L'apel du large

Par Fighter le 3/1/2002 à 19:47:11 (#656991)

Le flux et le reflux de la mer sur la plage
Un nephilim un peu plus loin, adossé dans l'ombre d'un arbre qui regarde l'horizon
Tout est calme. Comme toujours
Trop calme au goût de l'assassin
Il regarde l'horizon. Combien de combat l'attendraient la bas?
Ici se battre était devenu si morne... toujours les mêmes ennemis
Lassant
Qu'est la vie sans ce feu qui parcourt les veines du corps lorsqu'on danse avec la mort?
Une femme... une famille
Il ne pu retenir un rire à cette pensée
Sa famille... pas l'un pour ratraper l'autre
Fanzine... de vagues nouvelles puis plus rien
Par les neufs enfers!!! lui s'atacher à ce genre de choses? ridicule!!!
Pourtant il était toujours là
Il aurait pu partir n'importe quand. Il le pouvait toujours... Une bourse d'or, peut etre deux et finis la vie sur ces trois bouts de rochers puants.
Pourtant, il était toujours là
Par Ogrimar! il se ramolissait. Qu'était il sans ses lames refletant la lumiere de la lune les nuits où il sortait ? Qu'était il sans ces murmures, ces conspirations dans l'ombre, sans pions à deplacer... Vraiment il devenait mou, trop mou
Ses pensées moururent avec le jours
Restait l'appel lancinant des vagues

Par Elrond Alantis le 3/1/2002 à 20:46:35 (#657258)

:lit: :lit: :lit:

Par Virgill Log le 3/1/2002 à 21:02:21 (#657330)

:chut: :chut: :lit: :chut: :lit: :chut: :chut:

Par Tristesse le 4/1/2002 à 2:31:48 (#658606)

:lit: :(

Par Estrella le 4/1/2002 à 3:59:24 (#658742)

:lit: :)

Par Fighter le 4/1/2002 à 16:08:49 (#661074)

( petit paf )

Par Maiter Edden le 4/1/2002 à 16:12:45 (#661096)

gros paf fifi :D
tres zolie en passant :)

*Dans les profondeurs d'une grotte*

Par Fanzine le 6/1/2002 à 20:05:37 (#674963)

Aurait-Il oublié le chemin de paradis ?

Toujours les mêmes gestes.
Inlassablement.
Toujours le même regard.
Souriante.
Toujours les mêmes pensées.
Secrète.

Douces caresses d’une fleur envoûtante.
Doux regard d’une mère aimante.
Douces pensées d’une femme esseulée.

Pour ce petit Être endormis paisiblement.
Pour ce bel Ange aux cheveux de geai.
Pour un Amour au regard de braise.

Douces pensées voguant au grès du Temps.
Doux regards volant au grès du Vent.

Et la Mer les berçait, mélopée lancinante.
Et la Lune les réchauffait, caresses furtives.
Famille heureuse, à qui un Être manque.

Le jour viendrait, où ils se retrouveraient.
Ce jour viendra, où ils réapparaîtraient.

Bientôt, très bientôt...
Et MorLòkh, serein, suçait son pouce.

Par Fighter le 7/1/2002 à 1:39:35 (#676666)

( joli fanfan :) )