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*tappe Ă  la porte de Dame Folet*

Par Une Femme masquée le 28/1/2002 à 16:10:51 (#808157)

Le bandit, qui s'Ă©tait plus ou moins vĂŞtu comme un gentilhomme, tapa Ă  la porte de Dame Folet.
Il lui annonça qu'un enfant était malade à l'autre bout de la ville et qui lui fallait des soins de toute urgence.
Comme à son habitude, le coeur des plus généreux Dame Folet couru vers ce soit disant malade.....

Le Brigand qui affichait un sourire de satisfaction attendit de ne plus voir la Dame pour entrer chez elle.
Il cherchât ce qu'il était venue voler, mettant consciemment une grande pagaille dans les livres....
Il trouva enfin le fameux livre sur des rituels magiques....
Ouvrant son sac, il le remplit de fioles jonchant la table.
Il est vrai qu'il ne savait pas ce qu'il prenait mais peu importait, il faisait ce pour quoi il était payé.
Sa mauvaise action faite, il laissa sur le bureau la plume couleur charbon...

En prenant les plus grandes précautions il disparut au détour d'une ruelle....

Un Corbeau sur un toit perché avait suivi toute l'action....

Par SnakeKNG le 28/1/2002 Ă  16:42:40 (#808422)

* voix Dame Folet arrivee en courant*

Dame ? que vous arive t -il ?

un enfant malade ??
ici ??
absolument pas sinon je vous l aurais amene

si si je suis sure.

je suis la depuis un moment et je n ai spas vu d enfant. et encore moins malade ou blesse.
On vous aura fait une blague :(
j en suis desolee

*voit Dame Folet repartir soucieuse*

Bonne journee Dame

*toujours le sac du scribe sur le dos, épuisée par tant de courses*

Par follet le 28/1/2002 Ă  21:05:27 (#810445)

Je vous crois Sire. Je n’aurais pas saisi bien l’adresse. Je me hâte avant que le sire qui m’a informée soit reparti.

Arrivée à la maison, folet voit la porte entrouverte et s’en inquiète. Elle regarde de droite et de gauche dans la rue recouverte d’une délicate couche de neige. La nuit est sombre. Les ombres sont les porches sont trop épaisses pour y distinguer quoi que ce soit.
Hésitant un instant, folet pousse doucement la porte, et, avant de s’engager, tente de percer les ténèbres que la lueur des braises couvées n’éclaire pas. Avant d’entrer prudemment, elle jette un dernier regard dans la rue. Un chat, passant en miaulant, la fait sursauter.

Avançant à pas comptés, elle bute contre des livres traînant au sol. Glissant des pieds pour ne rien abîmer, elle se dirige jusqu'à la réserve de chandelles, bat rapidement le briquet. La faible lumière de la bougie révèle le désordre de la maison.

Folet se laisse tomber sur la chauffeuse, reste un moment pour reprendre son souffle et réfléchir

Cet enfant malade, un leurre alors ?
N’en demeure pas moins que Sire Ravin nécessite des soins. Et le corps de ce scribe doit être ramené au plus tôt avant que les bêtes sauvages ne le dévorent.

Elle balaie la pièce du regard. Se levant brusquement, elle va jusqu’au bureau prendre les fioles pouvant sortir Sire Ravin de sa pâmoison.
Par les Vents ! Quel désastre. On a pris aussi certaines médecines !

Fouille fébrilement parmi les potions, les boîtes, les pillons, les coupelles… Ayant trouvé ce qu’elle cherchait, reste les bras ballants, contemplant une fois encore le désastre. Ramasse machinalement quelques livres en murmurant

Je verrai plus tard. Vite, il me faut rejoindre Sire Ravin.

Mais quÂ’est-ce ceci ? se penche pour ramasser une plume noire. LÂ’Ă©tudie un court instant avant de la ranger au fond dÂ’une de ses poches. Secoue la tĂŞte, lÂ’air soucieux. Le poids Ă  ses Ă©paules se rappelle Ă  elle.
Et ce sac ! Je ne peux le laisser ici ?

folet allume une lanterne à la bougie avant de la souffler. Après un dernier regard dans la pièce, elle sort rapidement de la maison, ferme la porte à clef. Puis, d’un pas hâtif bien que fort fatigué, se dirige où Sire Merlin, Sire Drake attendent

*s'apprêtant à partir de la bibliothèque*

Par follet le 29/1/2002 Ă  2:33:51 (#811866)

*a hâte de rentrer pour chercher ce qui a pu se passer*

*porte machinalement la main dans sa poche*

*en sort la plume, plisse le front*

Par Di l'Ă©cureuil le 29/1/2002 Ă  14:31:51 (#812284)

S'approche a toute vitesse de Dame Follet. Lui tire le bas de sa robe tout en désignant d'une patte et du regard le corbeau qui semble suivre les faits et gestes de son amie.

Le corbeau s'envole...

Par Une Femme masquée le 29/1/2002 à 17:10:39 (#813096)

Il retrouve tantĂ´t l'Ă©paule de sa maitresse.
Toujours dissimulée sous sa grande cape elle l'attendait.
Elle comprend que l'affaire est faite...
Il s'envole de nouveau, elle le suis.

La dame voit de loin l'homme regardant d'un air hahuri les pages du livre.
Tel une ombre elle arrive derriere lui.
Lui arrache le livre des mains.
Le brigand sursautte et avant qu'il est eu le temps de pousser le plus petit cri.
La dame plaque sa main sur sa bouche...
Et lui fait signe de garder le silence.

Il lui tend son sac.
le cliquetit des fioles résonnent légèrement dans la ruelle déserte.
Elle s'en empare et y jette un oeil.
Puis lui dit d'une voix basse et étouffée par le masque....


Tu as fait du bon travail, voila ta recompence !
Comme je te l'ai déjà dit si tu parles de cela, ta langue servira d'amuse gueulle aux vers qui te dévoront.
j'aurai surement encore besoin de toi....
*lui lance une nouvelle bourse*
Reprend sa pour notre prochaine affaire Ă  titre d'avance...

L'homme occupé à compter ses pièces ne prend pas garde à la femme...
Il fait juste un signe de tĂŞte pouvant faire croire qu'il Ă©coute.
Elle a vite fait de lui dérober sa pierre de destinée avant de lui casser le cou comme à un misérable lapin.
La dernière chose qu'il pu voir vu les yeux de la Femme...
Elle reprend les bourses, et vide ses poches...


Ta cupidité m'aurait trahis tôt ou tard.
Je ne pouvais prendre ce risque.
Comme on dit le malheur des uns fait le bonheur des autres...

La femme se relève, s'assure que personne ne l'a vu.
Elle réajuste sa capuche et part juste après une petite incantation.

Dérrière elle un corps sans vie brule....

Par Gabrielle Terra le 29/1/2002 Ă  18:20:18 (#813603)

*se promène dans la ville, profitant de la fraicheur de la nuit*
*Tout à coup, un corps, sur le sol... Elle se précipite.. Aurait-il un problème ?*
Sire ? *elle le secoue légèrement*
Tout va bien ? *il reste immobile, les yeux vides, comme si...*
*effrayée, elle se recule tout à coup*
*elle part en courant retrouver Dame Snake, elle l'a vu il y a peu*
Dame Snake ! ... *tente de reprendre son souffle, les yeux emplies de larmes* Il y a un homme... il est mort ! Je croyais que.. que ce n'était pas possible.. sa pierre de destinée ne l'a pas sauvé... je...*elle tombe sur le sol, évanouie*

Par Une Femme masquée le 29/1/2002 à 18:56:46 (#813854)

Les flammes avaient léchées le visage du malfrat....
Nul ne pouvait l'identifier....

Par Kalypso le 29/1/2002 Ă  23:23:27 (#815638)

Le vent frais de la nuit souffle....

*dans la rue qui mène du temple à la maison*

Par follet le 30/1/2002 Ă  0:01:45 (#815851)

folet serre à nouveau la main sur la plume au fond de sa poche. A l'angle de la maison de l'apothicaire, elle lève les yeux vers la maison. Tout est sombre. Elle s'arrête un instant, songueuse.
Elle se murmure

Il faut que je me hâte, j'ai assez fait attendre Sire Ravin et ses amis.
s'apprêtant à poursuivre son chemin, folet sent une tension dans le bas de ses jupes. Regarde à quoi elle a pu s'accrocher. Se rend compte qu'il s'agit d'un animal. Se penche très étonnée

Oh !!! Est-ce toi que cet homme curieux, perché sur le toit de l'auberge, le soir où les trois étrangers sont arrivés, prétendait délivrer avant de te confier à moi ?

s'accroupit mais n'a pas le temps de détailler l'animal. Celui-ci lui montre le ciel
Oui ce toit-lĂ , exact...
s'interrompt, comprenant l'insistance de 'écureuil. Elle étrécit les yeux pour mieux voir dans la pénombre.
Un corbeau ? !
Est-ce cela ?
Regarde l'Ă©cureuil tout en sortant la plume de sa poche

*le temps pressant, folet se décide à entrer prudemment*

Par follet le 30/1/2002 Ă  13:12:15 (#817732)

Elle dévérouille la porte, écoute un instant.
A tâtons elle se dirige vers la réserve, allume plusieurs chandelles puis se retourne. Quelques débris de verre au sol, deux trois objets tombés qu’elle ramasse machinalement.
Se ressaisissant, elle se précipite pour évaluer l’état des livres. Murmure

Ils n’ont pas soufferts, juste ce vieux Noitack dont le marocain a été griffé.
Se faisant, elle replace un à un les ouvrages sur leurs étagères. C’est alors qu’elle se rend compte de la disparition d’un livre que Sire Clem lui avait donné il y a quelques années.
Folet se relève brusquement, regardant autour d’elle. Elle se saisit d’une chandelle pour mieux voir sous les meubles où les ombres sont épaisses.
Rien.
Se souvenant quÂ’elle est attendue Ă  lÂ’auberge, fait rapidement ses ablutions grelottant de froid, passe des vĂŞtements propres.
Avant de moucher les chandelles, elle regarde une dernière fois la pièce, soupire, laissant son bras libre aller le long du corps.
Elle rapidement la poche de sa robe sale pour y prendre la plume, accroche sa ceinture de bourses puis souffle résignée la dernière chandelle.
Elle sort, referme la porte Ă  clef, jette un regard dans la rue cherchant lÂ’Ă©cureuil des yeux et gagne lÂ’auberge proche dÂ’un pas rapide.

Par Shrogran Datara le 30/1/2002 Ă  13:38:16 (#817902)

Des brigands amènent un corps calciné, le cou brisé, Shrogran y reconnait le bandit qu'il avait vu au campement, suspect...


Mes mains seront un peu moins sales...

Le corps est jeté et enterré, sans forme de cérémonie.

*alors que le jour pointe ses premières lueurs*

Par follet le 3/2/2002 Ă  10:58:43 (#847532)

folet regarde depuis l'auberge si personne ne rôde autour de la maison. Elle lève les yeux vers le ciel, y cherchant un oiseau

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