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Novembre touche à sa fin... mais les chansons continues

Par Sisyphe le 26/11/2001 à 19:54:00 (#426524)

Je suis en retard aussi je vais me rattraper...

Et voilà pour rester dans le ton...

Elle te fera changer la course des nuages,
Balayer tes projets, vieillir bien avant l'âge,
Tu la perdras cent fois dans les vapeurs des ports,
C'est écrit...
Elle rentrera blessée dans les parfums d'un autre,
Tu t'entendras hurler "que les diables l'emportent"
Elle voudra que tu pardonnes, et tu pardonneras,
C'est écrit...
Elle n'en sort plus de ta mémoire
Ni la nuit, ni le jour,
Elle danse derrière les brouillards
Et toi, tu cherches et tu cours.
Tu prieras jusqu'aux heures ou personne n'écoute,
Tu videras tous les bars qu'elle mettra sur ta route,
T'en passeras des nuits à regarder dehors.
C'est écrit...
Elle n'en sort plus de ta mémoire
Ni la nuit, ni le jour,
Elle danse derrière les brouillards
Et toi, tu cherches et tu cours,
Mais y a pas d'amours sans histoires.
Et tu rêves, tu rêves...
Qu'est-ce qu'elle aime, qu'est-ce qu'elle veut ?
Et ses ombres qu'elle te dessine autour des yeux ?
Qu'est-ce qu'elle aime ?
Qu'est-ce qu'elle rêve, qui elle voit ?
Et ces cordes qu'elle t'enroule autour des bras ?
Qu'est-ce qu'elle aime ?
Je t'écouterai me dire ses soupirs, ses dentelles,
Qu'à bien y réfléchir, elle n'est plus vraiment belle,
Que t'es déjà passé par des moments plus forts,
Depuis...
Elle n'en sort plus de ta mémoire
Ni la nuit, ni le jour,
Elle danse derrière les brouillards
Et toi, tu cherches et tu cours,
Mais y a pas d'amours sans histoires.
Oh tu rêves, tu rêves...
Elle n'en sort plus de ta mémoire
Elle danse derrière les brouillards
Et moi j'ai vécu la même histoire
Depuis je compte les jours...
Depuis je compte les jours...
Depuis je compte les jours...

Francis Cabrel
C'est écrit

Par Sisyphe le 26/11/2001 à 19:55:00 (#426525)

Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.

Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes
À trop vouloir te regarder,
J'en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
C'est ton sourire qui me l'a dicté.

Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
Tu viendras toujours du côté
Où le soleil se lève
Et si malgré ça j'arrive à t'oublier
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets.

Mais puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.

Francis Cabrel
L'encre de tes yeux

Par Sisyphe le 26/11/2001 à 19:56:00 (#426526)

Je suis entré dans l'église
Et je n'y ai vu personne
Que le regard éteint du plâtre des statues
Je connais un endroit où il n'y a rien au-dessus
Je pense encore à toi.
J'aurais dû me méfier des vents qui tourbillonnent
De ces pierres qui taillent cachées sous l'eau qui dort
De ces bouts de ruisseaux qui deviennent des ports
Je pense encore à toi.
On m'avait dit que tout s'efface
Heureusement que le temps passe
J'aurai appris qu'il faut longtemps
Mais le temps passe, heureusement, heureusement.
J'ai croisé le mendiant qui a perdu sa route
Dans mon manteau de pluie je lui ressemble un peu
Et puis j'ai ton image plantée dans les yeux
Je pense encore à toi.

Francis Cabrel
Je pense encore à toi

Par Sisyphe le 26/11/2001 à 19:56:00 (#426527)

Elle n'aimait pas mon deux pièces séjour
Toi qui voyages si tu la croises un jour
Reviens me dire, reviens me dire
Dis-moi un peu si elle porte toujours
Dans les cheveux ses essences d'amour
Et tous mes rêves sur ses lèvres
Mais promets-moi
Ne t'approche pas trop
Si tu poses tes doigts
Au bronze de sa peau
Tu délires, tu délires.
Sans me méfier
Je l'ai serré très fort
Aujourd'hui encore
J'en ai les yeux qui brûlent, qui brûlent.
Elle, elle a l'âge des voyages au long cours
Des princes arabes et mariages d'amour
Des esclaves libres, des histoires à suivre...
Moi je ne rentrais souvent qu'un soir sur deux
Et mes amis étaient des gens curieux
Difficile à suivre, dis-lui, je réapprends à vivre.
Mais promets-moi
Ne t'approche pas trop
Si tu poses tes doigts
Au bronze de sa peau
Tu délires, tu délires.
Sans me méfier
Je l'ai serré très fort
Aujourd'hui encore
J'en ai les yeux qui brûlent, qui brûlent.
Elle n'aimait pas mon deux pièces séjour
Toi qui voyages si tu la croises un jour
Reviens me dire, reviens me dire.
Dis-lui que pour elle je donnerais
Mon dernier souffle et même celui d'après...

Francis Cabrel
Si tu la croises un jour

Par Sisyphe le 26/11/2001 à 19:57:00 (#426528)

Une dernière... pour la série triste...

Tout le monde y pense,
Les hommes, les anges, les vautours,
Y a plus de distances,
Personne qui ait les bras trop courts,
Tout le monde espère,
Même à l'arrière des arrière-cours,
Tout le monde veut son billet retour,
D'amour, d'amour, d'amour, d'amour.

Son éclat de chance,
Celui qui vous brûle, vous inonde,
Mais le ciel s'en balance,
Puisqu'il y en a pas pour tout le monde,
Y a des gens plein les urgences,
Sous les lumières des abat-jour,
Qui attendent leur billet retour,
D'amour, d'amour, d'amour, d'amour, d'amour.

Ces anges qui dansent,
Sur ces pistes trempées d'alcools,
Dans ces caves immenses,
Les cheveux collés aux épaules,
S'envolent en silence,
Et s'éparpillent au petit jour,
En cherchant des billets retour,
D'amour, d'amour, d'amour, d'amour, d'amour.

Ces femmes qui s'avancent,
En tenant au bout de leurs bras,
Ces enfants qui lancent,
Des pierres vers les soldats,
C'est perdu d'avance,
Les cailloux sur des casques lourds,
Tout ça pour des billets retour,
D'amour, d'amour, d'amour, d'amour, d'amour.

Les hommes, les anges, les vautours...
Personne qui ait les bras trop courts...
Tout le monde y pense...

Francis Cabrel
Tout le monde y pense

Par Sisyphe le 26/11/2001 à 19:58:00 (#426529)

Si j'ai bien toute ma mémoire
Disait Dieu dans un coin du ciel
J'avais commencé une histoire
Sur une planète nouvelle, toute bleue
Bleue, pour pas qu'on la confonde
Je vais aller m'asseoir sur le rebord du monde
Voir ce que les hommes en ont fait
J'y avais mis des gens de passage
Et j'avais mélangé les couleurs
Je leur avais appris le partage
Ils avaient répété par cœur
"Toujours" ! tous toujours dans la même ronde
Je vais aller m'asseoir sur le rebord du monde
Voir ce que les hommes en ont fait
Je me souviens d'avoir dit aux hommes
Pour chaque fille une colline de fleurs
Et puis j'ai planté des arbres à pommes
Où tout le monde a mordu de bon cœur
Et partout, partout des rivières profondes
Je vais aller m'asseoir sur le rebord du monde
Voir ce que les hommes en ont fait
Soudain toute la ville s'arrête
Il paraît que les fleuves ont grossi
Les enfants s'approchent, s'inquiètent
Et demandent "pourquoi tous ces bruits ?"
Sans doute, Dieu et sa barbe blonde
Dieu qui s'est assis sur le rebord du monde
Et qui pleure de le voir tel qu'il est !
Dieu qui s'est assis sur le rebord du monde
Et qui pleure de le voir tel qu'il est.

Francis Cabrel
Assis sur le rebord du monde

Par Sisyphe le 26/11/2001 à 20:06:00 (#426530)

Après celles là, promis j'arrête...

Adieu l'ami
Faut se quitter
Car tout s'arrête
Avec l'été
L'AMI
Les feuilles sont tombées
Sur les routes gelées
L'AMI
Quand on courait
Sur les chemins
Pavés de fête
Mouillés de vin
L'AMI
Nos chansons nous disaient
Que cela durerait la vie
L'AMI

Au revoir, au revoir
Qui sait jamais
Tout peut recommencer
Au revoir, au revoir
Il faut croire en l'été
L'AMI

L'harmonica chante sans nous
Il chante encore
Nos quat'cents coups
L'AMI
Si un jour il se tait
C'est qu'on aura changé
L'AMI

Au revoir, au revoir
Qui sait jamais
Tout peut recommencer
Au revoir, au revoir
Il faut croire en l'été
L'AMI

Gilbert Bécaud
Au revoir

Au revoir au revoir
Au revoir au revoir
S'en aller de la ville
Sans autre envie
Qu'un peu de réconfort
Tranquille
Emporté par le style
D'une chanson sans effort
Où la vie est cachée par des mots inutiles

Au revoir au revoir
Au revoir au revoir
Pouvoir laver le ciel
Tout effacer
Ne rien recommencer
Ou peut-être
Essayer de trouver
Pour s'éloigner de l'enfer
Un bateau rose et vert qu'on enterre dans la mer

Au revoir au revoir
Au revoir au revoir
Faire la part des choses
Se dire que l'on ose
Tout remettre en cause
Et partir
Au revoir au revoir
Au revoir au revoir

Daniel Balavoine
Au revoir

[ 26 novembre 2001: Message édité par : Sisyphe ]

Par Quisalas le 26/11/2001 à 20:11:00 (#426531)

Contribut un peu :)

Hotel California

On a dark desert highway
Cool wind in my hair
Warm smell of colitas
Rising up through the air
Up ahead in the distance
I saw a shimmering light
My head grew heavy, and my sight grew dim
I had to stop for the night
There she stood in the doorway
I heard the mission bell
And I was thinking to myself
This could be Heaven or this could be Hell
Then she lit up a candle
And she showed me the way
There were voices down the corridor
I thought I heard them say

Welcome to the Hotel California
Such a lovely place
Such a lovely place
Such a lovely face
Plenty of room at the Hotel California
Any time of year
Any time of year
You can find it here
You can find it here

Her mind is Tiffany twisted
She's got the Mercedes bends
She's got a lot of pretty, pretty boys
That she calls friends
How they dance in the courtyard
Sweet summer sweat
Some dance to remember
Some dance to forget
So I called up the Captain
Please bring me my wine
He said
We haven't had that spirit here since 1969
And still those voices are calling from far away
Wake you up in the middle of the night
Just to hear them say

Welcome to the Hotel California
Such a lovely Place
Such a lovely Place
Such a lovely face
They're livin' it up at the Hotel California
What a nice surprise
What a nice surprise
Bring your alibies

Mirrors on the ceiling
Depict champaign on ice
And she said
We are all just prisoners here
Of our own device
And in the master's chambers
They gathered for the feast
They stab it with their steely knives
But they just can't kill the beast
Last thing I remember
I was running for the door
I had to find the passage back to the place I was before
Relax said the nightman
We are programed to recieve
You can check out any time you like
But you can never leave

Par Weaver le 26/11/2001 à 21:11:00 (#426532)

Montée là-haut
Saez

Le ciel ne sera plus jamais
Aussi noir qu'il naît aujourd'hui
Comme un soleil ensorcelé
Tes yeux se perdent dans mes nuits
On n'était pas du même monde
Mais qu'est-ce que ça fait maintenant
Puisque les anges et les colombes
Se sont enfuis avec le vent

Depuis que t'es montée là-haut
Les anges n'ont jamais été plus beaux
Depuis que t'es montée là-haut
Ici moi je me sens toujours de trop

Paraît que t'étais une princesse
Moi je n'en ai jamais connue
Juste des larmes et des détresses
Et ma chanson un peu perdue
Si un jour tu veux redescendre
Sache que mon coeur est ouvert
Et qu'il saigne à n'en plus comprendre
Où est l'eden où est l'enfer

Depuis que t'es montée là-haut

Et la lumière viendra, éclairer ces ténèbres
A la lueur du feu, qui séteint déjà
Et toi tu partiras, et moi qui suis là
Si tu veux de moi, si tu veux de moi
Et je temmènerai loin de ce monde,
Et je remercierai DIEU de tavoir fait,
Et les bras vers le ciel, je te tiendrai la lune
Si tu veux de moi, si tu veux de moi
Et si un jour la mort nous séparait,
Promis, là-haut, moi, je tattendrai
Et sur tes nuits je veillerai,
Comme une étoile, comme une étoile.

Par Weaver le 26/11/2001 à 21:12:00 (#426533)

Petit prince
Saez

Salut toi l'étoile filante
Ici-bas c'est le petit prince
Entends-tu les sirènes chantent
Le souffle de la fin qui vient

Combien de nuits que je te suis
Et les ailes n'ont pas poussé
Puisque cette nuit c'est écrit
Je m'en vais

Adieu mon amour perdu
Mais que la paix nous sauve enfin

Oh non ne pleure pas mon ange
Non ce n'était qu'un mauvais rêve
Mais tu sais qu'en ces jours étranges
Le monde crève

Adieu mon amour perdu
Mais que la paix nous sauve enfin
Un jour

Par Weaver le 26/11/2001 à 21:18:00 (#426534)

Laisse le vent emporter tout
Myleme Farmer

Mais tout ce qui s'est passé
Glisse à côté
Comme l'eau sur les joues
Rester comme ça attaché
Quand l'autre a quitté

Et tous ce mots qu'on a dit
Mot qu'on a fuit
Où sont ils allés
Rester comme ça attaché
Ne peut rien changer
Alors va

Je laisse le vent emporter tout
Laisse le vent prendre soin de tout
Je laisse le vent emporter tout
Laisse le vent prendre soin de tout

Je t'ai rêvé homme sans pied
Dieu ou névé
Ou comme un bruit doux
Là j'irai bien te chercher
J'ai tellement changé

Mais tout ce qui c'est passé
Glisse à côté
Comme l'eau sur les joues
Quand je t'ai pris par la main
C'etait un matin
Bien

Je laisse le vent emporter tout
Laisse le vent prendre soin de tout
Je laisse le vent emporter tout
Laisse le vent prendre soin de tout

Par Weaver le 26/11/2001 à 21:23:00 (#426535)

Allo Paris
Mano Solo

Allo Paris, il est si tard,
les doigts collés au combiné,
je relance encore avec lespoir de te parler,
jai beau savoir que ça me fout le cafard,
je peux pas mempêcher,
mempêcher dy croire,
La nuit sonne ses derniers coups,
jirai jusquau bout,
jaurais voulu, quelque chose de bien,
jaurais voulu, que tu me dises viens
Et là, debout sur le trottoir,
comme chaque soir,
je te racontes lhistoire des larmes de rues,
dans les bars qui puent les regards moisis
et les corps meutris,
Allo Paris, tout est fini,
et putain, je suis fatigué,
jaurais voulu, quelque chose de bien,
jaurais voulu que tu me dises viens,
Allo Paris, tout est fini,
tu mas tout pris, même lenvie,
tu ne te souviens plus de rien,
tu oublies un peu plus chaque matin,
et ta mémoire coule le long des troittoirs,
en noyant, mon désir dérisoire,
jaurais voulu, tout est fini,
jaurais voulu, tout est foutu,
Allo Paris, jaurais voulu.

Par squig le 26/11/2001 à 21:23:00 (#426536)

BEN E KING - STAND BY ME

When the night has come
And land is dark
And the moon is the only light we see
No I won't be afraid
Oh I won't be afraid
Just as long as you stand
Stand by me
So darling, darling
Stand by me
Oh, stand by me
Oh, stand,
Stand by me,
Stand by me

If the sky that we look upon
Should tumble and fall
Or the mountains should crumble to the sea
I won't cry, I won't cry,
No, I won't shed a tear
Just as long as you stand
Stand by me

Chorus
And darling, darling
Stand by me
Oh, stand by me
Oh, stand now,
Stand by me,
Stand by me

...

Chorus
Darling darling
Stand by me
Oh, stand by me
Oh, stand now,
Stand by me,
Stand by me

We'll never ... would you stand by me
Oh, stand by me
Oh, stand now,
Oh, stand,
Stand by me

La personne se reconnaitra ;)

[ 26 novembre 2001: Message édité par : Shade Kessen ]

Par JimJim le 27/11/2001 à 12:27:00 (#426537)

Saloperie de mois de Novembre ..
Pour oublier tout cela ...

Voilà l'été - Les Negresses Vertes


Voilà l'été, j'aperçois le soleil
Les nuages filent et le ciel s'éclaircit
Et dans ma tête qui bourdonnent ?
Les abeilles !
J'entends rugir les plaisirs de la vie

C'est le retour des amours qui nous chauffent
Les oreilles, il fait si chaud
Qu'il nous pousse des envies
Qu'il le bonheur rafraichi d'un cocktail
Les filles sont belles et les dieux sont ravis.

Enfin l'été (4X)

Enfin l'été, mais y'a déjà plus d'argent
Le tout Paris se transforme en phobie
Le métro sue, tout devient purulent
Dans ses souliers, le passager abruti
A dix doigts d'pied qui s'expriment violemment
Y'a plus d'amis les voisins sont partis
L'été Paris c'est plutôt relaxant
On rêve de plage
Et la Seine est jolie.

Toujours l'été c'est pas du superflu
Il fait trop chaud, l'soleil m'abasourdit
Rillettes sous les bras j'avance dans la rue
J'pense à ces cons qui s'font chier dans l'midi
Tous ces torche-culs qui vont cuire dans leurs jus
Tous ces noyés, la mer quelle saloperie
Et sur les routes le danger ça vous tue
Vivement l'automne, je me sens tout aigri.

Toujours l'éte (4X)

Voilà l'été, j'aperçois le soleil
Les nuages filent et le ciel s'éclaircit
Et dans ma tête qui bourdonnent ?
Les abeilles !
J'entends rugir les plaisirs de la vie
Voilà l'été, j'aperçois le soleil
Les nuages filent et le ciel s'éclaircit
C'est le bonheur refraichi d'un cocktail
Les filles sont belles et les dieux sont ravis.

Voilà l'été
Enfin l'été
Toujours l'été
Encore l'été

JimJim, amande amère

[ 27 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]

Par Dwar of Waw le 27/11/2001 à 12:48:00 (#426538)

THERE IS A LIGHT THAT NEVER GOES OUT

Take me out tonight
where there's music and there's people
who are young and alive
driving in your car
I never never want to go home
because I havent got one
anymore
take me out tonight
because I want to see people and I
want to see lights
driving in your car
oh please dont drop me home
because it's not my home, it's their
home, and Im welcome no morw
and if a double-decker bus
crashes in to us
to die by your side
such a heavenly way to die
and if a ten ton truck
kills the both of us
to die by your side
the pleasure and the privilege is mine
take me out tonight
oh take me anywhere, I dont care
and in the darken underpass
I thought Oh God, my chance has come at last
(but then a strange fear gripped me and I just couldn't ask)
take me out tonight
take me anywhere, I dont care
just driving in your car
I never never want to go home
because I havent got one
I havent got one.

The Smiths

Par Dwar of Waw le 27/11/2001 à 12:50:00 (#426539)

REEL AROUND THE FOUNTAIN

It's time the tale was told
of how you took a child
and you made him old
Reel around the fountain
slap me on the patio
I'll take it now
Fifteen minutes with you
well, I wouldn't say no
people said that you were virtually dead
and they were so wrong
fifteen minutes with you
well, i wouldn't say no
people said that you were easily led
and they were half-right
I dreamt about you last night
and i fell out of bed twice
you can pin and mount me like a butterfly
but take me to the haven of your bed
was something that you never said
two lumps, please
you're the bee's knees
but so am I
Meet me at the fountain
shove me on the patio
I'll take it slowly
Fifteen minutes with you
oh I wouldn't say no
people see no worth in you
oh but I do

Par pallas le 27/11/2001 à 12:51:00 (#426540)

J'ai perdu dans tes grands yeux
Cette inconscience
Que l'on a quand on est deux
Si intense
J'ai aimé à cur perdu
Et sans raison
Je n'suis qu'un ange déchu
Sans illusions
Et je te cherche dans la foule
Qui me dessèche
Et je m'écroule
Si seule, abandonnée
Comme une toute petite fille
Les yeux mouillés, les yeux mouillés

Dites-moi qui je suis, qui je suis, qui je suis
Sans son amour
Moi qui n'ai plus de vie, plus de vie, plus de vie
Plus rien autour

Comme un papillon
Aveuglé par l'amour
Qui ne peut même plus voler
Vers le jour
Mon cur est prisonnier
D'un flacon
Que le temps avait scellé
De ton nom

Et je te cherche dans la foule
Qui me dessèche
Et je m'écroule
Si seule, abandonnée
Comme une toute petite fille
Les yeux mouillés, les yeux mouillés

Dites-moi qui je suis, qui je suis, qui je suis
Sans son amour
Moi qui n'ai plus de vie, plus de vie, plus de vie
Plus rien autour
{2x}

{parlé:}
Comme un papillon
Aveuglé par l'amour
Qui ne peut même plus voler
Vers le jour
Mon cur prisonnier
D'un flacon
Que le temps avait scellé
De ton nom

Dites-moi qui je suis, qui je suis, qui je suis
Sans son amour
Moi qui n'est plus de vie, plus de vie, plus de vie
Plus rien autour

(H.Segara :Dites moi qui je suis)

Par JimJim le 27/11/2001 à 13:24:00 (#426541)

Paris ..

Renaud - Rouge Gorge

Prolo ordinaire
Peuple de Paris
Rouge-gorge est fier
D'être né ici
Quartier populaire
Bistrots et bougnats
Et marchés couverts
Rues des enfants rois
Rouge-gorge doit
Son surnom bizarre
A sa jolie voix
Et à son foulard
Rouge son foulard
Autour de son cou
Rouge sa mémoire
A jamais debout

Rouge-gorge chante
Le Temps des Cerises
Dans les rues vivantes
Lorsqu'un jour arrive
Le temps des noyaux
Et des bulldozers
Et des vrais salauds
En costumes clairs
Quelque sous-ministre
A attaché-case
Et mine sinistre
L'âme versaillaise
Décrète trop vieux
Tout ce quartier-là
Y foutra le feu
Si l' vieux s'en va pas

Rasée la maison
Détruit l'atelier
Des cages en béton
Les ont remplacés
Adieu, réverbères
Ampoules au plafond
Bonjour la lumière
Des tristes néons
Chassés les prolos
Et chassée la vie
Parkings et bureaux
Ont bouffé Paris
Les petites gens
Sont des gens sérieux
Iront gentiment
Peupler les banlieues

Chante, Rouge-gorge
Les Temps des Cerises
Savigny-sur-Orge
Paraîtra moins grise
Chante aussi Paname
Que les assassins
Ont livré aux flammes
Sans brûler leurs mains
Chante la mémoire
Que Doisneau préserve
De Paris, le soir
D'avant qu'elle crève
Chante la bâtarde
Paris-la-soumise
Que Doisneau regarde
Et qui agonise.
Et qui agonise.

JimJim, amande amère

Par Toinou fillot du pillou le 27/11/2001 à 13:37:00 (#426542)

foutu moi (c fait exprès la faute) de novembre !

Aimer est plus fort que d'être aimé
Daniel Balavoine 1985 "Sauver l'Amour"


Toi qui sais ce qu'est un rempart
Tu avances sous les regards
Courroucés
Tu écris mais sur le buvard
Tous les mots se sont inversés

Si tu parles il te faut savoir
Que ceux qui lancent des regards
Courroucés
Ne voudront voir dans leur miroir
Que ce qui peut les arranger

Toi qui as brisé la glace
Sais que rien ne remplace
La vérité
Et qu'il n'y a que deux races
Ou les faux ou les vrais

L'amour
Te porte dans tes efforts
L'amour
De tout délie les secrets
Oh -et face à tous ceux qui te dévorent
Aimer est plus fort que d'être aimé

Toi qui sais ce qu'est le blasphème
On ne récolte pas toujours
Ce qu'on sème
Tu connais l'ambition suprème
De ceux qui te vouent de la haine

Ils voudraient sous la menace
Te fondre dans la masse
Pour t'étouffer
Mais pour couler le brise-glace
Il faudrait un rocher

L'amour
Te porte dans tes efforts
L'amour
De tout délie les secrets
Oh -et face à tous ceux qui te dévorent
Aimer est plus fort que d'être aimé

Ohhh.. l'amour...

Par Toinou fillot du pillou le 27/11/2001 à 13:46:00 (#426543)

Daniel Balavoine
L'Aziza



Petite rue de Casbah au milieu de Casa
Petite brune enroulée d'un drap court autour de moi
Ses yeux remplis de pourquoi cherchent une réponse en moi

Elle veut vraiment que rien ne soit sur dans tout ce qu'elle croit

Ta couleur et tes mots tout me va
Que tu vives ici ou là-bas

Danse avec moi
Si tu crois que ta vie est la
Ce n'est pas un problème pour moi
L'Aziza, Je te veux si tu veux de moi

Et quand tu marches le soir ne trembles pas a- a-
Laisse glisser les mauvais regards qui pèsent sur toi L'Aziza

ton étoile jaune c'est ta peau tu n'as pas le choix
Ne la porte pas comme on porte un fardeau ta force c'est ton droit

Ta couleur et tes mots tout me va

Danse avec moi
Que tu vives ici ou là-bas
Ce n'est pas un problème pour moi
L'Aziza, Si tu crois que ta vie est la
Il n'y a pas de loi contre ça
L'Aziza, fille enfant de prophète roi
Ta couleur et tes mots tout me va

Par Toinou fillot du pillou le 27/11/2001 à 14:09:00 (#426544)

J'étais dans mon village, à réparer des chaises en bois
Mais l'aventure m'appelait, l'ennui était en moi
J'avais ouï d'une tour, siégeant un peu plus loin
J'ai attrapé mon canasson, mes bottes et mon gourdin

A l'aventure, compagnons
Je suis parti vers l'horizon
J'aurais mieux fait de rester chez moi
La suite vous le dira

Je suis arrivé au lieu-dit, trempé par un orage
Ma monture s'est enfuie, mais j'ai gardé mon courage
Contournant l'édifice, dont la porte était fermée
J'ai glissé dans la boue et puis les chiens sont arrivés

A l'aventure, compagnons
Je suis parti vers l'horizon
J'aurais mieux fait de rester au lit
Ce donjon, il est pourri

Ils ont bouffé ma cape, mes sandwiches et mon boudin
J'ai du abandonner mon sac et fuir comme un vilain
Poursuivi par les bêtes, je suis tombé dans un trou
C'était l'entrée secrète qui passait par les égouts

Refrain

J'ai rampé dans la fange, les vermines et les sangsues
J'ai atterri dans un cachot, où vivaient trois bossus
Ils m'ont piqué ma veste, mes bottes et mon gourdin
Et ils m'ont balancé dehors à grands coups de pied dans l'train

Refrain

J'ai traîné dans les corridors, sans arme et déprimé
Egaré dans la tour, je suis revenu à l'entrée
Les orques m'ont vu passer, courant vers la sortie
Ils se demandent encore qui était cet abruti

Refrain

L'histoire était finie et j'ai voulu rentrer chez moi
En courant sous la pluie, boitant comme un vieux rat
Cherchant pour une auberge, une paillasse et un cruchon
Je m'suis dit "l'aventure, c'est pas fait pour les couillons"

A l'aventure, nom d'un chien
Je n'irai plus faire le malin
J'aurais mieux fait de rester chez moi
A faire des chaises en bois !

A l'aventure, compagnons
Pen of Chaos

Par Vrittis le 27/11/2001 à 15:56:00 (#426545)

*extrait*

I'm a man with a one track mind
So much to do in one lifetime
Not a man for compromise and where's and why's and living lies
So I'm living it all, yes I'm living it all
And I'm giving it all, and I'm giving it all

I want it all, Queen

Et, je le dis sans arrière pensée, ça m'étonnerait que le mois de novembre passe l'hiver (merci Pierre Desproges)

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