Archives des forums MMO/MMORPG > La 4ème Prophétie > T4C - Caern-Sidhe > séquence luminaire
séquence luminaire
Par Bleiz Tad Koal le 22/12/2001 Ă 21:49:58 (#599587)
:aide: :rasta: :monstre: :aide:
Par Moire le 22/12/2001 Ă 21:54:04 (#599604)
Par Bleiz Tad Koal le 22/12/2001 Ă 21:56:47 (#599616)
Par Moire le 22/12/2001 Ă 22:24:24 (#599768)
Par Bleiz Tad Koal le 22/12/2001 Ă 22:27:02 (#599788)
ternaire et déliée...*
Par Bleiz Tad Koal le 23/12/2001 Ă 4:08:02 (#600631)
Par Bleiz Tad Koal le 23/12/2001 Ă 4:15:16 (#600637)
Par Vlad Drakov le 23/12/2001 Ă 5:03:30 (#600668)
quand on penses en terme de nappes
Le rire ne peut détruire
sa drole de sensation ni satisfaire notre étrange désir
Des enfants naîtront
Par Vlad Drakov le 23/12/2001 Ă 5:06:13 (#600672)
ces quelques haillons
et les dépose à tes pieds
Misérable témoin d'un jour de tragique tristesse et de doute
J'éspère que tu me trouveras en état de manque
Mets-moi au lit
Enivre-moi(lay me out)
Par Gilthanas le 23/12/2001 Ă 13:06:57 (#601270)
Continue, t'es le plus beau
Enivre nous, encore
Tout ça, bien sur, jusqu'a notre mort
Par Bleiz Tad Koal le 23/12/2001 Ă 14:02:58 (#601410)
suive la voie d'une nudité exemplaire,
ni éprise ni reprisée...
Par Vlad Drakov le 23/12/2001 Ă 16:57:30 (#602095)
Avec des yeux ternis
Tu vois le temps s'enfuir
Le visage s'altère tandis que le coeur bat
et respire
Nous ne sommes pas stables
Nous sommes une flèche en vol
Le total de nos angles variables
Dans la voiture, son visage se métamorphose.
yeux, peau et cheveux demeurent
les mĂŞmes.Mais cent filles
semblables se succèdent
Par Bleiz Tad Koal le 23/12/2001 Ă 17:40:44 (#602273)
Par Vlad Drakov le 23/12/2001 Ă 18:26:23 (#602489)
la sèvre coulera, coule
n'as-tu jamais sentis son parfum ?
erreur pardonnable, qui ne l'est point
Par Bleiz Tad Koal le 23/12/2001 Ă 18:32:01 (#602520)
Par Bleiz Tad Koal le 23/12/2001 Ă 20:00:20 (#602957)
Mais sans attaches au renouveau délié
Ce qui sera frĂŞle en moi
Me rattachera Ă toi par le simple et lÂ’unique,
LÂ’Ă©vidence, le souhait et le regret
Peut-ĂŞtre que cette nuit tu serais encore Ă moiÂ…
Mais il y a dix lunes que la vie mÂ’a dit au revoir
Tellement doucement que je l’ai cru droguée
Ses souffles étaient courts de notre âge bouleversé
Son rythme Ă©tait farouche, Ă demi-mot
Elle semblait une Ă©toile et je tÂ’ai vu venir.
Par Vlad Drakov le 23/12/2001 Ă 21:28:54 (#603440)
dans l'air muet, paraitrait
Ă©trange Ă un inconnu hors du commun
Comme cette main, qui ne serait nous guider
Au delĂ du commun des mortels
Mais c'est tout ce qui nous reste,
Maintenant qu'il est partit
ouvrons les portes,
la lumière nous attendra
Par Vlad Drakov le 24/12/2001 Ă 7:30:31 (#605320)
Ou sont les couleurs,
jadis riches, s'eclipsant aujourd'hui
en Ă©clat de rire joyaux comme celui
vivant dans sa maison,
cette prison,
sec comme de la viande, gueule de chien, inelligent,
tu disparais.
Par Bleiz Tad Koal le 24/12/2001 Ă 16:59:29 (#606790)
Dont les rets sÂ’effacent ,
Dons Ă lÂ’arrĂŞt
On ne sait ce qui, de ce qui te captive,
Te rend libre de tes travers
Et de tes chemins de traverse,
Ce qui tÂ’Ă©loigne de ta route
Par Bleiz Tad Koal le 24/12/2001 Ă 22:17:03 (#607808)
De naviguer quÂ’il me reste
Devrais-je sombrer dans la folie ?
Sans une once dÂ’Ă©chappatoire,
Devrais-je mÂ’accaparer ce qui de plus rien nÂ’existe
Subdiviser mes prophéties en latences de charme
Qui aiment l’attente à un point détourné
Croirais-je si je l’avais rencontrée,
Sans la contrainte dÂ’ĂŞtre ?
Par Vlad Drakov le 24/12/2001 Ă 22:23:23 (#607819)
Froideur de l'instant, présent,
Un ĂŞtre se transforme, en ces formes,
Une étoile, un souffle léger, je ments,
Mensonge véridique qui prend forme,
L'aliénation est-elle corruptible ?
Corruption de mon âme, par le tien.
Un simple geste, alors je m'Ă©teins,
Me consummant dans mes cendres
Une fin rêvée pour tout être humain,
Une vision déchirée, se fendre.
Tout est firmaments autour de lui,
Que fais-tu lĂ , je t'attends
Tu ne viens, peur de cette vision de nuit
Je me retire, tiré par ce chagrin d'antant.
Par Bleiz Tad Koal le 24/12/2001 Ă 22:56:20 (#607849)
Attire
Demande qu’on lui répète
Les sentiments en déclin
Comment les dire ?
Comment essayer
On croit en lÂ’unique,
Qui pourrait croître
On croit aux mains jointes,
Conjointes, jusquÂ’en leurs conflits
Mais pas vraiment de choix
Par Vlad Drakov le 25/12/2001 Ă 4:08:22 (#608279)
oĂą la recherche du conflit
qui existe dans l'epais brouillard,
qui est ta vie.
Par Bleiz Tad Koal le 25/12/2001 Ă 6:16:41 (#608383)
Une amertume,
Une médisance posthume
Et un reflet hagard
Et les cierges tournoient
Alors que les flammes
SÂ’aimaient
Par Vlad Drakov le 25/12/2001 Ă 14:01:07 (#608965)
mon âme,
flamme de l'eternel,
flamme de l'oubli.
Ma vie est un livre ouvert,
oĂą les vers,
se croisent, éphémères,
la dernière page est-elle blanche ?
Par Bleiz Tad Koal le 28/12/2001 Ă 17:18:57 (#623502)
Les ondes et les paysages parcourus
Le retiennent
Mais ne peuvent le retenir longtemps
Tant et si bien queÂ…
Comme la cruche,
Il se casse.
Par Bleiz Tad Koal le 28/12/2001 Ă 20:05:54 (#624271)
Sans savoir ce qui naîtra
Je suis à la feinte des charnières
Sans oser nier ce quÂ’il en adviendra
JÂ’ai fait quelques voyages
Aux orées des mondes et absences
J’ai tenté d’être stupide jusque dans la sagesse
Même si ce qui en découlait me renierait
Alors j’ai repris la route vers les orées
Jamais visitées
Celles que l’on ne me révèlerait plus
Par Bleiz Tad Koal le 29/12/2001 Ă 2:22:22 (#626220)
Que du doute
Quelque chose qui te fasse vaciller
Irrémédiablement engoncé dans l’escarre
Du voluptueux qui sera
De toute façon
Beaucoup trop loin
Rappelle-toi que tu lÂ’as vue
En dernier
Par Vlad Drakov le 29/12/2001 Ă 6:19:06 (#627077)
parcourant, sans fin,
ce lieu divin,
symbole de l'archarnement de certains.
Je n'oses pas imaginer ces lendemains,
Ă©closion du bonheur au creux de ta main.
Oui, oui, je me retire, dit le vieillard
rĂŞver n'est pas une solution.
Par Le grand Mione le 29/12/2001 Ă 10:00:33 (#627542)
Par Bleiz Tad Koal le 29/12/2001 Ă 17:55:17 (#629367)
*woooooooarg*
Par Bleiz Tad Koal le 29/12/2001 Ă 18:01:38 (#629403)
Avec tout juste ébranlé,
Le compagnon du doute
CÂ’est un regret ;
Il nÂ’a pas su signer le pacte
De sa jeunesse.
Par Bleiz Tad Koal le 29/12/2001 Ă 18:05:34 (#629426)
Je reviens aseptisé
Par les terres traversées
De part en part
Et qui saignent encore sur moi
Si les esprits abandonnent,
Les fantĂ´mes rejoignent
Ce que j’ai perdu me retrouvera-t-il avant échéance ?
Par Vlad Drakov le 29/12/2001 Ă 22:10:28 (#630742)
Ces esprits fantomatiques conjointement liés,
qui ne seraient, au gré de certains,
n'etre que le reflet du shaman indien,
pourraient en surprendre plus d'un.
Par Bleiz Tad Koal le 3/1/2002 Ă 19:45:44 (#656984)
Tu ouvrirais une porte dÂ’ombre pour me circonvenir
Et je t’en serais gré
Toi qui me sais factice, redonne-moi la naïveté
Qui se love au creux des jambes
Donne celle Ă celui
Qui sait ne pas exister
Par Bleiz Tad Koal le 3/1/2002 Ă 19:47:27 (#656994)
Qui te lie au passé
Ecritoire d’une vie légendaire
Et tu te retrouves seul,
La colline tÂ’envahit
Tu consacres lÂ’horizon
A des colères déjà défuntes…
Par Bleiz Tad Koal le 3/1/2002 Ă 20:09:20 (#657106)
Aux heures de lÂ’habitude
Pour rĂŞver intangible
Et poursuivre dans un autre coin de monde
Une petite qui se leurre seule
Et lÂ’heure, seule, sÂ’Ă©coule
Sans savoir jusquÂ’oĂą aller
Par Bleiz Tad Koal le 3/1/2002 Ă 20:53:06 (#657285)
Tu charges et tu accables
Tu vacilles et tu trembles
Et tu nÂ’entends plus rien
Mais quÂ’est ce qui te fait survivre,
QuÂ’est ce qui te ferait revivre ?
Je vois ton bateau
A sa proue, le Grand Meaulnes
Je pressens ton naufrage ;
Et jÂ’ai peur
Par Bleiz Tad Koal le 3/1/2002 Ă 20:58:04 (#657308)
Elle le saurait, non ?
Elle saurait Ă quoi et Ă qui
Elle a préféré ses jours
Pourquoi elle a transformé le diurne en offrande
Et les nocturnes en mélodies
Elle saurait oĂą elle a dormi
Jouée avec son sommeil
Avec la fidélité de ses mondes
Elle saurait jusquÂ’oĂą elle irait
Sans personne et sans gĂŞne
Et elle saurait ce quÂ’elle aurait appris
Si elle Ă©tait seule,
Ca se saurait, hein ?
Par Bleiz Tad Koal le 3/1/2002 Ă 21:06:04 (#657344)
Et un troisième suspect
Qui se compare Ă lÂ’adoration des pandores
Mais les pandores se font toréer
Ou subissent en faction, la torréfaction
Et le suspect se dore lapis-lazuli
L’azur étant livré à domicile, aujourd’hui
Par Bleiz Tad Koal le 3/1/2002 Ă 23:23:56 (#657927)
Me sent le dernier lié
Le dernier nié
Et que peut valoir la honte
Dans ma bouche infâme
Qui titube de mot en mot ?
Mais on me cherche ?
Peut-ĂŞtre me recherche-t-on ?
Mordoré ou vif-argent ?
Veule aux mains alarmées
Par Vlad Drakov le 4/1/2002 Ă 9:06:37 (#659032)
pour réaliser tes pires cauchemars
la déesse fourbe te dévisage,
visage de la réalité, réelement véridique,
rencontre cosmique de deux ĂŞtres,
mariage de la chair et de l'esprit
dans un seul corps.
Par Bleiz Tad Koal le 5/1/2002 Ă 18:05:13 (#667685)
Se met un jeu, obstiné
Un labyrinthe de croyances intimes
Et ses nuages portent la trace d’une honte cernée
Par des nuits sans erreurs, et sans compréhension
Quand le doute nÂ’a plus aucun futur
Plus aucune aliénation
Et qu’il recroqueville l’arène
Pour seul prix du jeu
Il reste le sable qui seul boira tout son saoul
Par Bleiz Tad Koal le 5/1/2002 Ă 18:16:08 (#667755)
Engoncé dans le lever d’un seul œil
Une poigne soyeuse qui happe le passé
Vraiment, aller si loin
Sans mĂŞme savoir survivre
Â…
c’est une négation blafarde
une abnégation sans fard
est-ce une invitation ?
Par Bleiz Tad Koal le 5/1/2002 Ă 18:33:29 (#667860)
Dissimulé entre deux peurs
Parce que la lumière faiblit
Que le précieux se ment
Perdu dans une non-direction
Sans conviction ou orage
SÂ’Ă©croulant dans une mer
Qui ne permet pas la nage
Porte en toi les parangons du départ
Et repais-toi d’une destination flouée
Et si floue quÂ’il serait vain dÂ’y attendre
Sanguine et métissée tes lippes et tes danses
Par Bleiz Tad Koal le 5/1/2002 Ă 18:42:39 (#667908)
Sans attente
S’enlise et sans représailles
Se dégrise d’une ivresse oubliée
La fille qui hésitait à l’origine
A l’originel, à l’origine hâle
Qui drapait de vindicte le suaire
Des tâches d’étreintes sur le suaire
En troublaient la provenance et le destin
Par Bleiz Tad Koal le 5/1/2002 Ă 19:21:13 (#668181)
NÂ’importe oĂą consacrant des aveux
Inertes et pantelants
En un temple de débris et reliques saintes
Ou en un cours dÂ’eau qui propage le poison de la croyance
Dévouée et pourtant indécise
Sa forme de folie mÂ’est une jonque
Et je ne m’en guéris pas
Par Bleiz Tad Koal le 5/1/2002 Ă 19:31:44 (#668245)
Infantile dans la maison dévastée
Il suit une petite thérapie
Il suffirait quÂ’elle se repaisse
Pour que ses armes lasses se déploient
Et sÂ’Ă©crasent sans envol
Il lÂ’avait suivi si longtemps
Il lÂ’a perdu sans rien dire
Par Bleiz Tad Koal le 5/1/2002 Ă 19:34:52 (#668268)
Un rocher, une escale, une peinture
Pour l’ignorer des aimants desséchés
Des amants résiduels
Qui se reposent, en paix
En attendant le réveil qui affadit
Pour lÂ’ignorer
Inspirer fort et respirer deux ères
Pour lÂ’ignorer des choses dites
Et traînées au fil du rasoir
Ceux qui choisis, se reposent haletants
Sentent le couteau se repaître
Par Bleiz Tad Koal le 5/1/2002 Ă 19:42:45 (#668317)
Dans ce qui résonne aux oreilles
SÂ’installer, trouver petit angle adroit
Petite sangle Ă©troite
Et tutrice en la vie
J’ai demandé au petit chose
Si il savait rejeter
Si il savait raser les murs
Et faire chanter les barbelés
Il nÂ’a jamais grandi,
CÂ’est tout ce quÂ’il mÂ’a dit
Par Bleiz Tad Koal le 5/1/2002 Ă 20:07:04 (#668440)
Et sans offense parmi les hommes
Fruit de faĂŻence
Infidèle à l’imparfait
Car Ă©vanescence distraite
Elle fait croire le froid
Le soleil et le hasard
Les incertitudes et le bruit
Par Bleiz Tad Koal le 5/1/2002 Ă 20:27:21 (#668596)
Le drĂ´le de jeu
Et les grolles de sept lieues
En dessous desquelles
Les contrées adhèrent en terres concises
Et enterrent les jeux qui envolaient
Par Bleiz Tad Koal le 6/1/2002 Ă 18:36:58 (#674518)
Piété qui se ment à chaque réveil et s’endort bien avant le sommeil
Dans les poussières les plus abandonnées des demeures bancales
Ta pitié ronge un couple de gênes étendus dans l’ancienneté
Ne sens rien, je mÂ’en retourne sans rien
Juste une saveur minuscule, envolée
Par Bleiz Tad Koal le 6/1/2002 Ă 18:39:06 (#674528)
Pour un au-revoir sans baiser
Sans Ă©treinte et sans appel
Je me suis engoncé dans la nuit
Comme on s’enfonce dans les ténèbres risibles
Enfoncé dans la mouvance terne
Des eaux falsifiées
De la berge mes pas se voulaient si discrets
Déguisés en décors ravinés
Et lÂ’eau me montait au sang
Mon nom se perdait avant moi
Pour que je nÂ’aie plus conscience des fleurs
Et des ombres savantes,
Des zébrures d’un cri ou d’une chambre partagée
Je savais encore acquiescer
M’a t on appelé une dernière fois ?
Par Vlad Drakov le 6/1/2002 Ă 19:29:19 (#674798)
Ce troupeau de vision est ma flamme.
Arbre de l'amour où coule une sève en détresse,
Feuille de l'invisible, tombeau de mon âme.
Traquer l'intru, bercé par cette haine,
Piégé par cette torpeure matinale,
Je ne saurais suivre cette âme en peine,
Qui a dit que la mort Ă©tait fatale ?
Par Bleiz Tad Koal le 6/1/2002 Ă 21:35:55 (#675430)
Se répand avec une brume opiniâtre
On lÂ’accueille et les cieux sont ouverts
La mettre Ă la porte cÂ’est condamner la sortie
En avoir assez cÂ’est griser les orages et les sources
Lui être infidèle c’est vouloir lui ressembler
Par Bleiz Tad Koal le 6/1/2002 Ă 21:38:32 (#675445)
Demander le pardon se fait lancinant
Triste de décombres
Des pleurs en bruines
Des brins de vie en berne
Sans ressemblances
Sans sève
Le corps sÂ’Ă©meut pour pas grand chose
Et n’en ressent guère plus
Des dialogues sans regards
Accablés et déjà ad patres
Avant que de n’être formulés
Mon ombre et ma peine ;
Puisses tu scintiller
Par Bleiz Tad Koal le 6/1/2002 Ă 23:28:55 (#676048)
Meus toi sarclé en cercles d’escarres
Si ça fait trop mal il reste le labour
Ces circonvolutions te conviennent-elles
Ou te circonviennent-elles ?
Raconte-leur la jachère de ton corps
Donne leur tes liens Ă resserrer
Et une Ă©treinte Ă choisir
Le contrepoint est ton choix, culminant
Par Bleiz Tad Koal le 6/1/2002 Ă 23:34:53 (#676092)
Ses visions de nulle part
Et ses cristaux intimes
La liberté sans ambages
Qui se risque Ă tous
Et se dévêt sans bruit
Facile et éphémère
Si elle perdure c’est qu’elle renaît sans cesse
On dirait une jeune fille qui te ressemble Â…
Par Bleiz Tad Koal le 6/1/2002 Ă 23:45:22 (#676155)
Sans lumière
Dans une langue déchirée
Des guenilles psalmodiées
Une flaque rieuse
De lÂ’eau jusquÂ’au sourcils
SÂ’il nÂ’y a plus que cela dans ton regard
Va marcher très loin,
Et, infiniment,
DÂ’un pas infime
JÂ’irai conserver ton regard
Pour te l’offrir échangé avant tout, comme un vaurien sûr de toi,
Et tu riras
Par Bleiz Tad Koal le 6/1/2002 Ă 23:49:12 (#676180)
Et saigne en catimini
Des tentacules la prennent en pitié
LÂ’enserrent au-delĂ de son souffle
La musique voudrait sortir,
Elle se meurt dÂ’abstinence
Et elle fuit, par sauvegarde
Ou trop effrontée pour se pervertir à donner le change
CÂ’est pas vraiment que je te chante Â…
Mais tu résonnes…
Par Vlad Drakov le 7/1/2002 Ă 7:17:06 (#677383)
tu n'as alors plus aucunes raisons,
raisonnances parcourant ton ĂŞtre fourbe.
Fourberie de l'instant présent, sans instinc.
Par Vlad Drakov le 7/1/2002 Ă 7:22:12 (#677388)
-Oui, c'est ce que l'on dit par ici mon brave.
Mais l'imagination de certains semble ternaire.
Focalisation, demonstration et paysages ...
poussiéreux.
-Vieux fou, l'hérésie dê ton âme est comprométante.
-Certes, mais qui a dit que la folie n'Ă©tait pas pertinante ?
Par Bleiz Tad Koal le 11/1/2002 Ă 20:26:04 (#700835)
Comme se rendant compte, un matin
D’une défloration douloureuse
Dans lÂ’importance des choses il y a encore la perte
Et les jours défilent
Et les journées se défilent pantelantes
Diminuées et sans espoir
Par Vlad Drakov le 11/1/2002 Ă 22:28:19 (#701640)
mélange subtil d'union et d'aversion,
une averse de pleurs,
un mélange des couleurs,
jaillassant de tes mains,
en ce doux matin.
Les idéaux nous échappent,
comme anguille sous roche,
tentons de rattraper le temps perdu
chose aisée pour toute personne ayant vécue.
Par Bleiz Tad Koal le 15/1/2002 Ă 21:15:21 (#723074)
(Bob Dylan)
Go away from my window
Leave at your own chosen speed
I'm not the one you want, babe
I'm not the one you need
You say you're lookin' for someone
Who's never weak but always strong
To protect you and defend you
Whether you are right or wrong
Someone to open each and every door
But it ain't me, babe
No, no, no, it ain't me babe It ain't me you're lookin' for, babe.
Go lightly from the ledge, babe
Go lightly from the ground
I'm not the one you want, babe
I will only let your down
You say you're lookin' for someone
Who will promise never to part
Someone to close his eyes for you
Someone to close his heart
Someone who will die for you and more
But it ain't me, babe
No, no, no, it ain't me babe
It ain't me you're lookin' for, babe.
Go melt back into the night
Everything inside is made of stone
There's nothing in here moving
And anyway I'm not alone
You say you're looking for someone
Who'll pick you up every time you fall
To gather flowers constantly
And to come each time you call
A lover for your life and nothing more
But it ain't me, babe
No, no, no, it ain't me, babe
It ain't me you're lookin' for, babe.
:aide: :rasta: :monstre: :aide:
Par Bleiz Tad Koal le 15/1/2002 Ă 21:20:24 (#723094)
Sûrement sans savoir que tu m’émeus
Et que ça me coûte à chaque instant
De faire comme si rien nÂ’existait plus
Que ce que je cherche est déjà un requiem façon blues maudit
Et que ce que je te donne est jeté en pâture aux marges de la page
J’ai ta rosée
Aux orées
De chacun de mes tissus Ă©rectiles
Et certainement bien pire
Et si ce nÂ’est pas certain, cÂ’est encore plus par toi
Par Bleiz Tad Koal le 15/1/2002 Ă 21:29:45 (#723132)
Il a bien du rire
Comme une mer dÂ’infortune
Qui réalise la rive à l’attouchement
Ouaip il a bien du rire
Sans gĂŞne et sans sensation
Te boire et te rendre si nue
Qu’un champ de liberté à l’horizon
Contraigne tellement quÂ’on puisse lui
Donner son sang,
Sans rien dire
Il nÂ’y a pas vraiment de sagesse
Ou dÂ’errances pour se faire pardonner avec toi
Et tu nÂ’est mĂŞme pas vaniteuse
Ou une chance dÂ’apparat
Si lÂ’on te tient la main il faut savoir se risquer
Un risque qui brûle, qui change la façon de marcher, de respirer, et de moduler l’air
Il n’y a que la musique qui peut absoudre avec toi, et puisque préférer la fosse aux lions c’est tellement peu, il n’y a que ta façon de percevoir, tes battements, j’oscille, et tes pulsations, je renâcle, qui peut donner le change afin de n’y rien changer, mais reste juste encore un peu, juste au-delà d’une vie, et j’aurai un sentiment imprécis à explorer et à léser de parure nos galaxies qui se rétractent.
Par Bleiz Tad Koal le 17/1/2002 Ă 19:15:57 (#733182)
Et que je ne peux ĂŞtre certain que cÂ’est moi
On dirait que je me suis abaissé jusqu’à l’encens volé,
Et que le mausolée n’abrite qu’une façade de plus
Est-ce que je vole tes facettes, tes fossettes,
Est-ce que je survole lÂ’existence sans cette phrase,
Eclose
Qui nourrissait lÂ’allaitement
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