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Le temple d'Ogrimar

Par Lekam le 14/12/2001 à 7:30:20 (#548034)

Avoir traversé les plaines remplies de Skraugs ne fut pas de tout repos… Depuis quelques temps maintenant vous avez pu voir les montagnes se profiler à l’horizon. Ces montagnes qui renferment ce pour quoi vous avez fait un si long chemin.
Bientôt, vous allez pouvoir admirer ce qui vous a fait quitter la ville au sud-ouest.
Le temple d’Ogrimar, gardé par l’honnorable Vargus.
Vous longez les flancs de montagnes jusqu’à parvenir à la passe qu’un fidèle du Maitre vous a indiqué.
Un skraug, qui vous suivait jusque là, hésite à poursuivre.
Comme vous, il sent l’atmosphère à glacer le sang de ce lieu.
Vous hésitez une seconde, êtes-vous prêt à affronter cet endroit amplis de sang, de haine et de forfaitures ?
Le cri du skraug derrière vous presse votre décision.
Vous passez entre les deux pants de montagnes et avancez rapidemment malgré le tremblement incontrôlé de vos jambes.
Vos efforts s’effacent d’un seul coup lorsque enfin le temple apparaît devant vos yeux ébahis.
La batisse vous paraît immense.
Son toit est totalement plat comme si les architectes avaient compris qu’il était inutile de rivaliser avec la hauteur des montagnes alentours.
En vous approchant, les pulsations de votre cœur accelèrent, mélange de crainte et d’excitation d’entrer dans ce lieu interdit.
Il semble avoir été construit en grosses pierres taillées. Un coup d’œil aux deux meutrières en enfilade sur la facade vous donne l’impression d’être plus devant une forteresse que devant un temple. Deux lourdes portes de bronze scellent l’entrée.
Elles n’ont aucun décor mais tout autour des plaintes ont été gravés des sortes de runes. Vous remarquez une ouverture d’environ 20 cm sur 20 sur l’une d’entre elle. Immédiatement vous vous dites qu’elle doit permettre aux personnes du temple d’avoir un apperçu assez large de ce qu’il se passe à l’extérieur sans avoir à faire ouvrir les portes.
Vous décidez de faire le tour du bâtiment à la recherche d’une fenêtre mais n’en trouvez aucune.
Au fur et à mesure de votre avancée, il vous paraît évident que le temple a été construit de telle façon qu’il semble bien difficile d’y entrer sans passer par les portes de bronze.
Les architectes voulaient sûrement que la batîsse perdure, ce qui n’était pas gagné d’avance étant donné sa position en plein territoire hostile.
Tout en continuant votre tour du celèbre temple d’Ogrimar, vous constatez, en y regardant de plus prêt, que toutes les pierres ne sont pas en aussi bon état qu’elles pourraient le laisser paraître. Peut-être faudrait-il avertir les propriétaires.
Finalement vous revenez devant les portes.
Vous vous êtes habitué aux tremblements de vos jambes et à votre rythme cardiaque élevé.
Mais la sensation qui glace votre sang depuis votre entrée dans les montagnes continue de brider la spontanéité de vos mouvements et de vos pensées.
Finalement, prenant votre courage à deux mains vous décidez de demander audience.
Vous cherchez comment faire connaître votre présence aux personnes à l’intérieur et remarquez un petit marteau accoché sur l’un des battants de la porte gauche.
Vous le prenez en vous demandant à quoi il peut bien servir. Vous avez à peine le temps de le regarder que la trappe s’ouvre. Ce qui vous paraît être un homme, à moins que s’en fut un, vous observe, l’air pressé.
Vous commencez à parler et au bout de quelques minutes la trappe se referme sans bruit.
Deux minutes s’écoulent et un grincement effrayant de cacophonie se fait entendre. Le bruit vous arrache des frissons désagréables.
Les portes s’ouvrent.
Un nephilim vous regarde, sa robe d’un blanc brillant contrastant avec la couleur de ses ailes. Il vous fait signe d’entrer.
La majesté du batiment s’offre enfin à votre vue de pauvre mortel.
Les bancs, parfaitement alignés, paraissent avoir été construits dans une seule pièce de bois. Vous avez du mal à imaginer la taille de l’arbre qui aurait pu être assez large… à moins qu’un protecteur de la fôret…
Vos yeux se posent alors sur les lourdes tentures qui décorent les murs.
Le thème principal semble être des batailles importantes. Sur l’une d’entre elle, un seraphin, dont les ailes ont été rougies par son sang, est crucifié devant une assemblée de Nephilims lui arrachant des pans de chaire.
Au milieu des tentures de velours sont accrochés quelques tableaux.
Souvent ce sont des nephilims en armure ou en robe achevant un ennemi. Le sang, très présent sur les représentations, est dépeint de façon à inspirer plutôt l’effroi que le dégout.
Deux petites tables rondes en argent sont diposées le long de chaque mur. Sur chacune repose une grande carafe en cristal contenant un étange liquide rouge et velouté ainsi que quelques verres.
Vous en êtes là de vos observations quand vous remarquez le regard du nephilim sur vous.
Malgré son sourire, vous ne vous sentez pas rassuré du tout… peut-être à cause de son sourire d’ailleurs.
Il vous invite d’un geste à le suivre.
En avançant vers l’autel, vous sentez sous vos bottes l’épaisseur du tapis qui accuse vos pas, créant un rebond presque imperceptible. L’autel fait de dorures et de marbres trone à l’extrémité de l’allée centrale.
De nombreux objets y sont entreposés, fioles, coupelles de bronze, sachets mystérieux. Mais ce qui attire votre regard est l’énorme livre ouvert au cœur de l’autel.
Son épaisseur est impressionnante. Maintenant que vous êtes à côté, vous remarquez les fabuleuses enluminures qui ornent chaque début de paragraphe. Le rouge carmin des lettres vous laisse deviner sans mal avec quelle encre le livre fut écrit.
Malheureusement, le Nephilim ne vous laisse pas aller plus avant dans votre début d’étude. Il vous conduit vers ce qui paraît être une antichambre.
De lourdes portes de chêne massif assurent la confidentialité des nombreuses conversations qui doivent se tenir en ce lieu.
La pièce, malgré sa taille paraît assez intimiste. De nombreuses bibliothèques, remplies à ras bord d’ouvrages anciens ou plus récents, entourent chaque côté de l’endroit. Collée contre le mur Est, une table surchargée de parchemins prend une bonne partie de l’espace. Devant, un seul fauteuil encore précieux et à l’aspect confortable malgré l’usure du temps.
De l’autre côté un lit de fortune a été installé pour permettre quelques instants de repos aux personnes désirant étudier les ouvrages du lieu. A côté, un coffre scellé qui vous laisse une impression désagréable pendant que vous le regarder.
Dans un autre recoin, deux feuteuils plus bas, plus confortables encore, entourent une petite table basse sur laquelle est posé un jeu d’échec.
Le Nephilim arpente la pièce avec la souplesse de quelqu’un qui y passe ses journées.
Alors que vos yeux ne cessent de parcourir la pièce, vous entendez un petit grincement. Vous reportez toute votre attention sur le Nephilim et constatez qu’une des bibliothèques est en train de bouger, libérant une entrée secrète donnant sur un escalier.
Une odeur d’encens, de sang séché, de fer, d’humidité remplis vos narines vous faisant un peu tourner le cœur.
Alors que le Nephilim vous invite à le suivre, vous constatez une autre petite pièce semblant être une salle d’eau mais vous n’avez pas le temps de vous attarder, l’obscurité des escaliers vous oblige à faire attention.
Les ailes du Nephilim vous cache la descente qui dure quelques minutes.
Vous vous arrêtez à un premier sous-sol.
Le Nephilim sort une clef de sa robe et ouvre une lourde porte de bois. Vous voilà dans ce qui semble être des appartements. Une enfilade de pièces disposant de lits, de table et d’un mélange de meubles assurant tout le confort font alternance à d’autres au mobilier plus sommaire, bureaux et fauteuils, ainsi qu’à des salles d’eaux.
Au fond du couloir se trouve un bureau plus majestueux que les autres. Quel qu’en soit son propriétaire, il ne fait nul doute que la personne est d’importance.
Le Nephilim passe derrière le bureau et recupère un trousseau de clefs dans un tiroir. Il revient vers l’entrée de la pièce et vous décoche un grand sourire, les yeux pétillants.
Vous remontez le couloir à ses côtés pour revenir aux escaliers.
Vous passez le premier afin que l’ailé puisse refermer la porte derrière vous. Vous reprenez votre descente et parvenez à un nouveau palier. L’air déjà froid se fait totalement glacial. Quelque chose vous dit de ne plus faire un pas mais votre curiosité est trop forte. Vous emboitez le pas à l’ailé dans un nouveau couloir. Les portes y sont moins nombreuses et les murs paraissent bien plus épais.
Une porte entrouverte vous laisse apercevoir une grande quantité de fioles, de tubes, de poudres, de grimoirs, de sacs de tous genres…
Il doit s’agir de laboratoires, ça ne fait aucun doute.
Votre odorat vous le confirme. Des mélanges d’odeurs épicées, aigres, acides concurrencent d’autres plus suaves de musc, de lavandes et… de sang.
Le bruit d’une petite explosion accompagnée d’un juron à l’intonation féminine vous fait sourire un instant.
Mais vite l’atmosphère se glace de nouveau et votre attention se reporte sur les deux ailes noires devant vous.
Une autre porte au bout du couloir que le Nephilim ouvre avec le trousseau de clefs prises dans le bureau de l’étage d’au-dessus.
Cette fois, vous ne pouvez plus ignorer les lamentations qui s’élèvent dans l’escalier. Vous essayez de ne pas penser aux frissons qui vous parcourent l’échine mais le tremblement de vos jambes s’accentuent au fur et à mesure de votre descente.
Des gouttes de sueur froide innondent votre front et vous ne resistez pas à l’envie de les secher d’un revers de manche quand le Nephilim vous fait entrer dans ce nouveau couloir.
Un alignement de geoles dont les barreaux sont ornés de runes vous pétrifie. A moins que ce soit le fait de constater que certaines d’entre elles sont occupées par des prisonniers en piteux états. Les gemissements et les plaintes qu’ils lachent de temps en temps vous obligent à vous imaginer ailleurs. Vous n’osez les regarder, laissant vos yeux glisser sur les dalles de pierre au sol. L’écho de vos pas sur le sol ne parvenant pas à cacher les plaintes, vous accelerez votre démarche. Enfin de l’autre côté du couloir, vous vous jettez presque dans l’escalier afin de tenter d’oublier les visages de ces hommes, femmes et enfants qui levaient vers vous des regards remplis de vains espoirs.
Alors que vous tentez d’oublier la vision de ces prisonniers, souvents nus, recouvert d’une vieille couverture rapiécée, vos oreilles vous font deviner ce qui se trouve au dernier sous-sol.
Cette fois, seules 4 portes donnent sur le couloir. Le Nephilim, dont le sourire n’a cessé de croitre au fur et à mesure de la «visite», vous ouvre les portes en grand afin que vous puissiez regarder les nombreux instruments de torture qui encombrent les pièces.
Certains objets vous donnent l’envie incontrolable de remonter à toutes jambes tout en vous paralisant de frayeur. Alors que vous allez demander au Nephilim pourquoi il vous a laissé visiter l’endroit, vous le voyez sortir un scalpel de son sac.
Son sourire s’agrandit encore puis se transforme en un rire pervers et sadique alors qu’il vous pousse dans l’une des pièces de torture.

Ce ne sera que bien plus tard, quand votre esprit et votre corps commenceront de se remettre des nombreuses tortures subies, lorsque vous grelotterez de froid dans l’une des geole, avec pour seul vêtement une vieille couverture, comme seul pitence des morceaux de lard et du sang de gobelin que vous tenterez de vous souvenir de votre visite.
Etrangement, comme si votre mémoire se libérait enfin, vous repenserez aux immenses gardes squelettiques qui vous accompagnaient lors de votre visite extérieure du temlpe. Vous vous reverrez les spectres qui erraient devant l’autel, veillant sur le lieu. Vous vous souviendrez aussi de cet étrange petit homme qui se tenait la main pour éviter qu’elle ne tombe et qui rangeait les parchemins dans l’antichambre.
Tous ces gardes que quelque chose vous empêchait de voir lors de votre visite.
Vous épuiserez votre énergie en tentant de découvrir comment on avait pu vous lancer un sortilège sans que vous vous en rendiez compte…
Evidemment, les séances de tortures régulières vous empêcheront de maintenir très longtemps le fil de votre raisonnement.
Malheureusement, vos chaires arrachées, vos os brisés, vos yeux crevés, vos oreilles et vos doigts coupés vous feront trop mal pour que vous puissiez vous souvenir de cette minuscule petite piqure que vous aviez senti lorsque vous aviez pris le marteau.
Vous pousserez votre dernier soupir en regardant un jeune aventurier passer à la suite du Nephilim dans le couloir de vos geoles.

Par MortifeR le 14/12/2001 à 9:05:21 (#548227)

wow, c'est vraiment affreux, bravo !

Par Saria la Sombre le 14/12/2001 à 9:45:30 (#548359)

:lit: *sourit*

Par Dark Sylrus le 14/12/2001 à 10:09:46 (#548458)

MOUHAHAHAHAHAHAHHAHHAHAHAH


VIVE DAlaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii *part en courant*

Par Caithness le 14/12/2001 à 10:13:27 (#548471)

*s'essuie le visage des restes de l'explosion*

*siffle sa plante liane carnivore*

*la plante s'étire puis attrape la jambe de Dark le faisant lamentablement s'étaler sur le sol*

Alors mon ex beauf...on ne regarde plus où on marche ?

:D

Par Dark Sylrus le 14/12/2001 à 11:13:24 (#548865)

EU SISI mais si tu pouvais ne pas laisser ta barbe par terre =)

Par Caithness le 14/12/2001 à 11:14:42 (#548876)

*siffle la liane qui s'enroule autour du cou de Dark*
*le laisse devenir violet*
*s'éloigne un sourire hypocrite au visage*

Par Nekros le 14/12/2001 à 12:04:28 (#549158)

*vient de finir de lire*
Ah le temple...un jour je pourrai y retourner
*pars avec des pensées nostalgiques*

Par Phoenix Ardent le 14/12/2001 à 12:38:18 (#549328)

*sourit à ce joli récit et verse une petite larme d'émotion*
J'aime les histoires qui se finissent mal...

Par Torti le 14/12/2001 à 12:49:24 (#549383)

Tant de haine et de cruauté me glacent le sang. Un si bel édifice destinés à tels desseins. *part se réfugier chez Beltigan dans le temple de la lumière*

Par Azulynn le 14/12/2001 à 12:53:11 (#549401)

:eek: Bande de sadiqueeeessss :ange:
Très bien écrit :)

Par Phoenix Ardent le 14/12/2001 à 13:06:29 (#549473)

Allons messire Torti, ne vous glacez pas le sang. Je le préfère chaud !

*essuie le sang de la soeur de Torti qui tachète une de ses pointe en argent*
Soyez raisonnable, et prosternez vous devant notre puissance, si vous ne voulez pas voir votre famille décimée *rit*

Par Ireas le 14/12/2001 à 13:40:45 (#549677)

:lit:

Par Parcifal Hills le 14/12/2001 à 14:10:17 (#549802)

Il lisait un livre, parlant d'histoires passées sur des anciens héros qui avaient combattu pour Ogrimar. Il était assis sur un banc dans la grande pièce de l'autel, dans ce temple qui le mettait mal à l'aise. Il faisait froid et Vargus le regardait d'un oeil mauvais à chaque fois qu'il passait à coté de lui.

Il s'était remis de ses blessures et se demandait combien de temps encore il allait rester dans ce lieu maudit.
Il n'appréciait aucune des personne de ce temple, et elles le lui rendait bien... A part Silver qui des fois lui décochait un sourire quand il la voyait, c'est à dire rarement.

Il en était là plongé dans sa lecture quand il entendit un bruit venant des portes de l'entrée du temple.
Il vit Lekam passer d'un pas lent et tranquille et regarder par le judas de la porte.
Il ne compris pas la discussion, mais Lekam ouvrit la porte pour laisser entrer un homme d'un age moyen.
Celui-ci suivit son guide dans l'allée du temple, alors qu'il se levait de son banc, posant son livre et déployant ses ailes blanches.
Il resta là à observer la scène et l'homme passa devant lui en le regardant d'un air un peu dégouté et effrayé. Mais comme s'il n'était pas là ou pas réel, l'homme continua son chemin derrière le néphilim sans lui porter plus attention.

Il regarda sans mot dire l'homme disparaitre par la porte de la chambre où il avait dormi ces dernières nuits.

Il n'était pas le premier qu'il voyait entrer ici... Pour ne plus en ressortir.


Il faut vraiment que je demande à Caithness ou à mes oncles si je peux enfin partir d'ici... pensa t'il d'un air contrarié

Par Lekam le 14/12/2001 à 16:55:20 (#550618)

hop

Par Phoenix Ardent le 14/12/2001 à 17:47:56 (#550919)

hop hop

Par Subtil le 14/12/2001 à 18:17:56 (#551136)

je tiens a preciser que ce texte sera utilisé comme convention par l'ordre d'Ogrimar consernant le temple de Vargus :)

-Morbidmenent votre...

-- Subtil --

Par Snoopy le 14/12/2001 à 19:35:48 (#551604)

hop

Par Lekam le 15/12/2001 à 9:24:38 (#555614)

paf

*clap clap clap*

Par Kallyope Sylrus le 15/12/2001 à 10:53:35 (#556220)

:merci:

Par Acyde le 15/12/2001 à 14:35:21 (#556840)

Toute à ses études, au fond d'une bibliothèque, la jeune femme examine une gravure n'ayant pas plus que quelques années. La légende déclare : "Vargus, aux portes du Temple". La mention du lieu lui évoque bien des choses, et elle se dépêche de changer de page...

http://www.fantasya.net/galeries/7/jeasley_002.jpg

et merci à Feltorn pour l'illustration :)

Par Angel Wyvern le 15/12/2001 à 14:41:01 (#556873)

Sa c de la description :)

Par Yrisis le 15/12/2001 à 14:55:16 (#556964)

:lit: :)
Tres bien decrit :)

Bravo :)

Par Neo Elfy le 15/12/2001 à 15:01:31 (#557007)

*sourit*
:read:

Par Lekam le 15/12/2001 à 16:13:29 (#557404)

paf

Par Alanis Delyn le 16/12/2001 à 9:34:58 (#562953)

*se dit qu'il ne lui viendrait jamais a l'esprit d'aller demander audience au temple d'ogrimar...*


(Excellent :D)

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