"Matinale...Elle avait osé lui dire matinale..."
"Cela faisait deux heures que le soleil avait entamé sa large ascension se frayant un chemin au gré des nuages."

-ZĂ©lica!DĂ©pose donc ce..cette grenouille et regarde toi un peu!
-Tu es encore dans un Ă©tat...

"Hermyn avait envie de s'arracher les cheveux et elle remercia le heaume posé sur sa tête qui l'empêchait d'une telle pratique.Elle regarda Zélica avec un mélange de furie et de tendresse tout en fouillant son sac qu'elle avait négligemment jeté à ses pieds."

-Tiens!

"lui dit 'elle en jetant en boule une robe,certes froissée, mais toujours plus propre que les loques tachées de sang séché qui lui collaient à la peau."

-Et pour changer,je te propose de te laver dans la rivière et non pas dans une marre poisseuse!Mademoiselle se dit matinale...Et on attend mademoiselle.Alors,mademoiselle va déposer ce truc par terre,se laver,mettre sa robe et elle racontera son histoire plus tard.

"Hermyn s'assit furibonde et les jambes en tailleur sur le bord de la berge regardant ZĂ©lica dans les yeux."


(fin de lÂ’intervention de MÂ’zelle Hermyn :) )

-----------------

[ Au regard sévère de Dame Hermyn, la petite gueuse ne peut que suivre les consignes de cette dernière. Nonchalamment elle trempe son corps dans l’eau froide de la rivière. Une longue traînée d’eau troublée descend en aval de Zélica. Son corps reçoit les assauts du courant comme un chat subirait le même traitement. Le savon que Dame Hermyn s’efforce de passer sur la peau de la crasseuse provoque chez l’apprentie des soubresauts et des haut-le-cœur . Mais, elle se laisse faire, résiste à l’envie de “grafigner” le visage de sa protectrice, à l’envie de cracher son dernier repas dans cette eau propre ou sur ce pain de savon à l’odeur désagréable de fleurs des champs. Une fois remise à neuf, comme au sortir d’un bain maternel, Zélica remet les vêtements que la Dame lui a apportés plus tôt. Elle se soumet même à un affreux et ultime ordre : se frotter les dents avec une petite tige d’anis qu’Hermyn lui tend avec toujours ce même regard saisissant et austère, mais tout de même doux et réconfortant comme seule Dame Hermyn en connaît les secrets. Ces besognes terminées, la petite immaculée se couche sur l’herbe, épuisée par de si dures épreuves, et s’endort.

À son réveil Hermyn n’y est plus. Gisant auprès d’elle, une dague joliment décorée d’un ruban rouge crucifie un parchemin au sol et fait office de curieux décor aux millets des alentours. Zélica peut déchiffrer sur ce palimpseste qu’Hermyn a dû quitter hâtivement pour venir en aide à une de ses consœurs, mais qu’elle viendra la revoir tôt ou tard dans les environs et surtout, tels sont les mots sur le document - Tâche de rester propre petite!!! - Zélica plie le parchemin et le fourre dans sa besace. Elle sait qu’elle pourra s’en resservir une autre fois.

Lire la lettre de Dame Hermyn interpelle le souvenir de ce court temps passé dans la rivière, de ce savon qui lui râpe la peau. Des sueurs coulent sur son front, le rythme de son cœur s’accélère, le goût d’une vieille bombance lui monte à la gorge. L’odeur affreuse du parfum des fleurs des champs perfore ses sens. Elle ne peut le supporter. Se retenir ... se retenir, tente-t-elle de se convaincre. Mais rien ne peut y faire. L’âme lui sort par la bouche... La jolie robe que Mademoiselle Hermyn lui a si gentiment offert a servi de réceptacle à un coulis bileux. Zélica tente de repousser ces déglutitions, mais finalement elle ne fait que les étendre sur le devant de son vêtement. Une sorte de désespoir parcourt la jouvencelle. Tant de délicatesse de la part de Dame Hermyn et déjà tout cela en souillure.]

Mouarvribittt ....Mouarvribittt....Mouarvribittt.....

[Le soleil tel une lanterne, tel une bile lumineuse sur le crépuscule roule doucement vers l’horizon. Les mâles batraciens influencés par la tombée du jour laissent évaporer leurs phéromones. Il n’en suffisait pas moins pour éloigner loin de la petite gueuse ses préoccupations corporelles... Comme le dit l’adage : chassez le naturel et il revient au galop. ( ouf Hermyn !!! Il m‘a fallu quatre paragraphes pour retourner aux origines de mon texte, mais ce fut un exercice agréable :) ) . Tranquillement, elle se dirige vers un renflement de la rivière, là où des nénuphars logeront sûrement des familles de grenouilles. En effet, Zélica y voit une jolie d’entre elles. Elle la saisit délicatement, la regarde droit dans les yeux - Eh ! ben toé! tu vas t’faire raconter une histouère. La fillette s’assoit sur le sol vaseux de la berge et comme toujours ... elle raconte !]

- Ils m’appelont la Gueuse, ouais. Et je pense, ma grand foi, que si ma mére vivait de par icitte, a’ pourrait pus se souvenir de mon nom de naissance, yelle non plus. Pourtant j’en ai ben un! c’étions Zélica, bon Djeu ! Oh ! ouais ma ben p’tite gornouille, ma mére elle se rappelerions p’être pâs d’mon nom! Ben l’histouère des guerres qu’elle me racontait ça j’en ai souvenace . Pardis !

[Encore un fois cette ballade sur fond de chant grenouillard empli les oreilles de la jeune fille !]

Mouarvribittt ....Mouarvribittt....Mouarvribittt.....
Deusse gornouilles,
.Mouarvribittt... Mouarvribittt ....Mouarvribittt.....
tirent leurs langues qui sÂ’entremĂŞlent ..

- Ouais des guerres que s’te bande de moribonds ont ben pardu ! Et pis moé je dirions que notre maistre y counaît son affaire, ces guerres là s’étions pas pour rien qu’on les araient gagné. Le seigneur il aurions pas laissé souffri’ le mauvais monde sans raison. Et pis y a que les bounes genses qui vont rester sur les terres d’Athléa. Pis moy chu une boune gense, je croirions ben ! Ben j’me pose même des questions! Parce que ça me cause même du tord au corps de vouère que c‘est nous aut‘es qui vont la gagner cette guerre! J’en souffre quasiment !

Mouarvribittt ....Mouarvribittt....Mouarvribittt.....
Deusse gornouilles prisent lÂ’une Ă  lÂ’autre
Mouarvribittt ....Mouarvribittt....Mouarvribittt.....
la difforme mange lÂ’impure et pis, tire la langue Ă  une mouche

- Moy ça me prend la nuit, droite là dans le ventre pis en bas de l’échine. J’ai été à la ville deux fois pour vouère un crasseux de prêtre pour mes douleurs, mais ... j’ai ben vu qui savions rien sur les êtres le crasseux. Quand on est coume moy, les prêstres i’ y pourrions rien ! C’étions que des moribonds pis des crasseux, sauf ceux qui servent notre seigneur, l’informe ! Les autres i, connaîtrerions rien a nos douleurs de guerre pis de victoire !

Mouarvribittt ....Mouarvribittt....Mouarvribittt.....
Deusse gornouilles sur une lune dÂ’eau
Mouarvribittt... Mouarvribittt ....Mouarvribittt.....
tirent la langue Ă  une mouche .....

- Pis je me dirions que les mort des guerres du passés, ils étions mort pour une boune escousse. Y en a qui avont peur de la mort. Moy point ! Un p’tit brin de douleur pour les impures, que je me figure, pis c’est fini! Pis moy chu ben pure ! Morbleu !

Mouarvribittt ....Mouarvribittt....Mouarvribittt.....
Deusse gornouilles, lÂ’une informe et astucieuse coume une Ă©puratrice
Mouarvribittt... Mouarvribittt ... Mouarvribittt
et lÂ’autre trapue et bourrue coume une naine ... ....

-Marci, grand maistre ! Je voudrai pouvoir faire une boune servante... Pis je crourions ben que je le ferons! J’ai pris des feuilles des plantes pis j’ai r’gardé un peu mon avenir, une parsoune peut presquement ouère toute sa vie là-dedans. Je finirai par ouère la victoire! Ouère la meilleur des victoire sur la guerre !

Mouarvribittt ....Mouarvribittt....Mouarvribittt.....
Deusse gornouilles, ...
Mouarvribittt... Mouarvribittt... Mouarvribittt ....
tirent leurs langues qui sÂ’entremĂŞle ...

-Y a des fois que c’est malaisé les guerres !Pis d’aouère du regret. Ben écoute moy ben belle gornouille quand cette guerre elle sera gagnée, i ‘arions que les purs pour rester. Et pis le oiseaux eux-mêmes ben i’ seront heureux ! Et pis moy et toi aussi ... Dieudonné !

[ La petite se tait, laissant place au chant douloureux et constant des grenouilles. Et aux mémoires de cette chanson que sa mère a si souvent chantée. La gueuse sourit, laissant apparaître deux rangées de dents sales et noires]

Mouarvribittt ....Mouarvribittt....Mouarvribittt.....
Deusse gornouilles prisent lÂ’une Ă  lÂ’autre
Mouarvribittt ....Mouarvribittt....Mouarvribittt.....
la difforme mange lÂ’impure et pis, tire la langue Ă  une mouche

Mouarvribittt ....Mouarvribittt....Mouarvribittt.....
Deusse gornouilles sur une lune dÂ’eau
Mouarvribittt... Mouarvribittt ....Mouarvribittt.....
tirent la langue Ă  une mouche .....

Mouarvribittt ....Mouarvribittt....Mouarvribittt.....
Deusse gornouilles, lÂ’une informe et astucieuse coume une Ă©puratrice
Mouarvribittt... Mouarvribittt ....Mouarvribittt.....
et l’autre fière et ambiguë coume un houme ...

Mouarvribittt ....Mouarvribittt....Mouarvribittt.....
Deusse gornouilles, ...
Mouarvribittt... Mouarvribittt... Mouarvribittt ....
tirent leurs langues qui sÂ’entremĂŞle ...


(voila ... enfin la fin :) )




Par Fifine le 30/1/2002 Ă  10:05:27 (#816794)

:lit: *attend donc la suite* :lit:
( quel accent ! :D )

Par Raphael Ancelot le 30/1/2002 Ă  10:39:04 (#816973)

:lit: ( le pire c'est que certaine personne parle comme ca ou j'habite :mdr: )

Par Olgir Liadon le 30/1/2002 Ă  10:44:43 (#817008)

:lit: et :lit: (si si quand on aime on ne compte pas !)

Par Feoline le 30/1/2002 Ă  10:48:41 (#817031)

Raphael Ancelot => ( le pire c'est que certaine personne parle comme ca ou j'habite )


sans dec? ca doit etre affreux!!

sinon zelica super ;)

super

Par Gozmoth MdA le 30/1/2002 Ă  10:58:57 (#817106)

(j'adore :))

Par Zounours le 30/1/2002 Ă  11:36:25 (#817257)

:lit: :) :lit:

Par Irst le 30/1/2002 Ă  13:29:20 (#817836)

(-->:lit: )

Par Lamn Meliamne le 30/1/2002 Ă  18:25:27 (#820214)

Comme pour chacun de tes textes , tu as toujours ce meme talent :) continue on aime ça :) :lit:

Par Melchior le 30/1/2002 Ă  18:33:38 (#820275)

:lit: :lit: :lit:

Par Volcom le 30/1/2002 Ă  18:39:04 (#820328)

Provient du message de Raphael Ancelot
:lit: ( le pire c'est que certaine personne parle comme ca ou j'habite :mdr: )



Tu habite en Creuse ?

Mais :lit: quand meme

Par Raphael Ancelot le 30/1/2002 Ă  18:46:33 (#820401)

( Non dans le Nord de la france )

Par Égaëlle le 31/1/2002 à 0:08:17 (#822750)

C'est vraiment génial ce texte. C'est complètement différent de ce que j'ai lu jusqu'à présent:eek:

Par Hermyn dOrcanie le 31/1/2002 Ă  1:52:14 (#823126)

"Matinale...Elle avait osé lui dire matinale..."
"Cela faisait deux heures que le soleil avait entammé sa large ascension se frayant un chemin au gré des nuages."

-ZĂ©lica!DĂ©pose donc ce..cette grenouille et regarde toi un peu!
-Tu es encore dans un etat...

"Hermyn avait envie de s'arracher les cheveux et elle remercia le heaume posé sur sa tête qui l'empechait d'une telle pratique.Elle regarda Zélica avec un mélange de furie et de tendresse tout en fouillant son sac qu'elle avait négligeamment jeté a ses pieds."

-Tiens!

"lui dit 'elle en jetant en boule une robe,certes froissée, mais toujours plus propre que les loques tachées de sang seché qui lui collaient a la peau."

-Et pour changer,je te propose de te laver dans la rivière et non pas dans une marre poisseuse!Mademoiselle se dit matinale...Et on attends mademoiselle.Alors,mademoiselle va déposer ce truc par terre,se laver,mettre sa robe et elle raconteras son histoire plus tard.

"Hermyn s'assid furibonde et les jambes en tailleur sur le bord de la berge regardant ZĂ©lica dans les yeux."

Par Korey dOrcanie le 31/1/2002 Ă  11:46:03 (#824082)

(*morte de rire* Pas de chance, Hermyn, tu choisis mal tes protégées! ;))

Par Belladonne Bliz le 31/1/2002 Ă  15:27:35 (#825199)

(zelica j'attends ton mail pour regler ton petit probleme

joli texte :) )

Par ZĂ©lica le 3/2/2002 Ă  2:31:03 (#845383)

(voila ! j'y ai ajouté un petit texte, le reste suivera prochainement ... bonne lecture :) )

Par Gwen d'Armor le 3/2/2002 Ă  8:44:02 (#846726)

*attend avec impatience la suite des déboires de sa petite-fille et de Zelica*

Par Lanar Shis le 18/2/2002 Ă  4:23:19 (#961837)

(Ă©diter : car je suis dans la lune ce matin :( )

Par ZĂ©lica le 18/2/2002 Ă  4:25:55 (#961846)

(Ă©diter, car je prefere voir la suite sur la premiere page c'est plus jolie, et plus logique :) ) ( bonne lecture ardue , pas facile le texte, je le sais , pas facile pour moi aussi :) :p )

Une "perle" ;)

Par Fifine le 18/2/2002 Ă  7:18:47 (#962196)

J'aime toujours autant, surtout pour cette très grande originalité.

Encore Bravo

Longue vie aux gornouilles ;)

Par Soupir S le 18/2/2002 Ă  8:53:35 (#962415)

( ZĂ©lica, je t'adore !!! :) N'en veux n'encore ! *a tout lu d'un coup, et ne le regrette pas* )

Par Ifrit le 18/2/2002 Ă  9:14:44 (#962503)

( *FAN* bravo toi bisoux !! :) :D :hardos: :bouffon: :lit: :amour: :chut: )

Par Korey dOrcanie le 18/2/2002 Ă  20:22:34 (#967870)

(ouaip :) Pas de chance Mimine, avec tes protégées :D Je ne te donne pas plus que 2 mois pour survivre au traitement "Zelica" avant que tu ne t'enfuis en hurlant à la mort!!!)

Par Antimonar Shis le 23/2/2002 Ă  9:11:06 (#1003553)

Ă” ! , voilĂ  une texte qui sort de la norme (papa Ifrit me l'avait bien dit)
mais c'est qu"elle est rigolote la ZĂ©lica , quelle d'couverte dans les bas-fonds du f'rum*rigole*

Eh b'en, boune lecture "bonnes" genses (hihi...hoho)

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