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[Poème] Je te laisse partir
Par La petite voix le 18/1/2002 Ã 7:26:10 (#735741)
Tu m'as toujours dit que tu voulais un monde meilleur
Et tu sais que je n'ai toujours voulu que ton bonheur
Mais ce monde que tu cherches est si loin de moi
Même si nos coeurs seront ensembles où que tu sois
Je veux te retenir
Je me le refuse
Puisque c'est ton désir
J'en serai confuse
Je connais tes raison, je sais tout ce que tu vis
Je te comprends malgré ce que j'ai toujours dit
Que si tu partais je me ferais morte sans me tuer
Que je gâcherai ma vie à me laisser aller
J'ai réfléchi
Et malgré moi
J'ai compris
Ton pourquoi
La vie que tu cherches je ne sais si tu la trouvera ailleurs
Mais en tout cas tu veux à tout prix trouver meilleur
Je ne sais pas comment je pourrai te dire adieu
Car si tu pars on ne se reverra seulement aux cieux
Puisque tu pars
Pour mourrir ailleurs
D'un voile je me pare
Pour avoir moins peur
Je voulais tant que tu me gardes davantage dans tes bras
Car ainsi blotti que me sentait protégée de quoi que ce soit
Mais la vie en a décidé ainsi, si tu restes tu péris
Je préfère que même loin de moi tu souris
Je te laisse partir
Pour trouver meilleur
Echapper au pire
Eviter les pleurs
Par Lhylith le 18/1/2002 Ã 8:52:49 (#735917)
Par Caolie le 18/1/2002 Ã 13:30:59 (#737234)
Par Enthoniel Ezeil le 18/1/2002 Ã 13:43:32 (#737315)
Admiratif !
Par Amn le 18/1/2002 Ã 14:12:46 (#737500)
Continue j'adore .. meme si celui la est vraiment trop triste
Par Eriana Vecna Gs le 18/1/2002 Ã 14:17:30 (#737536)
Juste a écouter
Pour ensuite pleurer
Par Alanis le 18/1/2002 Ã 17:01:55 (#738514)
Très...émouvant.
Par Lisath Terra le 18/1/2002 Ã 17:09:29 (#738558)
:(
:sanglote:
Par La petite voix le 18/1/2002 Ã 19:38:15 (#739493)
*Continue sur sa lancée*
Tu es encore là à vivre auprès de moi
Immuablement souriante et gaie
Comme si de rien n'était
Que tout était joie
Si je ne savais
Que ce visage souriant
N'est qu'une façade cachant
La tristesse que tu m'as avoué
Je te regarde vivre comme d'habitude
Mais l'inconscience que j'avais
En connaissant tes pensées
Je l'ai perdu de façon rude
Je ne te prenais pas au sérieux
Pourtant tu me parlait de départ
D'un ton grave du petit matin au soir
Vers de meilleurs jour pour tous plus heureux
Tu veux le mien de bonheur aussi
Mais je le voulais auprès de toi
Mais je comprend ton choix
Changer ainsi ta vie
Je ne veux pas me reveiller
Avoir une impression de vide autour de moi
En vain dans tous les alentours te chercher
Sachant pourtant qu'inexorablement tu n'es plus là ...
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