Poême pour un amour sans bornes.

Par dydou dOrcanie le 9/12/2001 à 20:02:22 (#520708)

A avoir attendu cet instant en traversant l'écueil des jours
A devoir sans cesse par gestes et mots renouveler mon Amour
A savoir que la vérité suprême d'une vie heureuse partagée
Ne peux dépendre que d'une harmonie qui fût si dure a forger

A regarder les fruits magiques de notre union au creux de tes bras
A entendre à nouveau le doux murmure de la vie nous remplissant de joie
A sourire devant ta tendresse quand tu me regardes sans cesse
Je ne fais que me rappeller à chaque instant nos mille caresses

Jamais je n'aurais cru pouvoir vivre cette ivresse insondable
Et pourtant voilà que depuis ce jour déja lointain si mémorable
Où sur toi en d'autres terres un petit garçon a déposé son regard
Je n'ai cessé d'avoir une image en moi me faisant garder espoir

Toutes mes joies accumulées une à une c'est a toi que je les dois
Le flot de souvenirs merveilleux qui trotte inlassablement en moi
Mes pensées enjolivées par ta présence ô combien agréable à mes cotés
Font qu'en une seule vie je ne saurais jamais assez te remercier

Et voilà qu'à présent tu me fais le plus beau cadeau du monde
Issu du fond de toi-même de tes hanches hier encore si rondes
Tu viens délicatement déposer a notre famille deux tendres bourgeons
Voilà que nous sommes quatre à pouvoir crier notre Amour à l'unisson

Je t'Aime,Koreandra.

Par Korey dOrcanie le 10/12/2001 à 23:21:47 (#526615)

*Koreandra avait profité de sa journée et de sa soirée pour dormir: quoi de plus normal quand on pense qu'elle avait mis deux enfants au monde... ses premiers.... Y en aurait-il d'autres? Elle l'ignorait... et préférait ne pas y penser tout de suite. Dydou et Gwendoline, comprenant qu'elle devait se reposer, lui laissèrent donner le sein à ses enfants (pas besoin d'un sorcier pour comprendre que Dydou avait été ému par la scène, avait constaté Korey avec malice), puis les avaient pris et posé dans le landeau, tout près du lit. Sous le regard attendri de ces personnes chères à son coeur, Korey avait sombré dans le sommeil.*

*Beaucoup plus tard, en soirée, Korey s'était réveillée; intriguée par l'absence de Dydou à ses côtés, elle leva la tête et regardit autour d'elle, dans la pièce. Dydou était assis à sa table, écrivait quelque chose, elle ne savait pas quoi. L'inquiétude la tirailla un instant: est-ce qu'il écrivait à propos de sa belle-famille? Des mauvaises nouvelles? Mais l'air serein sur son visage et l'amour sur ses lèvres démentaient cette théorie et elle en fut rassurée. Se relevant tant bien que mal, marchant en titubant, elle alla vers son mari, son amoureux de toujours, le serra dans ses bras, lui toujours assis, dos tourné vers elle.*

*"Je t'aime...", lui murmura-t-elle doucement à l'oreille avant de poser un baiser sur sa joue. Il lui prit les mains, la guida sur ses genoux et la serra doucement dans ses bras, l'embrassant amoureusement.*

"Je t'aime, Ko."

*Ils se regardaient dans les yeux de l'autre, y lisant tout l'amour du monde. Dydou passa une main sur la joue de Korey, la caressa doucement, et son épouse sortit de sa contemplation. En un instant, elle se souvint pourquoi elle l'avait rejoint:*

"Alors, mon p'tit mari à moi, tu écrivais quoi?
-Tu n'as qu'à regarder."

*Il lui sourit et elle tourna le regard pour lire le parchemin.... un poème? pour elle? Elle le lut en entier, puis retourna son attention sur son mari. Si son bonheur avait pu être une lumière, le monde entier n'aurait plus jamais connu la noirceur. Les deux amoureux s'embrassèrent longuement à nouveau, s'aimant comme au premier jour. Dydou interrompa le baiser et lui dit avec malice:*

"Tu ne devrais pas être au lit? Grand-mère m'avait demandé de veiller sur toi et de t'empêcher de faire des bêtises... J'aurais du l'écouter...
-Bêtises? Bêtises??? *Elle fit semblant d'être offusquée, mais son mari n'était pas dupe: il la serra amoureusement dans ses bras et posa un léger baiser sur son cou. Elle sourit.* ... D'ailleurs, si tu n'étais pas sorti du lit, je n'aurais pas été tentée de faire une bêtise, comme tu le dis si bien, alors c'est de ta faute!
-Et qu'est-ce que je peux faire pour me faire pardonner?*,lui chuchotta-t-il dans le creux de son oreille.*
-Hmm... bien..... Tu peux toujours me ramener au lit!"

*Il se leva, soulevant son épouse dans ses bras; elle rit aux éclats, passant ses bras autour de son cou. Il la porta jusqu'à leur lit où il s'allongea avec elle. Passant un bras autour de ce corps qu'il chérissait, il serra Koreandra contre lui et l'embrassa une dernière fois. Tous deux s'endormirent ainsi, l'un dans les bras de l'autre, accompagnés par des rêves de bonheur pour l'avenir...*

Par Lanar Shis le 15/12/2001 à 5:41:47 (#555128)

Et bien !!! je vais passer pour une floodeuse !!!! mais bon !!! moi et les poémes !!! ... et celui-ci aussi je l'aime ...

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Floodeuse de Poésie ... un point c'est tout !