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Une voix dans la tĂŞte (un peu long dsl)
Par Heliandra le 14/12/2001 Ă 21:19:51 (#552270)
Essayons de nous rappeler comment cela c'Ă©tait passer.
Ferme les yeux, fait remonter le souvenir et les réouvrent.
Elle pose la pointe de la plume sur le parchemin et commence Ă Ă©crire.
Heliandra : * ouvre les yeux, tout est blanc autour d'elle, sent la panique qui monte en elle * OĂą suis-je ?
Voix : * voix douce et féminine * nous sommes dans ton esprit.
Heliandra : * sent qu'elle n’a plus son équipement * comment ça dans mon esprit et où est mon équipement.
Voix : * se place derrière Heliandra* ici, tu n'as besoin d'aucun équipement car tu n'es pas en danger.
Heliandra : * regarde autour d'elle * je dois ĂŞtre en transe, mais c'est impossible.
Heliandra : * elle commence Ă paniquer * Le dernier souvenir que j'ai c'est une horde de gobelin qui m'attaque.
Voix : * ton calme * Tu n'as plus rien à craindre d'eux, je m'en suis occupée.
Heliandra : * essaie de se calmer * Comment ça tu t'en es occupée, tu dis que nous sommes dans mon esprit.
Voix : * ton calme, presque hypnotique * L'un des gobelins t'a frappé à la tête et juste après que tu aies perdu connaissance, j'ai détruit ses larves en prenant le contrôle de notre corps. Nous n'avons plus rien à craindre pour l'instant un protecteur monte la garde au pres de notre corps.
Heliandra : * secoue la tĂŞte * Je ne comprends plus rien, tu dis que j'ai perdu connaissance et que tu as pris le contrĂ´le de notre ... de mon corps.
Voix : * baisse la voix * Tu m'as donc oubliée, chère sœur.
Heliandra : * n'a pas entendu la fin de la phrase * Vous disiez ?
Voix : * reprend sa voix calme et douce * Je me parle à moi-même. Pour répondre à ta question ... oui j'ai du prendre le contrôle de notre corps, car nous étions en danger.
Heliandra : * crie * ArrĂŞte de dire notre corps, ce corps m'appartient et toi je ne sais pas qui tu es.
Voix : inutile de crier, nous ne sommes que nous deux ici.
Heliandra : * en colère et continue à crier * Si nous ne sommes que toutes les deux, pourquoi tu ne te montres pas.
Voix : * voix douce et calme * Parce que tu ne me l'as pas encore demandé et que tu n'es pas encore prête.
Heliandra : * la colère augmente * Montre-toi ! Je te l'ordonne !
Voix : Tu ne peux rien m'ordonner, mais je peux te dire mon nom si tu veux.
Heliandra : * elle serre les poings * Vas-y, donne-moi mon ton nom. Comme cela je saurai le nom de la personne que je vais tuer !
Voix : * sa voix est toujours calme et douce* Heliandra tu devrais contrôler ta colère, rappelle-toi ce qui c'est passé la dernière fois que tu as laissé la colère s'emparer de toi.
Heliandra : * des flammèches apparaissent autour de ses poings * Vas-tu me donner ton nom ou pas.
Voix : * Voix tremblante * Je suis ta sÂśur ... Eleonora.
Heliandra : * toute sa colère disparaît, un sol se matérialise sous elle, elle tombe à genoux * Ma sœur Eleonora
Heliandra : * Ă l'impression que l'on vient de lui arracher le cÂśur * C'est impossible, elle est morte quand j'avais cinq ans dans un accident qui c'Ă©tait produit dans le labo de magie de papa.
Eleonora : * voix tremblante * rappelle- toi nous jouions près du labo ce soir là , la porte du labo était ouverte et nous sommes rentrées.
Heliandra : * ferme les yeux * Non, j'étais dans mon lit et ma sœur s'est fait tuer quand des bandits ont attaqué notre maison.
Eleonora : Non, ça c'est ce que mère t'a dit le lendemain matin quand tu t'es réveillée. Mais tu étais avec moi ce soir là dans le labo de papa.
Heliandra : * sent qu'elle va pleurer * Non, mère ne m'a jamais menti.
Eleonora : Mère t'a dit cela car tu ne te rappelais de rien, mais tu as toujours su la vérité et c'est même pour cela que tu n'es plus jamais rentrée dans le labo de père.
Heliandra : * pleure * Noooooonnnnnn !!! Ce n'est pas vrai.
Eleonora : * reprend sa voix calme * Nous sommes entrées dans le labo, un pentacle était dessiné sur le sol et nous sommes rentrées dedans toutes les deux.
Heliandra : * pleure toujours * Tu mens !
Eleonora : le dessin s'est mis à briller et nous avons ressenti une énergie magique nous traverser. On s’est mises à pleurer toutes les deux, nos cris ont alerté nos parents.
Heliandra : * ressent comme si un mur s'Ă©croulait dans son esprit *
Eleonora : * commence à pleurer * Ils sont rentrés dans la pièce ... père a essayé d'interrompre le sortilège ... mais il n'arrivait pas à se concentrer suffisamment.
Heliandra : * ce souvenir enfoui au plus profond de son esprit revient Ă la surface *
Eleonora : Mère essayait de rentrer dans le dessin, mais une force invisible l'en empêchait.
Heliandra et Eleonora : Père pris un parchemin de dissipation de la magie et commença à le lire à voix haute. A ce moment là nous nous serrâmes l'une contre l'autre et sentiment comme si la foudre nous était tombée dessus. Nos corps étaient comme collés l'un à l'autre.
Eleonora : * Pleure de plus belle * Ce jour lĂ , je fit une promesse.
Heliandra et Eleonora : Je te promets que je t'aiderai Ă survivre quoi qu'ils nous arrivent.
Eleonora : A ce moment là tu perdis connaissance et ne vis pas que mon corps se fondait dans le tien. Le lendemain matin quand tu te réveillais, tu avais construit un mur dans ton esprit pour oublier cet évènement pénible.
Heliandra : Après cela, quelque fois j'entendais une petite voix qui m'empêcher de faire des bêtises.
Eleonora : * apparaît devant Heliandra, elle lui ressemble comme deux gouttes d'eau *
Heliandra : * se jète dans les bras de sa sœur * Tu m'as manqué
Eleonora : * la serre dans ses bras tendrement * Maintenant que tu m'entends à nouveau, je te protégerai contre ces ténèbres qui essaient de t'envahir encore une fois. Cette fois, je réussirai à les arrêter avant qu'il ne soit trop tard car je suis beaucoup plus forte qu'à notre dernière rencontre.
Heliandra : * essuie ses larmes * Malheureusement, mes pouvoirs magiques ne sont pas encore assez développer.
Eleonora : * reprend sa voix calme et douce * Ce n'est pas avec de la magie que nous devrons nous battre.
Heliandra : Comment les battre alors, si je ne peux utiliser la magie.
Eleonora : La magie et les armes sont puissantes mais on ne peut espérer gagner une guerre qu'avec cela. De plus ne t'occupe pas de cette bataille, je serai la gardienne de ton esprit et toi celle de ce corps. N'oublie pas qu'il faut que nous découvrions pourquoi on a tué nos parents.
Heliandra : * sent que son morale remonte * Tu as raison, trouvons pourquoi on a tué nos parents et ce qu'ils cherchaient exactement.
Eleonora : Il est temps que tu reprennes conscience et que tu continues ton entraînement. Ne t'inquiète pas, je ne te quitterai plus jamais.
Heliandra : * reprend connaissance et observe les cadavres carbonisés des gobelins * Il ne faut pas énerver ma sœur, vous le saurez pour la prochaine fois. * elle se sent trop fatiguée pour reprendre la route ce soir *
Heliandra : * regarde le protecteur * Merci d'avoir surveillé mon corps pendant que je n'étais pas là . Je voudrais te demander de me permettre de dormir ce soir dans tes branches car je suis encore faible pour me défendre si on m'attaque.
Heliandra : * grimpe délicatement dans les branches, elle a l'impression de sentir la présence de sa mère et de sa soeur* Bonne nuit Eleonora.
* voix dans sa tĂŞte: bonne nuit Heliandra *
Elle sÂ’endort et ne vois pas une forme vaporeuse au pied de lÂ’arbre qui a lÂ’air de monter la garde.
Par Vhan le 14/12/2001 Ă 21:27:18 (#552315)
Par Heliandra le 14/12/2001 Ă 23:56:16 (#553323)
Heliandra se bat, dans un chemin de montagne avec trois gobelins guerriers ou plutĂ´t elle sÂ’amuse avec.
Heliandra : Encore raté ! Allez un petit effort ! L’un d’entre vous me touchera au moins une fois, avant que je ne me fatigue de jouer.
Eleonora : Il faut que je te parle Heliandra. ArrĂŞte de jouer avec les gobelins et Ă©coute moi !
Heliandra : Attend un peu, j’entraîne mon esquive. Laisse-moi encore m’amuser cinq ou dix minutes.
Eleonora : J’ai encore découvert des choses sur notre passé. Par exemple, le type de magie que père étudié dans son labo.
Heliandra : Quoi ? * elle a une seconde dÂ’inattention *
L’épée d’un des gobelins passe très prés de son visage, trop prés même. La lame coupe une mèche de cheveux. Par réflexe, elle lance Eclair de feu et carbonise le gobelin. Elle recule. Les gobelins observent leur infortuné compagnon pendant une à deux secondes, avant de repartir à l’assaut.
Heliandra : * regarde sa mèche de cheveux qui tombe parterre * OK les mecs ! Vous avez gagné le premier prix. * elle lance plusieurs salve d’éclair de feu, jusqu'à ce qu’il ne reste que des os carbonisés *
Eleonora : Maintenant que madame a fini de jouer avec ces pauvres petits gobelins, elle va mÂ’Ă©couter ?
Heliandra : Cela t’ennuierait d’éviter de me déranger quand je m’entraîne. Grrrr, j’ai encore perdu une mèche de cheveux.
Eleonora : DĂ©soler, mais cela faisait presque une demi-heure que tu jouais avec eux.
Heliandra : Tu oublie que je dois aussi m’entraîner à éviter les coups. Comme mère disait « attaqué c’est bien, mais pouvoir aussi évité les coups de l’adversaire c’est mieux. »
Eleonora : Je sais, elle te le disait même très souvent.
Heliandra : Tu as encore fouillé ma mémoire, sans me demander mon autorisation ? Tu sais très bien, que je n’aime pas quand tu fais ça.
Eleonora : Si je te l’avais dit, tu m’aurais de façon inconsciente empêcher de trouver ce souvenir.
Heliandra : * sÂ’assied sur un rocher et soupir * Vas-y, je tÂ’Ă©coute.
Eleonora : En comparent les souvenirs que nous avions du labo de papa, j’ai découvert qu’il avait un vieux livre sur sa table.
Heliandra : Bravo, tu viens de découvrir que papa était alchimiste. Je peux reprendre mon entraînement ?
Eleonora : * crie * Je ne plaisante pas Heliandra !
Heliandra : On se calme ! Tu nÂ’as vraiment aucun sens de lÂ’humour aujourdÂ’hui.
Eleonora : Ce nÂ’est pas le moment de plaisanter. Ferme les yeux et regarde le titre du livre.
Heliandra : Comment veut-tu que je regarde le titre du livre, je ne sais mĂŞme pas de quel livre il sÂ’agit.
Eleonora : Ne t’inquiète pas, je vais t’aider à te souvenir du moment où tu as vu le livre.
Heliandra : Tu peux faire ça ? * soupir * Encore un secret que tu ne me révéleras jamais.
Eleonora : Concentre-toi sÂ’il te plait Heliandra.
L’image du laboratoire commence à ce former. C’est comme si elles étaient dans la pièce.
Eleonora : Approchons-nous de la table du fond.
L’image bouge vers la droite et la table se rapproche, comme si elle se déplaçait réellement dans la pièce.
Eleonora : Regarde la couverture du livre et lit le nom qui est Ă©crit dessus.
Heliandra : « Genius Invocatio » C’est une langue ancienne. Je crois que cela veut dire « Invocation de Génie »
Eleonora : Cela veut aussi dire « Invocation de Démon ».
Heliandra : Tu es sûr…Minute, comment ce fait-il que je connaisse cette langue ?
Eleonora : C’est une question, à laquelle je ne peux pas encore répondre.
Une main griffue sort de la couverture du livre et prend la tĂŞte d'Heliandra.
Heliandra :...Arrrrrrrrrggggggg * A l’impression que l’ont écrase sa tête comme une pastèque trop mure *
Eleonora : Heliandra !
Heliandra : JÂ’ai lÂ’impression que ma tĂŞte va exploser.
Eleonora : RĂ©siste de toutes tÂ’est forces.
Heliandra : * sens quÂ’elle va perdre connaissance * Aider-moi ! Que quelquÂ’un vienne Ă mon aide ! Au Secours ! * sa vue devient trouble, des taches de sang apparaissent devant ses yeux *
Plusieurs animaux s’approchent et forme un cercle autour d’elle. Des lièvres, des antilopes et même des serpents composent ce cercle.
Eleonora : * voix paniquée * Quelque chose essaie de prendre possession de notre corps. Malheureusement, je suis impuissante face à l’attaque qu’il utilise.
Heliandra : * du sang coule de sont nez* Je ne…vais pas…pouvoir…résister…longtemps * elle ressent une douleur dans la poitrine, comme si on lui broyait les côtes *
Heliandra porte ses mains Ă sa poitrine et sÂ’effondre par terre.
Heliandra : * elle crache du sang * Mère…où que tu soit…je vais bientôt…te rejoindre * sens que ses forces l’abandonne *
Eleonora : * pleure * Tu ne peux pas mÂ’abandonner.
Heliandra : * La douleur devient insupportable * Je…suis…désoler. * à l’impression de voir une femme entourer d’une aura bleue, s’approcher *
Eleonora : * crie * Pense Ă tous nos amis et compagnons que tu abandonne !
La femme sÂ’approche du cercle et le travers, les animaux sÂ’Ă©cartent sur son passage. Si la vue dÂ’Heliandra nÂ’Ă©tait pas brouiller, elle aurait eu lÂ’impression de se voir dans un miroir. Elle continue de sÂ’approcher dÂ’Heliandra, on dirait presque que ses pieds ne touchent pas terre.
La femme : * voix douce * Heliandra mea filiola Resistére
Eleonora : elle dit « Heliandra ma petite fille résiste », elle parle une ancienne langue et elle s’adresse à toi Heliandra. Ecoute là , je t’en pris.
Heliandra : * elle ne sent plus son corps et ses yeux sont clos *
[traduction instantanée]
La femme : Ma petite fille, lÂ’heure nÂ’est pas encore venue pour toi de mourir et de me rejoindre. * elle sÂ’agenouille et prend Heliandra dans ses bras *
Heliandra ne ressent plus aucune douleur. Elle ouvre les yeux et voie une prairie recouverte de fleurs. Elle sent la brise qui s’engouffre dans ses cheveux et l’odeur des fleurs. Elle regarde autour d’elle et aperçoit une femme habiller d’une robe bleu azur qui ressemble à sa mère.
Angelica : * voix douce * Heliandra ma petite fille, tu ne peux pas rester ici. Tu n’as pas encore le droit de te reposer ici prés de moi.
Heliandra : * observe la femme attentivement * Est-tu ma mère ?
Angelica : Oui je le suis, mais nous n’avons pas de temps à perdre. Tu vois ce portail rouge derrière toi, il faut que tu le travers avant qu’il ne se referme ?
Le portail rouge fait deux mètre de hauteur.
Heliandra : * sent la joie en elle * Mère, je suis heureuse de t’avoir retrouvé.
Angelica : * voix calme * Je suis heureuse de te revoir ... Le problème n’est pas là , si le portail se referme avant que tu ne le franchisses … ton corps mourra.
Heliandra : * pleure de joie * Ce nÂ’est pas grave. Ma sÂśur Eleonora nous rejoindra ainsi et nous pourrons vivre enfin comme une famille heureuse.
Angelica : * soupir * Ce n’est pas aussi simple si tu meurs maintenant, Eleonora sera détruite par cette ombre qui veut prendre possession ...de ton corps. De plus, mon sacrifice n’aura servi à rien si vous mouriez avant d’avoir détruit cette chose.
Heliandra : Mais, Je nÂ’ai pas la force pour lutter contre cette chose. Elle est beaucoup trop puissante.
Le portail diminue, un mètre quatre-vingt-dix.
Angelica : Ta sÂśur et toi ĂŞtes de taille pour la repousser encore une fois.
Heliandra : Non, elle est trop puissante.
Le portail fait un mètre quatre-vingts.
Angelica : Je n’ai pas le temps matériel de tous t’expliquer. * soupir * Mais les druides m’avait dit que vous seriez de taille pour lutter contre cette chose.
Heliandra : Que viennent faire les druides dans cette histoire et quÂ’est cette chose?
Le portail fait un mètre soixante-dix.
Angelica : * s’assied dans l’herbe * Cela sait passer au début du printemps, j’étais parti voir les druides pour qu’ils me donnent quelque plante médicinale. En revenant, j’ai aperçu un homme qui monter la garde devant notre maison. J’ai cru qu’il m’attendait pour me parler, je me suis donc approcher. Quand je n’étais qu’a quatre ou cinq mètre de lui, il me lance une flèche enflammée. J’esquive le sort et me mets à courir vers lui. A ce moment là , je vous ai entendu criez. L’homme a juste eu le temps de voir mes mains sur sa poitrine, avant que le sort flamme ne le réduise en cendre. J’entre dans la maison et vois un pentacle dessiner autour de vos deux corps ensanglanter. Un homme m’attaque avec une dague, pendant qu’une ombre située prés de vos corps lève ses bras vers le ciel. Sa dague me taillade le flanc. Malheureusement pour lui, celle que j’ai prise à son compagnon s’enfonce dans son œil gauche jusqu'à la garde. L’ombre baisse ses bras et plante ces griffes dans vos poitrines. En voient cela je ne me contrôle plus et je relance flamme sur cette ombre. Je crois l’avoir toucher, malheureusement elle saute par la fenêtre et s’enfui. Notre maison est en feu, je ramasse vos petits corps et cours à en perdre haleine vers le camp des druides. Une fois arriver chez eux, ils utilisent toutes leurs ressources magiques pour vous gardez en vie et guérir vos profondes blessures.
Le portail fait un mètre soixante.
Angelica : Il y avait malheureusement un problème, vous aviez perdu beaucoup de force vitale et vos chances de survie étaient presque nul. Je proposa au druide, qu’ils prennent une partie de ma force vitale et vous la donnent. Une cérémonie secrète eu lieu et une partie de ma force vitale vous fut donnez.
Le portail fait un mètre cinquante.
Angelica : Il faut que tu partes maintenant, le portail se referme.
Heliandra : * sent la colère qui monte en elle * Pourquoi, les druides ne m’ont rien dit ! Ils auraient au moins pu me prévenir que cette chose était en moi !
Angelica : C’est ma faute. Je leurs avais fait promettre, de ne rien révéler à personne.
Heliandra : Mère, je veux rester avec toi ! En même temps, je ne veux pas qu’Eleonora soit détruite par cette chose !
Le portail fait un mètre trente.
Angelica : * voix douce et calme * Ce portail, représente ton envie de vivre. Il diminue au fur est à mesure que la chose te blesse et que ta volonté de vivre s’affaibli. Si tu veux la vaincre encore une fois, il faut que ta soeur et toi unissiez vos forces. Il faut aussi que vous fassiez appel à l’amitié qui vous lie à certains de vos compagnons, même si cette amitié n’est pas réciproque. Si vous réussissez à réunir toutes ces forces, vous pourrez la repousser encore une fois. C’est pour cela que tu dois retraverser le portail, avant que tu ne sois trop faible.
Heliandra : Une fois que je traverserais le portail, je te perdrai Ă nouveau.
Angelica : JÂ’ai toujours Ă©tait avec vous. Il suffira que tu pense Ă moi et je serais lĂ avec toi.
Heliandra : J’ai décidé de retourner me battre mère.
Le portail fait un mètre dix.
Angelica : * elle pleure * Part maintenant, avant quÂ’il ne soit trop tard.
Heliandra : * pleure *Je ne t’oublierai jamais mère et je te remercie de ton sacrifice. Je te promets de ne plus laisser le désespoir s’emparer de moi.
Elle se retourne est plonge à travers le portail, Tout est noir de l’autre coté.
Heliandra : * crie * Eleonora ! OĂą est-tu ?
Eleonora : * à voix basse * Derrière toi.
Heliandra : Donne-moi ta main et pense Ă nos compagnons.
Eleonora : Que veut-tu faire ?
Heliandra : Je nÂ’ai pas le temps de tÂ’expliquer, fait ce que je tÂ’ai dit.
Au fur est à mesure qu’elles pensent à leur amis, une image d’eux apparaît se tenant la main.
Heliandra : J’appelle aussi notre mère Angelica.
Une fois que les quatorze personnes forme un cercle, l’obscurité disparais pour faire apparaître une ombre au milieu du cercle.
Ombre : * voix caverneuse * Tu crois pouvoir me détruire, en m’enferment dans ce cercle.
Angelica : * voix douce * Elle ne peut pas te détruire, tu as raison. Mais par contre, elle peut t’empêcher de nuire pendant un certain temps.
Heliandra : Répéter tous après moi. Genius evolãre e conspectus. (Démon disparaît)
Les quatorze voix répète en même temps : Genius evolãre e conspectus.
Un rayon dÂ’Ă©nergie part de chacun dÂ’eux pour frapper lÂ’ombre, quelques secondes plus tard elle se retrouve enfermer dans un bloc ressemblent Ă du cristal.
Angelica : * Voix douce * Je vous remercie de les avoir aider. Malheureusement, seule Heliandra et Eleonora se souviendront de votre intervention. Certains d’entre vous reverront peut-être cette scène dans un rêve, mais ne croiront jamais que cela c’est vraiment passé.
Heliandra : Je vous remercie tous, je sais que certains d’entre vous ne me considère pas comme une amie. Mais ce n’est pas grave. Repartez maintenant et que Syl vous protége tous.
Ils disparaissent tous, sauf Angelica.
Angelica : Je vous en pris, soient prudentes toutes les deux. Il faut que je vous quitte maintenant. Au revoir mes petites filles.
Heliandra : Au revoir mère et veille sur nous.
Eleonora : JÂ’aurai voulu avoir du temps pour parler avec toi.
Angelica : On se reverra une autre fois, cela je peux te le promettre. * elle disparaît *
Heliandra reprend conscience et regarde autour d’elle. La nuit est tombée et pourtant les animaux n’ont pas l’air d’avoir bouger d’un millimètre. Heliandra s’assied et les regardent. Ils se retournent tous en entendent du bruit.
Heliandra : * elle se tient la poitrine * Je vous remercie de m’avoir protéger.
Les animaux l’observent pendant quelques minutes, puis partent chacun de leur coté.
Eleonora : Nous avons encore une fois gagner, mĂŞme si cette fois jÂ’ai bien cru que nous allions perdre.
Heliandra : Nous avons gagné une bataille mais pas la guerre, à chaque fois l’ombre est plus puissante. Il faut que nous nous dépêchions de trouver un moyen de la détruire définitivement. Car, je ne suis pas sûr que la prochaine fois nous pourrons la vaincre.
Eleonora : En attendent, tu devrais te soigner et t’entraîner. * sourit * Tu devrais peut-être éviter de te payer des petites colères.
Heliandra : Tu as de la chance que je soi faible, aussi non tu verrais mes petites colères.
Eleonora : * rit * Ne te fâche pas, je plaisantais.
Encore une nuit oĂą lÂ’on entend Heliandra se disputer avec elle-mĂŞme. Les gens qui passent par-lĂ et qui ne la connaisse pas bien, on lÂ’impression quÂ’elle est folle.
Par Dark Ercan le 15/12/2001 Ă 0:44:22 (#553690)
Par jester le 15/12/2001 Ă 3:49:16 (#554799)
Certains films ne sont pas aussi riches point de vue histoire, mais la c'est digne d'etre porté a l'ecran :D
J'ai hate d'assister au reste de ton introspection :p
A quand la sortie en salle ???
Par Maxx le 15/12/2001 Ă 9:38:20 (#555668)
Continue comme ca j'ai envie de te lire a nouveau :)
:ange: Bisous :ange:
Par Vhan le 15/12/2001 Ă 9:41:44 (#555684)
Joli post RP en tout cas ;)
Par Heliandra le 15/12/2001 Ă 10:39:20 (#556111)
Il lui reste encore beaucoup de chose à découvrir sur elle-même et son passé :)
En plus comme les serveurs de Goa n'arrivent pas à tenir sans péter une journée entier, j'ai le temps d'écrire *sent que la phrase vas être censuré :rolleyes: *
Par Dark Ercan le 15/12/2001 Ă 13:57:53 (#556673)
A qui peut bien Parler Heli... Il faudra que je lui parle rapidement pour savoir... J'espère que la folie ne la pas prise sous son controle...
Par Katrinas le 15/12/2001 Ă 14:54:08 (#556954)
OĂą commence la folie et oĂą finit-elle :doute:
Par Vhan le 15/12/2001 Ă 15:00:14 (#556997)
Non elle n'est pas folle, elle possède plutot deux personalités distinctes je dirais...
Par Katrinas le 16/12/2001 Ă 0:10:46 (#560667)
Messire vhan ce n'etait qu'une pointe d'humour :ange:
Par Vhan le 16/12/2001 Ă 9:19:31 (#562904)
Provient du message de Vhan
Un guerrier s'adresse à l'assemblée
:rolleyes:
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