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Le Lundi c'est Ravioli et en chanson !!!
Par JimJim le 26/11/2001 à 11:03:00 (#426192)
Egaré dans la vallée infernale
Le heros s'appelle Bob Morane
A la recherche de l'ombre jaune
Le bandit s'appelle Mr Kali-Jones
Avec l'ami Bill Ballantine
Sauvé de justesse des crocodiles
Stop au trafic des Caraibes
Escale dans l'opération Nadawieb
Le cur tendre dans le lit de Miss Clark
Prisonniere du sultan de Jarawak
En pleine terreur a Manicouagan
Isole dans la jungle birmane
Emprisonnant les flibustiers
L'ennemi est démasqué
On a vole le collier de Civa
Le maharaja en répondra
Et soudain surgit face au vent
Le vrai héros de tous les temps
Bob Morane contre tout chacal
L'aventurier contre tout guerrier
Bob Morane contre tout chacal
L'aventurier contre tout guerrier
Dérivant a bord du sampan
L'aventure au parfum d'Ylalang
Son surnom, Samourai du soleil
En démantelant le gang de l'archipel
L'otage des guerriers du Doc Xathan
Il s'en sortira toujours a temps
Tel l'aventurier solitaire
Bob Morane est le roi de la terre
Et soudain surgit face au vent
Le vrai héros de tous les temps
Bob Morane contre tout chacal
L'aventurier contre tout guerrier
Bob Morane contre tout chacal
L'aventurier contre tout guerrier
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
Par Erin le 26/11/2001 à 11:07:00 (#426193)
Mais comment quelqu'un, même Jimjim, pourrait-il faire pleuvoir sur une telle chanson?
[édité pour cause de fringale subite]
Et les raviolis???? Où qu'y sont?
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Erin ]
Par JimJim le 26/11/2001 à 11:07:00 (#426194)
C'est dans la nuit de Rebecca
Que la légende partira
Et aujourd'hui pour une troisième fois
Elle décidait de sa première fois
C'est avec lui qu'elle le voulait
Qu'elle désirait à ce qu'il l'aimait
Et puis avec cet homme qui rit
Celui pour qui elle a choisi
Dans la chambre au pied du fleuve
La ville endormie les laisse seuls
Par la chaleur et sans un bruit
Ils rattraperont la nuit « la nuit »
3 nuits par semaine
C'est sa peau contre ma peau
Et je suis avec elle
3 nuits par semaine Bon Dieu, qu'elle est belle
3 nuits par semaine
C'est son corps contre mon corps
C'est nos corps qui s'enchaînent
3 nuits par semaine Bon Dieu, qu'elle est belle
A bout de souffle comme une sirène
Elle voit son corps qui se réveille
Elle arrachait tous les vêtements
Par quelques gestes élégants
Il posa les mains sur elle a rougi
Il a tout voulu et on l'a puni
Elle caressa en douceur
Comme pour oublier sa douleur
Et il l'a prise dans ses bras
Car elle avait un peu froid
À cet instant et à chaque fois
Elle voudra le revoir au moins 3 nuits « 3 nuits »
Il posa ses mains sur elle a rougi
Elle a tout voulu et on l'a punie
A cet instant et à chaque fois
Elle voudra le revoir au moins 3 nuits
À cet instant et à chaque fois
Ils se donnèrent rendez-vous 3 nuits
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par Averoes le 26/11/2001 à 11:08:00 (#426195)
C'est plus grave que je le pensais JimJim.
Tu veux en parler sur notre nouveau cc? ( ;))
Au fait, le mois de Novembre est finit? :confus:
Par Vrittis le 26/11/2001 à 11:08:00 (#426196)
Abandoned places - I guess we know the score
On and on
Does anybody know what we are looking for
Another hero another mindless crime
Behind the curtain in the pantomime
Hold the line
Does anybody want to take it anymore
The show must go on
The show must go on
Inside my heart is breaking
My make-up may be flaking
But my smile still stays on
Whatever happens I'll leave it all to chance
Another heartache another failed romance
On and on
Does anybody know what we are living for
I guess I'm learning
I must be warmer now
I'll soon be turning round the corner now
Outside the dawn is breaking
But inside in the dark I'm aching to be free
The show must go on
The show must go on - yeah
Ooh inside my heart is breaking
My make-up may be flaking
But my smile still stays on
Yeah oh oh oh
My soul is painted like the wings of butterflies
Fairy tales of yesterday will grow but never die
I can fly - my friends
The show must go on - yeah
The show must go on
I'll face it with a grin
I'm never giving in
On with the show
I'll top the bill
I'll overkill
I have to find the will to carry on
On with the
On with the show
The show must go on
Vrittis
Par mekere le 26/11/2001 à 11:09:00 (#426197)
Les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd
La nuit camoufle pour quelques heures
La zone sale et les épaves et la laideur
J'ai pas choisi de naître ici
Entre l'ignorance et la violence et l'ennui
J'm'en sortirai, j'me le promets
Et s'il le faut, j'emploierai des moyens légaux
Envole-moi
Envole-moi
Envole-moi
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi
Envole-moi
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots
Envole-moi
Pas de question ni rebellion
Règles du jeu fixées mais les dés sont pipés
L'hiver est glace, l'été est feu
Ici, y a jamais de saison pour être mieux
J'ai pas choisi de vivre ici
Entre la soumission, la peur ou l'abandon
J'm'en sortirai, je te le jure
A coup de livres, je franchirai tous ces murs
Envole-moi
Envole-moi
Envole-moi
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi
Envole-moi
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots
Envole-moi
Me laisse pas là, emmène-moi, envole-moi
Croiser d'autres yeux qui ne se résignent pas
Envole-moi, tire-moi de là
Montre-moi ces autres vies que je ne sais pas
Envole-moi
Envole-moi
Envole-moi
Regarde-moi bien, je ne leur ressemble pas
Me laisse pas là, envole-moi
Avec ou sans toi, je n'finirai pas comme ça
Envole-moi, envole-moi, envole-moi...
Mekere...
Par Toinou fillot du pillou le 26/11/2001 à 11:10:00 (#426198)
Le gorille de Brassens
C'est à travers de larges grilles,
Que les femelles du canton,
Contemplaient un puissant gorille,
Sans souci du qu'en-dira-t-on ;
Avec impudeur, ces commères
Lorgnaient même un endroit précis
Que, rigoureusement ma mère
M'a défendu d'nommer ici...
Gare au gorille !...
Tout à coup, la prison bien close,
Où vivait le bel animal,
S'ouvre on n'sait pourquoi (je suppose
Qu'on avait du la fermer mal) ;
Le singe, en sortant de sa cage
Dit " c'est aujourd'hui que j'le perds ! "
Il parlait de son pucelage,
Vous avez deviné, j'espère !
Gare au gorille !...
L'patron de la ménagerie
Criait, éperdu : " Nom de nom !
C'est assommant car le gorille
N'a jamais connu de guenon ! "
Dès que la féminine engeance
Sut que le singe était puceau,
Au lieu de profiter de la chance
Elle fit feu des deux fuseaux !
Gare au gorille !...
Celles là même qui, naguère,
Le couvaient d'un oeil décidé,
Fuirent, prouvant qu'ell's n'avaient guère
De la suite dans les idées ;
D'autant plus vaine était leur crainte,
Que le gorille est un luron
Supérieur à l'homme dans l'étreinte,
Bien des femmes vous le diront !
Gare au gorille !...
Tout le monde se précipite
Hors d'atteinte du singe en rut,
Sauf une vielle décrépite
Et un jeune juge en bois brut ;
Voyant que toutes se dérobent,
Le quadrumane accéléra
Son dandinement vers les robes
De la vieille et du magistrat !
Gare au gorille !...
" Bah ! soupirait la centenaire,
Qu'on puisse encore me désirer,
Ce serait extraordinaire,
Et, pour tout dire, inespéré ! " ;
Le juge pensait, impassible,
" Qu'on me prenne pour une guenon,
C'est complètement impossible... "
La suite lui prouva que non !
Gare au gorille !...
Supposez que l'un de vous puisse être,
Comme le singe, obligé de
Violer un juge ou une ancêtre,
Lequel choisirait-il des deux ?
Qu'une alternative pareille,
Un de ces quatres jours, m'échoie,
C'est, j'en suis convaincu, la vieille
Qui sera l'objet de mon choix !
Gare au gorille !...
Mais, par malheur, si le gorille
Aux jeux de l'amour vaut son prix,
On sait qu'en revanche il ne brille
Ni par le goût, ni par l'esprit.
Lors, au lieu d'opter pour la vieille,
Comme aurait fait n'importe qui,
Il saisit le juge à l'oreille
Et l'entraîna dans un maquis !
Gare au gorille !...
La suite serait délectable,
Malheureusement, je ne peux
Pas la dire, et c'est regrettable,
Ca nous aurait fait rire un peu ;
Car le juge, au moment suprême,
Criait : " Maman ! ", pleurait beaucoup,
Comme l'homme auquel, le jour même,
Il avait fait trancher le cou.
Gare au gorille !...
Par mekere le 26/11/2001 à 11:10:00 (#426199)
Que ton visage et ton sourire
Resteront prés de moi sur mon chemin
Te dire que c'était pour de vrai
Tout ce qu'on s'est dit, tout ce qu'on a fait
Que c'était pas pour de faux, que c'était bien.
Faut surtout jamais regretter
Même si ça fait mal, c'est gagné
Tous ces moments, tous ces mêmes matins
Je vais pas te dire que faut pas pleurer
Y a vraiment pas de quoi s'en priver
Et tout ce qu'on a pas loupé, le valait bien
Peut-être que l'on se retrouvera
Peut-être que peut-être pas
Mais sache qu'ici bas, je suis là
Ça restera comme une lumière
Qui me tiendra chaud dans mes hivers
Un petit feu de toi qui s'éteint pas
Goldman... confidenciel....
Par Vrittis le 26/11/2001 à 11:11:00 (#426200)
Mais il va bientôt morfler, ce dualas!
:hardos: :hardos: :hardos:
Par JimJim le 26/11/2001 à 11:12:00 (#426201)
Goldman , Pas toi ...
Graver l'écorce
Jusqu'à saigner
Clouer les portes
S'emprisonner
Vivre des songes
A trop veiller
Prier des ombres
Et tant marcher
J'ai beau me dire
Qu'il faut du temps
J'ai beau l'écrire
Si noir sur blanc
Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi
Passent les jours
Vides sillons
Dans la raison
Mais sans amour
Passe ma chance
Tournent les vents
Reste l'absence
Obstinément
J'ai beau me dire
Que c'est comme ça
Que sans vieillir
On n'oublie pas
Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi
Et quoi que j'apprenne
Je ne sais pas
Pourquoi je saigne
Et pas toi
Tournent les vents
Reste l'absence
Obstinément
J'ai beau me dire
Que c'est comme ça
Que sans vieillir
On n'oublie pas
Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi
Et quoi que j'apprenne
Je ne sais pas
Pourquoi je saigne
Et pas toi
Y'a pas de haine
Y'a pas de roi
Ni Dieu, ni chaîne
Qu'on ne combat
Mais que faut-il
Quelle puissance ?
Quelle arme brise
L'indifférence ?
Oh, c'est pas juste
C'est mal écrit
Comme une injure
Plus qu'un mépris
Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi
Et quoi que j'apprenne
Je ne sais pas
Pourquoi je saigne
Et pas toi... et pas toi
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
Par Glenaa le 26/11/2001 à 11:13:00 (#426202)
*a une sainte horreur des raviolis*
Par mekere le 26/11/2001 à 11:14:00 (#426203)
J'ai bien reçu tous vos messages
Je vous ai lu page après page
Je sais vos hivers et vos matins
Et tous ces mots qui vous vont si bien
En quelques phrases, en quelques lettres
Il me semble si bien vous connaître
On écrit bien mieux qu'on ne dit
On ose tout ce que la voix bannit
Mais vous désirez me rencontrer
Et moi, j'ai si peur de tout gâcher
Nos confessions, nos complicités
Comment garder tout ça sans rien casser
Nous ne nous parlerons pas
Nous oublierons nos voix
Nous nous dirons en silence
L'essentiel et l'importance
Utilisons nos regards
Pour comprendre et savoir
Et le goût de notre peaux
Plus loquace que des mots
Nos bras ne tricheront pas
Nos mains ne mentiront pas
Mais surtout, ne parlons pas
Je connais un endroit charmant
Très à la mode et très bruyant
De ces endroits où les solitudes
Se multiplient dans la multitude
On n'a qu'une envie, c'est d'en sortir
Vous n'aurez besoin que d'un sourire
Je comprendrai qu'il est déjà tard
Nous irons boire un verre autre part
Nous ne nous parlerons pas
Nous oublierons nos voix
Nous nous dirons en silence
L'essentiel et l'importance
Utilisons nos regards
Pour comprendre et savoir
Et le goût de notre peaux
Plus loquace que des mots
Nos bras ne tricheront pas
Nos mains ne mentiront pas
Mais surtout, ne parlons pas
Nous ne nous parlerons pas
Par JimJim le 26/11/2001 à 11:15:00 (#426204)
*se remotive*
On va le crever ce mois de Novembre !!!!!!
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
Par Toinou fillot du pillou le 26/11/2001 à 11:16:00 (#426205)
TURN AROUND Every now and then I get a little bit lonely
and you're never coming round.
TURN AROUND Every now and then I get a little bit tired
of list ning to the sound of my tears.
TURN AROUND Every now and then I get a little bit nervous
that the best of all the years have gone by.
TURN AROUND Every now and then I get a little bit terrified
and then I see the look in your eyes.
TURN AROUND, BRIGHT EYES Every now and the I fall apart.
TURN AROUND, BRIGHT EYES Every now and the I fall apart.
TURN AROUND Every now and then I get a little bit restless
and I dream of something wild.
TURN AROUND Every now and then I get a little bit helpless
and I'm lying like a child in your arms.
TURN AROUND Every now and then I get a little bit angry
and I know I've got to get out and cry.
TURN AROUND Every now and then I get a little bit terrified
but then I see the look in your eyes.
TURN AROUND, BRIGHT EYES Every now and the I fall apart.
TURN AROUND, BRIGHT EYES Every now and the I fall apart.
And I need you now tonight and I need you more than ever
and if you only hold me tight we'll be holding on forever.
And we'll only be making it right 'cause we'll never be wrong.
Together we can take it to the end of the line.
Your love is like a shadow on me all of the time.
I don't know what to do and I'm always in the dark.
We're living in a powder keg and giving off sparks.
I really need you tonight, forever's gonna start tonight,
forever's gonna start tonight.
Once upon a time I was falling in love but now I'm only falling apart.
There's nothing I can do, a total eclipse of the heart.
Once upon a time there was light in my life but now there's only love in
the dark.
Nothing I can say, a total eclipse of the heart.
TURN AROUND, BRIGHT EYES
TURN AROUND, BRIGHT EYES
TURN AROUND Every now and then I know you'll never be the boy
you always wanted to be.
TURN AROUND But every now and then I know you'll always be
the only boy who wanted me the way that I am.
TURN AROUND Every now and then I know there's no one in the universe
as magical and wondrous as you.
TURN AROUND Every now and then I know there's nothing any better,
there's nothing that I just wouldn't do.
TURN AROUND, BRIGHT EYES Every now and then I fall apart.
TURN AROUND, BRIGHT EYES Every now and then I fall apart.
And I need you now tonight...
Once upon a time I was...
A total eclipse of the heart, a total eclipse of the heart.
Turn around, bright eyes,
Turn around, bright eyes, turn around.
____________________________
Foutu moi de Novembre ! ;)
Par mekere le 26/11/2001 à 11:16:00 (#426206)
Mort au mois de novembre!!!!!!!
mekere militante
Par mekere le 26/11/2001 à 11:18:00 (#426207)
Les lueurs immobiles d'un jour qui s'achève
La plainte douloureuse d'un chien qui aboie
Le silence inquiétant qui précède les rêves
Quand le monde disparu l'on est face à soi
Les frissons où l'amour et l'automne s'emmêlent
Le noir où s'engloutissent notre foi nos lois
Cette inquiétude sourde qui coule en nos veines
Qui nous saisit même après les plus grandes joies
Ces visages oubliés qui reviennent à la charge
Ces étreintes qu'en rêve on peut vivre cent fois
Ces raisons-là qui font que nos raisons sont vaines
Ces choses au fond de nous qui nous font veiller tard
Ces raisons-là qui font que nos raisons sont vaines
Ces choses au fond de nous qui nous font veiller tard
Ces paroles enfermées que l'on n'a pas su dire
Ces regards insistants que l'on n'a pas compris
Ces appels évidents ces lueurs tardives
Ces morsures aux regrets qui se livrent à la nuit
Ces solitudes dignes au milieu des silences
Ces larmes si paisibles qui coulent inexpliquées
Ces ambitions passées mais auxquelles on repense
Comme un vieux coffre plein de vieux jouets cassés
Ces liens que l'on sécrète et qui joignent les êtres
Ces désirs évadés qui nous feront aimer
Ces raisons-là qui font que nos raisons sont vaines
Ces choses au fond de nous qui nous font veiller tard
Ces raisons-là qui font que nos raisons sont vaines
Ces choses au fond de nous qui nous font veiller tard
Par bebealien le 26/11/2001 à 11:23:00 (#426208)
Finalement je pense que je vais vous mettre Sans ma barbe de corbier, ou la fête au village des musclés si JimJim continue à chanter. Il pleut alors STOP ! Je veux aller prendre mon café en terrasse ce midi, alors pas question qu'il pleuve.
Par JimJim le 26/11/2001 à 11:23:00 (#426209)
*se sent d'humeur*
John Lee Hooker - One Bourbon One Scotch and One Beer
One bourbon, One Scotch, and one beer.
One Bourbon, One Scotch, and one beer.
Hey mister bartender come in here!
I want another drink and I want it now.
My baby she's gone, she's been gone tonight,
I aint's seen my baby since the night before last.
One bourbon, one scotch and one beer.
And then I sat there,
gettin high, mellow, knocked out, feelin good.
And by that time, I looked on the wall,
at the old clock on the wall.
By that time it was 10:30.
I looked down at the bar, at the bartender.
He said, "What do you want Johnny?"
One bourbon, one scotch, and one beer.
Well my baby's gone, she's been gone tonight.
I ain't seen my baby since the night before last.
I wanna get drunk, get her off of my mind.
One bourbon, one scotch, and one beer.
And I saty there, getting high, stoned, knocked out,
And by that time, I looked on the wall,
At the old clock, and by that time,
It was a quarter to two:
Last call for alcohol.
I said, "Hey Mr. Bartender"
"What do you want"
One bourbon, one scotch and one beer.
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par Toinou fillot du pillou le 26/11/2001 à 11:23:00 (#426210)
Puisque tu pars
de JJG
Puisque l'ombre gagne
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents, plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des ainsi-soit-il
Et puisque tu penses
Comme une intime évidence
Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire
Puisque c'est ailleurs
Qu'ira mieux battre ton coeur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars
Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous puisque l'on ne peut t'aimer plus
Que la vie t'apprenne
Mais que tu restes le même
Si tu te trahissais, nous t'aurions tout à fait perdu
Garde cette chance
Que nous t'envions en silence
Cette force de penser que le plus beau reste à venir
Et loin de nos villes
Comme octobre l'est d'avril
Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte indélébile
Sans drame, sans larmes
Pauvres et dérisoires armes
Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur
Puisque ta maison, aujourd'hui, c'est l'horizon
Dans ton exil, essaie d'apprendre à revenir
Mais pas trop tard
Dans ton histoire, garde en mémoire
Notre au revoir, puisque tu pars
J'aurais pu fermer, oublier toutes ces portes
Tout quitter sur un simple geste, mais tu ne l'as pas fait
J'aurais pu donner tant d'amour et tant de force
Mais tout ce que je pouvais, ça n'était pas encore assez
Pas assez, pas assez, pas assez...
Par mekere le 26/11/2001 à 11:25:00 (#426211)
You'll remember me when the west wind moves
Upon the fields of barley
You'll forget the sun in his jealous sky
As we walk in fields of gold
So she took her love
For to gaze awhile
Upon the fields of barley
In his arms she fell as her hair came down
Among the fields of gold
Will you stay with me, will you be my love
Among the fields of barley
We'll forget the sun in his jealous sky
As we lie in fields of gold
See the west wind move like a lover so
Upon the fields of barley
Feel her body rise when you kiss her mouth
Among the fields of gold
I never made promises lightly
And there have been some that I've broken
But I swear in the days still left
We'll walk in fields of gold
We'll walk in fields of gold
Many years have passed since those summer days
Among the fields of barley
See the children run as the sun goes down
Among the fields of gold
You'll remember me when the west wind moves
Upon the fields of barley
You can tell the sun in his jealous sky
When we walked in fields of gold
When we walked in fields of gold
When we walked in fields of gold
Par Averoes le 26/11/2001 à 11:29:00 (#426212)
Noir Désir - Le vent nous portera
(je sais j'écoute que ça en ce moment :rolleyes: )
Et spéciale dédicace à celle qui se reconnaitra
je n'ai pas peur de la route
Faudra voir, faut qu'on y goûte
Des méandres au creux des reins
Et tout ira bien (là)
Le vent nous portera
Ton message à la Grande Ourse
Et la trajectoire de la course
Un instantané de velours
Même s'il ne sert à rien (va)
Le vent l'emportera
Ton message à la Grande Ourse
Et la trajectoire de la course
Un instantané de velours
Même s'il ne sert à rien (va)
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
La caresse et la mitraille
(et) Cette plaie qui nous tiraille
Le palais des autres jours
D'hier et demain
Le vent les portera
Génétique en bandoulière
Des chromosomes dans l'atmosphère
Des taxis pour les galaxies
Et mon tapis volant dis ?
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
Ce parfum de nos années mortes
Ce qui peut frapper à ta porte
Infinité de destins
On en pose un et qu'est-ce qu'on en retient ?
Le vent l'emportera
Pendant que la marée monte
(et) Que chacun refait ses comptes
J'emmène au creux de mon ombre
Des poussières de toi
Le vent les portera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
(Mort au mois de Novembre! :D)
Par Elaaphy le 26/11/2001 à 11:31:00 (#426213)
Quand j'aurai du vert sur mes os
P't-etre qu'on croira que je ricane
Mais ca s'ra une impression fausse
Car il me manquera
Mon element plastique
Plastique tique tique
Qu'auront bouffe les rats
Ma paire de bidule
Mes mollets mes rotules
Mes cuisses mon cule
Sur quoi je m'asseyois
Mes cheveux mes fistules
Mes jolis yeux cerules
Ma paire de mandibule
Dont je vous pourlechois
Mon nez considerable
Mon coeur mon foie mon rable
Tous ces riens admirables
Qui m'ont fait apprecier
Des ducs et des duchesses
Des papes des papesses
Des abbes des honesses
Et des gens du metier
Et puis je n'aurai plus
Ce phosphore un peu mou
Cerveau qui me servit
A me prevoir sans vies
Les os tout vert
Le crane venteux
A comme j'ai mal
De devenir Vieux !
Boris Vian
Par mekere le 26/11/2001 à 11:34:00 (#426214)
Pour la rosée qui tremble au calice des fleurs
De n'être pas aimée et ressemble à ton cur
Je t'aime
Pour le noir de la pluie au clavecin de l'étang
Jouant page de lune et ressemble à ton chant
Je t'aime
Pour l'aube qui balance sur le fil d'horizon
Lumineuse et fragile et ressemble à ton front
Je t'aime
À l'aurore légère qu'un oiseau fait frémir
En la battant de l'aile et ressembles à ton rire
Je t'aime
Pour le jour qui se lève et dentelles de bois
Au point de la lumière et ressemble à ta joie
Je t'aime
Pour le jour qui revient d'une nuit sans amour
Et ressemble déjà, ressemble à ton retour
Je t'aime
Pour la porte qui s'ouvre pour le cri qui jaillit
Ensemble de deux curs et ressemble à ce cri
Je t'aime... Je t'aime Je t'aime
Par JimJim le 26/11/2001 à 11:36:00 (#426215)
Indochine - Le baiser
Qui pourrait m'aider
Qui pourrait sauver mon ame
Je m'en fous, je voudrais te donner un baiser
Je veux te donner
Je veux te donner un baiser
Laisse-moi passer, effleurer mes doigts sur toi
Come to me
On va s'embrasser et nos levres
Vont se purifier
Tu me donnes un baiser et nos langues
Vont juste s'emmeler
Et ta peau se mouilla, elle aura comme un gout,
Un gout de lait
Et je te respire, aouh
Sur ton sourire, aouh
Le baiser que tu m'as donne pour t'aimer
Je t'aime comme un fou...
Come to me
Come to me
Come to me
Seuls tous les deux, on restera attaches
Comme un adieu
J'ai envie de te caresser, j'ai envie de ton baiser
Nos levres vont se mouiller et nos cheveux vont s'emmeler
Ah, ton sourire effraye.
Oh ! Oh ! Oh !
Corrige-moi mes fautes
Embrasse-moi, ouaouh
Come to me, ouaouh
Le baiser pour rester rien que nous deux
Pour s'aimer et s'embrasser
Come to me
Come to me
Come to me
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par Glenaa le 26/11/2001 à 11:37:00 (#426216)
*Reprend rageusement sa guitare, plaque des accords insuportables... sourit , regarde le ciel hilare...regarde l'air navré d'Averoes *
Par mekere le 26/11/2001 à 11:39:00 (#426217)
Quand on n'a que l'amour
A s'offrir en partage
Au jour du grand voyage
Qu'est notre grand amour
Quand on n'a que l'amour
Mon amour toi et moi
Pour qu'éclatent de joie
Chaque heure et chaque jour
Quand on n'a que l'amour
Pour vivre nos promesses
Sans nulle autre richesse
Que d'y croire toujours
Quand on n'a que l'amour
Pour meubler de merveilles
Et couvrir de soleil
La laideur des faubourgs
Quand on n'a que l'amour
Pour unique raison
Pour unique chanson
Et unique secours
Quand on n'a que l'amour
Pour habiller matin
Pauvres et malandrins
De manteaux de velours
Quand on n'a que l'amour
A offrir en prière
Pour les maux de la terre
En simple troubadour
Quand on n'a que l'amour
A offrir à ceux-là
Dont l'unique combat
Est de chercher le jour
Quand on n'a que l'amour
Pour tracer un chemin
Et forcer le destin
A chaque carrefour
Quand on n'a que l'amour
Pour parler aux canons
Et rien qu'une chanson
Pour convaincre un tambour
Alors sans avoir rien
Que la force d'aimer
Nous aurons dans nos mains,
Amis le monde entier
Par Toinou fillot du pillou le 26/11/2001 à 11:40:00 (#426218)
Novembre
Je me dois d'un poème ,en cette journée de Novembre à la con.
Je me dois d'une lutte fut elle minuscule,je me dois d'un crachat , ja me dois d'un éclat.
Je me dois d'un souffle sur ce monde entier qui se refuse à moi, je me dois ta conquête.
Ça m'aurait plu d'écrire une chanson d'amour qui ne soit pas qu'une douleur.
Ça m'aurait plu de pendre à ton cou un petit sourir de vainqueur.
Peut être que mon discour aurait changé d'odeur et les gens se seraient dit :
"tiens , pour une fois qu'il ne chiale pas sa mère celui la !"
Je me dois d'un poème ,en cette journée de Novembre à la con.
_________________________
On le vaincra ce moi :D
Par JimJim le 26/11/2001 à 11:40:00 (#426219)
La camarde qui ne m'a jamais pardonne
d'avoir seme des fleurs dans les trous de son nez
me poursuit d'un zele imbecile
Alors cerne de pres par les enterrements
j'ai cru bon de remettre a jour mon testament
de me payer un codicile
Trempe dans l'encre bleue du golfe du lion
trempe trempe ta plume o mon vieux tabellion
et de ta plus belle ecriture
Note ce qu'il faudrait qu'il advint de mon corps
lorsque mon ame et lui ne seront plus d'accord
que sur un seul point la rupture
Quand mon ame aura prit son vol a l'horizon
vers celles de gavroche et de mimi pinson
celles des titis, des grisettes
Que vers le sol natal mon corps soit ramene
dans un sleeping du paris-mediterannee
Terminus en plage de Sete
Mon caveau de famille, helas n'est pas tout neuf
vulgairement parlant il est plein comme un oeuf
Et d'ici que quelqu'un n'en sorte
Il risque de se faire tard et je ne peux
Dire a ces brave gens, poussez vous donc un peu
Place aux jeunes en quelque sorte=20
Juste au bord de la mer, a deux pas des flots bleus
creusez si c'est possible un petit trou moelleux
une bonne petite niche
Aupres de mes amis d'enfance les dauphins
le long de cette greve ou le sable est si fin
sur la plage de la corniche
C'est une plage ou m=EAme, a ses moments furieux
Neptune ne se prend jamais trop au serieux
Ou quand un bateau fait naufrage
Le capitaine crie : je suis le maitr a bord
Sauve qui peut! le vin et le pastis d'abord
Chacun sa bonbonne et courage !
Et c'est la que jadis, a quinze ans revolus
a l'age ou s'amuser tout seul ne suffit plus
Je connus la prime amourette
Aupres d'une sirene, une femme-poisson
Je recus de l'amour la premiere lecon
Avalai la premiere arete
Deference gardee envers paul Valery
Moi l'humble troubadour sur lui je rencheris
Le bon maitre me le pardonne
Et qu'au moins si ses vers valent mieux que les miens
mon cimetiere soit plus marin que le sien
Et n'en deplaise au autochtones
Cette tombe en sandwich, entre le ciel et l'eau
ne donnera pas une ombre triste au tableau
Mais un charme indefinissable
Les baigneuses s'en serviront de paravent
Pour changer de tenue, et les petits enfants
diront : Chouette un chateau de sable!
Est-ce trop demander, sur mon petit lopin
plantez, je vous en prie, une espece de pin
pin parasol de preference
Qui saura premunir contre l'insolation
les bons amis venus faire sur ma concession
d'affectueuses reverences
Tantot venant d'espagne, et tantot d'italie
tous charges de parfums, de musiques jolies
le mistral et la tramontne
Sur mon dernier sommeil verseront les echos
de villanelle un jour, un jour de fandango
de tarantelle, de sardane...
Et quand prenant ma buette en guise d'oreiller
une ondine viendra gentiment sommeiller
Avec moins que rien de costume
J'en demande pardon par avance a Jesus
si l'ombre de ma crois s'y couche un peu dessus
pour un petit bonheur posthume=20
Pauvres rois, pharaons! pauvre napoleon!
Pauvres grands disparus gisant au pantheon
pauvres cendres de consequence!
Vous envierez un peu l'etenrel estivant
qui fait du pedalo sur la vague en revant
qui passe sa mort en vacances
Vous envierez un peu l'etenrel estivant
qui fait du pedalo sur la vague en revant
qui passe sa mort en vacances
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par Averoes le 26/11/2001 à 11:44:00 (#426220)
I'm only happy when it rains
I'm only happy when it's complicated
and though I know you can't appreciate it
I'm only happy when it rains
you know I love it when the news is bad
and why it feels so good to feel so sad
I'm only happy when it rains
pour your misery down...
pour your misery down on me
pour your misery down...
pour your misery down on me
I'm only happy when it rains
I feel good when things are going wrong
I only listen to the sad sad songs
I'm only happy when it rains
I only smile in the dark
my only comfort is the night gone black
I didn't accidentally tell you that
I'm only happy when it rains
you'll get the message by the time
I'm through when I complain about me and you
I'm only happy when it rains
pour your misery down...pour your misery down on me
pour your misery down...pour your misery down on me
pour your misery down...pour your misery down on me
pour your misery down
you can keep me company as long as you don't care
I'm only happy when it rains
you wanna hear about my new obsession
I'm riding high upon a deep depression
I'm only happy when it rains
pour some misery down on me
Par mekere le 26/11/2001 à 11:44:00 (#426221)
Johnny et Cristal
On nous prend pour des fous
Ce qu'on peut penser de nous
On s'en fout
On se fout de tout
On se fout d'être malheureux
On s'aime encore mieux
Quand on n'a plus rien à perdre
Quand on n'a plus rien à perdre
Johnny
Si tu pars avec moi
Tu n'en reviendras plus jamais
Cristal
Si je pars avec toi
J'oublierai qui j'étais
Johnny
Tu seras hors-la-loi
Si je t'enchaîne à moi
Tu aimeras tes chaînes
Cristal
Je m'accrocherai à toi
Comme le lierre à un chêne
Johnny et Cristal
Loin des souterrains de Naziland
On trouvera bien un No Man's Land
Où on pourra vivre
Désespérément libre
On nous prend pour des fous
Ce qu'on peut penser de nous
On s'en fout
On se fout de tout
On se fout d'être malheureux
On joue le vrai jeu
Quand on n'a plus rien à perdre
Quand on n'a plus rien à perdre
Venez avec nous risquer vos vies
Sur les autoroutes de la folie
Alors vous comprendrez
Jusqu'où on peut aller
Quand on n'a plus rien à perdre
Quand on n'a plus rien à perdre
Quand on n'a plus rien à perdre
Quand on n'a plus rien à perdre
Par JimJim le 26/11/2001 à 11:52:00 (#426222)
J'march tout seul le long d'la ligne de ch'min de fer,
Dans ma tÍte y'a pas d'affaire
J'donne des coups d'pied dans un' p'tite boîte en fer,
Dans ma tÍte y'a rien ¦ faire
J'suis mal en campagne et mal en ville,
Peut-Ítre un p'tit peu trop fragile
Allô Maman bobo,
Maman comment tu m'as fais ? J'suis pas beau,
Allô Maman bobo, allô Maman bobo !
J'train' fumée, j'me r'trouve avec mal au coeur,
J'ai vomi tout mon quatre heure
FÍtes, nuits folles, avec les gens qu'ont du bol,
Maint'nant qu'j'fais du music hall
J'suis mal ¦ la scène et mal en ville,
Peut-Ítre un p'tit peu trop fragile
Allô Maman bobo,
Maman comment tu m'as fais ? J'suis pas beau,
Allô Maman bobo, allô Maman bobo !
Moi j'voulais les sorties d'port ¦ la voile,
La nuit barrer les étoiles
Moi les ch'vaux, l'révovlver et l'chapeau d'clown,
La belle Peggy du saloon
J'suis mal en homme dur et mal en p'tit coeur,
Peut-Ítre un p'tit peu trop reveur
Allô Maman bobo,
Maman comment tu m'as fais ? J'suis pas beau,
Allô Maman bobo, allô Maman bobo !
J'march tout seul le long d'la ligne de ch'min de fer,
Dans ma tête y'a pas d'affaire
J'donne des coups d'pied dans un' p'tite boîte en fer,
Dans ma tête y'a rien ¦ faire
J'suis mal en campagne et mal en ville,
Peut-être un p'tit peu trop fragile
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
Par mekere le 26/11/2001 à 11:53:00 (#426223)
Pourquoi je vis, pourquoi je meurs
Pourquoi je ris, pourquoi je pleure
Voici le S.O.S
D'un terrien en détresse
J'ai jamais eu les pieds sur Terre
J'aim'rais mieux être un oiseau
J'suis mal dans ma peau
J'voudrais voir le monde à l'envers
Si jamais c'était plus beau
Plus beau vu d'en haut
D'en haut
J'ai toujours confondu la vie
Avec les bandes dessinées
J'ai comme des envies de métamorphose
Je sens quelque chose
Qui m'attire
Qui m'attire
Qui m'attire vers le haut
Au grand loto de l'univers
J'ai pas tiré l'bon numéro
J'suis mal dans ma peau
J'ai pas envie d'être un robot
Métro boulot dodo
Pourquoi je vis, pourquoi je meurs
Pourquoi je crie, pourquoi je pleure
Je crois capter des ondes
Venues d'un autre monde
J'ai jamais eu les pieds sur Terre
J'aim'rais mieux être un oiseau
J'suis mal dans ma peau
J'voudrais voir le monde à l'envers
J'aim'rais mieux être un oiseau
Dodo l'enfant do
Par mekere le 26/11/2001 à 11:56:00 (#426224)
Y a des qualités de silence
Comme des étoffes ou le bois
Des profonds, des courts, des immenses
Des que l'on entend presque pas
Coule la pluie, cheveux et veste
Mouille ce qui ne pleure pas
Marcher le long de rues désertes
Où tu me manques pas à pas
Tu manques, si tu savais
Tu manques tant
Plus que je ne l'aurai supposé
Moi qui ne tient pas même au vent
Prendre un taxi, tourner des pages
Féliciter, battre des mains
Faire et puis refaire ses bagages
Comment allez-vous ?, à demain
On apprend tout de ses souffrances
Moi, j'ai su deux choses, après toi :
Le pire est au bout de l'absence
Je suis plus vivant que je crois
Tu manques, si tu savais
Infiniment, tout doucement
Plus que je ne me manque jamais
Quand je me perds de temps en temps
Danger, dit-on, la lune est pleine
Est-elle vide aussi parfois ?
Invisible, à qui manquerait-elle ?
Peut-être à d'autres, pas à moi
Tu manques, si tu savais
Tu manques drôlement
Tu m'manques
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Mekere Lamelune ]
Par JimJim le 26/11/2001 à 11:57:00 (#426225)
Je ne t'aime plus
Mon amour
Je ne t'aime plus
Tous les jours
Parfois j'aimerais mourir
Tellement j'ai voulu croire
Parfois j'aimerais mourir
Pour ne plus rien avoir
Parfois j'aimerais mourir
Pour plus jamais te voir
Je ne t'aime plus
Mon amour
Je ne t'aime plus
Tous les jours
Parfois j'aimerais mourir
Tellement y'a plus d'espoir
Parfois j'aimerais mourir
Pour plus jamais te revoir
Parfois j'aimerais mourir
Pour ne plus rien savoir
Je ne t'aime plus
Mon amour
Je ne t'aime plus
Tous les jours...
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par mekere le 26/11/2001 à 12:03:00 (#426226)
J'accepterai la douleur
D'accord aussi pour la peur
Je connais les conséquences
Et tant pis pour les pleurs
J'accepte quoiqu'il m'en coûte
Tout le pire du meilleur
Je prends les larmes et les doutes
Et risque tous les malheurs
Tout mais pas l'indifférence
Tout mais pas le temps qui meurt
Et les jours qui se ressemblent
Sans saveur et sans couleur
Et j'apprendrai les souffrances
Et j'apprendrai les brûlures
Pour le miel d'une présence
Le souffle d'un murmure
J'apprendrai le froid des phrases
J'apprendrai le chaud des mots
Je jure de n'être plus sage
Je promets d'être sot
Tout mais pas l'indifférence
Tout mais pas le temps qui meurt
Et les jours qui se ressemblent
Sans saveur et sans couleur
Je donnerai dix années pour un regard
Des châteaux, des palais pour un quai de gare
Un morceau d'aventure contre tous les conforts
Des tas de certitudes pour désirer encore
Echangerais années mortes pour un peu de vie
Chercherais clé de porte pour toute folie
Je prends tous les tickets pour tous les voyages
Aller n'importe où mais changer de paysage
Effacer ces heures absentes
Et tout repeindre en couleur
Toutes ces âmes qui mentent
Et qui sourient comme on pleure
Par JimJim le 26/11/2001 à 12:04:00 (#426227)
J'ai comme une envie de tourner le gaz
Comme envie de me faire sauter les plombs
Comme envie d'expliquer comme ça
Qu'ton indifférence, elle ne me touche pas
Je peux très bien me passer de toi
Comme envie de sang sur les murs
Comme envie d'accident d'voiture
Comme envie d'expliquer comme ça
Qu'ton indifférence elle ne me touche pas
Je peux très bien me passer de toi
J'ai comme envie d'n'importe quoi
Comme envie de crever ton chat
Comme envie d'tout casser chez toi
Comme envie d'expliquer comme ça
Je peux très bien me passer de toi
J'ai comme envie d'une fin torride
Comme on en voit qu'au cinéma
J'ai comme envie qu'ce soit terrible
Et qu'ça se passe juste en bas de chez toi
Je peux très bien me passer de toi
J'ai comme envie de tourner le gaz
Comme envie d'me faire sauter les plombs
Comme envie d'expliquer comme ça
Qu'ton indifférence elle ne me touche pas
Je peux très bien me passer de toi
Comme envie de sang sur les murs
Comme envie d'accident d'voiture
Comme envie de n'importe quoi
Comme envie de crever ton chat
Je peux très bien me passer de toi
Comme envie de sang sur les murs
Comme envie de crever ton chat
Comme envie d'accident d'voiture
Je peux très bien me passer de toi
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
Par JimJim le 26/11/2001 à 12:05:00 (#426228)
:confus: :confus:
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
[*met un grand coup de doc dans la signature !!!*
-C'est l'amande amère qui parle la !!]
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par Erin le 26/11/2001 à 12:08:00 (#426229)
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Erin ]
Par mekere le 26/11/2001 à 12:10:00 (#426230)
ils ne veulent pas tuer le mois de novembre c tt
Mekere militante acharnée
Par JimJim le 26/11/2001 à 12:12:00 (#426231)
Tu peux pas t´ casser, y pleut
Ça va tout mouiller tes ch´veux
J´ sais qu´ tu s´ras jolie quand même
Mais quand même tu s´ras partie
Moi y m´ restera à peine
Que ma peine et mon envie
De te coller quelques beignes
Et quelques baisers aussi
Fais gaffe, dehors c´est pas mieux
Y a d´ la haine dans tous les yeux
Y a des salauds très dangereux
Et des imbéciles heureux
Je suis mille fois meilleur qu´eux
Pour soigner tes petits bleus
Tu peux pas t´ casser, y pleut
Ça va tout mouiller tes ch´veux
Tu peux pas t´ casser parc´ que
T´as pas l´ droit, c´est pas du jeu
On avait dit qu´ tous les deux
On resterait près du feu
T´aurais pu attendre un peu
J´allais bientôt être vieux
Tu peux pas t´ casser, y pleut
Ça va tout mouiller tes ch´veux
Tu peux pas t´ casser, je t´aime
A m´en taillader les veines
Et pi d´abord ça suffit
On s´ casse pas à six ans et d´mi
Allez, d´accord, t´as gagné
Je te rallume la télé
Mais tu peux pas t´ casser, y pleut
Ça va tout mouiller tes ch´veux
Tu peux pas t´ casser, y pleut
Ça va tout mouiller mes yeux
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par mekere le 26/11/2001 à 12:13:00 (#426232)
On raconte toujours
Des histoires insensées.
A quoi ça sert d'aimer ?
L'amour ne s'explique pas !
C'est une chose comme ça,
Qui vient on ne sait d'où
Et vous prend tout à coup.
Moi, j'ai entendu dire
Que l'amour fait souffrir,
Que l'amour fait pleurer.
A quoi ça sert d'aimer ?
L'amour ça sert à quoi ?
A nous donner d' la joie
Avec des larmes aux yeux...
C'est triste et merveilleux !
Pourtant on dit souvent
Que l'amour est décevant,
Qu'il y en a un sur deux
Qui n'est jamais heureux...
Même quand on l'a perdu,
L'amour qu'on a connu
Vous laisse un goùt de miel.
L'amour c'est éternel !
Tout ça, c'est très joli,
Mais quand tout est fini,
Il ne vous reste rien
Qu'un immense chagrin...
Tout ce qui maintenant
Te semble déchirant,
Demain, sera pour toi
Un souvenir de joie !
En somme, si j'ai compris,
Sans amour dans la vie,
Sans ses joies, ses chagrins,
On a vécu pour rien ?
Mais oui ! Regarde-moi !
A chaque fois j'y crois
Et j'y croirai toujours...
Ça sert à ça, l'amour !
Mais toi, t'es le dernier,
Mais toi, t'es le premier !
Avant toi, 'y avait rien,
Avec toi je suis bien !
C'est toi que je voulais,
C'est toi qu'il me fallait !
Toi qui j'aimerai toujours...
Ça sert à ça, l'amour !...
Par Glenaa le 26/11/2001 à 12:13:00 (#426233)
...Là, si mon coeur nourrit quelques profonds regrets,
Si quelque souvenir vient rouvrir ma blessure
J'aime à mêler mon deuil au deuil de la nature
De ces bois desséchés, de ces rameaux flétris,
Seule, errant, je me plais à fouler les débris..
*sourit.. s'en va le nez au vent...*
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Glenaa ]
Par JimJim le 26/11/2001 à 12:17:00 (#426234)
J'ai la vie qui m'pique les yeux
J'ai mon p'tit coeur qu'est tout bleu
Dans ma tête j'crois bien qu'il pleut.
Pas beaucoup, mais un p'tit peu.
J'm'interresse plus à grand chose
Même pas fatigué, j'me r'pose
J'bois la vie à toute petite dose,
J'vois plus la couleur des roses.
Dans ma guitare y'a plus rien
Plus une note, plus un refrain.
Dans mes doigts, y'a rien qui tient
Dans ma peau, y'a qu'du chagrin.
J'ai la vie qui m'pique les yeux
J'ai mon p'tit coeur qu'est tout bleu
Dans ma tête, j'crois bien qu'il pleut.
Pas beaucoup, mais un p'tit peu.
Au bistrot du temps qui passe,
J'bois un verre à la terrasse.
J'me dis qu'à l'école de l'angoisse,
J'suis toujours l'premier d'la classe.
Me raconter pas d'histoire :
La vie c'est une tonne de cafards
C'est toujours un fond d'tiroir,
C'est toujours un train qui part.
J'ai la vie qui m'pique les yeux,
J'ai min p'tit coeur qu'est tout bleu
Dans ma tête j'crois bien qu'il pleut.
Pas beaucoup, mais un p'tit peu.
J'voudrais vivre rien qu'en vacances,
Qu'ce soit tous les jours bizance,
Qu'ce soit tous les jours l'enfance,
Dans un monde que d'innocence.
Mais j'vis au fond d'un abîme,
Tout seul, avec ma p'tite frime ;
Et dans mon dictionnaire de rimes
Avec amour, y'a qu'déprime.
J'ai la vie qui m'pique les yeux,
J'ai mon p'tit coeur qu'est tout bleu
Dans ma tête j'crois bien qu'il pleut.
Pas beaucoup mais un p'tit peu.
Alors le soir avant qu'j'me couche
J'écoute chanter la pauvre souche,
Les mots qui sortent de sa bouche,
Ca m'fait tout drôle mais ça m'touche.
Et tout au fond d'sa détresse
Je découvre tellement de tendresse,
Que même si j'tombe et que j'me blesse
J'dis bonne nuit à ma tristesse.
J'ai la vie qui m'pique les yeux,
J'ai mon p'tit coeur qu'est tout bleu
Dans ma tête j'crois bien qu'il pleut.
Pas beaucoup mais un p'tit peu.
J'ai la vie qui m'pique les yeux
Heureusement j'suis amoureux,
D'un p'tite fille qui m'rend heureux,
Pas beaucoup mais un p'tit peu.
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par Phiracuse le 26/11/2001 à 12:22:00 (#426235)
blablablablablablabla
blablablablablablabla
blablablablablablabla
blablablablablablabla
blablablablablablabla
blablablablablablabla
blablablablablablabla
blablablablablablabla
blablablablablablabla
blablablablablablabla
blablablablablablabla
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Par JimJim le 26/11/2001 à 12:25:00 (#426236)
La femme est l'avenir des cons
et l'homme n'est l'avenir de rien ...
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par mekere le 26/11/2001 à 12:25:00 (#426237)
Pour toi soudain le gris du ciel n'est plus si gris,
pour toi soudain le poids des jours n'est plus si lourd.
Voilà que sans savoir pourquoi soudain tu ris,
voilà que sans savoir pourquoi soudain tu vis,
car te voilà, oui te voilà
amoureuse amoureuse amoureuse , tellement amoureuse.
C'est vrai, alors le gris du ciel n'est plus si gris,
c'est vrai, alors le poids des jours n'est plus si lourd.
C'est vrai, alors soudain tu sais pourquoi tu ris,
c'est vrai, alors soudain tu sais pourquoi tu vis,
car il est là, oui il est là.
Amoureuse amoureuse amoureuse, tellement amoureuse.
Et puis, soudain, le gris du ciel redevient gris,
et puis soudain le poids des jours redevient lourd.
Tout est fini, tout est fini, l'amour se meurt:
il est parti, il est parti et toi, tu pleures,
et c'est fini, oui, c'est fini.
Malheureuse Malheureuse Malheureuse.
Malheureuse Malheureuse Malheureuse, tellement malheureuse
Par JimJim le 26/11/2001 à 12:31:00 (#426238)
Je clignote au bord de l'autoroute
J'ai pas fini de vomir ma bière
Le soleil en a rien à foutre
Mon estomac fait sa prière
Trop d'amour me pèse
Toi tu me quitte sans rigoler
C'est comme si j'avais avalé une chaise
Il faut beaucoup qu'je boive pour digérer
T'en fais pas c'est pas la fin du monde
D'autres filles pass'ront sous les ponts
Et la nature que le soleil inonde
Nous rechante chaque fois sa chanson
J'ai pas vu la tête du facteur
Mon téléphone ne sonne plus
Les oiseaux crient des sons moqueurs
Y'a plus personne qui m'aime plus
Le bar est plein de solitude
Mon amour n'est plus de saison
Je ne bois pas par habitude
Mais pour douter de ma passion
T'en fais pas c'est pas la fin du monde
D'autres filles pass'ront sous les ponts
Et la nature que le soleil inonde
Nous rechante chaque fois sa chanson
L'armée rouge a défilé dans ma tête
J'leur ai fait monter de l'aspirine
Z'ont quand même fait leurs huit heures comme des bêtes
Me v'la mouillé dans une drôle de combine
Le vent m'apporte des odeurs de frites
Tout l'monde me r'connaît dans la rue
J'ai la boule coincée dans mon flip
Y manqu'rait plus qu'un oiseau me chie d'ssus
T'en fais pas c'est pas la fin du monde
D'autres filles pass'ront sous les ponts
Et la nature que le soleil inonde
Nous rechante chaque fois sa chanson
J'ai pas aimé comme tu es partie
J'ai senti ma tête écraser l'poteau
Toi tu voudrais qu'on reste bons amis
Je n'me vois déjà plus sur les photos
Je me fous de l'odeur des roses
Et de celle qui pourrait m'aimer
Les gens me parlent d'autre chose
Y'en a pas un qui m'aid'ra à pleurer
T'en fais pas c'est pas la fin du monde
D'autres filles pass'ront sous les ponts
Et la nature que le soleil inonde
Nous rechante chaque fois sa chanson
T'en fais pas c'est pas la fin du monde
D'autres filles pass'ront sous les ponts
Et la nature que le soleil inonde
Nous rechante chaque fois sa chanson
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
Par mekere le 26/11/2001 à 12:36:00 (#426239)
J'ai l'air comme ça d'une moins que rien
Qu'a pris la vie du bon côté,
D'une fille perdue qui va son chemin
Sans trop chercher à s'y retrouver.
Quand un garçon me fait la cour,
Ça m'fait plus rien : j'ai l'habitude.
Ça m'amuse deux ou trois jours
Puis je me retourne à ma solitude.
J'ai tué l'amour
Parce que j'avais peur,
Peur que lui n'me tue
A grands coups de bonheur.
J'ai tué l'amour.
J'ai tué mes rêves.
Tant pis si j'en crève.
Je n'fais pas l'amour pour de l'argent
Mais il ne m'reste pas beaucoup de vertu.
C'est presque aussi décourageant
Que de faire les cents pas dans la rue.
Maintenant, mon cur est ensablé.
Il a cessé de fonctionner
Le jour même où je l'ai quitté,
Sans trop savoir où ça me mènerait.
J'ai tué l'amour
Parce que j'avais peur,
Peur que lui n'me tue
A grands coups de bonheur.
J'ai tué l'amour.
J'ai tué mes rêves.
Tant pis si j'en crève.
Quand je pense que, pour ma liberté,
J'ai brisé, cassé notre chaîne,
Quand je pense qu'il n'y avait qu'à s'aimer,
Qu'à mettre ma main dans la sienne.
Maintenant je l'ai, ma liberté,
Comme un fardeau sur mes épaules.
Elle me sert tout juste à regretter
D'avoir joué le mauvais rôle.
J'ai tué l'amour
Parce que j'avais peur,
Peur que lui n'me tue
A grands coups de bonheur.
J'ai tué l'amour.
J'ai tué mes rêves.
Tant pis si j'en crève.
_____________________________________________________
on peut toujours y croire....
Par Julian le tavernier le 26/11/2001 à 12:37:00 (#426240)
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Julian le tavernier ]
Par Sawyll-Hen le 26/11/2001 à 12:40:00 (#426241)
J'étais cool assis sur un banc c'était au printemps
Ils cueillent une marguerite ce sont deux amants
Overdose de douceur ils jouent comme des enfants
Je t'aime un peu beaucoup à la folie passionément
Mais à la suite d'une douloureuse déception sentimentale
D'humeur chaleureux je devenais brutal
La haine d'un être n'est pas dans nos prérogatives
Tchernobyl tchernodébile jalousie radioactive
Caroline était une amie une superbe fille
Je repense à elle à nous à nos cornets vanille
A sa boulimie de fraises de framboises de myrtilles
A ses délires futiles à son style pacotille
Je suis l'as de trèfle qui pique ton coeur
L'as de trèfle qui pique ton coeur
L'as de trèfle qui pique ton coeur
Caroline
Comme le trèfle à quatre feuilles je cherche votre bonheur
Je suis l'homme qui tombe à pic pour prendre ton coeur
Il faut se tenir à carreau Caro ce message vient du coeur
Une pyramide de baisers une tempête d'amitié
Une vague de caresses un cyclone de douceur
Un océan de pensées Caroline je t'ai offert un building de tendresse
J'ai une peur bleue j'suis poursuivi par l'armée rouge
Pour toi j'ai pris des billets verts il a fallu que je bouge
Pyromane de ton coeur canadair de tes frayeurs
Je t'ai offert une symphonie de couleurs
Elle est partie mazo avec un vieux macho
Qu'elle avait rencontré dans une station de métro
Quand je les vois main dans la main fumant le même mégot
Je sens un pincement dans son coeur mais elle n'ose dire un mot
C'est qu'je suis l'as de trèfle qui pique ton coeur
L'as de trèfle qui pique ton coeur
L'as de trèfle qui pique ton coeur
Caroline
Claude Mc prend le microphone genre love story raga muffin
Pour te parler d'une amie qu'on appelle Caroline
Elle était ma dame elle était ma came elle était ma vitamine
Elle était ma dope ma drogue ma coke mon crack mon emphétamine
Caroline
Je repense à elle femme actuelle vingt ans jeune et jolie
Remets donc le film à l'envers magnéto de la vie
Pour elle faut-il admettre des larmes ont coulé
Hémorragie oculaire vive notre amitié
Du passé du présent je l'espère du futur
Je suis passé pour être présent dans ton futur
La vie est un jeu d'cartes Paris un casino
Je joue les rouges coeur Caro
Did, qui préfère la reprise de Marka (merci Yan ;))
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Sawyll-Hen ]
Par JimJim le 26/11/2001 à 12:40:00 (#426242)
Remets donc le film à l'envers magnéto de la vie
Pour elle faut-il admettre des larmes ont coulé
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par Averoes le 26/11/2001 à 12:43:00 (#426243)
I will try not to breathe.
I can hold my head still with my hands at my knees.
These eyes are the eyes of the old, shiver and fold.
I will try not to breathe.
This decision is mine. I have lived a full life
and these are the eyes that I want you to remember. Oh.
I need something to fly over my grave again.
I need something to breathe.
I will try not to burden you.
I can hold these inside. I will hold my breath
until all these shivers subside,
just look in my eyes.
I will try not to worry you.
I have seen things that you will never see.
Leave it to memory me. I shudder to breathe.
I want you to remember. Oh. (you will never see)
I need something to fly (something to fly)
over my grave again. (you will never see)
I need something to breathe. (something to breathe)
Baby, don't shiver now.
Why do you shiver now? (I will see things you will never see)
I need something to fly (something to fly)
over my grave again. (I will see things you will never see)
I need something to breathe. Oh. Oh. Oh.
I will try not to worry you.
I have seen things that you will never see.
Leave it to memory me. Don't dare me to breathe.
I want you to remember. Oh. (you will never see)
I need something to fly (something to fly)
over my grave again. (you will never see)
I need something to breathe. (something to breathe)
Baby, don't shiver now.
Why do you shiver now? (I will see things you will never see)
I need something to breathe. (something to breathe - I have seen things
you will never see)
I want you to remember.
Par JimJim le 26/11/2001 à 12:45:00 (#426244)
*en train d'accumuler les CD **yen a partout*
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
Par Sawyll-Hen le 26/11/2001 à 12:45:00 (#426245)
Pas touche au mois de novembre !
*clin d'oeil à Philippe pour Garbage*
*regarde la pluie et sourit*
Par mekere le 26/11/2001 à 12:46:00 (#426246)
on se jette a la figure
Combien de fleurs dans le vase
pour refermer la blessure
Combien de combats de trop
et d'égo à la démesure
Nous sommes deux beaux idiots
Chaque fois qu'on se laisse
un jour on se revient
Chaque fois qu'on se lâche
un jour on se retient
Comme quoi on ferait mieux de prendre
la vie comme elle vient
Ça fait mal et ça fait rien
Combien de mots qui font mal
et de gestes déplacés
Combien de fautes, de linge sale,
combien de pièces au dossier
Combien de guerres inutiles
faut-il encore déclarer
Nous sommes deux imbéciles
Chaque fois qu'on se laisse
un jour on se revient
Chaque fois qu'on se lâche
un jour on se retient
Comme quoi on ferait mieux de prendre
La vie comme elle vient
Ça fait mal et ça fait rien
Chaque fois qu'on se laisse
un jour on se revient
Chaque fois qu'on oublie
un jour on se souvient
Chaque fois qu'on se lâche
un jour on se retient
Comme quoi on ferait mieux de prendre
La vie comme elle vient
Ça fait mal et ça fait rien.
Par mekere le 26/11/2001 à 12:48:00 (#426247)
mekere militante anti novembre
Par JimJim le 26/11/2001 à 12:50:00 (#426248)
My name is Luka
I live on the second floor
I live upstairs from you
Yes I think you've seen me before
If you hear something late at night
Some kind of trouble. some kind of fight
Just don't ask me what it was
Just don't ask me what it was
Just don't ask me what it was
I think it's because I'm clumsy
I try not to talk too loud
Maybe it's because I'm crazy
I try not to act too proud
They only hit until you cry
And after that you don't ask why
You just don't argue anymore
You just don't argue anymore
You just don't argue anymore
Yes I think I'm okay
I walked into the door again
If you ask that's what I'll say
And it's not your business anyway
I guess I'd like to be alone
Nothing broken, nothing thrown
Just don't ask me how I am
Just don't ask me how I am
My name is Luka
I live on the second floor
I live upstairs from you
Yes I think you've seen me before
If you hear something late at night
Some kind of trouble. some kind of fight
Just don't ask me what it was
Just don't ask me what it was
Just don't ask me what it was
They only hit until you cry
And after that you don't ask why
You just don't argue anymore
You just don't argue anymore
You just don't argue anymore
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par JimJim le 26/11/2001 à 12:53:00 (#426249)
November Rain
When I look into your eyes
I can see a love restrained
But darlin' when I hold you
Don't you know I feel the same
'Cause nothin' lasts forever
And we both know hearts can change
And it's hard to hold the candle
In the cold november rain
We've been though this such a long long time
Just tryin' to kill the pain
But lovers always come and lovers go
An no ones's really sure who's lettin' go today
Walking away
If we could take the time to lay it on the line
I could rest my head
Just knowin' that you were mine
All mine
So if you want to love me
Then darlin' don't refrain
Or I'll just end up walkin'
In the cold november rain
Do you nee some time... on your own
Do you nee some time... all alone
Everybody needs some time... on their own
Don't you know you need some time... all alone
I know it's hard to keep an open heart
When even friends seem out to harm you
But if you could heal a broken heart
Wouldn't time be out to charm you
Sometimes I need some time... on my own
Sometimes I need some time... all alone
Everybody needs some time... on their own
Everybody needs some time... all alone
And when your fears subside
And shadows still remain
I know that you can love me
When there's no one left to blame
So never mind the darkness
We still can find a way
'Cause nothin' lasts forever
Don't ya think that you need somebody
Don't ya think that you need someone
Everybody needs somebody
You're not the only one
You're not the only one
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky et bercée par la musique
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par mekere le 26/11/2001 à 12:54:00 (#426250)
tu me le paiera jim
Par mekere le 26/11/2001 à 12:58:00 (#426251)
tutti i colori dell'arcobaleno
vanno a formare una pioggia d'argento
ma piove, piove sul nostro amore.
Ciao, ciao bambina
un bacio ancora
e poi, per sempre,
ti perderò.
Come una fiaba
l'amore passa;
c'era una volta
poi non c'è più.
Cos'è che trema
sul tuo visino,
è pioggia o pianto?!
Dimmi cos'è.
Vorrei trovare
parole nuove
ma piove, piove
sul nostro amor.
Ciao bambina, ti voglio bene da morire.
ciao, ciao...
Ciao, ciao bambina
non ti voltare
non posso dirti
rimani ancor.
Vorrei trovare
parole nuove
ma piove, piove
sul nostro amor
un peu d'italien pour changer :p
Par Averoes le 26/11/2001 à 12:58:00 (#426252)
Guillaume si t'es pas aller bosser aujourd'hui fallait venir déjeuner avec moi (tiens je t'envoie un MP pour la peine ). Pareil pour Didier. (le déjeuner, pas le MP!)
Par JimJim le 26/11/2001 à 13:00:00 (#426253)
Solitude stands by the window
She turns her head as I walk in the room
I can see by her eyes she's been waiting
Standing in the slant of the late afternoon
And she turns to me with her hand extended
Her palm is split with a flower with a flame
Solitude stands in the doorway
And I'm struck once again by her black silhouette
By her long cool stare and her silence
I suddenly remember each time we've met
And she turns to me with her hand extended
Her palm is split with a flower with a flame
And she says "I've come to set a twisted thing straight"
And she says "I've come to lighten this dark heart"
And she takes my wrist, I feel her imprint of fear
And I say "I've never thought of finding you here"
I turn to the crowd as they're watching
They're sitting all together in the dark in the warm
I wanted to be in there among them
I see how their eyes are gathered into one
And then she turns to me with her hand extended
Her palm is split with a flower with a flame
And she says "I've come to set a twisted thing straight"
And she says"l've come to lighten this dark heart"
And she takes my wrist, I feel her imprint of fear
And I say "I've never thought of finding you here"
Solitude stands in the doorway
And I'm struck once again by her black silhouette
By her long cool stare and her silence
I suddenly remember each time we've met
And she turns to me with her hand extended
Her palm is split with a flower with a flame
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
Par mekere le 26/11/2001 à 13:01:00 (#426254)
Vivo per lei da quando sai
la prima volta l'ho incontrata
non mi ricordo come ma
mi è entrata dentro e c'è restata
vivo per lei perchè mi fa
vibrare forte l'anima
vivo per lei e non è un peso
Vivo per lei anch'io lo sai
e tu non esserne geloso
lei è di tutti quelli che
hanno un bisogno sempre acceso
come uno stereo in camera
di chi è da solo e adesso sa
che è anche per lui , per questo
io vivo per lei
E' una musa che ci invita
a sfiorarla con le dita
attraverso un pianoforte la morte è
lontana io vivo per lei
Vivo per lei che spesso sa
essere dolce e sensuale
a volte picchia in testa ma
è un pugno che non fa mai male
Vivo per lei lo so mi fa
girare di città in città
soffrire un pò ma almeno io vivo
È un dolore quando parte
Vivo per lei dentro gli hotels
Con piacere estremo cresce
Vivo per lei nel vortice
Attraverso la mia voce
si espande e amore produce
Vivo per lei nient'altro ho
e quanti altri incontrerò
che come me hanno scritto in viso
io vivo per lei
Io vivo per lei
Sopra un palco o contro ad un muro
Vivo per lei al limite
anche in un domani duro
Vivo per lei al margine
Ogni giorno
una conquista
la protagonista
sarà sempre lei
Vivo per lei perchè oramai
io non ho altra via d'uscita
perchè la musica lo sai
davvero non l'ho mai tradita
Vivo per lei perchè mi da
pause e note in libertà
ci fosse un altra vita la vivo
la vivo per lei
Vivo per lei la musica Io vivo per lei
Vivo per lei è unica Io vivo per lei
Io vivo per lei
Io vivo per lei
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Mekere Lamelune ]
Par JimJim le 26/11/2001 à 13:02:00 (#426255)
:aide: :aide:
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par Drisard le 26/11/2001 à 13:06:00 (#426256)
{Refrain:}
Hé! Je sais c'est un grand vide quand il n'est pas là
Je crois qu'il ne le sait même pas
Parfois j'aimerais qu'il me prenne dans ses bras
J'ai besoin de lui près de moi!
Prés de moi
Prés de moi
hé, hé, hé...
Besoin de lui
Tout prés de moi, ah...
Prés de moi
Prés de moi
Il a ce ne sais quoi
Qui fait mon cur chavirer
Cette façon d'être ailleur comme ça
Il semble bien m'ignorer
S'il pouvait me parler oh rien qu'une fois,
Je lui dirais ce qu'il ne voit pas,
S'il pouvait m'emmener je pourrais lui dire
Qu'il est plus qu'un ami bien plus que ça !
{au Refrain}
Tous les jours c'est la même chose,
Il passe à côté de moi,
Alors je vois la vie en rose
Mais je suppose qu'il ne me regarde pas !
S'il pouvait s'avancer oh rien qu'une fois
Je lui dirais ce qu'il ne voit pas,
S'il pouvait m'emmener je pourrais lui dire
Qu'il est plus qu'un ami bien plus que ça !
{au Refrain}
Je sais c'est un grand vide quand il n'est pas là
Je crois qu'il ne me vois même pas
Parfois j'aimerais qu'il me prenne dans ses bras
Mais dans mes rêves les plus fous,
Où il me regarde à son tour,
Il me dit tout bas... (chut)
Je t'aime depuis toujours
Ah ah ah ah ah ah ah... (je t'aime)
Je t'aimerais toujours !
{au Refrain}
Je sais c'est un grand vide quand il n'est pas là
Je crois qu'il ne me voit même pas
Parfois j'aimerais qu'il me prenne dans ses bras...
Ah ah ah tout près de moi...
Je n'ai pas mis l auteur et l interprete alors a vous de me dire de qui c'est..
Par Sawyll-Hen le 26/11/2001 à 13:07:00 (#426257)
All I have and all I do
Cannot compare to the love of you
You make me feel alive
You are my highest high
All i can do is smile
When I look in my little girl's eyes
You're my star and when I'm far
You're not alone cause you're heart's my home
You are my biggest prize
So beautiful and so wise
All I want to do when I comme into the room is see her smile
When I look in my little girl's eyes
You make me feel alive
You are my highest high
All i can do is smile
When I look in my little girl's eyes
Lenny Kravitz
Par Vrittis le 26/11/2001 à 13:09:00 (#426258)
*se dit qu'il y a tant de lieux ou il aimerait être*
Lost but not stranded yet!
Par JimJim le 26/11/2001 à 13:10:00 (#426259)
Suzanne Vega - Tom's Dinner
I am sitting
In the morning
At the diner
On the corner
I am waiting
At the counter
For the man
To pour the coffee
And he fills it
Only halfway
And before
I even argue
He is looking
Out the window
At somebody
Coming in
"It is always
Nice to see you"
Says the man
Behind the counter
To the woman
Who has come in
She is shaking
Her umbrella
And I look
The other way
As they are kissing
Their hellos
I'm pretending
Not to see them
Instead
I pour the milk
I open
Up the paper
There's a story
Of an actor
Who had died
While he was drinking
It was no one
I had heard of
And I'm turning
To the horoscope
And looking
For the funnies
When I'm feeling
Someone watching me
And so
I raise my head
There's a woman
On the outside
Looking inside
Does she see me?
No she does not
Really see me
Cause she sees
Her own reflection
And I'm trying
Not to notice
That she's hitching
Up her skirt
And while she's
Straightening her stockings
Her hair
Is getting wet
Oh, this rain
It will continue
Through the morning
As I'm listening
To the bells
Of the cathedral
I am thinking
Of your voice...
And of the midnight picnic
Once upon a time
Before the rain began...
I finish up my coffee
It's time to catch the train
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
Par Sawyll-Hen le 26/11/2001 à 13:11:00 (#426260)
Sur nos corps qui s'en lassent...
Laissez mourir Novembre de sa belle mort et profitez en :)
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Sawyll-Hen ]
Par Averoes le 26/11/2001 à 13:12:00 (#426261)
Et non, j'ai pas envie d'aller sur le forum :enerve:
Pas envie de Novembre non plus d'ailleurs ;)
Bon, on continue
The Beatles - Eleanor Rigby
Ah, look at all the lonely people
Ah, look at all the lonely people
Eleanor Rigby picks up the rice in the church where a wedding has been
Lives in a dream
Waits at the window, wearing the face that she keeps in a jar by the door
Who is it for?
All the lonely people
Where do they all come from?
All the lonely people
Where do they all belong?
Father McKenzie writing the words of a sermon that no one will hear
No one comes near
Look at him working. Darning his socks in the night when there's nobody there
What does he care?
All the lonely people
Where do they all come from?
All the lonely people
Where do they all belong?
Ah, look at all the lonely people
Ah, look at all the lonely people
Eleanor Rigby died in the church and was buried along with her name
Nobody came
Father McKenzie wiping the dirt from his hands as he walks from the grave
No one was saved
All the lonely people
Where do they all come from?
All the lonely people
Where do they all belong?
Par mekere le 26/11/2001 à 13:14:00 (#426262)
*efface le mot novembre*
Moon so bright, night so fine
Keep your heart here with mine
Life's a dream we are dreaming
Race the moon, catch the wind
Ride the night to the end
Sieze the day, stand up for the light
I want to spend my lifetime loving you
If that is all in life I ever do
Heroes rise, heroes fall
Rise again, win it all
In your heart, can't you feel the glory ?
Through our joy, through our pain
We can move worlds again
Take my hand, dance with me
{Refrain:}
I want to spend my lifetime loving you
If that is all in life I ever do
I will want nothing else to see me through
If I can spend my lifetime loving you
Ooh ooh ooh, yeah yeah yeah yeah
Oh oh oh oh
Though we know we will never come again
Where there is love, life begins
Over and over again
Save the night, save the day
Save the love, come what may
Love is worth everything we pay
Par JimJim le 26/11/2001 à 13:14:00 (#426263)
Noir Desir - Lost ...
Pourras-tu le faire I'm lost...
Pourras-tu le dire
Tu dois tout essayer
Tu dois devenir
Tu dois voir plus loin
Tu dois revenir
Egaré en chemin
Tu verras le pire
Pour trouver le sud
Sans perdre le Nord
Après les certitures
Au-delà des bords
I'm lost but I'm not stranded yet
I'm lost but I'm not stranded yet
Dans les yeux des femmes
Dans la marie-jeanne
Dans la techno-cité
Pour manipulés
Grand combat de chairs
Colline enflammée
Dans l'ombre ou la lumière
Pôle halluciné
Pour courir ventre à terre
Brouillard et fumée
Consommer consumer
Recracher de l'air
Dans le dérisoire
Dans les accessoires
Dans le feu des possibles
Au coeur de la cible
Dans la paranoïa
Dans la schizophrénia
Un maniacopéra
Pharmacopérave
I'm lost but I'm not stranded yet
I'm lost but I'm not stranded yet
Entre les dérapages
Entre les lignes d'orages
Entre temps entre nous
Et entre chien et loup
Au maximum du voltage
A peine est passé le message
Au fil du rasoir
Encore une fois c'est la vie qui s'entête
Acharnée au-delà des images qu'on reflète
Chacal, charogne, chaman, sachem
Magie noire ou blanche inscrite à la Sacem
Des poumons d'or
Belphégor
Ici, maintenant, à la vie, à la mort
N'oublie pas ton sourire pour ce soir si tu sors
Un jury t'attend n'injurie pas le sort
Entre les dérapages
Entre les lignes d'orages
Entre temps entre nous
Et entre chien et loup
Au maximum du voltage
A peine est passé le message
Au fil du rasoir
Dans les corridors
Sur les baies vitrées
Des insectes écrasés
qui chechaient de l'or
Dans les ministères
Dans les monastères
Dans les avalanches
Au bout de la planche
Des combats d'autorité
Des conflits d'intérêts
Des types ignifugés
Veulent ma fusée
Des désenchanteurs
Un train à quelle heure
Des pirates des corsaires
Sans aucun repaire
Tu dois voir plus loin
Tu dois revenir
Tu dois tout essayer
Tu dois devenir
Tu dois devenir
Tu dois devenir
I'm lost but I'm not stranded yet
I'm lost but I'm not stranded yet
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par Averoes le 26/11/2001 à 13:19:00 (#426264)
Noir Désir - Comme elle vient
A se changer en Roi
A hurler à la lune
A traquer la fortune
Tout ça pour trainer son poids
Au risque de s'y plaire
Au moment de s'y croire
Sonnez les courants d'air
Faites donner l'exutoire
Il faudrait qu'on s'élève
Au fond il a d'la classe
Ou alors qu'on prenne la sève
Comme elle vient
encore et encore
Tu vois la belle bleue
Des feux de l'artifice
Et tu la sens
même un peu mieux
A la faveur d'une éclipse
On voit du jour au lendemain
Que ça ne s'invente pas
Reprendre de volée d'aussi loin
Comme elle vient
encore et encore
Comme elle vient
Comme on peut
C'est cruel et sans fard
Ca choisit pas, merci pour eux
Comme une flèche
Comme un pieux
C'est bon pour la mémoire
Ca vous fait quoi d'être au milieu?
Hé camarade
Si les jeux sont faits
Au son des mascarades
On pourra toujours se marrer
Et dans tout le long des courants d'air
On voit des amoureux
Qui savent encore
changer leurs nerfs
En un bouquet délicieux
On en aura des saisons
Des torrides et des blèmes
Je peux encore garder ton nom
Je peux aussi dire que j'l'aime
Par JimJim le 26/11/2001 à 13:20:00 (#426265)
Devant le resto des hommes qui mangent seuls
Y'a deux trottoirs l'un à l'ombre et l'autre au soleil
Y'a le choix ou y'a pas
J'habite sur la frontière comme le fil d'un rasoir
J'y aiguise mon envie de changer de côté
Mais j'ai pas encore choisi lequel était bon pour moi
Peut-être ni l'un ni l'autre, je suis les pointillés
A un moment c'est sûr que je vais basculer
J'ai peur de choisir, peur de pas en revenir
Je vois de chaque côté des processions des enterrements
Trois trompettes derrière et personnes pour pleurer
Faut garder ses larmes pour soi en cas de besoin
Quand la vie réclamera son tribut
Pour une vieille histoire de pomme et de serpents
Sur le fil j'écarte les bras je ne bouge pas
Je reste là, je suis pas prêt de m'envoler
Il n'y a ni bien ni mal
Je me suis jamais senti si bien
Je me suis jamais senti si mal
J'en sais rien
Je m'en fout
Je goûte ma soupe à la grimace au resto des hommes qui mangent seuls
Qui n'a jamais connu le rire des femmes
Le rouge au bord d'un verre ou la delicate musique d'un cristal qui s'entrechoque
Et je regarde mon assiette et le serveur enlève l'autre
Pour qu'on soit sûr que je n'attends personne
Dans la rue les gens vont par deux
Et moi je valse et tangue avec ma gueule dans la vitrine
Dans le resto des hommes qui mangent seuls.
JimJim, amande amère cuisinée à la musique et bercée par le whisky
Par Darkpower-DV le 26/11/2001 à 13:20:00 (#426266)
Un régiment
De fromage blanc
Déclare la guerre
Au camembert
Mais le porc salue
N'a pas voulut
Car le Roque-fort
Etait trop fort
:D :D
Par Erin le 26/11/2001 à 13:23:00 (#426267)
Kansas, Dust in the Wind
I close my eyes, only for a moment and the moments gone
All my dreams, pass before my eyes a curiosity
Dust in the wind, All they are is dust in the wind
Same old song, just a drop of water in an endless sea
All we do, crumbles to the ground though we refuse to see
Dust in the wind, All we are is dust in the wind.
Dont hang on, nothing lasts forever but the earth and sky
It slips away, all your money wont another minute buy
Dust in the wind, All we are is dust in the wind
Dust in the wind, Everything is dust in the wind
Par JimJim le 26/11/2001 à 13:27:00 (#426268)
Débat lancé par Averoes:
Jim relanceur de Noir Dés', elle est pour nous celle là
Au risque de s'y plaire
Au moment de s'y croire
Je peux aussi dire que j'l'aime
Oui ... elle est pour nous ....
Lost But not Stranded Yet !!!
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky bercée par une voix ...
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par Skwee le 26/11/2001 à 13:27:00 (#426269)
(Drisard qui est trop faignant pour changer de compte)
Par mekere le 26/11/2001 à 13:29:00 (#426270)
Dites-moi pourquoi
C'est comme un cadeau
Que le ciel me fait d'en haut... haut... haut
Quand cet amour nous enchaîne
S'accroche à l'eau
Dites-moi pourquoi je l'aime
Dites-moi pourquoi c'est trop
Pourquoi faut-il que je l'aime
Et que sa vie
Sa vie me coule dans les veines
Et dans ses mains je supplie... oui... oui
Chaque fois je me déchaîne
Quand il prend ma vie
Je ne sais plus comment
Ni où s'enfuit le temps
Quand mon corps se meurt et se
perd dans ses bras
Dites-moi pourquoi je l'aime
Dites-moi pourquoi
Il est comme un bateau,
Qui m'emmènerait sur l'eau
Au lieu de garder ma peine
Je crie bien plus fort
Encore plus fort que je l'aime
Et que je l'aimerai encore
Le ciel m'en a fait cadeau
Quand dans ses bras mon corps
Toute sa vie dévore
Je prie pour qu'il m'enlace encore et encore
Dites-moi pourquoi je l'aime
Dites-moi pourquoi
Il est comme un bateau
Qui m'emmènerait sur l'eau
Et si jamais j'ai de la peine
Je crie bien plus fort
Encore plus fort que je l'aime
Et que je l'aimerai encore
Dites-moi pourquoi je l'aime
Je sais que je l'aime encore
Par JimJim le 26/11/2001 à 13:33:00 (#426271)
Sans toi, sans moi, sans nous, sans rien.
Comme en vacances dans un pays aux murs trop blancs,
où viennent en nombre buter les idées sombres,
sur les décombres d'un coeur qui sombre.
Il ya trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances.
Sans te parler, sans t'appeler,
sans t'écrire, sans rien choisir,
sans rien attendre, sans rien entendre,
sans rien comprendre.
Sans sentir ta voix et tes mots posés sur moi.
Sans entendre la musique de ta peau sur mes draps.
Il y a trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances.
J'ai pas vu ce matin sortir tes fesses de nos draps sales.
J'ai pas senti ta main sur mes cheveux,
comme pour me rechauffer le rêve.
Encore moins ton souffle dans mon cou,
ni tes lèvres me sussurer un au-revoir,
à plus tard.
Tout ça, ça me fait penser qu'hier non plus.
En pleine lumière sans un coin d'ombre
bien trop sincère pour pas être tout seul au monde.
Comme un chien dans l'arène de mon propre désir,
j'aboie à perdre haleine, je supplie la fin du martyr.
Mais les habits de lumière ne tireront jamais leur gloire
à me faire toucher terre, on coupe les phares,
fini la fanfare, je reste dans le noir.
Il y a trop, beaucoup trop de silence dans mes vacances.
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky , bercée par une voix , écrasée par un mot
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par Sawyll-Hen le 26/11/2001 à 13:38:00 (#426272)
A ton étoile
Sous la lumière en plein
Et dans lombre en silence
Si tu cherches un abri
Inaccessible
Dis toi quil nest pas loin et quon y brille
A ton étoile
Petite sur de mes nuits
Ça ma manqué tout ça
Quand tu sauvais la face
A bien dautres que moi
Sache que je noublie rien mais quon efface
A ton étoile
Toujours à lhorizon,
Des soleils qui sinclinent,
Comme on a pas le choix il nous reste le cur
tu peux cracher même rire, et tu le dois
A ton étoile
A Marcos
A la joie
A la beauté des rêves
A la mélancolie
A lespoir qui nous tient
A la santé du feu
Et de la flamme
A ton étoile
Noir Désir
Par rollplay le 26/11/2001 à 13:39:00 (#426273)
Merci pour ce voyage, en chanson un peu trop d'amertume à mon gôut.
Par Averoes le 26/11/2001 à 13:41:00 (#426274)
Pink Floyd - I wish you were here
So, so you think you can tell
Heaven from Hell, blue skies from pain.
Can you tell a green field
From a cold steel rail?
A smile from a veil?
Do you think you can tell?
And did they get you to trade
Your heroes for ghosts?
Hot ashes for trees?
Hot air for a cool breeze?
Cold comfort for change?
And did you exchange
A walk on part in the war
For a lead role in a cage?
How I wish, how I wish you were here.
We're just two lost souls
Swimming in a fish bowl, year after year,
Running over the same old ground.
What have you found? The same old fears.
Wish you were here.
Le coeur, ce n'est pas le problème de Novembre justement Didier?
I'm lost but I'm not stranded yet!
Par Sawyll-Hen le 26/11/2001 à 13:42:00 (#426275)
A l'instar de l'amande, le voyage est moins amère qu'il n'y parait. Plutot plein d'espoirs chuchotés, comme pour ne pas risquer qu'ils soient déçus... :)
Philippe :
je ne parlerai qu'en présence de ma vodka ! ;p
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Sawyll-Hen ]
Par JimJim le 26/11/2001 à 13:47:00 (#426276)
So close no matter how far
couldn't be much more from the heart
forever trusting who we are
and nothing else matters
never opened myself this way
life is ours, we live it our way
all these words I don't just say
and nothing else matters
trust I seek and I find in you
every day for us something new
open mind for a different view
and nothing else matters
never cared for what they do
never cared for what they know
and I know
so close no matter how far
couldn't be much more from the heart
forever trusting who we are
and nothing else matters
never cared for what they do
never cared for what they know
and I know
never opened myself this way
life is ours, we live it our way
all these words I don't just say
and nothing else matters
trust I seek and I find in you
every day for us something new
open mind for a different view
and nothing else matters
never cared for things they say
never cared for games they play
never cared for what they do
never cared for what they know
and I know
JimJim, amande amère enfin prete a etre utilisée en patisserie ...
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par JimJim le 26/11/2001 à 14:03:00 (#426277)
Son sourire, calme et timide,
Rendait lambiance, chaude même torride
Ses mains sans cesse gigotaient
Pour appuyer ce quelle disait
Ses vêtements aux plis sévères
Cachaient des formes presque pubères
Dans ses yeux noirs trop sérieux
On pouvait calculer lenjeu
De cette brève rencontre
De cette brève rencontre
De cette brève rencontre
De cette brève rencontre
Elle écoutait sans trop y croire
Les histoires de vieux soûlards zonards
Sa démarche aux hanches souples
La faisait ondoyer comme un poulpe
Je lui disais que si son ramage
Avait la dégaine de son plumage
Jétais le plus amoureux des renards,
Jétais le plus attendri des barbares
Par cette brève rencontre
Par cette brève rencontre
Par cette brève rencontre
Par cette brève rencontre
Ce fut effectivement une brève rencontre
Au rendez vous daprès jai mangé ma montre
Je lai cherché dans Paris le soir
Au Père Lachaise, au fond de ma mémoire
Sentir son odeur un instant
Avoir sa main dans ma main un moment
Sentir son odeur un instant
Avoir sa main dans ma main un moment
Pour un brève rencontre
Pour un brève rencontre
Pour un brève rencontre
Pour un brève rencontre
JimJim, amande amère
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par Averoes le 26/11/2001 à 14:38:00 (#426278)
The Rolling Stones - Paint it Black
I see a red door and I want it painted black
No colors anymore I want them to turn black
I see the girls walk by dressed in their summer clothes
I have to turn my head until my darkness goes
I see a line of cars and they're all painted black
With flowers and my love both never to come back
I see people turn their heads and quickly look away
Like a new born baby it just happens ev'ry day
I look inside myself and see my heart is black
I see my red door and it has been painted black
Maybe then I'll fade away and not have to face the facts
It's not easy facin' up when your whole world is black
No more will my green sea go turn a deeper blue
I could not foresee this thing happening to you
If I look hard enough into the settin' sun
My love will laugh with me before the mornin' comes
I see a red door and I want it painted black
No colors anymore I want them to turn black
I see the girls walk by dressed in their summer clothes
I have to turn my head until my darkness goes
Hmm, hmm, hmm,...
I wanna see it painted, painted black
Black as night, black as coal
I wanna see the sun blotted out from the sky
I wanna see it painted, painted, painted, painted black
Yeah!
Par mekere le 26/11/2001 à 14:49:00 (#426279)
starmania...
On dort les uns contre les autres
On vit les uns avec les autres
On se caresse, on se cajole
On se comprend, on se console
Mais au bout du compte
On se rend compte
Qu'on est toujours tout seul au monde
On danse les uns contre les autres
On court les uns après les autres
On se déteste, on se déchire
On se détruit, on se désire
Mais au bout du compte
On se rend compte
Qu'on est toujours tout seul au monde
On dort les uns contre les autres
On vit les uns avec les autres
On se caresse, on se cajole
On se comprend, on se console
Mais au bout du compte
On se rend compte
Qu'on est toujours tout seul au monde
Mais au bout du compte
On se rend compte
Qu'on est toujours tout seul au monde
Toujours tout seul au monde
Par Sawyll-Hen le 26/11/2001 à 14:54:00 (#426280)
La chambre
Dans ma chambre vous croqueriez
Une pomme petite vous tremperiez
Dans le thé des langues de chat
En silence
Et après le débat
Comme dit Casanova
Fronçant les sourcils vous diriez
Cest bizarre
Car vous nauriez quun mot à dire
Dans la rue la journée
Pour vous servir dacolyte jaurais
Mon parapluie qui sait ?
Dans ma chambre vous croqueriez
Une pomme petite vous tremperiez
Dans le thé des langues de chat
En silence
Et après le débat
Comme dit Casanova
Fronçant les sourcils vous diriez
Ça a été ?
Car vous nauriez quun mot à dire
Dans la rue la journée
Si seulement il vous en disait
kat onoma
Par Averoes le 26/11/2001 à 14:54:00 (#426281)
Dis tu crois que Jim se termine au whisky là?
Nirvana - Heart-Shaped Box
She eyes me like a pisces when I am weak
I've been locked inside your heart-shaped box for weeks
I've been drawn into your magnet tar pit trap
I wish I could eat your cancer when you turn black
Hey! Wait!
I've got a new complaint
Forever in debt to your priceless advice
Hey! Wait!
I've got a new complaint
Forever in debt to your priceless advice
Hey! Wait!
I've got a new complaint
Forever in debt to your priceless advice
Your advice
Meat-eating orchids forgive no one just yet
Cut myself on angel's hair and baby's breath
Broken hymen of your highness I'm left black
Throw down your umbilical noose so I can climb right back
Hey! Wait!
I've got a new complaint
Forever in debt to your priceless advice
Hey! Wait!
I've got a new complaint
Forever in debt to your priceless advice
Hey! Wait!
I've got a new complaint
Forever in debt to your priceless advice
Your advice
She eyes me like a pisces when I am weak
I've been locked inside your heart-shaped box for weeks
I've been drawn into your magnet tar pit trap
I wish I could eat your cancer when you turn black
Hey! Wait!
I've got a new complaint
Forever in debt to your priceless advice
Hey! Wait!
I've got a new complaint
Forever in debt to your priceless advice
Hey! Wait!
I've got a new complaint
Forever in debt to your priceless advice
Your advice (x3)
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Averoes ]
Par Aclys Du Val le 26/11/2001 à 14:56:00 (#426282)
Vous me donnez envie de chialler :sanglote:
surtout n'arretez pas
Par mekere le 26/11/2001 à 14:58:00 (#426283)
en passant JJG
Toutes les ébènes ont rendez-vous
Lambeaux de nuit quand nos ombres s'éteignent
Des routes m'emmènent, je ne sais où
J'avais les yeux perçants avant, je voyais tout
Doucement reviennent à pas de loups
Reines endormies, nos déroutes anciennes
Coulent les fontaines jusqu'où s'échouent
Les promesses éteintes et tous nos vux dissous
C'était des ailes et des rêves en partage
C'était des hivers et jamais le froid
C'était des grands ciels épuisés d'orages
C'était des paix que l'on ne signait pas
Des routes m'emmènent, je ne sais où
J'ai vu des oiseaux, des printemps, des cailloux
En passant
Toutes nos défaites ont faim de nous
Serments résignés sous les maquillages
Lendemains de fête, plus assez saouls
Pour avancer, lâcher les regrets trop lourds
Déjà ces lents, ces tranquilles naufrages
Déjà ces cages qu'on attendait pas
Déjà ces discrets manques de courage
Tout ce qu'on ne sera jamais, déjà
J'ai vu des bateaux, des fleurs, des rois
Des matins si beaux, j'en ai cueilli parfois
En passant
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Mekere Lamelune ]
Par Averoes le 26/11/2001 à 15:01:00 (#426284)
Oh yeah, all right
Are you going to be in my dreams
Tonight?
And in the end
The love you take
Is equal to the love you make
Par mekere le 26/11/2001 à 15:04:00 (#426285)
JJG on n'y peut rien...
Comme un fil entre l'autre et l'un
Invisible, il pose ses liens
Dans les méandres des inconscients
Il se promène impunément
Et tout un peu tremble
Et le reste s'éteint
Juste dans nos ventres
Un nud, une faim
Il fait roi l'esclave
Et peut damner les saints
L'honnête ou le sage
Et l'on n'y peut rien
Et l'on résiste on bâtit des murs
Des bonheurs, photos bien rangées
Terroriste, il fend les armures,
Un instant tout est balayé
Tu rampes et tu guettes
Et tu mendies des mots
Tu lis ses poètes
Aimes ses tableaux
Et tu cherches à la croiser
T'as quinze ans soudain
Tout change de base
Et l'on n'y peut rien
Il s'invite quand on ne l'attend pas
Quand on y croit, il s'enfuit déjà
Frère qui un jour y goûta
Jamais plus tu ne guériras
Il nous laisse vide
Et plus mort que vivant
C'est lui qui décide
On ne fait que semblant
Lui, choisit ses tours
Et ses va et ses vient
Ainsi fait l'amour
Et l'on n'y peut rien
Par Averoes le 26/11/2001 à 15:07:00 (#426286)
Une chance pour les amandes amères imbibées de whisky (pfff la Vodka c'est pas pour les Vikings au fait, tu bois pas plutôt de l'Aquavit? :D )
The Doors - Alabama Song
Well, show me the way
To the next whiskey bar
Oh, don't ask why
Oh, don't ask why
Show me the way
To the next whiskey bar
Oh, don't ask why
Oh, don't ask why
For if we don't find
The next whiskey bar
Tell you we must die
Tell you we must die
Tell you, I tell you
I tell you we must die
Oh, moon of Alabama
We now must say goodbye
We've lost our good old mama
And must have whiskey, oh, you know why
Oh, moon of Alabama
We now must say goodbye
We've lost our good old mama
And must have whiskey, oh, you know why
Par JimJim le 26/11/2001 à 15:09:00 (#426287)
This is the end
Beautiful friend
This is the end
My only friend, the end
Of our elaborate plans, the end
Of everything that stands, the end
No safety or surprise, the end
I'll never look into your eyes...again
Can you picture what will be
So limitless and free
Desperately in need...of some...stranger's hand
In a...desperate land
Lost in a Roman...wilderness of pain
And all the children are insane
All the children are insane
Waiting for the summer rain, yeah
There's danger on the edge of town
Ride the King's highway, baby
Weird scenes inside the gold mine
Ride the highway west, baby
Ride the snake, ride the snake
To the lake, the ancient lake, baby
The snake is long, seven miles
Ride the snake...he's old, and his skin is cold
The west is the best
The west is the best
Get here, and we'll do the rest
The blue bus is callin' us
The blue bus is callin' us
Driver, where you taken' us
The killer awoke before dawn, he put his boots on
He took a face from the ancient gallery
And he walked on down the hall
He went into the room where his sister lived, and...then he
Paid a visit to his brother, and then he
He walked on down the hall, and
And he came to a door...and he looked inside
Father, yes son, I want to kill you
Mother...I want to...fuck you
C'mon baby, take a chance with us
C'mon baby, take a chance with us
C'mon baby, take a chance with us
And meet me at the back of the blue bus
Doin' a blue rock
On a blue bus
Doin' a blue rock
C'mon, yeah
Kill, kill, kill, kill, kill, kill
This is the end
Beautiful friend
This is the end
My only friend, the end
It hurts to set you free
But you'll never follow me
The end of laughter and soft lies
The end of nights we tried to die
This is the end
JimJim, amande amère distillée en alcool
Par mekere le 26/11/2001 à 15:09:00 (#426288)
Sache que Je.....
Il y a des ombres dans " je t'aime "
Pas que de l'amour, pas que ça
Des traces de temps qui traînent
Y a du contrat dans ces mots là
Tu dis l'amour a son langage
Et moi les mots ne servent à rien
S'il te faut des phrases en otage
Comme un sceau sur un parchemin
Alors sache que je
Sache le
Sache que je
Il y a mourir dans " je t'aime "
Il y a je ne vois plus que toi
Mourir au monde, à ses poèmes
Ne plus lire que ses rimes à soi
Un malhonnête stratagème
Ces trois mots là n'affirment pas
Il y a une question dans " je t'aime "
Qui demande " et m'aimes-tu, toi ? "
Alors sache que je
Sache le
Sache que je
Par JimJim le 26/11/2001 à 15:14:00 (#426289)
Je sais c'est genralement l'inverse qu'il se passe la haine et l'amertume
Mais moi je suis pas comme les autres :p
Renaud - Bordel OU c'est que j'ai mis mon flingue
J'veux qu'mes chansons soient des caresses,
Ou bien des poings dans la gueule.
A qui qu'ce soit que je m'adresse,
J'veux vous r'muer dans vos fauteuils.
Alors, écoutez-moi un peu,
Les pousse-mégots et les nez d'boeufs,
Les ringards, les folkeux, les journaleux.
D'puis qu'y a mon nom dans vos journaux,
Qu'on voit ma tronche à la télé,
Où j'vends ma soupe empoisonnée,
Vous m'avez un peu trop gonflé.
J'suis pas chanteur pour mes copains,
Et j'peux être teigneux comme un chien.
J'déclare pas, avec Aragon,
Qu'le poète a toujours raison.
La femme est l'avenir des cons,
Et l'homme n'est l'avenir de rien.
Moi, mon av'nir est sur le zingue,
D'un bistrot des plus cradingues,
Mais bordel ! où c'est qu'j'ai mis mon flingue ?
J'vais pas m'laisser emboucaner,
Par les fachos, par les gauchos,
Tous ces pauv' mecs endoctrinés,
Qui foutent ma révolte au tombeau.
Tous ceux qui m'traitent de démago,
Dans leur torchon qu'j'lirai jamais :
"Renaud, c'est mort, il est récupéré" ;
Tous ces p'tits bourgeois incurables,
Qui parlent pas, qu'écrvent pas, qui bavent,
Qui vivront vieux leur vie minable,
Ont tous dans la bouche un cadavre.
T't'façon, j'chante pas pour ces blaireaux,
Et j'ai pas dis mon dernier mot.
C'est sû'ment pas un disque d'or,
Ou un Olympia pour moi tout seul,
Qui me feront virer de bord,
Qui me feront fermer ma gueule.
Tant qu'y'aura d'la haine dans mes s'ringues,
Je n'chant'rai que pour les dingues,
Mais bordel ! où c'est qu'j'ai mis mon flingue ?
Y'a pas qu'les mômes dans la rue,
Qui m'collent au cul pour une photo ;
Y'a même des flics qui me saluent,
Qui veulent qu'j'signe dans leur calot,
Moi j'crache dedans et j'crie bien haut,
Qu'le bleu marine me fait gerber ;
J'aime pas l'travail, la justice et l'armée.
C'est pas d'main qu'on m'verra marcher,
Avec les connards qui vont aux urnes,
Choisir c'lui qui nous f'ra crever,
Moi, ce jour-là, j'reste dans ma turne.
Rien à foutre de la lutte des crasses,
Tous ces systèmes sont dégueulasses !
J'peux pas encaisser les drapeaux,
Quoiqu'le noir soit le plus beau.
La Marseillaise même en reggae,
Ça m'a toujours fait dégueuler.
Les marches militaires, ça m'déglingue,
Et votr' république, moi, j'la tringle,
Mais bordel ! où c'est qu'j'ai mis mon flingue ?
D'puis qu'on m'a tiré mon canif,
Un soir, au métro Saint Michel,
J'fous plus les pieds dans une manif',
Sans un nunchak' ou un cocktail
A Longwy comme à Saint-Lazare,
Plus de slogans face aux flicards,
Mais des fusils, des pavés des grenades !
Gueuler contre la répression,
En défilant "Bastille-Nation",
Quand mes frangins crèvent en prison,
Ça donne une bonne conscience aux cons,
Aux nez d'boeufs et aux pousse-mégots,
Qui foutent ma révolte au tombeau.
Si un jour, j'me r'trouve la gueule par terre,
Sûr quça s'ra d'la faute à Baader.
Si j'crève le nez dans le ruisseau,
Sûr qu'ça s'ra d'la faute à Bonnot.
Pour l'instant ma geule est sur le zing
D'un bistrot des plus cradingues,
Mais faites gaffe ! J'ai mis la main sur mon flingue !
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par JimJim le 26/11/2001 à 15:18:00 (#426290)
Une des plus belle ....
Non, ne crois pas, fillette,
me retenir encore
dans tes rues sans violettes,
dans ton triste décor
N'essaie pas de me suivre,
déserte mes rivages,
loin de toi, je veux vivre
de plus beaux paysages.
Petite fille des sombres rues, éloigne-toi,
Petite fille aux yeux perdus, tu m'oublieras.
J'ai trop longtemps vécu
dans de pauvres ruelles,
trop longtemps attendu
un petit arc-en-ciel.
J'ai besoin de soleil
et d'horizons moins gris,
je veux voir les merveilles
que, près de toi, j'oublie.
Petite fille des sombres rues, éloigne-toi,
Petite fille aux yeux perdus, tu m'oublieras.
Je ne suis pas de ceux
que chasse la lumière,
et qui vivent heureux
un éternel hiver
De l'amour je ne veux
que les filles des rivières,
lorsque j'aime les yeux,
j'aime aussi la chaumière.
Petite fille des sombres rues, éloigne-toi,
Petite fille aux yeux perdus, tu m'oublieras
Nos chemins se séparent,
entends, la vie m'appelle,
je quitte tes trottoirs
et tes grises dentelles.
Je pars pour des royaumes
où l'on m'attend peut-être,
où le bonheur embaume,
et donne un air de fête.
Petite fille des sombres rues, éloigne-toi,
Petite fille aux yeux perdus, tu m'oublieras
Laisse-moi m'en aller,
je n'ai plus rien à dire,
mais si tu veux pleurer,
n'essaie pas de sourire.
Retourne dans ta nuit,
au fond de tes faubourgs,
retourne dans l'ennui
qui habite tes jours.
Petite fille des sombres rues, éloigne-toi,
Petite fille aux yeux perdus, tu m'oublieras.
JimJim, amande amère
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par Sawyll-Hen le 26/11/2001 à 15:23:00 (#426291)
l'un n'empêche pas l'autre ;p
BELIEVE
Bravely I look further than I see
Knowing things I know I cannot be,
not now
I'm so aware of where I'm,
but I don't know where that is
And there's something right in front of me and I
Touch the fingers of my hand
And I wonder if it's me
Holding on and on to
Theories of prosperity
Someone who can promise me
I believe in me
Tomorrow I was nothing,
yesterday I'll be
Time has fooled me into thinking it's a part of me
Nothing in this room but empty space
No me, no world, no mind, no face
Touch the fingers of my hand
And tell me if it's me
Holding on and on to
Love, what else is real
A religion that appeals to me
I believe in me
Can you turn me off for
just a second, please
Turn me into something faceless, weightless, mindless, homeless
Vaccum state of peace
On and on and on and on and on and on and on and on
I believe in me
On and on and on and on and on and on and on and on
I believe in me
Wait for me I'm nothing for my own
I'm willing to go on, but not alone,
not now
I'm so aware of everything, but nothing seems for real and
As long as you're in front of me then I'll
Watch the fingers of our hands
And I'm grateful that it's me
Holding on and on and on and on and on and on and on and on and on and on
I believe in me
[I'm willing to go on, but not alone,
not now
I'm willing to go on, but not alone,
not now
I'm so aware of everything]
K's Choice
Par JimJim le 26/11/2001 à 15:24:00 (#426292)
Au rez-d'-chaussée, dans mon HLM,
y'a une espèce de barbouze
qui surveille les entrées,
qui tire sur tout c' qui bouge,
surtout si c'est bronzé,
passe ses nuits dans les caves
avec son Beretta,
traque les mômes qui chouravent
le pinard aux bourgeois.
Y s' recrée l'Indochine
dans sa p'tite vie d' peigne-cul.
Sa femme sort pas d' la cuisine,
sinon y cogne dessus.
Il est tellement givré
que même dans la Légion
z'ont fini par le j'ter,
c'est vous dire s'il est con !
Putain c' qu'il est blême, mon HLM !
Et la môme du huitième, le hasch, elle aime !
Au premier, dans mon HLM,
y'a l' jeune cadre dynamique,
costard en alpaga,
c'lui qu'a payé vingt briques
son deux pièces-plus-loggia.
Il en a chié vingt ans
pour en arriver là,
maint'nant il est content
mais y parle de s' casser.
Toute façon, y peut pas,
y lui reste à payer
le lave vaisselle, la télé,
et la sciure pour ses chats,
parc' que naturellement
c' bon contribuable centriste,
il aime pas les enfants,
c'est vous dire s'il est triste !
Putain c' qu'il est blême, mon HLM !
Et la môme du huitième, le hasch, elle aime !
Au deuxième, dans mon HLM,
y'a une bande d'allumés
qui vivent à six ou huit
dans soixante mètres carrés,
y'a tout l' temps d' la musique.
Des anciens d' soixante-huit,
y'en a un qu'est chômeur,
y'en a un qu'est instit',
y'en a une, c'est ma soeur.
Y vivent comme ça, relax,
y'a des mat'lats par terre,
les voisins sont furax,
ils font un boucan d'enfer.
Ils payent jamais leur loyer,
quand les huissiers déboulent,
ils écrivent à Libé,
c'est vous dire s'ils sont cools !
Putain c' qu'il est blême, mon HLM !
Et la môme du huitième, le hasch, elle aime !
Au troisième, dans mon HLM,
y'a l'espèce de connasse,
celle qui bosse dans la pub',
l'hiver à Avoriaz,
le mois d' juillet au Club.
Comme toutes les décolorées,
elle a sa Mini-Cooper,
elle allume tout l' quartier
quand elle sort son cocker.
Aux manifs de gonzesses,
elle est au premier rang,
mais elle veut pas d'enfants
parc' que ça fait vieillir,
ça ramollit les fesses
et pi ça fout des rides,
elle l'a lu dans l'Express,
c'est vous dire si elle lit !
Putain c' qu'il est blême, mon HLM !
Et la môme du huitième, le hasch, elle aime !
Au quatrième, dans mon HLM,
y'a celui qu' les voisins
appellent "le communiste",
même qu'ça lui plaît pas bien,
y dit qu'il est trotskiste !
J'ai jamais bien pigé
la différence profonde,
y pourrait m'expliquer
mais ça prendrait des plombes.
Depuis sa pétition,
y'a trois ans, pour l' Chili,
tout l'immeuble le soupçonne
à chaque nouveau graffiti,
n'empêche que "Mort aux cons"
dans la cage d'escalier,
c'est moi qui l'ai marqué,
c'est vous dire si j'ai raison !
Putain c' qu'il est blême, mon HLM !
Et la môme du huitième, le hasch, elle aime !
Pi y'a aussi, dans mon HLM,
un nouveau romantique,
un ancien combattant,
un loubard, et un flic
qui s' balade en survêtement,
y fait chaque jour son jogging
avec son berger all'mand,
de la cave au parking,
c'est vachement enrichissant.
Quand j'en ai marre d'ces braves gens
j' fais un saut au huitième
pour construire un moment
avec ma copine Germaine,
un monde rempli d'enfants.
Et quand l' jour se lève
on s' quitte en y croyant,
c'est vous dire si on rêve !
Putain c' qu'il est blême, mon HLM !
Et la môme du huitième, le hasch, elle aime !
JimJim, amande amère cuisinée au Whisky
Par JimJim le 26/11/2001 à 15:26:00 (#426293)
Renaud - Manu
Eh Manu rentre chez toi
Y'a des larmes pleins ta bière
Le bistrot va fermer
Pis tu gonfles la taulière
J'croyais qu'un mec en cuir
Ca pouvait pa chialer
J'pensais même que souffrir
Ca pouvait pas t'arriver
J'oubliais tes tatouages
Et ta lame de couteau
C'est surtout un blindage
Pour ton coeur d'artichaut.
Hé déconne pas Manu
Va pas t'tailler les veines
Une gonzesse de perdue
C'est dix copains qui r'viennent.
On était tous maqués
Quand toi t'étais tout seul
Tu disais j'me fais chier
Et j'voudrer sauver ma gueule
T'as croisé cette nana
Qu'était faite pour personne
T'as dit elle est pour moi
Ou alors y'a maldonne
T'as été un peu vite
Pour t'tatouer son prénom
A l'endroit où palpite
Ton grand coeur de grand con.
Eh déconne pas Manu
C't'à moi qu'tu fais d'la peine
Une gonzesse de perdue
C'est dix copains qui r'viennent.
J'vais dire on est des loups
On est fait pour vivre en bande
Mais surtout pas en couple
Ou alors pas longtemps
Nous autres ça fait un bail
Qu'on a largué nos p'tites
Toi t'es toujours en rade
Avec la tienne et tu flippes
Eh Manu vivre libre
C'est souvent vivre seul
Ca fait p't'être mal au bide
Mais c'est bon pour la gueule.
Eh déconne pas Manu
Ca sert à rien la haine
Une gonzesse de perdue
C'est dix copains qui r'viennent.
Elle est plus amoureuse
Manu faut qu'tu t'arraches
Elle peut pas être heureuse
Dans les bras d'un apache
Quand tu lui dis je t'aime
Si elle te d'mande du feu
Si elle a la migraine
Dès qu'elle est dans ton pieu
Dis lui qu't'es désolé
Qu't'as dû t'gourrer d'trottoir
Quand tu l'as rencontrée
T'as dû t'tromper d'histoire.
Eh déconne pas Manu
Va pas t'tailler les veines
Une gonzesse de perdue
C'est dix copains qui r'viennent.
Eh déconne pas Manu
Ca sert à rien la haine
Une gonzesse de perdue
C'est dix copains qui r'viennent.
Eh déconne pas Manu
C't'à moi qu'tu fais d'la peine
Une gonzesse de perdue
C'est dix copains qui r'viennent.
Eh déconne pas Manu ,allez, déconne pas...
Manu...
[ 26 novembre 2001: Message édité par : JimJim ]
Par mekere le 26/11/2001 à 15:30:00 (#426294)
une petite de souchon...
Lumière de loin,
Objet quelqu'un,
Laissez voir un bout d'ficelle,
Un symptôme, une étincelle.
Oh ! Là derrière,
Quelque chose plus léger qu'l'air,
P'tit homme collé
Crie "Au secours !"
J'suis trop lourd. {2x}
Flying Sainte Vierge,
Ovnis v'nez m'voir ou j'm'énerve,
Plume Gabriel,
Tout le bordel
Au milieu de ma pauvre semaine,
V'nez m'chercher {2x}
Parce qu'ici tout me fait peur...
Boule sans frontière,
Légère bulle d'air,
J'veux pas rester, faire carrière
Dans le matériel, dans le pépère.
Choses mystérieuses,
Sainte Jeanne d'Arc des nébuleuses,
Au milieu de ma pauvre semaine,
V'nez m'chercher. {2x}
Fulguro-anges,
Robot-archanges,
Notre Dame de Goldorak,
Neuve machine,
Vieux bric-à-brac,
V'nez m'chercher {2x}
Parce qu'ici tout me fait peur,
Tout me fait peur {2x}
Parce qu'ici tout me fait peur,
Tout me fait peur,
Tout me fait peur...
Belles gamitures,
Beethoven, Rimbaud, la voilure,
Léo Ferré, grande pointure,
Lasers, grandes robes,
Soucoupes, sixtines, synagogues,
Chapeaux pointus d'astrologues,
Grosses pierres,
Les fées,
Oeuf de Pâques
Et lunes tombées,
Melchior, Gaspard, Balthazar,
V'nez m'chercher... {3x}
Par Toinou fillot du pillou le 26/11/2001 à 15:33:00 (#426295)
Triviale poursuite
Renaud Séchan 1988 "Putain de camion"
Question d'histoire d'abord:
Où est la Palestine ?
Sous quelle botte étoilée ?
Derrière quels barbelés ?
Sous quel champ de ruines ?
Question d'histoire encore:
Combien de victimes,
Combien de milliers d'enfants
Dans les décombres des camps
Deviendront combattants ?
J'en sais rien, j' donne ma langue au chagrin
Si tu sais, toi, souffle-moi
Question d' géographie:
Où est la Kanaky ?
Combien de flics, de soldats
Pour tenir Nouméa
Pour flinguer Eloi ?
Combien de petits blancs
De colons arrogants
Se partagent la terre ?
Et combien de misère
Pour le peuple kanak ?
Combien de coups de matraque ?
J'en sais rien, j' donne ma langue au chagrin
Si tu sais, toi, souffle-moi
Question de sport:
Qui détiendra le record
Et restera vivant
Libre et innocent
Derrière les barreaux ?
Vingt ans pour Otelo
Autant pour Mandela
Et combien de hors-la-loi
Chez ces p'tits juges en bois
Dont on fait les salauds
J'en sais rien, j' donne ma langue ay chagrin
Si tu sais, toi, souffle-moi
Question science et nature:
Où balancer ces ordures ?
Allez, à la Vologne !
Ces chiens qui assassinent
Ces rats qui emprisonnent !
Question d' littérature:
Qui a écrit que les hommes
Naissaient libres, égaux ?
Libres mais dans le troupeau
Egaux devant les bourreaux ?
J'en sais rien, j' donne ma langue au chagrin
si tu sais, toi, souffle-moi
Souffre-moi
Souffre-moi
Par JimJim le 26/11/2001 à 15:34:00 (#426296)
Merci Toinou !!!
JimJim amande amère
Par Toinou fillot du pillou le 26/11/2001 à 15:38:00 (#426297)
Pour Manu je la trouve triste mais vrai ! Bon je cherche une qui remet du beaume au coeur !
Honneur au dame !
Miss Maggie
Renaud Séchan, Franck Langolff 1985 "Mistral Gagnant"
Femme du monde ou bien putain
Qui bien souvent êtes les mêmes
Femme normale, star ou boudin,
Femelles en tout genre je vous aime
Même à la dernière des connes,
Je veux dédier ces quelques vers
Issus de mon dégoût des hommes
Et de leur morale guerrière
Car aucune femme sur la planète
N' s'ra jamais plus con que son frère
Ni plus fière, ni plus malhonnête
A part peut-être Madame Thatcher
Femme je t'aime parce que
Lorsque le sport devient la guerre
Y a pas de gonzesse ou si peu
Dans les hordes de supporters
Ces fanatiques, fous-furieux
Abreuvés de haines et de bières
Déifiant les crétins en bleu,
Insultant les salauds en vert
Y a pas de gonzesse hooligan,
Imbécile et meurtrière
Y'en a pas même en grande Bretagne
A part bien sûr Madame Thatcher
Femme je t'aime parce que
Une bagnole entre les pognes
Tu n' deviens pas aussi con que
Ces pauvres tarés qui se cognent
Pour un phare un peu amoché
Ou pour un doigt tendu bien haut
Y'en a qui vont jusqu'à flinguer
Pour sauver leur autoradio
Le bras d'honneur de ces cons-là
Aucune femme n'est assez vulgaire
Pour l'employer à tour de bras
A part peut être Madame Thatcher
Femme je t'aime parce que
Tu vas pas mourir à la guerre
Parc' que la vue d'une arme à feu
Fait pas frissonner tes ovaires
Parc' que dans les rangs des chasseurs
Qui dégomment la tourterelle
Et occasionnellement les Beurs,
J'ai jamais vu une femelle
Pas une femme n'est assez minable
Pour astiquer un revolver
Et se sentir invulnérable
A part bien sûr Madame Thatcher
C'est pas d'un cerveau féminin
Qu'est sortie la bombe atomique
Et pas une femme n'a sur les mains
Le sang des indiens d'Amérique
Palestiniens et arméniens
Témoignent du fond de leurs tombeaux
Qu'un génocide c'est masculin
Comme un SS, un torero
Dans cette putain d'humanité
Les assassins sont tous des frères
Pas une femme pour rivaliser
A part peut être Madame Thatcher
Femme je t'aime surtout enfin
Pour ta faiblesse et pour tes yeux
Quand la force de l'homme ne tient
Que dans son flingue ou dans sa queue
Et quand viendra l'heure dernière,
L'enfer s'ra peuplé de crétins
Jouant au foot ou à la guerre,
A celui qui pisse le plus loin
Moi je me changerai en chien si je peux rester sur la Terre
Et comme réverbère quotidien
Je m'offrirai Madame Thatcher
Par Ryo Saeba le 26/11/2001 à 15:39:00 (#426298)
I'm walking in the rain
yuku ate mo naku kizutsuita karada nurashi
karamitsuku koori no zawameki
koroshi tsuzukete samayou itsu made mo
Until I can forget your love
nemuri wa mayaku tohou ni kureta
kokoro o shizuka ni tokasu
mai agaru ai o odorasete
furueru karada o kioku no bara ni tsutsumu
I keep my love for you to myself
* Endless rain, fall on my heart kokoro no kizu ni
Let me forget all of the hate, all of the sadness
Days of joy, days of sadness slowly pass me by
As I try to hold you, you are vanishing before me
You're just an illusion
When I'm awaken, my tears have dried in the sand of sleep
I'm a rose blooming in the desert
It's a dream, I'm in love with you
madoromi dakishimete
* repeat
I awake from my dream
I can't find my way without you
The dream is over
koe ni naranai kotoba o kurikaeshite mo
takasugiru hai iro no kabe wasugi satta hi no
omoi o yume ni utsusu
Until I can forget you love
* repeat
Endless rain, let me stay
evermore in your heart
Let my heart take in your tears, take in your memories
* repeat
Endless Rain X Japan
Par JimJim le 26/11/2001 à 15:45:00 (#426299)
Renaud .... Rita
Rita, donne-moi ton coeur,
Rita, donne-moi ta main,
Rita, donne-moi ta soeur,
Rita, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah,
Nous partons demain
JimJim, amande amère
Par Toinou fillot du pillou le 26/11/2001 à 15:48:00 (#426300)
Me jette pas
Renaud Séchan 1988 "Putain de camion"
Ben tu vois
Même moi
J'ai craqué
J'ai glissé
Quelquefois
Qu'est-c' tu crois ?
Qu' j' suis en bois ?
Qu' ces pisseuses
Aguicheuses
Me laissent froid ?
Même moi
Qu'est-c' tu crois ?
Qu' j' suis un ange ?
Qu' ça m' démange
Pas un peu ?
Déteste-moi
Mon amour
J'aimerai ça
Pas toujours
Mais un peu
Mais me jette pas
J' suis consigné chez toi
Me jette pas
Ou jette-toi avec moi
Tu r'marqueras
Qu' j'ai pas nié
Pris la main
Dans l' panier
J'ai avoué
J'ai pas dit
C'est pas moi
Cette fille j' la
Connais pas
J' la connais
Après tout
Tu t'en fous
Tu savais
Qu' la vie est
Dégueulasse
Que l'amour
Dure toujours
Et qu' c'est là
Qu'est parfois
L'angoisse
Mais me jette pas
N'existe pas sans moi
Me jette pas
Ou jette-toi avec moi
T'as raison
Les hommes sont
Des salauds
Des pas beaux
C'est pour ça
Que j' préfère
Les nanas
J' les préfère
Un peu trop
Quelquefois
Tu m' dis qu' toi
C' que t'aimes pas
C'est l' mensonge
Que ça t' ronge
Et qu' tu meurs
Moi c'est la
Vérité
Qu' j' trouve triste
A pleurer
Et je pleure
Mais me jette pas
J' me f'rai tout p'tit, tout plat
Me jette pas
Ou jette-toi avec moi
Y a pas d'ange
Sur cette terre
A part dans
Les cimetières
Les églises
Y a qu' des types
Comme il faut
Vec leur bite
Leur couteau
Sous la ch'mise
J' suis qu' un mec
Fais avec
Mais fais pas
Comme moi
Mon amour
Où à peine
Pour t' venger
Mais sans haine
Sans regret
Sans amour
Mais me jette pas
Moi non plus je m'aime pas
Me jette pas
Ou jette-toi avec moi
{2x}
Par Averoes le 26/11/2001 à 15:54:00 (#426301)
Go on and close the curtains all we need is candlelight
You and me and a bottleof wine
Going to hold you tonight
We know I'm going away how I wish it weren't so
Take this wine and drink with me
Let's delay our misery.
Save tonight ... and fight the break of dawn
Come tomorrow, tomorrow I'll be gone
There's a log on the fire and it burns like me for you
Tomorrow comes with one desire
To take me away It's true
It ain't easy to say goodbye darling please don't start to cry
Cause girl you know I've got to go
Lord I wish it wasn't so.
Save tonight and fight the break of dawn
Come tomorrow, tomorrow I'll be gone.
Tomorrow comes to take me away
I wish that I could stay
Girl you know I've got to go
Lord Iwish it wasn't so.
Save tonight and fight the break of dawn
Come tomorrow, tomorrow I'll be gone.
Par Toinou fillot du pillou le 26/11/2001 à 15:58:00 (#426302)
La ballade Nord-Irlandaise
Renaud Séchan 1991 "Marchand de Cailloux"
J'ai voulu planter un oranger
Là où la chanson n'en verra jamais
Là où les arbres n'ont jamais donné
Que des grenades dégoupillées
Jusqu'à Derry ma bien aimée
Sur mon bateau j'ai navigué
J'ai dit aux hommes qui se battaient
Je viens planter un oranger
Buvons un verre, allons pêcher
Pas une guerre ne pourra durer
Lorsque la bière et l'amitié
Et la musique nous ferons chanter
Tuez vos dieux à tout jamais
Sous aucune croix l'amour ne se plaît
Ce sont les hommes pas les curés
Qui font pousser les orangers
Je voulais planter un oranger
Là où la chanson n'en verra jamais
Il a fleuri et il a donné
Les fruits sucrés de la liberté
Par Drisard le 26/11/2001 à 16:04:00 (#426303)
Allez au boulot va faloir clore tout ca
Par Dwar of Waw le 26/11/2001 à 16:05:00 (#426304)
Love is a dangerous game to play with
A battle where only one side win
A toy that so easely broken...
*part se pendre* :sanglote:
Par Toinou fillot du pillou le 26/11/2001 à 16:06:00 (#426305)
Par Toinou fillot du pillou le 26/11/2001 à 16:08:00 (#426306)
Dès que le vent soufflera
Renaud Séchan 1983 "Morgane de toi"
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme, Tatatin
Moi la mer elle m'a pris
Je m' souviens un Mardi
J'ai troqué mes santiags
Et mon cuir un peu zone
Contre une paire de docksides
Et un vieux ciré jaune
J'ai déserté les crasses
Qui m' disaient "Sois prudent"
La mer c'est dégueulasse
Les poissons baisent dedans
{Refrain:}
Dès que le vent soufflera
Je repartira
Dès que les vents tourneront
Nous nous en allerons
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Au dépourvu tans pis
J'ai eu si mal au cur
Sur la mer en furie
Qu' j'ai vomi mon quatre heures
Et mon minuit aussi
J' me suis cogné partout
J'ai dormi dans des draps mouillés
Ça m'a coûté ses sous
C'est d' la plaisance, c'est le pied
{Refrain}
Ho ho ho ho ho hissez haut ho ho ho
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Mais elle prend pas la femme
Qui préfère la campagne
La mienne m'attend au port
Au bout de la jetée
L'horizon est bien mort
Dans ses yeux délavés
Assise sur une bitte
D'amarrage, elle pleure
Son homme qui la quitte
La mer c'est son malheur
{Refrain}
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prends l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Comme on prend un taxi
Je ferai le tour du monde
Pour voir à chaque étape
Si tous les gars du monde
Veulent bien m' lâcher la grappe
J'irais aux quatre vents
Foutre un peu le boxon
Jamais les océans
N'oublieront mon prénom
{Refrain}
Ho ho ho ho ho hissez haut ho ho ho
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prends l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Et mon bateau aussi
Il est fier mon navire
Il est est beau mon bateau
C'est un fameux trois mats
Fin comme un oiseau {Hissez haut}
Tabarly, Pageot
Kersauson ou Riguidel
Naviguent pas sur des cageots
Ni sur des poubelles
{Refrain}
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prends l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Je m' souviens un Vendredi
Ne pleure plus ma mère
Ton fils est matelot
Ne pleure plus mon père
Je vis au fil de l'eau
Regardez votre enfant
Il est parti marin
Je sais c'est pas marrant
Mais c'était mon destin
{Refrain 3x}
Dès que le vent soufflera
Nous repartira
Dès que les vents tourneront
Je me n'en allerons
Par Zog-Zog le 26/11/2001 à 16:11:00 (#426307)
Par Drisard le 26/11/2001 à 16:15:00 (#426308)
Par Sawyll-Hen le 26/11/2001 à 16:16:00 (#426309)
Cup of coffee
You tell me you dont love me over a cup of coffee
And I just have to look away
A million miles between us
Planets crashing to dust
I just let it fade away
Im walking empty streets hoping we might meet
I see your car parked on the road
The light on at your window
I know for sure that youre home
But I just have to pass on by
So no of course we cant be friends
Not while Im still this obsessed
I guess I always knew the score
This is how our story ends
I smoke your brand of cigarettes
And pray that you might give me a call
I lie around in bed all day just staring at the walls
Hanging round bars at night
Wishing I had never been born
And give myself to anyone who wants to take me home
So no of course we cant be friends
Not while I still feel like this
I guess I always knew the score
This is how our story ends
You left behind some clothes
My belly summersaults when I pick them off the floor
My friend all say theyre worried
Im looking far too skinny
Ive stop returning all their calls
And no of course we cant be friends
Not while Im still this obsessed
I want to ask where I went wrong
But dont say anything at all
I took a cup of coffee
To prove that you dont love me
Garbage
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Sawyll-Hen ]
Par Ryo Saeba le 26/11/2001 à 16:38:00 (#426310)
*résiste à en pousser une autre "petite"*
*craque*
Desert Rose
Why do you live alone
If you are sad
I'll make you leave this life
Are you white, blue or bloody red
All I can see is drowning in cold grey sand
The winds of time
You knock me to the ground
I'm dying of thirst
I wanna run away
I don't know how to set me free to live
My mind cries out feeling pain
I've been roaming to find myself
How long have I been feeling endless hurt
Falling down, rain flows into my heart
In the pain I'm waiting for you
Can't go back
No place to go back to
Life is lost, Flowers fall
If it's all dreams
Now wake me up
If it's all real
Just kill me
I'm making the wall inside my heart
I don't wanna let my emotions get out
It scares me to look at the world
Don't want to find myself lost in your eyes
I tried to drown my past in grey
I never wanna feel more pain
Ran away from you without saying any words
What I don't wanna lose is love
Through my eyes
Time goes by like tears
My emotion's losing the color of life
Kill my heart
Release all my pain
I'm shouting out loud
Insanity takes hold over me
Turning away from the wall
Nothing I can see
The scream deep inside
reflecting another person in my heart
He calls me from within
"All existence you see before you
must be wiped out :
Dream, Reality, Memories,
and Yourself"
I begin to lose control of myself
My lust is so blind, destroys my mind
Nobody can stop my turning to madness
No matter how you try to hold me in your heart
Why do you wanna raise these walls
I don't know the meaning of hatred
My brain gets blown away hearing words of lies
I only want to hold your love
Stab the dolls filled with hate
Wash yourself with their blood
Drive into the raging current of time
Swing your murderous weapon into the belly
"the earth"
Shout and start creating confusion
Shed your blood for pleasure
And what ? for love ?
What am I supposed to do ?
I believe in the madness called "Now"
Past and future prison my heart
Time is blind
But I wanna trace my love
on the wall of time, over pain in my heart
Art of life
Insane blade stabbing dreams
Try to break all truth now
But I can't heal this broken heart in pain
Cannot start to live, Cannot end my life
Keep on crying
Close my eyes
Time breathes I can hear
All love and sadness
melt in my heart
Dry my tears
Wipe my bloody face
I wanna feel me living my life
outside my walls
You can't draw a picture of yesterday, so
You're painting your heart with your blood
You can't say "No"
Only turning the wheel of time
with a rope around your neck
You build a wall of morality and take a breath
from between the bricks
You make up imaginary enemies and are chased by them
You're trying to commit suicide
You're satisfied with your prologue
Now you're painting your first chapter black
You are putting the scraps of life together
and trying to make an asylum for yourself
You're hitting a bell at the edge of the stage
and
You are trying to kill me
I believe in the madness called "Now"
Time goes flowing, breaking my heart
Wanna live
Can't let my heart kill myself
Still I haven't found what I'm looking for
Art of life
I try to stop myself
But my heart goes to destroy the truth
Tell me why
I want the meaning of my life
Do I try to live, Do I try to love
in my dream
I'm breaking the wall inside my heart
I just wanna let my emotions get out
Nobody can stop
I'm running to freedom
No matter how you try to hold me in your world
Like a doll carried by the flow of time
I sacrificed the present moment for the future
I was in chains of memory half-blinded
Losing my heart, walking in the sea of dreams
Close my eyes
Rose breathes I can hear
All love and sadness melt in my heart
Dry my tears
Wipe my bloody face
I wanna feel me living my life
outside my mind
Dreams can make me mad
I can't leave my dream
I can't stop myself
Don't know what I am
What lies are truth ?
What truths are lies ?
I believe in the madness called "Now"
Time goes flowing, breaking my heart
Wanna to live
Can't let my heart kill myself
Still I haven't found what I'm looking for
Art of life
I try to stop myself
But my heart goes to destroy the truth
Tell me why
I want the meaning of my life
Do I try to live, Do I try to love
Art of life
An Eternal Bleeding heart
You never wanna breathe your last
Wanna live
Can't let my heart kill myself
Still I'm feeling for
A Rose is breathing love
in my life
Art Of Life X Japan
Par Toinou fillot du pillou le 26/11/2001 à 16:52:00 (#426311)
Toutes les femmes de ta vie
2001 "Popstars"
© Universal Music
Claire:
Si on reconsidère les choses
Je ne suis pas ton idéale
Ecoute ce que je te propose
Descend-moi de mon pied d'estal
Lydie:
Je ne suis pas celle qu'on dispose
Engendrée de statue de cristal
Je prie fort quand on nous oppose
Soit, mon rival
Alexandra:
L'amour a tellement de visages
A toi d'ouvrir les yeux
Qu'est-ce que tu envisages ?
L5:
{Refrain:}
Toutes les femmes de ta vie
En moi réunies
Ton âme sur, ton égérie
Parfois ta meilleure ennemie.
Toutes les femmes de ta vie
L'amour au sexy
L'héroïne de tes envies
Je suis toutes les femmes tu vois,
Toutes les femmes de ta vie.
Marjorie:
Je ferai semblant de te croire
Quand parfois je sais que tu mens
Je ne referai pas d'histoire
Si tes ex reviennent en courant.
Claire:
Je suis l'oxyde, ton oxygène
Quant tu as le souffle coupé
Une histoire pour s'éloigner
Des contes de fées.
Alexandra:
L'amour a tellement de visages
A toi d'ouvrir les yeux
Qu'est-ce que tu envisages ?
L5:
{au Refrain}
Marjorie:
Toutes celles que je suis
Sont là en moi
Tu vois
Si, tu fermes les yeux
Regarde en toi
Regarde un peu
Tout ce que tu vois
L5:
{au Refrain, x3}
Toutes les femmes...
Sexy...
Meilleure, meilleure ennemie
De ta vie... oh oh
Ton égérie
Meilleure ennemie
Toutes les femmes
Oh oh...
Par Ryo Saeba le 26/11/2001 à 17:11:00 (#426312)
Par Toinou fillot du pillou le 26/11/2001 à 17:17:00 (#426313)
2be3
Partir un jour
{Refrain:}
Partir un jour sans retour
effacer notre amour
sans se retourner
ne pas regretter
garder les instants qu'on a volés
Partir un jour
sans bagages
oublier ton image
sans se retourner
ne pas regretter
penser à demain,
recommencer
Pour l'envie que l'on a de guider ses pas
Pour garder ses émois
Ecouter son cur qui bat
Pour savoir regarder {regarder} un ciel étoilé
Tendre les mains
A son destin
Vouloir plus fort,
Encore demain
{Refrain}
Pour l'amour que l'on donne et qui s'abandonne
un mot que l'on pardonne pour les rêves qui m'étonnent
Pour le goût retrouvé de la liberté
Ouvrir les yeux sans se dire adieu
ne penser à rien, réver un peu
{Refrain}
Par Ryo Saeba le 26/11/2001 à 17:30:00 (#426314)
Qui a du caca kaki collé au cucu ?
Collé au cucu... Collé au cucu
Qui a du caca kaki collé au cucu ?
Collé au cucu jusqu'au kiki !
(pendant 3'38)
KKOQQ...
Par Toinou fillot du pillou le 26/11/2001 à 17:42:00 (#426315)
2be3
P. Goyon, N. Varak, Musique: L. Marimbert 1997 "Partir un jour"
On s'est juré
De toujours tout partager
Pour la première fois.
2Be3
Or not to be
On s'est promis
D'être toujours réunis
Pour la première fois
Sans trop savoir où aller
Sur les chemins isolés,
Un soir on s'est trouvé,
Et notre histoire a commencée.
On échangeait, sans soucis,
Les souvenirs de nos vies,
Mais cet instant, tu sais,
On ne peut l'oublier.
2Be3
Or not to be
On s'est juré
De toujours tout partager
Pour la première fois.
2Be3
Or not to be
On s'est promis
D'être toujours réunis
Pour la première fois
Un seul regard, tout est dit,
Et nos pensées sont unies,
C'est la magie d'un soir,
Qui s'est gravée dans nos mémoires.
Un sentiment d'harmonie,
Un sentiment d'infini,
Et ce moment tu sais,
On ne peut l'oublier.
2Be3
Or not to be
On s'est juré
De toujours tout partager
Pour la première fois.
2Be3
Or not to be
On s'est promis
D'être toujours réunis
Pour la première fois
Sans savoir, qu'un soir écrit une amitié... 2Be3
Sans savoir,qu'un soir suffit à rassembler.
Par Ryo Saeba le 26/11/2001 à 17:46:00 (#426316)
[femé pour cause de dépassement des 100 pots. Nous vous invitons à continuer cette pationante discution sur un autre post.]
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Lisen ]
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