Poème pour le fruit de ma vie, Molly...

Par Visper Chylls le 28/1/2002 à 11:56:36 (#806543)

Retrempe la plume dans son encrier, et se remet à lire son poème à haute voix.

Tes yeux sont le reflet de ton coeur
Quand tes yeux brillent
Je sais que tout n'est que bonheur

Quand tes yeux sont tristes
Je sais que l'océan de tes désirs chavire
Quand les larmes viennent sur le bord de tes yeux
Je sais que tu as besoin de moi auprès de toi.

Alors, tends-moi la main
Et laisse ton chagrin.

Tu es si jolie,
Lorsque tu souries
Ma petite Molly.



Ton papa qui t'aime,
Visper Chylls.

Par La Petite Molly le 28/1/2002 à 13:24:18 (#807052)

*La porte entre-ouferte, elle entend zon popa. Elle comprend po ze qu'il marmone malgré qu'elle tend l'oreille et plize zon petit front en pazant za petit lèvre inferieur*

Surpris par un bruit

Par Visper Chylls le 28/1/2002 à 14:13:45 (#807322)

Lisant ces quelques lignes, il entendit une porte s'entrouvrir.
A la lumière de la chandelle posée sur la table, il enroula le parchemin et le mis dans un des nombreux tiroirs de son armoire.
Se retournant, il aperçut une petite silhouette, et deux yeux brillants à la lueur de la chandelle.
Il se mit à rire, et pris sa fille dans ses bras.
Se dit en lui même: "Ces yeux... les yeux les plus beaux du Monde, les yeux de ma tendre épouse."
Posa le doux visage de sa fille contre son épaule, ferma la porte derrière lui, alla dans la chambre et déposa son ange dans son lit.
Lui murmura: "Ce n'est pas grave si tu ne comprends pas ce que les grandes personnes te disent... sache juste ma fille que je serais toujours là pour te protéger et faire ton bonheur".
Lui déposa un tendre baiser sur son front, et la borda dans son lit en chantonant une douce musique.
Ferma la porte de la chambre, et chuchotta: "Dors bien mon trésor, je t'aime tant."

*sourit*

Par Shamilda le 28/1/2002 à 15:49:43 (#807955)

Visper, je n'ai jamais douté que tu sois un père merveilleux.
Mais j'avoue que la scène que je viens d'entrevoir par la fenêtre de ta maison m'a ravivé le coeur, et m'a beaucoup émue.

Prends bien soin de toi et de ta fille. Tu es un homme bien, mon ami !!

Quand à moi, je vais essayer d'oublier l'instinct maternel que cette scène vient de réveiller en moi...

Douce nuit à vous deux.

Par Visper Chylls le 28/1/2002 à 16:42:45 (#808423)

Refermant délicatement la porte de la chambre de sa fille, il aperçut deux yeux qui brillaient cachés entre les volets de sa fenêtre.
Il s'approcha de la fenêtre, et la personne s'en alla si rapidement qu'il n'eut même pas le temps d'apercevoir qui elle était.
Se dit au fond de lui: "Encore un rodeur... ou un voleur... humm... je ferais bien de surveiller la maison et de ne point m'endormir tout de suite."
Il se remit à son chevet, et resortie le rouleau de papyrus sur lequel il avait écrit le poème pour sa fille.
Il passa des heures à chercher l'inspiration dans la pénombre des champs de pommiers au loin... mais il ne trouva rien ce soir là.
Sa plume ne trouvait pas le chemin sur son parchemin, il décida d'aller prendre repos dans la chambre conjuguale.
Il s'allongea aux côtés de son épouse et lui dit tout bas pendant son sommeil: "Je t'aime mon coeur..." Puis commenca à fermer les yeux et pris finalement son sommeil.

Par Jenny le 6/2/2002 à 19:04:08 (#875175)

*se reveilla doucement au moment ou son mari s'endormi*
Hum ... c'est une belle nuit*sourit*

Elle se leva et s'avanca vers la petite table de chevet ,où elle vit un petit parchemin.
*sourit a la lecture de ce poeme*
Apres la lecture du poeme ,elle retourna s'allonger aupres de son mari.Et lui chuchotta a l'oreille.
Je t'aime mon Vispou ...

Par Visper Chylls le 6/2/2002 à 21:37:25 (#876369)

Senti pendant son sommeil la chaleur du corps de son aimée envahir son coeur, et ses bras s'enlacer autour de sa poitrine.
Ce fut un doux sommeil, pleins de rêves et de douceur.

*Dans son rêve... il aperçut une petite silhouette dans son rêve... il crut apercevoir un petit enfant... avec un magnifique sourire et des petits yeux noisette...*

*Continua son rêve en oubliant au fur et à mesure ce dont il avait rêver et dormie paisiblement dans les bras de son épouse.*