Bienvenue sur JeuxOnLine - MMO, MMORPG et MOBA !
Les sites de JeuxOnLine...
 

Panneau de contrôle

Recherche | Retour aux forums

JOL Archives

Story 4

Par DRITTZ le 4/12/2001 à 9:49:48 (#501202)

:ange: Bon enfin de retour, avec mon compte a moi
je vais vous deposer la suite mon z'histoire un gros morceau pour la peine NA ! :ange:


La brume se dissipait révélant les armées alignées, en rang serrer, il ne distinguait pas les visages de ces adversaires mais le silence et le froid qu’il régnait ne laisser aucun doute sur leurs identités. La bataille était difficile une poignée d’homme se démener comme des fous face à cette horde de morts vivants. Le sang gicle encore et toujours, les corps tombés, mais il en arrivés toujours plus. Les hommes en cercle serrer, protéger du mieux que possibles deux mages, qui déchaînait les enfers. Le feu embrasait la pleine, soulevant une odeur de chair brûler, et cette chaleur étouffante, suffocante.

Kazan se réveilla en sursaut toussant, le front en sueur, il transpirait à grosse goutte. Il sursauta chercha son épée a son flanc, agrippa ce qu’il lui passa sous la main. La, dans l’ombre il avait vu quelqu’un. Prêt a bondir, il scrutait l’obscurité. Une silhouette se rapprochât lentement, Kazan déjà bien crispait se raidit davantage, elle apparut alors, une jeune fille au visage d’ange, des langes humides dans les mains, elle lui sourit. Kazan pris au dépourvu se détendit, il réfléchit un instant essayant de faire le tri dans sa tète, un combat, des gobelins, le vielle homme. Oui il se rappelai. Il reposât doucement le chandelier qui quelques instant plutôt aurait fait une banne massue. Fit un sourire a la jeune fille, et lui demanda ou il était. Pour toute réponse il n’eut qu’un sourire, Comment suis je arrivé ici ? Ou est mon épée ? , Qui est tu ? Encore et toujours des sourires.
Elle posât ces langes et obligeât Kazan a se recouchait, il s’exécutât sans un mot.

Le feu crépitait doucement, une odeur de brouet remplissait l’atmosphère. Kazan ouvrit les yeux lentement, se redressa et s’étirât longuement. Une voie se faisait entendre, douce calme. Kazan s’approchât de la salle d’où émaner la lumière et cette voie. Assis prêt du feu, le vielle homme parler à la jeune fille. Il ne l’avait pas entendu Kazan écouta un peu sans se montrer. Le vielle homme racontait les potins de la journée a la jeune fille, qui écoutait sans dire un mot.

Kazan fit un pas un peu bruyant pour s’annoncer. Ha te voilà enfin, entre mon sauveur soit le bien venu en mon humble demeure. Viens te réchauffer prêt du feu, Milie s’il te plaît apporte à notre invite une écuelle. La jeune fille se leva et revient avec une assiette et une cuillère, elle se pencha au-dessus du feu, et rempli l’assiette copieusement, puis la servie à Kazan et retourna s’asseoir prêt du vielle homme.

Te voici donc réveiller, je suis heureux que tu aille mieux, tu nous a fait une belle frayeur. Milie t’as veillée trois jours durant, je me demander si tu allais te remettre de tes blessures. Je ne comprends pas ces gobelins m’avaient à peine égratignée. Oui mais avec une lame empoisonnée, tu as eu beaucoup de chance mon garçon, le poison aurais du te tuer. Je tenais à te remercier, tu nous as sortit d’un bien mauvais pas. Je n’ai fait que ce que me dictait mon cœur. Je m’appelle Kazan et me rends à Tamrial pour y trouver du travail. Alors tu es arrivé Kazan nous sommes à Tamrial dans le quartier Nord. Je me nomme Artmous et voici Milie, ne t’offusque pas si elle ne te parle pas amis Milie a perdu l’usage de sa langue il y a bien longtemps.

Comme je te le disais-tu es déjà arriver à Tamrial, mais je doute que tu trouve du travail a ton âge, tu ne dois pas avoir plus de quinze ans ? En effet je n’ai que treize ans mais je travaillerais dur, je sais tenir une ferme, et me battre, je suis fort. Oui oui je n’en doute pas mais ici tu et en ville, les travaux de la ferme il y en a pas. Et personne ne t’embauchera pour des travaux de force. Mais nous verrons cela demain, parle-moi de toi jeune Kazan.

Cela faisait trois heures que Kazan contait son histoire au vielle homme, et a la belle Milie. C’est une bien triste histoire que tu me raconte la Kazan, je ne peux malheureusement t’offrir que peu de chose, mais si tu le désire, tu peu rester avec nous, en échange de ta force le temps que tu veuilles. Milie tiens la maison comme un véritable cordon bleu, pendant que je vends mes étoffes sur le marcher. Mais ni elle ni moi ne pouvons réparer le toit de la maison ou faire divers petits travaux. Alors si le cœur t’en dit ? . Ce serait avec plaisir que j’accepte ton offre Artmous, au moins le temps de réparer ton toit et de trouver un autre emploi. Très bien, tu peux conserver la chambre ou tu étais pour cette nuit, Milie iras dormir chez un ami, et nous te préparerons une chambre des demain. Bonne nuit Kazan je vais coucher mes vieux os.

La nuit passa sans ombrage. Kazan se leva très tôt, persuader d’être le premier levé, il fit une toilette très succincte et entreprise de monter sur le toit voir l’étendu des dégâts. A peine avait-il franchit le séjour qu’il fut surpris de voir Milie, préparant le petit déjeuner. Elle lui servit un peu de viande sécher avec un grand verre de lait, qu’il engloutit. Le ventre plein il grimpa les escaliers. Et en effet le toit n’existait pour ainsi dire plus. Il lui faudrait du temps beaucoup de temps et de matériel. Il commença à déblayer les gravât qui jonchait le grenier. Le soleil au zénith cognait très forts et pourtant Kazan transportait ces gravats, sans faiblir. Il était émerveiller de la vue qu’il avait sur la ville. Des maisons aux couleurs blanches et ocre s’étendait à perdre de vue, on aurait dit un foret de maison. Les rues étaient pleines de mondes gribouillant à leurs occupations. Lui errait au Nord sur les hauteurs de la ville, au centre la grande place avec le marché, immense, offrant au promeneur et au voyageur moulte trésor a acquérir. Au sud de splendide maison entourant le château, demeure de sir Beldwin, bon roi de cette partie des royaumes. A l’Ouest les maisons étaient plus sombres, plus serrer les unes aux autres. Et a l’Est se trouvait quelques échoppes, a garnison de la ville, et les prodigieuses écuries. La vue était décidément impressionnante vue d’ici.

Milie vient lui porter à manger tous les midis tous deux déjeuners sur le toi, Kazan lui racontant des histoires que son père lui avait conter, histoire d’aventurier défendant les royaumes, de mages au pouvoir titanesque, des dragons dévastant la campagne et de preux chevalier pourfendant ces dragons. Ce midi la Milie lui apporta une lettre. Kazan maladroitement prie la missive et l’ouvrit, il contempla quelques instant les écritures, puis tout honteux se tourna vers Milie et dit : je suis désoler mais je ne sait pas lire. Milie sembla éclater de rire, prie la lettre et la contempla, toujours souriante elle entrepris de lui mimer ce contenu. Au bout de deux heures de fou rire, Kazan finit par savoir qu’Artmous solliciter son aide a l’échoppe, avec le début de la grande foire, les ventes augmentaient et seul il ne pouvait satisfaire tous ces clients.

Kazan parti, les yeux grands ouvert au milieu de cette fourmilière, il avait bien regarder la route a prendre depuis son toi, mais il semblait perdu, trop de monde trop de bruit d’odeur bizarre. Il suivait le flot de personne, se faisant bousculer sans la moindre excuse, cela semblait normal. Il esquiva de justesse un cavalier qui fit une percée dans la foule sans aucun ménagement. Surpris de ces façons peu civiliser Kazan s’endurcit, il bomba le torse et marcha droit devant lui, ne s’écartant plus de sa route. Il se rendit compte que les gens le bousculer moins, il avançait beaucoup mieux ainsi. Il ne devait plus être très loin, il entendait les marchands criais les bienfaits de leurs potions miracle, et la fraîcheur de leur poisson.

Un flot d’odeur l’attaqua, la sueur mélangeait à divers parfums voluptueux, le graillons des rôtisseries, lui taquiné les narines. Il se faufila d’échoppe en échoppe, Artamous était situer dans la partie sud du marché, son échoppe ne fut pas trop dur a trouver, malgré la foule qui s’amasser devant. Me voilà Artamous que puis je faire pour t’aider ? A une fois de plus tu arrive à temps mon garçon. Madame De Valblanc est venue m’acheter un bon lot d’étoffe et ces porteurs ne sont pas passer les prendre, je vais te les confier apporte les lui au plus vite. Tiens, je t’ai préparer un plan en partant d’ici, fait très attention a ne pas abîmer les étoffes. Kazan regarda le plan quelques instant puis regarda autours de lui, et encore le plan. Sa iras mon garçon ? Oui je pense. Alors met toi en route tout de suite, tien les étoffes sont dans ce coin fais-y très attention. Ho et j’y pense prend cette bague montre la au garde il te laissera entrer.

Le plan en poche les étoffes sur le dos Kazan sillonnais les rues de la ville, il se dirigeait vers le quartier est, il en était heureux il y a bien moins d’habitation de ce coté ci de la ville Et beaucoup moins de monde aussi, d’après le plan la maison de Madame De Valblanc était situer derrière la caserne Et depuis deux semaines que Kazan regarder la caserne depuis son toi, il commença à connaître par cœur les rues qui l’entouraient. Il ne mit pas longtemps a atteindre la caserne et s’attarda un peu, a regarder l’entrée de cette immense bâtisse. De nombreux soldat s’entraînait au maniement de la hallebarde et de l’épée, pendant que d’autre s’occuper des chevaux. Mais il devait faire vite, il se jurât de repasser à l’occasion et repartit, percutant un vieux sergent qui allait rentrer dans la garnison. Je suis désoler monsieur. Tu fais bien petit, mais attend voir, je te connais toi. Non je ne pense pas Monsieur je suis en ville depuis peu. Hum… ton visage me dit quelque chose pourtant d’où viens tu ? De Franchecoline Monsieur, un petit village a une semaine d’ici vers le sud. Oui oui je vois je connais ce village, je finis bien par trouver qui tu es. Je dois y aller monsieur excuser moi encore. Kazan s’empressa de passer le coin de la rue, ce vieux sergent ne lui disait rien qui vaille.

Une grille de taille impressionnante se dresser devant lui, noir comme le geai elle semblait très lourde. Kazan cherchait autours une cloche a sonner pour s’annoncerait. Quand une lourde main se posa sur son épaule. Holà gamin ou crois tu aller comme ca ? Je dois livrer ces étoffes a Dame De Valblanc. Qui t’envoie ? Artamous Voici sa bague, il m’a dit que cela suffirait à me faire entrer. Le garde attrape la bague, et l’examine. Oui c’est bien ca bague suis le chemin et va aux cuisines, la porte blanche. La cuisinière te remettra un plat chaud et l’argent pour les étoffes. Merci, Kazan s’avança alors que le garde ouvrit et referma la grille d’une seule main et sans le moindre grincement referma la porte. Il avançait sur le chemin contemplant le jardin somptueux. Il frappa à la porte blanche ou une dame âgée tout de blanc vêtu vient lui ouvrier. A te voilà donne moi donc ces étoffes, tu ne les as pas abîmées au moins ? Voyons cela. Oui ca a l’air d’aller. Marie servait à ce jeune homme un bol de soupe, pendant que je monte montrer les étoffes a madame. Buvez votre soupe je reviens avec votre due. Une servante vient lui présenter un bol de soupe, qu’il avala tranquillement, un grand repas devait se préparait à juger de toute l’activité qui regagnait en cuisine. Au bout de quelques instant, la vielle femme revient lui tendit une bourse et une lettre, donne donc tout ceci a Artamous et dit lui bien que ma dame le remercie. Et voici pour toi, elle lui remit quelques pièces dans les mains. Aller file nous avons encore beaucoup a faire. Kazan s’exécutât sans plus attendre. De retour au marché, Artamous commençait à plier son échoppe, la journée touchait à sa fin, il était temps de rentrer. Alors Kazan tout c'est bien passer ? Madame De Valblanc était satisfaite ? Je pense oui, elle m’a fait remettre cette bourse et cette lettre pour toi, et te remercie. Bien bien nous verrons ce qu’elle a â me dire plus tard. Ils finirent de ranger l’échoppe et de la fermer et rentrèrent ensemble.

JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine