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Une vie...
Par Ubica le 19/1/2002 à 22:58:42 (#746510)
"La Vie"
En effet, il était temps pour lui de faire le point, de faire une rétrospective de sa longue et tumultueuse vie. Il savait que cette remémoration ne ferait pas seulement ressortir de bons souvenirs, mais peu importe
il fallait le faire avant que les années ne se chargent de tout effacer, écraser sous le poids du temps cette existence si peu remarquée quétait la sienne.
Il ouvrit le livre avec une grande prudence de peur que celui ci ne sabîme et sur la première page il commença à écrire :
Je ne prétends pas par ce livre faire une uvre mais seulement y compter ma vie telle que je lai vécue, que je lai ressentie. Si quelquun lit un jour ce manuscrit, quil ne me juge point, car un livre, aussi complet soit-il ne peut prétendre décrire un homme de manière parfaite et objective. Il nexiste que parce que jai voulu aujourdhui laisser une trace de ma vie pour que les générations futures noublient pas.
Sur ce il tourna à la seconde page et inscrivit en grandes lettres bien lisibles :
"Partie première ; Istokrid et la vie là bas"
Ma vie commença sur une île proche dArakas, qui malgré sa proximité, ne connaît aucun des problèmes que nous rencontrons sur cette bonne vielle île d'Arakas. Tous les êtres qui peuplent Althea et dont la seule préoccupation est de faire le mal (Gobelins ou bien Orques et autres monstruosités de ce type) nexistent pas là bas.
Isokrid est principalement peuplée de paysans et de différents marchands. Elle entretient de nombreux liens avec les autres îles, quelles soient éloignées ou plus proches comme Arakas. La raison qui explique ces liens est que sur Istokrid, lon trouve la plante de base qui sert a la fabrication du mana. Elle entretient donc un fort commerce maritime et cest pourquoi il y a tant de marchands sur ma terre dorigine ; ils soccupent de faire le lien entre les paysans qui cultivent la dite plante et les exportateurs qui soccupent dacheminer la « manoïtra » (cest ainsi, que lon appelle cette fameuse plante sur Istokrid ; je ne sais exactement comment elle est appelée sur Goldmoon) dans les différents ports de toutes les îles avec lesquelles Istokrid entretient des relations. La plus grande de la population dépendait directement de ce commerce.
Comme je lai dit précédemment, une forte partie de la population vit de la manoïtra. Cétait le cas de mes parents ; ils étaient marchands et soccupaient de la revente de la meilleure manoïtra de lîle. Ma jeunesse fut des plus joyeuses, et était partagée entre lécole (buissonière par fois je dois lavouer) et les nombreux amis de mon age. En effet a cette époque la natalité sur lîle navait connu une telle hausse qui était due à des records de prospérité de la population. Tous les jeunes de mon age ; a cette époque nous avions à peine neuf ans ; rêvaient daventures et de découvertes fabuleuses comme ils en entendaient parler dans les livres. Nos jeux favoris étaient tous ceux se rapportant au combat, aux armes et autres sortilèges. Les parents nous regardaient amusés par nos accoutrements chevaleresques.
Par Ubica le 19/1/2002 à 23:06:50 (#746572)
Nous vivions dans une sorte de paradis. Le climat nétait jamais excessif, que ce soit en hiver ou a lété et ainsi lagriculture se portait au mieux toute lannée grâce au différentes cultures.
Mes parents étaient très fiers du commerce quils avaient réussi à monter durant toutes ces années au prix defforts incommensurables, et il était pour eux évident que je reprendrais le flambeau lorsquils seraient trop vieux.
Je ne lentendais pas de cette oreille. Cette vie mennuyait beaucoup, et je ne voulais en aucun cas, reprendre la succession de mes parents. Jessayais de le leur faire comprendre, mais lorsque jabordais le sujet, ceux-ci devenaient comme sourds et ne voulaient pas entendre ce que je voulais leur dire. Ce dont je voulais cétait partir à laventure comme lont fait de nombreux jeunes dIstokrid, avec ou sans laccord de leurs familles.
Jentendais souvent les anciens de mon village parler entre eux des lettres quils recevaient de leurs descendants partis à laventure sur les îles où ils avaient pu arriver grâce aux bateaux transportant des marchandises. Je me cachais a chaque fois et écoutais avec attention les récits faits par ceux, partis en voyage. Cest ainsi que lidée de partir grandissait dans ma tête jusqua ce que je décidais enfin de m « échapper » dIstokrid.
Je me rappelle encore du soir ou jai pris la décision de men aller.
Je me promenais avec mon père le long de la plage, qui sétend a plusieurs kilomètres, je tentais encore une fois de le convaincre de me laisser partir, mais quand une fois de plus je lui parlais de ma volonté de quitter lîle natale, il sénerva et se mit a me crier dessus. Je partis en courant jusque chez moi.
Je pris le peu daffaires que je trouvais (poignard, habits chauds, et quelques précieuses potion de mana) et sortit sans me faire entendre de ma chère mère.
Je courus au port avant que lun de mes parents ne saperçut de mon absence.
Il ny avait quun seul bateau amarré.
Je demandais la destination de celui-ci au marin qui se tenait sur le pont dembarcation. Il me répondit quil allait sur Stoneheim, mais kil passait dabord par Arakas. Je connaissais ces deux îles de part leur réputation, et aucune des deux ne mattirait. On disait que sur Arakas, les gobelins et les orques régnaient sur presque tout le territoire. Seules les villes étaient protégées
mais pour combien de temps ?
Les récits sur Stoneheim nétaient guère plus encourageants et déjà ce voyage ne me paraissait pas sur ; Mais je lavais décidé, je partirais ce soir là ou je ne partirais pas !
Je demandais donc au marin combien je devais débourser pour pouvoir embarquer. Il me répondit quil navait normalement pas le droit dembarquer des passagers, mais quen contrepartie, si je voulais tout de même membarquer, je devais le payer 250 pièces dor, ce qui représentait une grande partie de largent que javais prit. Jacceptais néanmoins sa proposition.
Je lui remis 125 pièces dor avant le départ et lui promit quil aurait le reste de largent lorsqu je serais arrivé à destination. Le problème était que je ne savais pas encore ou je descendrais du bateau.
Je membarquais ainsi sur ce navire marchand sans savoir ou jallais ni ce que je ferais arrivé à destination.
La traversée fut pénible en raison du mauvais temps. Létat du bateau y était aussi pour quelque chose. La voilure incomplète arrivait a peine, avec le peu de vent, a mouvoir le navire ce qui rallongeait le temps a passer au large. La pluie ne cessait de tomber, et il y eut même un soir une tempête, mais le pire pour moi était que je devais tout le temps me cacher, car si lun des marins me découvrait, il me tuerait sûrement ou me jetterait à leau.
Le matelot que javais payé pour pouvoir embarquer sur le bateau, ne mapportait de la nourriture que très rarement ce qui rajouta encore une peine a mon triste et désespéré voyage en quête daventures.
Je trouvais que ce voyage était la pire chose qui ne métait jamais arrivée dans ma vie.
Jen eut tellement marre que je décidais, au soir de 6eme jour de la traversée, que je quitterais ce bateau de malheur lorsquil arriverait au port dArakas.
Le reste du voyage se passa comme sétait passé le début, ni plus aisé, ni plus difficile.
Lorsque le bateau arriva enfin au port de Lighthaven, je paya le marin et dut attendre la nuit pour sortir du bateau sans être vu. Je payais le marin, et me dirigea vers la sortie du bateau. Je sortis ainsi du bateau alors que la nuit était très sombre, ce qui ne me permit pas de découvrir la ville de Lighthaven tout de suite.
Je me trouva un endroit protégé ou dormir et sombra dans un sommeil profond jusquau lendemain.
Lorsque je me fus réveillé, je vis tout un tas de personnes allant de-ci de-là. Je me trouvais non loin de la banque, ce qui expliquait la forte activité de ce quartier.
A mon grand malheur, je découvris quun malfrat mavait volé mes habits les plus chauds et une centaine de mes pièces dor. Il ne me restait dans le sac plus que des vêtements de toile, moins de cent pièces dor, mes potions de mana, quelques potions de revitalisation, et deux torches, qui savérèrent inutiles, puisquelles étaient toutes mouillées par leau qui sétait échappée de ma gourde.
Jentrepris alors de découvrir Lighthaven, et le premier lieu que je découvris, fut la banque. On voyait une sorte de grande pierre rectangulaire énorme devant sur laquelle étaient inscrites des lettres formant des mots que je ne comprenais pas.
Je voyais tous ces gens qui passaient sans cesse dans un déferlement de populace qui ne sarrêtait même pas pendant la nuit.
Je crois qua lépoque, cet endroit mavait fortement impressionné.
On pouvait voir des paysans, des jeunes aventuriers, mais aussi, de grands experts en magie, ainsi que de vaillants guerriers dans leurs armures brillantes. Les uns ne se souciaient pas des autres, et chacun vivait sa vie mélangé à la populace dans lindifférence totale.
Continuant ma promenade dans les rues de Lighthaven, je tomba sur une imposante battisse. Je demandais à un passant ce que cétait, et il me répondit et sesclaffant que cétait le temple de Lighthaven. Je compris par la suite le pourquoi de son rire lorsque je lui posa la question.
Jentrais dans lénorme bâtiment et jy découvrais un prêtre et deux prêtresses. Ils étaient tous trois entrains de prier ; je découvris plus tard quils priaient Artherk
un dieu auquel je consacrais ma vie plus tard.
Lorsquils finirent leur recueillement, je me permit de les interpeller et de prendre conseil auprès deux, et ceux ci morientèrent vers le Samaritain de la ville.
Il se rendit dun seul coup compte de lheure avancée de la nuit a pausa la plume sur le livre. De celle ci coula une goutte dancre qui alla tacher la page sur laquelle il écrivait. Heureusement elle naffecta aucune partie déjà écrite.
Par Ubica le 19/1/2002 à 23:09:03 (#746587)
Oui vous allez me dire, le truc sur la mana c du délire, je le sais. Par contre si quelqu'un me dit que le BG de t4c etait different, je modifirais les erreurs :)
Par Bruyere le 19/1/2002 à 23:30:15 (#746743)
*Repondra des qu'elle aura fini :)
Par illuvar le 19/1/2002 à 23:55:29 (#746933)
* Attend la suite *
Par Ubica le 20/1/2002 à 0:05:47 (#746997)
Par TitPlume le 20/1/2002 à 13:46:03 (#749304)
Par Princess Secoia le 20/1/2002 à 15:25:13 (#750173)
=)
Par Ubica le 20/1/2002 à 19:56:46 (#752514)
Par Grylm le 20/1/2002 à 20:07:06 (#752598)
Ubi..... ne laisse pas ton maitre et ami dans l'étât que représente l'attente hihihi
Continu mon ami, ton histoire aidera plus d'un !
Grylm
Grand Émissaire de Iago absent pour cause de mortalité...
en loqurance.... la sienne ;-)
Par Ubica le 25/1/2002 à 23:15:44 (#787280)
Il sortit son "livre" qu'il ne quittait désormais plus et commenca a ecrire:
Le prêtre, dans un grand discours oratoire ponctué de grands gestes et autres exclamations, mapprit que hors des villes sévissaient tout un tas d « animaux » allant du simple et bête Gobelin au Kraanian, a mille pattes en passant par la Guêpe Géante ou lorque sorcier. Il me raconta aussi que dans les bois proches des sorties des villes se cachaient des brigands, des assassins et des voleurs de grand chemin qui nattendaient que la nuit pour sattaquer aux moins forts ou aux différents convois marchands qui se seraient trop attardés.
Du haut de mes dix-neuf ans je ne prenais pas les paroles du vieux prêtre qua moitié au sérieux, me croyant hors de tout danger. Pour je ne sais quelle raison jétais bien prétentieux et me croyais plus fort et plus malin que tous.
Je quitta ainsi le temple sans vraiment savoir quoi faire et décida de visiter la ville.
"Deuxieme Partie: Lighthaven et la pierre de vie."
En sortant du grand édifice religieux je me dirigea, au son des voix, vers la droite ou je découvris une sorte de place marchande où lon voyait un vendeur darmes de différentes qualités et une échoppe tenue par un couple de commerçants. Le mari vendait des armures et des protections pour le combat, tendis que sa femme vendait divers filtres de guérison ou des potions de mana. Bien quil ne me restait que très peu dargent je décidais dacheter lune de ces potions pour la goûter. Des que jeu avalé une goutte je me rendis compte que le grossiste avait vendu à ces pauvres commerçants du mana DIstokrid dilué avec je ne sais quelle autre solution (je découvris plus tard, lorsque jarriva à SS, que toutes les potions de mana de Goldmoon nétaient pas truquées : à la capitale on appelait ces potions élixirs et leur pouvoir magique était bien supérieur a celui des potions quon trouvait sur Arakas). Outré par larnaque que subissaient ces marchands je leur expliquais quon les trompait sur la marchandise, mais malheureusement ceux-ci ne me crurent pas et jabandonnais mes tentatives dexplications au bout de deux heures de discussion et de débat enflammé ; il faut croire que ça touchait a leur honneur de bons commerçants.
La place étant bondée de monde, je décida de méloigner et de poursuivre ma visite de la ville.
Je passais donc devant la taverne ; où je découvris de fabuleux spécimens dabsorbeurs dalcool qui finissait par sortir du bar aidés dun coup de pied aimable du tavernier. Et alors, en poursuivant ma route, je découvris une chose qui marqua mon esprit pour le restant de mes jours : un Dragon ! Darkfang était là, reposant dans son enclos, magnifique, sage, calme et en même temps plein de fougue. Il bougeait lentement ses ailes, et malgré son age avancé, on apercevait encore de la fumée grise-blanche sortir de ses grandes narines. Je tournais alors, admiratif, autour de lui essayant à plusieurs reprises de poser une main sur sa peau écailleuse et dure, à lapparence indestructible. Me voyant le disséquer des yeux, il minterpella avec une voix à faire trembler la montagne :
"Que veux-tu petit homme ?"
Surpris quun être de sa noblesse prête une quelconque attention à un humain, je balbutiais quelques mots :
"J
Je nai jamais vu de dragon de ma vie
excusez-moi de vous déranger noble personnage".
Il avait remarqué mon pauvre accoutrement, et dun seul coup il me dit :
"Voyez-vous ce tas dor près de moi ?"
Je répondis oui.
"Prenez en exactement deux cent. Si vous essayez den prendre plus, je le remarquerais tout de suite et je ne préfère même pas vous raconter dans quel état vous rentreriez chez vous."
Je compta scrupuleusement cent quatre vint cinq pièces afin dêtre de ne pas en avoir pris trop. Lorsque jallais les mettre dans ma besace Darkfang me dit :
"Jeune homme, javais dit 200 et 195. Prenez les cinq pièces restantes qui vous étaient destinées et disparaissez de ma vue, avant que je ne perde patience."
"Merci grand ailé, si je puis faire quelque chose pour vous dites le moi"
"Vous mavez lair bien fragile et peu expérimenté. Entraînez vous et revenez me voir."
Ces paroles me mirent hors de moi.
"Moi faible ?!"
Japerçut au loin un gobelin.
"Voyez-vous ce monstre là bas, de lautre coté du pont ? Je vais le ramener et vous prouver ma force !"
Je partis donc et passa devant le cimetière. Japerçut près de lentrée de la crypte un ou deux squelettes à laspect très effrayant, et ce lieu me repoussa au plus haut point ; une odeur de mort et de cadavre en décomposition empestait tout autour du cimetière.
Je passais par le petit bois et arrivais au pont où javais vu le Gobelin. Celui-ci nosait traverser le pont et prenait un malin plaisir à massacrer des arbres à laide de sa hache. Un geste totalement gratuit, car après en avoir amoché un il le coupa à la base du tronc et le laissât pourrir au milieu des feuilles mortes. Je linterpellais et le menaçais mais celui ne répondit que par un grognement et sélança sur moi une dague a la main.
Par Katlinea le 26/1/2002 à 0:28:30 (#787911)
Par Ubica le 26/1/2002 à 17:50:16 (#792401)
Jévitais ce premier coup en plongeant à terre. Je ramassais une branche assez grosse pour pouvoir le blesser, me relevais et me mit en position de combat, prenant solidement appui sur mes pieds. Au début de la bataille je réussis à lui assener quelques coups mais sans toute fois le blesser assez sérieusement. Ma faible expérience du combat et mon manque dendurance commençait vite a se faire sentir. Mes jambes avaient déjà du mal à me porter tendis que lenragé continuait à mattaquer. Bientôt toutes ses attaques matteignaient et mon corps ne mit pas longtemps être mutilé en tous membres. Alors que je gisais à terre sur le ventre le Gobelin sapprocha, souleva ma tête par les cheveux et plaça son arme sous ma gorge. Alors que celui-ci sapprêtait a machever jentendis une puissante voix féminine et celle-ci prononça quelques mots que je ne comprit pas.
En une fraction de seconde je sentis la pression sous ma gorge se relâcher et ma tête, qui nétait plus tenue, retomba durement sur le sol. Totalement meurtri et sans forces je ne put même pas relever ma tête qui a ce moment me paraissait peser une tonne. Je sentis une douce mais orienter ma tête sur le coté et un flacon me fut placé sur les lèvres. Des que jeut avalé les premières gorgées, je sentis une force parcourir mon corps. Je ne parvenais quand même pas à me relever. Alors que je ne sentais plus la main posée sur ma tête, je prit peur et jessayais de rappeler cette personne. Mes lèvres prononcèrent « Aidez-moi » deux fois avant de ne pouvoir être mues. Pendant quelques secondes je crut quon me laisserait ici agoniser et que sen serait terminé de mon aventure. Mon sang coulait a flot, je le sentais ruisseler sur mes bras, mes cuisses et mon dos. La voix se fit réentendre mais dans un ton bien plus calme, doux et bienveillant. Je ne comprenais toujours aucun des mots prononcés. Tout dun coup je sentis toutes les plaies de mon corps se refermer et un sang neuf et frais parcourait maintenant mes veines. En quelques instants je retrouvais mes forces et put me hisser jusqu'à un arbre sur lequel je mappuya.
Je me retournais et découvrit une assez jeune femme dont la robe, dun noir profond, sculptait les formes parfaites. Son visage, dont la peau était dune rare pureté, respirait le bonheur. Elle parla :
"Eh bien, on dirait que vous lavez échappé belle."
"Oui et grâce a vous dame. Je ne sais comment vous remercier ; sans votre intervention je serais assurément en morceaux au fond de lestomac de cette créature."
Le cadavre éclaté du Gobelin gisait non loin.
"Nen faites rien, je me plais à aider ceux qui sont dans le besoin."
Ainsi nous discutâmes pendant près de deux heures et jappris quelle sappelait Zania.
Commencent une nouvelle vie javais abandonné mes nom et prénom paternels et décida de mappeler « Ubica » . Apres avoir discuté elle dut prendre congé de moi, car malheureusement, nombreuses étaient les personnes qui avaient besoin de son aide. Elle me donna plusieurs conseils avant de me quitter dont celui de retourner en ville et daller parler au prêtre.
Cest ce que je fis immédiatement et en passant devant Darkfang je mattendais a une moquerie de sa part, mais non, celui-ci me suivit juste du regard.
Je revenais donc en ville et entra dans le temple.
Le prêtre maccueillit à nouveau à bras ouverts et je lui conta ce qui métait arrivé plus tôt. Il se leva alors et alla chercher une boite dor massif quil posa sur son bureau. Il louvrit et japerçut plusieurs pierres violacées taillées exactement de la même manière. Il en sortit une et la posa devant moi.
"Ceci est une pierre de destinée. Sa seule et unique fonction est de vous téléporter a votre sanctuaire dans les moments difficiles, juste avant que le dernier souffle de vie ne vous quitte. Prenez la, je vous loffre.
Je vous laurais donnée la première fois que je vous ai vu mais vous êtes parti si précipitamment."
Il effectua ensuite un court rituel afin que mon sanctuaire soit celui de Lighthaven.
Je prit la pierre et la rangea soigneusement dans ma veste à labris de tout vol.
Le prêtre me redit alors daller voir le Samaritain, et que celui ci aurait une tache a me confier et échange de quelques pièces dor.
Je prit congé du prêtre et sortit du temple a la recherche de ce personnage.
Par Ubica le 26/1/2002 à 23:57:43 (#795856)
Soyez patients (tout le monde s'en tappe je sais, mais ca fait biens ds une phrase comme celle là) la suite arrivera bientot sur le forum :p)
Par Ubica le 27/1/2002 à 23:52:17 (#804638)
Par Celebrindal le 28/1/2002 à 9:23:21 (#805937)
c'est pas encore assez rapide :ange:
j'aime beaucoup Ubi alors depeche toi stp
:D
Par Nekros Shaytan le 28/1/2002 à 9:31:07 (#805962)
Par Celebrindal le 28/1/2002 à 13:12:14 (#806975)
*grand coup de pied*
oups désolée:D
Par Gabriel Thylin le 1/2/2002 à 22:35:58 (#834954)
[ Conrad > Merci, la bibliothèque?? :) ]
Vive la bibiliotheque *voix d'homer simpson* :D
Par Ubica le 1/2/2002 à 23:00:01 (#835182)
Par zania le 6/2/2002 à 19:42:56 (#875485)
:)
Par illuvar le 7/2/2002 à 13:00:11 (#878796)
JOL Archives 1.0.1
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