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Tristesse...
Par persianne le 12/11/2001 à 7:14:00 (#473791)
Une odeur au goût de miel.
Il reste au fond de moi
Une tiédeur au goût de fièvre.
J'ai gardé cette odeur,
J'ai gardé cette tiédeur....
Ton départ qui semble être une fuite
Me fait désespérer
Qu'il y ait un jour une suite.
*s'eloigne tristement...*
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Par Redspid le 12/11/2001 à 7:17:00 (#473792)
Bravo,mais c'est triste.
Par Tsagoi le 12/11/2001 à 8:10:00 (#473793)
Par Falvel Bargath le 12/11/2001 à 9:14:00 (#473794)
Tes poèmes sont toujours aussi beau, bienque celui la soit tres triste il reste jolie.
*Bises*
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[ 15 novembre 2001: Message édité par : ***caline*** ]
Par Alexandre I le 12/11/2001 à 11:38:00 (#473795)
Je vois tomber la pluie.
Les notes dun clavecin
Bercent ma rêverie.
La musique est joyeuse
Mais mon bonheur éteint.
Elle est partie ce matin.
Bien sûr elle reviendra,
Et je lentend déjà
Me dire mille nouvelles.
Comme je la trouve belle !
Mais pour lheure je suis seul,
Le concert est fini.
Il reste ma torpeur,
Le froid qui mengourdit
Par Alexandre I le 12/11/2001 à 11:39:00 (#473796)
Des airs tristes
Et jai joué tristement.
Comme la mélancolie sied à cet instrument.
Chante, doux compagnon
Mes amours blessées,
La douleur qui mempoigne.
Pour lheure tu résonnes
En écho de mon cur dévasté,
Demain tu sonneras
La danse et la joie.
Par Alexandre I le 12/11/2001 à 11:44:00 (#473797)
qui vient du nord et ne donne pas chaud .
non pas celles qui détruisent,
par les gestes ou par les mots.
J'ai l'impression que dans ma tête
est passé comme un ouragan,
qui a transformé tout mon être,
en une masse sans sentiments.
Pourquoi lui ai-je dit je t'aime ?
car il n'y a pas eu d'écho.
entre lui et nous, il y a elle
qui en dit plus qu'avec des mots.
Par persianne le 12/11/2001 à 12:48:00 (#473798)
Réveillant les souvenirs assoupis.
Les fantômes oubliés
Surgissent du passé, envahissent tes rêves.
Du fond de ton sommeil,
Refuge de l'insondable oubli,
Porte ouverte sur l'irrationnel,
Royaume où tout est différent,
Tu n'entends plus tes cris,
Tu ne sens plus ta douleur.
Tu vis tes nuits
Comme tu vis ta vie.
Tu gardes le meilleur,
Tu te souviens des pleurs,
Tu retrouves tes peurs.
Pour eux tu pouvais être tout
A présent tu n'es rien.
Pourquoi as-tu changé ?
Et pourquoi t'es-tu réveillée ?
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Par Tsagoi le 12/11/2001 à 13:00:00 (#473799)
je dévore ces poemes
[ 12 novembre 2001: Message édité par : Baldrick ]
Par Falvel Bargath le 12/11/2001 à 17:39:00 (#473800)
ton pouvoir d'envouter les personne,la beauté de tes poeme et la puisssance de tes poemes augmentent.
Je les trouvent de plus en plus beau.
J'espere qu'un jour tes poèmes seront plus joyeux mais qu'il garderont le pouvoir qu'ils ont :)
*bise persianne :p*
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[ 15 novembre 2001: Message édité par : ***caline*** ]
Par persianne le 12/11/2001 à 17:53:00 (#473801)
Tu erres au rythme de ta folie.
Tu cherches en vain la délivrance :
Éternité, jouissance et volupté,
Ombre et lumière, désespérance.
Est-ce la mort ? Est-ce la vie ?
Et ce parfum que tu respires,
D'où vient-il, sinon de ta nuit,
De ta souffrance,
De ta naissance ?
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Par Alexandre I le 12/11/2001 à 18:03:00 (#473802)
Une larme quon ne peut retenir
Qui coule le long des tombes
Des enfants sans avenir.
Une larme quon voudrait arrêter
Pour lempêcher de couler
Et de blesser le cur brisé
Dune enfant abandonnée.
Le soleil joue avec la larme
Comme la Mort avec une arme
Laissant emprisonner
Ses rayons irisés.
Que faire quand la douleur
Accompagne les pleurs
Et quand le malheur
Joue avec la peur ?
Impuissance sublime
Qui étreint mon cur
Le plongeant dans un abîme
Dune sombre couleur.
Regarder la larme couler
Pour ne jamais oublier
La tristesse cachée
Des enfants abandonnés.
La larme coule
Et dans la foule
Personne ne sest arrêter
Pour voir lenfant pleurer
Par Alexandre I le 12/11/2001 à 18:04:00 (#473803)
De tes yeux fatigués
Une larme est tombée
De ton cur épuisé
Tu as longtemps essayé
De la retenir
Mais tu nas pas trouvé
La force de sourire
La larme descend lentement,
Tel un triste diamant,
Et rejoint les malheurs
Des enfants en pleurs.
Mais dans ton souvenir,
Brille la force de lavenir
Tel léclat du diamant
Qui disparaît maintenant
Par Alexandre I le 12/11/2001 à 18:05:00 (#473804)
Un sourire qui se cache,
au fond de ton cur
Un sourire sans attache
Enfouis sous la peur
Une étoile dans tes yeux
Qui ne peut plus briller
Une étoile que je ne peux
Te faire oublier.
Je ne sais que faire
Contre ta douleur
Je ne peux que me taire
Devant ton malheur
Mais dans mon âme
Brille lespoir
De sècher tes larmes
A lombre dun soir
Par Alexandre I le 12/11/2001 à 18:08:00 (#473805)
Quon voudrait partager
Un bonheur discret
Qui na pas existé
Un papillon dans mon âme
Qui ne peut se poser
Si léger quune larme
La fait tomber
La souffrance jamais
Ne pourra cesser
Tant que mon cur est
Triste à en pleurer
Et si le soleil
Pouvait encore briller
Le sang vermeil
Cesserait de couler
Par persianne le 12/11/2001 à 21:14:00 (#473806)
Où la raison défaille.
Trottoirs perdus
Dans le hasard des rues.
Maisons de paille
Où la lumière prend fin.
Ciel gris,
Marbré de blanc, de bleu.
Soleil oublié par les hommes,
Ombre de toi,
Fantôme.
Tu reviens du pays
D'où l'on ne revient pas.
Tu as connu la mort,
Et tu n'es plus personne.
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Par persianne le 12/11/2001 à 21:17:00 (#473807)
Sous une dernière pluie.
Une étoile dans la nuit
La première de cette nouvelle vie.
Lumière de pluie
Sous la dernière étoile.
Un dernier cri....
Il n'y a plus de folie
Il n'y a plus d'étoile
Il ne reste que la nuit
Qui éclaire la vie.
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Par Kraktophos le 12/11/2001 à 22:25:00 (#473808)
Si seulement je pouvais
Être là pour toi
Moi qui aimerais
Que tu retrouve ta joie...
Mais les journées sont longues
Et ton attente est très longue...
Je ne peux jamais rien promettre
Je serais là
Ou je ne le serais pas
Je peux seulement me permettre
De t'aimer
Et de te demander de ne pas me repousser
Si seulement j'avais cette capacité
Nous nous aimerions pour l'Eternité...
:(
*poutoux à Persianne en passant*
Par persianne le 12/11/2001 à 22:40:00 (#473809)
Te rendre le sourire.
Je voulais
Te parler de plaisirs.
Je voulais
T'inspirer du désir.
Mais depuis ton absence
Depuis l'indifférence
Le temps a coulé
Les larmes ont séché.
De soupirs en désirs
Le film de mes nuits
Projette en nostalgie
L'image d'un sourire.
Je devine des plaisirs
A jamais interdits.
Et si tu n'es qu'un rêve
Ton sourire est bien plus
Qu'un merveilleux mirage
Qu'une amertume brève,
Ou qu'un lointain voyage.
C'est grâce à ce sourire
Que parfois j'ai vécu,
Que j'ai senti la joie.
Et si je change pour toi,
Espérant ton amour
Et souhaitant ton retour
Tu ne le sauras pas....
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Par Kraktophos le 12/11/2001 à 23:14:00 (#473810)
J'aurais beau te conter que tu es jolie
Tu vas encore te dire:
Mais qu'est-ce que c'est que ces conneries!!
J'aurais beau t'aimer
J'aurais beau te parler
J'aurais beau te répondre
Rien ne pourra remédier à cette ombre...
J'espère que tu continuera de m'aimer
Car si ce n'est pas le cas, je vais souffrir
A en mourir,
Même si c'et ma dernière pensée...
voila...même pas le courage d'aller plus loin, goa ça commence à faire... je vais m'arrêter là, après je rsquerais d'être malpoli...
:(
Par **Brume** le 12/11/2001 à 23:30:00 (#473811)
Par Golgotha Lochly le 12/11/2001 à 23:47:00 (#473812)
pour tout ce que je dis
peut être que votre coeur
ne ressent pas ceci
Moi je trouve si triste
que juste par plaisir
tant de tauromachistes
écourtent l'avenir
de ces bêtes si nobles.
et que sous l'estocade
point elles ne se dérobent
et tombent sur le sable.
Je tremble pour la bête
et pour le torero
tous deux sont de la fête
qui sera le héros ?
Il n'a aucune chance
face au bon picador
qui laisse alors la danse
au beau toréador.
A chacun son émoi
et chacun sa couleur,
le sang se glace en moi,
quand je vois le "saigneur".
Par persianne le 13/11/2001 à 0:09:00 (#473813)
Tu ne partiras jamais dans l'oubli
Au fond de moi restera ta lueur
Elle deviendra mes moments de bonheur
Elle me guidera quand je douterais
Elle me permettra d'atteindr' les sommets
Tout simplement Vers elle j'avancerai
Et jamais elle ne s'eteindra JAMAIS
Par elle je vais croire en l'avenir
Oser et ne plus cacher mes désirs
Je trouverais la force de continuer
Sagement je resterais dans l'ombre
Aussi n'éteins jamais cette lueur
C'est toi, toi seul qui fait battre mon coeur
Laisse la briller tout au fond de moi
Et puise la force que tu as en toi
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Par Golgotha Lochly le 13/11/2001 à 0:14:00 (#473814)
Mes pensées sont pour toi.
Il n'est pas un instant
où je ne te ressens.
Quand je suis dans tes bras,
le temps ne compte pas.
Lorsque je dois partir,
cela me fait souffrir.
Le temps est bien trop court,
c'est ça je crois l'amour.
ps: mdr on va jamais ce coucher a cette allure *ferme IE* bonne nuit
Par Falvel Bargath le 13/11/2001 à 7:12:00 (#473815)
c'est tellement triste,
J'éspère que tout pourra un jour s'arranger
bise bise
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[ 15 novembre 2001: Message édité par : ***caline*** ]
Par persianne le 13/11/2001 à 7:17:00 (#473816)
je ne sais quel est ton chagrin
alors ferme les yeux
et ne pense plus au tien.
Laisse partir les habitudes,
oublie tes peines au fond du ravin,
calme ton cur soucieux,
laisse ton corps, défais tes liens.
Tue la douleur de l'amertume,
oublie ton sort, ne pense à rien
tu iras beaucoup mieux,
la tête vide on est si bien.
Viendra alors la gratitude
de ceux qui te tendent la main,
c'est le courage qui font d'eux
l'espoir de vivre le lendemain.
Tu pourras sortir des brumes
pour chaque jour qui vient,
et sans implorer Dieu
tu iras voir plus loin....
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Par Golgotha Lochly le 13/11/2001 à 8:24:00 (#473817)
où il faut savoir crier ses mots bleus
seulement avec les yeux,
Non comme loup au clair de lune.
Comme au bord d'un grand précipice,
doté d'un éclat de beauté,
Je redeviens vite réaliste,
pour ne pas y être attirée
comme au centre du sommeil.
Nous ne sommes que des rencontres
telle Alice au pays des merveilles,
dans son invraisemblable monde.
Tu as en toi tout ce que j'aime
et quand je suis à tes côtés,
tout à coup tout devient poème
je laisse mon esprit errer.
Lorsque je me retrouve seule,
alors simplement je transcris
ce que je ressens, sur ma feuille
c'est ainsi que je te le dis.
Lorsque je te vois mes mains tremblent,
et c'est délire dans mon esprit
jusqu'à vouloir devenir cendre,
à tes pieds comme un tapis.
Ce n'est pas une belle image
mais ma façon de dire que j'aime
en regardant ton doux visage,
si ça ne te cause problème.
Par persianne le 13/11/2001 à 8:39:00 (#473818)
On aimerait souvent observer toute la terre
Dun seul et même endroit
On aimerait tout voir, tout entendre
Tout comprendre, tout apprendre
On aimerait avoir des ailes
Et décider de partir
Quand nous en prendrai
On aimerait être libre
Et se sentir attacher à ceux quon aime
Par un lien invisible mais existentiel
Qui nous ramènerait toujours par eux
Meme après les douleurs
Il serait toujours la
On aimerait tant, tant
.
Nous avons le temps, tant de temps
Et si la vie nous est prise
Nous aurons au moins vécu
Et vécu tout ce que nous aurons voulu
Nous aurons fait entendre nos voix
Nous aurons aimé des milliers de fois
Pour des personnes toutes différentes
Cest ça la vie, elle est belle
Si tu le veux, ouvre les yeux
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Par persianne le 13/11/2001 à 9:59:00 (#473819)
Devant elle sallongent les mots, sur le papier ;
Son visage par une bougie est éclairé,
Et tout autour delle est plongé dans lobscurité.
Certains la voient, mais ne la comprennent pas ;
Mais pourquoi donc écrit-elle tout cela ?
Elle seule réellement le sait,
Et ne le leur dévoilera jamais ;
Elle le gardera toujours secret,
Comme pendant tant dannées elle a fait.
Beaucoup de gens disent quelle est dans sa tête
Et que dans son esprit, rien non rien nest net.
Aligner ses vers lui permet de tout oublier,
Et daffronter son pire ennemi, lui, le passé ;
En ce jour dans la poésie elle sest réfugiée,
Espérant être un jour des ténèbres libérée.
Et dans son cur, pas de place pour la Haine,
Il est déjà complet, empli par la peine.
Toutes les émotions quelle peut ressentir,
Son seul moyen de les exprimer, cest décrire,
Ecrire lui permet de ne plus tant souffrir
Et denfin retrouver son éternel sourire.
Où se cache-t-il cet éternel sourire ?
Et sera-t-il visible, à lavenir ?
Dun battement daile elle rejoint son trésor,
Ce trésor caché là-bas, très loin de son corps ;
A lintérieur de ce si lointain coffre-fort
Se trouvent ses souvenirs, ces parcelles dor.
Et ce coffret, elle seule en a la clé,
De peur de voir ses souvenirs senvoler
Jamais elle ne se lassera de contempler,
De se rappeler tous les moments quelle a passés
Avec toutes les personnes quelle a tant aimées,
Des instants pourtant vécus il y a tant dannées !
Jour après jour lenvahit la nostalgie,
ET cest pour la fuir que des vers elle écrit.
Ayant très tôt perdu son confident,
Elle a dû exprimer ses sentiments ;
Et depuis ce jour jusquà maintenant,
Elle ne le fait plus quen écrivant
Cest ainsi quun beau jour elle sest enfermée
Seule au fond de son cur, comme un crustacé
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Par Olander utalm le 13/11/2001 à 12:51:00 (#473820)
Le matin venait de naître tout baigné de soleil
Je regarde par la fenêtre, sortant de mon sommeil
La journée me semble honnête, d'une douceur de miel
Les oiseaux chantent a tue-tête, c est l heure du reveil
Ton corps pres de moi repire l amour, le parfum du désir est encore présent
Jamais je n avais eu tant peur du jour, Celui qui attire les adieux dechirants
Car je dois partir pour toujours, pour faire la guerre a d'autres gens
Mon coeur bat comme un tambour; est ce la peur que je ressent?
Mon amour tu dors encore d'un sommeil insouciant
Tu rêves de nos corps qui sont encore brûlant
Je garde comme un tresor ces souvenirs emouvants
L'etreinte de ton corps, ton amour enivrant
Car c'est sur je dois partir et je ne puis rester
Cela me fait souffrir mais je dois te quitter
Je n ai rien pu te dire, t avouer la verité
Tu vas me maudire, pour ne pas me regretter
Une larme a coulée s écrasant sur le lit
Et je me suis eclipser, sans faire aucun bruit
Je garde tes baisers et notre tendre nuit
Tu reste mon éternité, l amour de ma vie
Je selle mon cheval, je pars au petit matin
Mon coeur me fait si mal, il est lourd de chagrin
Est ce bien normal de partir aussi loin
Pour combattre d autres âmes et affronter mon destin?
Je garderais en souvenir tes yeux amoureux et tendres
Ta facon de rougir lorsqu on te complimente
Ta facon de faire l amour que le desir augmente
Qui mène sans detour a l irresistible jouissance
Celui de ton corps en sueur d'être trop aimer
le regard et la peur de ton premier baiser
tes mains pleines de caresses agreables au touchée
Et enfin l ivresse que tu as su me donner
Je te regrette deja tu peux en être sur
Car j emmene avec moi ma premiere blessure
Mon coeur saigne sans toi, malgre mon armure
Jai bien peur ma foi qu'à jamais cela ne dure
Enfin je ne puis faire autrement que vivre dans la peine
Et combattre farouchement, me noyer dans la haine
Oubier mes sentiments la raison 'est plus mienne
Seulement retenir qu'avant j'avais su dire :"Je t'aime"
" Aux temps anciens..."
Olander Utalm paladin d'artherk.
nullnull
Par persianne le 13/11/2001 à 15:12:00 (#473821)
Si tu t'aperçois que tu t'es trompé de chemin
Ne te laisse pas couler au fil des jours et du temps !
RECOMMENCE !!!
Si la vie te semble trop absurde
Si tu es déçu par trop de choses et de gens,
Ne cherche pas à comprendre pourquoi !!!
RECOMMENCE !!!
Si tu as essayé d'aimer et d'être utile,
Si tu as connu la pauvreté et les limites,
Ne laisse pas là une tâche à moitié faite.
RECOMMENCE !!!
Si d'autres te regardent avec reproche,
S'ils sont déçus par toi, irrités,
Ne te révolte pas, Ne leur demande rien,
RECOMMENCE !!!
Car l'arbre rebourgeonne en oubliant l'hiver,
Car le rameau fleurit sans demander pourquoi
Car l'oiseau fait son nid sans songer à l'automne,
Car la vie est ESPOIR et RECOMMENCEMENT...
*bisous papa !!!!*
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Par Golgotha Lochly le 13/11/2001 à 16:07:00 (#473822)
Pourquoi sommes nous sur cette terre?
Est-ce pour souffrir et être dans la misère
Qu'est-ce que la terre?
Est-ce le paradis ou l'enfer?
Qu'est-ce qu'on est venu faire ici?
Doit-on dire merci?
On vit puis on meurt
On vit dans le bonheur ou dans les pleurs
On est heureux ou malheureux
On pleure ou on rit
Triste ou joyeux
Mais on vit...
[ 13 novembre 2001: Message édité par : Golgotha Lochly ]
Par persianne le 13/11/2001 à 16:38:00 (#473823)
Au gré des vents et à contretemps
Dites-moi où dois-je frapper à la porte
Pour crier à l'aide,
Car j'ai besoin d'encouragements.
Si vous saviez comme c'est difficile d'être seule
Dans un monde où l'on doit quêter
A quelque part un peu d'amour et d'amitié!
Viendra-t-il le jour où je pourrai
Avec mes peines et mes misères
Tout simplement me faire accepter et peut-être aimer?
Laisser donc loin de moi tous vos préjugés
Car j'ai moi aussi un coeur mais il est désespéré.
Dans une grande souffrance vous comprendrez
Que les paroles qui sortent ne sont pas vraiment le fond de ma pensée
Car je suis devenue révoltée
De toute l'injustice qui règne dans notre société
Ai-je le droit de ne pas être jugée
Car mes sentiments étaient ceux d'une désespérée
Sentiments de rejet, de mépris et de mal-aimée
Ce mal de vivre? Peut-être une soif d'aimer!
Aimer surtout dans mon coeur car trop souvent incapable de
l'exprimer.
Dites aux autres que vous les aimer
Aujourd'hui car demain peut-être vous ne les verrez
Puis demain est une autre journée
Et Dieu seul sait si j'aurai la chance de pouvoir vous dire assez
Combien je vous ai tous tant aimés
Car c'est dans mon vivant que je dois vous le démontrer
Puisqu'au jour de la mort, il ne reste que des larmes à verser...
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Par Olander utalm le 13/11/2001 à 20:38:00 (#473824)
A reciter ces doux poemes Persianne
Je peut lire la tristesse qui envahit ton âme
Je ne te ferais pas le clicher « je sais ce que tu ressent »
Je laisse ça au menteur et au marchand de vent
J estime que la peine est unique pour chaque être
La tienne a l air profonde presque trop discrète
Je suis de ceux qui croient aux pouvoirs des mots
Ecrire ce que l ont ressent cest ce qu il y a de plus beau
La tristesse dont ton cur est emplit
Couche là sur papier comme une thérapie
Elle partira sans aucun doute avec beaucoup de temps
Remplacer par la joie ,le bonheur que ton cur attend
Je te le souhaite de toute mon âme Persianne
Que l amour et la joie ravive ta flamme
Car je pense que tout au fond de toi
Il reste encore une infime parcelle de joie
Olander Utalm paladin poete
*Bisous ma fille*
Par Olander utalm le 13/11/2001 à 20:44:00 (#473825)
Elle est ma vie, ma raison dêtre, mon moi
La raison, qui me pousse à vivre ici bas
Au-dessus des hommes, au-dessus des lois
Son bonheur est important a mes yeux
Je combattrais tout homme ou tous dieux
Escaladerait mille montagnes jusqu au cieux
Pour que sa vie ne soit que rêve merveilleux !
C est de toi ma fille dont je parle
Mon bonheur, la fierté des utalm
Nous sommes fiers de toi et mon âme
Est tatoue de ton prénom : Persianne
A ma fille
Olander utalm paladin poete
Par Golgotha Lochly le 13/11/2001 à 20:46:00 (#473826)
Qu'avez vous fait de moi ?
Je ne me reconnais plus.
Vous m'avez tant pressée
Pressée comme un fruit.
Je suis dessèchée
Qu'ai je fait de ma vie.
Regardez moi !
Je n'ai même plus de larmes,
Ni même d'éclats de rire.
J'ai déposé les armes,
`Je n'ai pas d'avenir.
Regardez moi !
Je n'ai plus d'amis.
Il n'y a plus que moi
Et ma pauvre vie.
ps : g répondu a ton mess pv ;)
Par Golgotha Lochly le 13/11/2001 à 20:49:00 (#473827)
berce mon remord,
les promesses oubliées,
le parjure de l'amour,
la trahison de l'ami.
Tous les mensonges qui m'ont fait
l'esprit et le corps fatigués.
Par Golgotha Lochly le 13/11/2001 à 20:55:00 (#473828)
Certaines personnes se sentent découragées car elles ne comprennent pas leur mission sur terre. Elles ont l'impression d'être inutiles et elles ne savent pas quel sens donner à leur existence. Nous sommes ici pour célébrer la vie, pour chanter avec le soleil, les arbres, les oiseaux et nos semblables des hymnes de joie. Comme c'est à la fois simple et difficile, n'est-ce pas? Nous ne sommes pas heureux d'être simplement en vie, alors que, pourtant, nous sommes nous-mêmes un miracle. L'esprit qui nous habite demande si peu en échange de ce qu'il apporte. Nous n'avons qu'à reconnaître sa présence et à partager la joie qui en découle. Ne cherchons plus et rappelons à nos proches de ne pas oublier de rendre hommage à la vie, tout simplement.
Un homme avait vécu des épreuves difficiles au cours desquelles il avait perdu sa santé, son emploi, sa maison et sa famille. Aux yeux du monde extérieur, c'était un homme fini. Il prit conscience que sa perte datait de très loin. Quand il était en santé, il était aveugle à l'essentiel des choses. Il utilisait ses ressources et son corps comme des machines; il faisait fi de ses émotions et ne s'intéressait pas à sa vie intérieure, encore moins à sa vie spirituelle. La maladie et la déchéance sociale, plus pénibles qu'elles fussent, lui avaient tout de même permis de comprendre à quel point il s'était trompé. La seule chose qu'il regrettait, c'était d'avoir dû en arriver là pour comprendre qu'il ne sert à rien de se mentir à soi-même.
oula c long :p
hihi
zibout a ceux qui ont eu le courage de lire :p
Par persianne le 14/11/2001 à 22:42:00 (#473829)
Merci papa...tes poemes me vont droit au coeur.
*bisous*
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