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Baai

Par Traut le 15/12/2001 à 6:31:46 (#555181)

Provient du message de baai
Entre le néant et la souffrance, prendre la souffrance. Et à tout prendre préféré France aux sous. France nous met sans dessus-dessous, pas sans sucette, et pourtant, qui l'idolâtre ? pas moi c'est sûr, puisque c'est à tout prendre. En conclusion tu cours et ères mais où, aussi courrèrent ? Bah bah, c'est courirent on le sait, soyons pas bêtes d'ainsi nous avilirent. *devra se relire*
Et puis encore : svp dites pas que Traut délire, ou bien il faudra dire qu'il défait les lignes ou désapprend à lire. Oui c'est un passage. Parfois même il faut recommencer, repasser, en vertu du vocable de la femme de ménage. Sauf qu'à sa différence rance ce ne sera pas pour aplanir mais bien pour accoucher des escarbilles, protubérances et autres amas qui sont des nanobes, des aegagropiles salutaires et peu mortifères, bien qu'ils nous tuent. Bien, est-ce comme malgré que ? est-ce que ça se dit pas ? Jamais de subjonctif après "après que". quand on sait ça on est déjà à moitié bon pour trôner à côté de Vieux père, à mi chemin du sauvetage. Traut si tu te sors d'ici t'auras un gage. En attendant longue vie et longue flamme ! Hum hum *regard cunéiforme* Je m'échappe, et compte bien te revoir, c'est-à-dire te voir 2 fois... *réfléchis* Si réfléchir c'est fléchir 2 fois je ne fléchirai pas ! Au diable Lafontaine, je leur préfère les madeleines. Car en matière de pousse, Proust lui au moins, et à défaut du bête Beuve, à compris que la vie privée n'apprend rien, que l'Irl de l'écrivain on s'en tamponne le coquillard, etc.
Donc longue flamme à toi !


Bien j'avoue avoir été couché sur ce coup là. Reprenons cette analyse post mortem ma foi des plus fines que ce forum ait eu la grâce de connaître.

Entre le néant et la souffrance, prendre la souffrance, mais rendre les sous francs mais rances... jusque là je suis d'accord, d'accord comme un accord d'ailleurs, presqu'un consentement mutuel pour seller l'étalon de l'union de deux esprits. Mais je m'interroge, est-ce pris? Es tu là? Non tu n'es pas Drac. Oulah ,déjà je me sens moi même pris dans un monumental pavé, une des dalles d'où l'on ne semble ne jamais s'échapper, et pourtant

Si je me sors d'ici, si je me sors de ces sordides idées,si je jette ces sordides dés... aurais je un gage? Cours-je? Courrais je? Tout ca va me revenir bien cher... chair à cannon bien en chair bien peu chère...Bref comme dirait Pépin, foin de péroraisons superfétatoires, de concupiscentes combinaisons , d'altermoiements abscons. Alors , à l'argent mythe parmi les mites qui nous rongent, que pourrais je y redire, nonobstant tout candide raton , il eût fallu pour cela que je tranche ces langues de serpents qui sifflent sur nos têtes. N'est-ce ces serres qui nous imposent l'Inde , vindicative et addictive *capillotractée oki mais je pense que ça tient* après 'après'... ? C'est le serpent qui se mord la queue dallée de bonnes intentions.

Car comment trouver à y redire sans tomber dans le piège sisyphien de la redondance récursive? Trôner à côté du père, Trautorn a déjà tué le père Sonnage, d'ailleurs j'y perds plus que mon âge, mon latin aussi, Amen, ta paie avant la mienne. Tous ces rappels distingués à la pelle nous rappellent que Proust et sa Madeleine ne faisait que redessiner des déesses sine tempore aux mauresses et à l'huile... ou allô. L'halali résonnera t il encore combien de temps dans cette Irl de coquillages et crustacés dont on tamponne la banquise?

Enfin....réfléchir, c'est peut être fléchir, deux fois même mais fléchir ce n'est pas rompre, et entre deux flexions, il doit bien se cacher une extension signe intangible d'une ex tension.

Tu Téfal, mais toi tu rends zinc ne l'oublie pas, ce serait comme le chaudron et la marmite...., une longue Flamme à toi *dédicace*

Et faisons fi, faisons fa fa fa des intégristes de l'heuristique , ces délires au rhum resteront très minces.

Et en mémoire et pour qu'on clore : il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer *non ce n'est pas un proverbe* . Bons vents! Qu'ils te soient favorables et puissent ils attiser ta flamme indéfiniment inénarrablement , définitivement.

Et surtout qu'ils te portent par deux fois ;)

J'y pense,dernier rugissement : La lumière d'un phare est alternative,circulaire mais elle est permanente, non? Permanente pour celui qui l'émet, mais cyclique pour celui qui la perçoit.
La permanence, corrolaire de la répétition ,graal non pas nouveau car permanent mais plutôt contemporain qu'on ne sait l'entrevoir .

En quête!

De prudence, de la mère, de sureté , du père ou de liberté?

Aie aie aie

Par Grayswandir le 15/12/2001 à 6:42:52 (#555195)

Bon, comment t'y cause toi a notre Vicomte ex Vicomte toujours Vicomte de la fontaine?
Pouvez pas parler sans vos jeux de mots a la noix? (miam)

serpent+raton = ?

Par baai le 15/12/2001 à 14:03:21 (#556692)

Attention le troll, tu fais de la rhétorique, et sous tes airs de ne pas y toucher si tu t'y mets, situera-t-il aussi Traut ? Mais oui mais oui...

Ces prolégomènes passées, j'avance mais c'est peut être pour reculer ( Culer 2 fois ? moi qui pensais qu'on disait : culeter ! pouah) : car en vérité, j'ai pas suivi, disons compris le "raton". Avec le thon je ne dis, ce serait du possessif : mon, thon, nos, ou mouteonneau. Dans le tonneau parfois le serpent, dont tu parles. Y verrais-je un rapport ou même le devrais-je ? Voilà mon impression : tu prends ce serpent en sorte de virgule symbolique, c'est-à-dire qu'après lui le public voire l'univers, mais avant le privé, le petit caca comme disnet, non, disent, les psys (sans jugement, je jure). Donc le raton privatif (possessif), ensuite la virgule... on devine ton espoir, le même pour tous mais beaucoup ont fait une croix dessus (fainéants ! j'ai su ou l'égarement du petit jésus). A ce stade la question est quasi posée : Traut, mon vieux, mon sempiternel occupé à ton retour ad hoc, n'aurais-tu pas, par hasard et pas à tort, une communication à faire, une découverte à dire ? Non ne te dédis pas, tu prédis de "peut dire" sans trop te découvrir (conjugaison d'aider inédite ici) ! Vite, quel est-il l'abouti ? Qu'est-il (de quête mais plus de queue puisque le serpent est derrière) ton nanobe salutaire, mondial ? Tranquillise-toi, personne ici ne mélange quoi que soit, et n'ira confondre la trouvaille avec on ne sait / séquelle universel (j'aimerais dire universaux) dont on sait se / cesse méfier !

La réponse je la veux ! *baveux*

*grimpe*

Par baai le 15/12/2001 à 14:20:48 (#556755)

Est-ce pris déleste allier voire Esprit de l'escalier : je vien seulement de me dire "tiens tiens, me semblait que cette discussion était pas ici..." et en effet je viens de voir ton lien... Bon, bravo Trautorn, tu m'as eu ! Mais paér surprise. Il est encore tôt, j'ai pas tous les zyeux dans les bons trous.
Un jour peut-être t'auras ton piège aussi, quoi qu'étant peu revanchard... Bref, répond toujours à la question, je vais pas attendre jusqu'à la saint-Saucisson ou pire, que tu me ré-endormes pour refaire le coup feinté du changement de forum !

Par Traut le 16/12/2001 à 3:38:09 (#562263)

Une communication comme ? Non point comme ceci...

Peut être a-t-elle déjà été faite, quant au raton ou plutôt au candide raton eh bien qu'en diras thon? M'aille aux niaises ou qu'est-ce chope encore?

La lumière est toujours là , rappelle toi , meme pour celui qui vit dans son ombre lattente, car là est tout le problème , l'attente... d'ailleurs si ma tante, mais ce n'est pas le sujet, ce que j'ai , à dire ou à redire , encore cette obsédante redondance récursive.

Alors n'attends pas les si sots qu'ils sont, si nous devons suivre ce pi aller circulaire , sans retour ,,nous aurons au moins la satisfaisante satire faction de connaître le chemin ,celui qui ne mène pas à Rome. Même si ce maudit candide raton nous promet le contraire.

En attendant le retour de la comète, Haley est venu..., nous savons quoi,mais nous ne savons pas quand,alors si certains poncent de travers et se lavent les mains, tâchons d'être prêts, le bonheur s'y trouve, dans le pré, carré ou praz d'elle , le juriste prudent, et non pas car elle et ses perruches...

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