Fable (dédiée à Karlin Krieg)

Par Averoes Landis le 10/1/2002 à 16:41:10 (#693944)

Il était une fois un homme solitaire
Qui cherchait désespérément l’âme sœur
Mais il enchaînait lamentablement les revers
Et ne trouvait jamais le bonheur.

Malgré les fameux conseils d’un druide
Toujours il errait malheureux.
Il embrassait ses chimères dans le vide
En rêvant à un mariage fabuleux.
Mais rien n’y faisait et plus il s’entêtait,
Plus de lui les femmes s’éloignaient

Il essaye alors une autre vie
Il voulut devenir un végétal
Un arbre exotique, et devinez ce qu’il choisit ?
Un bananier, avouez que ce n’est pas banal !

Son art du camouflage en trompa plus d’un
Malgré un défaut dû à la petite taille
Du fruit succulent qu’il voulait sien
Et qui ressemblait plus à une vulgaire paille.
Heureusement sa bonne humeur ne l’avais pas abandonné
Et le nombre de ses amis s’élevait à plusieurs milliers

Alors à la fin il partit,
Laissant triste tous ses frères,
Pour mener une nouvelle vie.
Mais qui va animer le cc Bol d’Air ! ?

Par Cyran le 10/1/2002 à 17:19:14 (#694160)

Le grand talent d'Avoroes à la rime
L'espace d'un instant nous fait sourire
Rendant quelque peu plus infime
La tristesse de ne plus voir celui qui nous fit tant rire.

Par Karlin Krieg le 10/1/2002 à 21:56:14 (#695847)

Il était une fois un guerrier
On se demande encore ce qui lui prit
Se prenant à penser
Bien inspiré que notre ami

Il décida un beau soir
D'un coup de bras balayer
Tout un pan de son histoire
Encore une lumineuse idée

Devant certaines manifestations
Cette belle tête de pioche
Se remit à creuser bien profond
Dans sa petite caboche

Mon cher CC bol d'air
Que deviendras-tu
Moi qui t'ai fais sortir de terre
Qui t'ai forgé une vertue

Et toi cher culte brehanite
T'es tu encore égaré
Je souhaiterais tant être là
A l'heure de ta maturité

Une nouvelle idée de génie
Ce n'est pas peu de le dire
Vint à germer dans son esprit
Et il s'empressa alors d'écrire

Lisen toi seule peut m'aider
Toi seule détiens les pouvoirs
Que je voudrais utiliser
Pour réecrire mon histoire

Son appel fut écouté
Et dans un sourire non feint
Il vit son post d'adieu cadenassé
Par cette manipulatrice du destin

Pour conclure je vous dis
Pretextant ce dicton
Seuls les imbéciles ne changent pas d'avis
J'ai bien retenu cette leçon.

Par Maxx le 10/1/2002 à 22:01:10 (#695873)

:D Wouaaaaaaaaaa trop fort :p