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Souvenir d'enfance

Par Fifrelin le 12/12/2001 à 13:59:18 (#536292)

Le Matin.

Une odeur de lard dans la pièce unique de la maison, réveille papilles et sens endormis d'une longue et réparatrice nuit. Je m’étends comme un chat sous la peau d’antilope troué d’usure.
Une voix douce et maternelle me retire la brume, encore aveuglante au contact de la lumière. Un sourire d'enfant naît en réponse à une invitation de petit déjeuner.
Un rapide coup d’œil et je remarque que père n'est déjà plus là, sa place à la table familiale, vide, la chaise repoussée, le bol de bois nettoyé, comme en attente de servir à nouveau.
Je me met à table pour prendre mon repas, chaleur aidant prêt du feu.

Cette table, petite mais suffisante, ressemble au reste de la maison, simple sans fioritures. Deux paillasses sur les cotés de la cheminée, un chaudron d’eau chaude fumant sur la crémaillère, une étagère de rondins difformes, de l’autre coté les outils de père, marteaux de forge, pince et des sacs de toile ayant contenu du charbon. Il travaille avec Lance Silversmith, un forgeron bourru sur la plaine d’Arakas. Mais père ne se plaint pas, le travail est dur mais paye bien mieux que le travail de la terre, c’est ce qu’il dit. Sa cote de cuir noirci est là aussi, mais ce n’est pas ce détail qui me saute aux yeux en premier. Je remarque que père a pris son arc et ses flèches.
- Père est parti chasser, mère ?
Pour réponse, Mère ne me donne qu’un sourire, ses yeux laissent trahir une réponse inavouable. Je continue de manger, en jetant un regard dans la pièce. Les vêtements cloutés de père ne sont pas là non plus.
Un tressaillement, comme un lourd boulet, me descend dans le ventre, et des souvenirs brumeux m’envahissent l’esprit. La dernière fois que mon père est parti de si bon matin avec tout son bardât, remonte à l’invasion des Orques dans Windhowl. J’étais très jeune à l’époque. Mais le souvenir de l’odeur du sang et de la suie mélangé en une boue visqueuse est toujours aussi vivace.

Je me souviens des cris qui retentissaient dans la ville, d’une fumée acre et piquante, des cris partout dans toutes les directions. Je me souviens que mère m’avait caché sous la paillasse avec un croûton de pain sur les recommandations de père. La combat semblait avoir duré des lustres, je n’ai pas souvenir du temps, la peur au ventre ne comprenant pas réellement ce qu’il se passait. Père passait parfois voir si nous allions bien, et rassuré, il repartait aussitôt vers le dehors.
Suite à cette invasion qui rendit mort et désolation, père décida de partir pour la ville de Lighthaven.
- Le chemin pour aller travailler sera toujours le même, disait il, la ville est protégée par une rivière, nous serons plus à l’abris là bas. Et pour le p’tit le maître d’arme Kar pourra tout aussi bien lui apprendre ce qu’il faut.

Le souvenir s’estompe peu à peu, pour laisser place à la vision d’un trait de lumière que l’aube laisse paraître dans la maison. Mère lave un linge dans le chaudron à l’aide d’un pillon de bois. Je la regarde faire sans bouger, humant l’odeur des herbes ajoutées à l’eau pour adoucir le contact des pierres ponces au fond du récipient.

Je me lève d’un bond, range ma table dans la bassine de zinc, et décide de m’habiller pour l’entraînement.
- Ne rentre pas trop tard Fifrelin, Dit mère d’une voix retenue sans lever le regard du chaudron, je voudrais que tu sois là quand ton père reviendra.
D’un signe de tête approbateur, je prend mon sac, adresse un sourire à mère et pars de bon matin vers le centre de la ville.

Par Isault_Desmonia le 12/12/2001 à 15:14:40 (#536721)

Hrp : hey c pas mal ecrit du tout ca :)

Par Persianne le 12/12/2001 à 15:30:17 (#536812)

:lit: :lit: :merci: :merci:

j'aime beaucoup...

*attend la suite*

http://imagebank.ifrance.com/imagebank/Persianne%20Utalm.jpg

Par Ysengwen le 12/12/2001 à 15:37:56 (#536864)

:lit:

le chemin du temple ...

Par Fifrelin le 12/12/2001 à 17:18:15 (#537527)

L’air frais du matin emplit mes poumons, une buée, légère, ventilée au rythme de mes pas, part en devant et me glace le visage. Je jète un regard sur la maison de bois que je viens de quitter, mère sur le pas de la porte un linge sur le bras me fait encore signe au revoir. Sur le coté du poulailler, une pile de bois me rappelle le travail à effectuer en rentrant. Je serre la sangle de mon sac et reprend, d’un bon pas, ma route vers la ville.

Lighthaven a toujours le même visage du village paisible, avec pour promontoire le toit du temple lançant avec allure sa pointe de nef vers les cieux. J’aperçois au loin la montagne, un peu au sud de la ville et décide de prendre à travers champs. Marknek Sunim est souvent sur ses terres à regarder sa récolte pousser ou alors simplement à écouter le chant de la nature, Mère dit que c’est surtout pour ne pas entendre les cris incessant de sa femme, quand d’autres mots ne remplacent pas le nom de sa femme.
*sourit*
Aujourd’hui encore, aura t il peut être des outils usagés à faire réparer ? Il est un ami de père depuis toujours et me donne fréquemment de l’ouvrage qu’il me rend sous la forme de quelques piécettes d’or. C’est un secret que nous gardons pour nous, eu égard aux propos de père sur les gens de la terre.
*esquisse un sourire*

Mes pas, sur le sol herbeux et gelé, laissent une trace comme un sillon de labour. Je jète derrière moi un regard à la maison lointaine, et n’en aperçois plus que les fumeroles de la cheminée. - Mère s’active sûrement encore a la tâche …
- J’espère un jour pouvoir me rendre plus utile et enfin lui offrir le confort d’une servante. La famille peut grande lui donne quand même du travail.

Mon regard se porte à nouveau sur le futur, estimant la destination afin d’économiser ma peine. Je prends comme point de repère ce long toit de chaume, efflanqué de lumière, point de ralliement de la prière.
Je passe par delà, après avoir jeté mon sac contenant armures et armes d’entraînement, les clôtures de Marknek Sunim et commence à longer le champs fraîchement retourné pour l’hiver. Je regarde de part et d’autre des chemins qui se croisent délimitant ainsi les parcelles, et ne remarque pas de présence.

Je continue alors mon chemin, les pieds glacés, le visage rouge sang, les oreilles sifflantes du combat contre le froid. Arrivé à l’entrée de la ville, je suis étonné de ne pas entendre le brouhaha habituel à la cité. Tout semble endormi, silencieux, aphone. Des fumées sortent lentement des cheminées laissant présagés un réveil proche.
Longeant les champs, jusqu'à arriver derrière la maison du bourgmestre Kirlor Dhul, je commence à entendre le cliquetis d’armures, un cliquetis semblable a celui des armures en anneau. Peu de temps après, j’entends Elmert Merkis donner des ordres à Murmuntag, qui lui répond, comme à l’accoutumé, dans un reniflement caverneux et flasque.
- Allez …. Dépêche toi ! Faut ….. Pre … ! Des Chap … …quent !!
Je n’arrive pas à saisir la conversation dû à l’éloignement, mais aux vues du nombre de personnes rassemblées là, ça doit être grave.

Je repris mon chemin, longeant les bâtisses pour arriver au plus vite chez Jagar Kar. La ville n’est pas endormi, loin de la, Kalastor me passa devant, sans même me voir, à un once de me marcher dessus. En passant devant la maison du Bourgmestre, je remarque que celle ci est gardé par trois gaillards à l’allure guerrière.
Je prend sur ma gauche et décide de passer par le temple afin de déposer mon offrande. Frère kirian à l’entrée, m’adresse un sourire retenu, son visage semble être pris de gravité.
- Entre Fifrelin, Puisse Artherk te bénir et te protéger mon garçon ….. la voix tremblante et le regard fouillant les rues de la ville.
- Viens donc, pose tes affaires et viens te réchauffer un peu … reste pas devant l’entrée … Allez …. !. Dit il d’une voix pressée.
Exécutant la requête, hébété de ne pas comprendre ce qui le retourne, je pose donc là mon sac et me pose prêt du feu. J’ouvre alors mon sac, en sort un poulet et des galettes de maïs. Je redresse la tête et remarque que Frère Kirian est posté à l’entrée du temple, faisant les cent pas et jetant par intermittence, des regards inquiets vers le dehors, invitant, passants et badauds à entrer se mettre à l’abri.

(dsl j'ai corrigé ce que je pouvais)

Par la discrète le 12/12/2001 à 22:03:49 (#539526)

Diante Fifrelin, ta plume est aussi aiguisée que ton épée !

Le décor bien campé, les descriptions riches et évocatrices, tous les sens en éveil, concourent à installer une ambiance bien particulière. Tout prend vie, de l'intérieur, et la tension monte....

J'attends la suite avec impatience !

la peur, le gobelin et moi...

Par Fifrelin le 13/12/2001 à 10:24:28 (#541618)

Réchauffé par le feu divin, brûlant de l’amour et de la compassion du monde, je me relève refermant mon sac, et resserre mes chausses, dont l’humidité a cessé de détendre les lacets de cuir.
Les bruits venant de l’extérieur se font de plus en plus proches.

Frère Kirian n’arrête plus de tourner en rond passant de l’autel à l’entrée, de l’entrée à l’autel, se mordant le poing et offrant sa bénédiction aux personnes, priant comme si l’apocalypse est aux portes du royaume.
Je prends mon sac et décide de rejoindre de suite la salle d’entraînement afin de ne pas faire attendre Jagar kar. L’entraînement n’en reste pas moins un moment plus que divertissant, comme un échappatoire aux travaux de force, pour la survie de la famille. Je sais que père et mère attendent beaucoup de mon apprentissage. Leur désir secret est que je devienne une personne reconnue par le dévouement et la noblesse de cœur. Je ne sais pas encore, si je serai apte a répondre à cette exigence, mais une chose est certaine, c’est que je fais tout ce qu’il m’est possible pour cela.

Je ramasse les présents à Artherk et les donne à la prêtresse Moonrock avant de sortir du lieu saint, saluant les personnes présentes. Je passe devant Frère Kirian, tellement absorbé à prier et a regarder en même temps dans la direction des bruits plus forts que tout à l’heure, qu’il ne fait pas attention à mon passage vers le dehors.

Je traverse la rue de la ville, le pavé prend doucement une teinte brillante par la rosée réchauffée des premiers rayons du soleil. Le ruisseau nettoyé de la veille ne contient pas encore son lot d’immondice, propre à la vie de l’homme en communauté.
*un regard rapide vers le fond de la ville*

Arrivé devant la porte, je frappe énergiquement contre celle ci, attendant une réponse sèche et courte de mon maître d’arme. L’oreille tendue vers l’intérieur, perturbée par un bruit qui vient de l’ouest. Je tends la main vers le loquet quand mon attention, par un regard de coté, est attiré par un gobelin à l’air renfrogné. Passant le coin de la rue, il hurle et tape dans les murs de la boutique de Fali et Rolph. Il prend un air de victoire, au moment où la porte sort des fondations. Celle ci tombant dans un fracas de bois et de ferrailles.
Oubliant le pourquoi de ma venu, j’ouvre mon sac et sort la hache de fer et enfile rapidement mon plastron de protection, prévu pour l’entraînement dans un geste automatique répété des centaines de fois.

Personne ne répond dans la salle, derrière la porte.
*déglutit*

Mes genoux tremblent … Mon bras oscille d’avant en arrière comme pour prévoir un coup rapide de la bête rouge. Je sens la peur prendre le dessus. Un frisson me parcourt le dos, un tremblement de l’échine me rappelle que je vis encore.
Un gobelin … dans la ville … .
Je regarde autour de moi et remarque que la rue se vide des âmes apeurées. Frère Kirain n’est plus là, un silence pesant s’installe là ou le bruit ne cessait de grandir, il y a peu.

Me voyant ainsi m’activer, le gobelin, dans un rire goguenard, me jauge du regard. Fait un pas dans ma direction. Un râle de bête s’échappe de cette cavité ressemblant vaguement à la gueule d’un chien malade, une écume bouillonnante en sort dans un tas de postillons verdâtres.

Je ne sens plus le froid, ni l’humidité de ma cotte de protection sur mes vêtements réchauffés, un coup de sang me donne un chaud au corps, mes jambes ne tremblent plus, mon bras s’enhardit, et mes mains serrent encore plus fort la garde ficelée de la hache. Mon pied gauche recule et se positionne à la perpendiculaire, offrant un appui, coincé par l’arête d’un pavé, mon genou droit se fléchit, ma main droite monte le long de la prise, ma main gauche s’enroule dans la sangle de retenue.
*dans un murmure*
Je n’ai pas peur … Je n’ai pas peur …
Mon regard se trouble, une sueur froide me parcourt le front, une perle brillante me passe devant les yeux. La voix de Jagar Kar résonne dans ma tête dans un martèlement sanguin.
*lointaine pensée*
- La garde plus haut Fifrelin !*sec*…
- Plus haut je te dis !! *sévère*.
- Apprends donc et cesse de regarder autour de toi, je dois être ta seule cible !!!

Je remonte la main droite le long du fer, cette fois ci. Le gobelin avance d’un air menaçant, presque déjà vainqueur. Son arme défaite d’une garde entraînée, il commençe à hurler et à courir dans ma direction.
*flash*
Tout se passe très vite, ma hache tombe, sifflant dans un bruit aigu, et s’arrête net.

Un moment de répit

Par Fifrelin le 16/12/2001 à 23:04:30 (#568804)

Plus de bruit…. Plus de peur …. Un bruit sourd martèle dans mon corps.

Il me semble que j’ouvre les yeux, je cherche à voir devant moi. Un filtre blanchâtre et rougeoyant me laisse distinguer un mur de pierre…. Une sueur chaude, dégoulinante …. Machinalement je me frotte le visage, une mélasse visqueuse m’obstrue la vue.
Recouvrant peu a peu la vision, je regarde ma hache, attachée au poignet par la sangle, se finir dans la tête, ouverte, crevée en deux partie sanguinolentes du gobelin. Cette pulpe réfléchissante avait jaillit sous le coup puissant.
Je reprend peu a peu mes esprits, et pose un pied sur la carcasse fumante et inerte. je tire un coup sec et le grincement du fer se confond dans le craquement des os de la bête.
Mes jambes se remettent à trembler, mais là ce n’est plus la peur …. L’adrénaline fait son travail. Je me concentre…. Je cherche un point de repère , une pensée, un signe , un …

*un sursaut* …

je regarde derrière moi et remarque Jakar kar me posant une main réconfortante sur l’épaule, un sourire se dessine sur son visage. Il contemple la dépouille, me regarde et m’invite à entrer malgré l’arrivée d’un congénère rouge au gobelin sur le pavé.
Il a une attention particulière, presque paternelle, il me nettoie des restes jonchés, ça et là.
Sans mot dire, il me retire armure et arme, pose le tout sur le banc de l’entrée, et part en direction du fond de la salle d’entraînement. je reste debout ne sachant que faire, ne comprenant pas le soudain mystère et encore même la soudaine sympathie de Jakar kar.
Je fais un pas en avant afin de voir le reste de la salle, qui ne souffrait pas de trop de lumière, nulles chandelles et torches eclairées, personne n’a encore pris le temps de mettre ce lieu en ordre de la veille.
Jakar Kar revient les bras chargés d’un paquet et de quelques armes posées sur le dessus, il pose le tout a coté de ma cote de cuir sale sur le banc de l’entrée.

- Voilà pour toi Fifrelin, me dit il d’une voix que je ne lui connais pas. ce sont la des affaires qui t’appartiennent.
Je le regarde ouvrir le paquet après avoir posé, une hache, une épée et une dague sur le coté. Le linge retiré offre à mes yeux, un magnifique ensemble de cuir tanné harnaché de pièces de métal. Il me les tend comme un cadeau, m’invitant d’un sourire et d’un signe de tête à enfiler le tout. Il prend place sur le banc.

- Mais …
Il fait un signe de tête, coupant court à la discussion et à mes questions. Je retire alors mes vêtements et me pare de l’accoutrement. Il se lève pour finir de tendre et ajuster les parties maladroitement habillées.

- Ceci, Fifrelin, est le vêtement de cuir que ton père m’a laissé en gage, afin de payer ton enseignement si il devait faillir. Il te revient de droit étant donné qu’il ne te reste plus qu’à te faire l’expérience au dehors.
Je le regarde avec des yeux ronds, des questions tournent en tout sens, mais n’arrivent pas à franchir le bout de mes lèvres crispées. Son regard passe alors au plus sévère.

- J’aurais aimé t’en apprendre plus, mais tu dois te faire par toi même, et …, une hésitation, Aujourd’hui, tu vas avoir l’occasion de prouver si tu seras ce que tes parents attendent de toi..
Il prend un temps de silence, comme si un autre message, empreint d’autant d’économie de parole allait sortir a nouveau de cette personne que je reconnais si peu.

- Va, Fifrelin, le temps de l’action est arrivé au coin de la rue… Va … et soit prudent ….
Il me tend alors mon sac, dans lequel il place l’épée et la dague, et me donne a pleine main la hache lourde à double tranchants. Un air grave recouvre son visage et il m’ouvre la porte.

Au dehors, des cris d’affolements viennent de partout. Des gens passent, en tout sens hurlant parfois, gémissant a d’autres, claudiquant, maculés de leur sang.
Mon regard se tourne directement vers le temple ou déjà des gobelins, le pic en avant, agressent Frère Kirian. Mon sang ne fait qu’un tour, empoignant la hache qui semble être faite à ma mesure, et je me mets à courir dans un cri de rage vers les monstruosités amoncelées devant l’entrée.

Par Sanchette le 16/12/2001 à 23:33:23 (#569012)

Fifrelin ,tu es au début de tes exploits de guerrier.
Mais grande est ta maitrise des mots et du conte.

*invite le futur chevalier a pousuivre sa naration*
*prends le parchemin racontant les exploits de Fifrelin et le porte au Roy...*

Par Persianne le 17/12/2001 à 9:41:44 (#571187)

*attend la suite....*

rhooooo alors ca viens oui !!! :p

http://imagebank.ifrance.com/imagebank/Persianne%20Utalm.jpg

Par DamonWadeWiller le 17/12/2001 à 9:58:22 (#571254)

:lit: :lit: [hrp : Les nouveau du forum se debrouille mieux que certains anciens (je parlions de moi bien sur) Tres bien Fifre continue ;)
Au fait t'as un MP ;)...]

Damon Wade Willer...
Damon qui a tout lu ;)

Par Persianne le 18/12/2001 à 8:31:37 (#577309)

HOP HOP :p :D

*remonte le post....serait dommage qu'il soit oublier...*


http://imagebank.ifrance.com/imagebank/Persianne%20Utalm.jpg

:) grpmplf !

Par Fifrelin le 18/12/2001 à 8:33:53 (#577314)

Il est pas oublié :) juste que pas le temps de faire trop en ce moment ..... mais ........ je fais je travaille et continue pour le plaisir de ce que cela interesse .... ;)

*Pouf dans une fumée atre cheminée*

Par Enthymion le 11/2/2002 à 23:24:15 (#909936)

hop, je remonte le post. Parce que je reconnais ici bien de mes traits.

Coucou aux Quiets de Quies !

Par Anauel Senkarst le 12/2/2002 à 4:05:46 (#911347)

hrp:*sort un tente* bah oui, quoi? jatten moi aussi! Au fait,
j'adore, on y reconnait vraiment la topographie des lieux, et
c'est tres descriptif :) :lit:

rp: voici un jeune homme qui semble bien prometteur, aussi
bien guerrier qu'écrivain...intéressant métissage de talents...

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