Cauchemard

Par Kronn-Bras-Dure le 5/11/2001 à 19:28:00 (#419197)

La pluit tombait a flot, les eclairs parsemait le ciel, a certain moment, ou pouvais voir comme en pleins jour.
Kronn arme a la main marchait parmis la plaine, ses bottes s'enfoncait a mi tibia.

-Qu'elle temps digne des fesses de Raanax!

Une ombre apparus devant le guerrier, une autre derriere lui, trés vite il fut encerclé. La plus grande s'avanca d'un pas a sa rencontre. Un mage, vetus d'une longue robe semblant flotté a quelques centimetre du sol

-Kronn... la voi rauque du mage raisonnait dans la téte du guerrier, il avancea sa main petit a petit vers Kronn.

-Obeit moi...

-Cesse de te prendre pour mon maitre...

-Regarde se qu'elle ma fait...

-Ouvre les yeux...

-Laisse moi redevenir se que j'était! cesse de vouloir etre intéligent!!

-Cesse d'essayer de me dominer!

D'un geste vif la main pénétras dans le corp de Kronn, sans opposer de résistance. Une douleur glacial brulait l'interrieure du guerrier, sa vu se troublais, la moitier de son corp devanait glace, l'autre brulait d'une tel vigueur que le corp se transformais presque instantanément en cendre...

Il criait.

D'un bond le corp de kronn sursauta, les yeux s'ouvrire, et de sa bouche ouvert aucun cris ne sortis, mais la douleur était la...

Sa téte tournas vers sont armure de jais poser plus loin dans la pieces, ses runes scintillait de mille feux

Par Kronn-Bras-Dure le 8/11/2001 à 18:33:00 (#419198)

Le soleil resplendissait, pas un seul nuage venait cacher le soleil a son zenith. Un voile d'oiseau au loin de la plaine se regroupais pour leur migration, l'hiver approchait, pourtant il faisait chaud.

Le guerrier Lourdement charger traversait cette plaine sur son destrier, d'un coup le cheval s'arretas et se mit a henir, et a se cambrer, leguerrier tomba lourdement, sa téte heurta une pierre.

De longue minutes? heures? jours? passére, Kronn se reveillat, le jour se levait, il avait faim, un mal de crane et des fourmis dans les membres le tétanisait.

Le guerrier poussat un soupir, mais aucun de ses membres ne lui repondit... il essayait de crier quant il vi au loin une caravanne passer, mais aucun son ne sorti de sa bouche.

De longues heurs passére, le soleil etait revenus a son zenith lorsque une ombre approcha du guerrier etaler sur le sol

- Cesse!
- Laisse moi reprendre mon corp
- Laisse moi redevenir...

L'ombre disparus

Une journée passat, Kronn mourrait de faim, le sang avait secher depuis bien longtemp sur son crane.

Une ombre apparus dans le ciel, tournoyant.

Une deuxieme arrivat, puis une troisieme, puis des dizaines.

Au lendemain du deuxieme jours depuis le passage de la voi, les oiseaux qui tournoyait dans le ciel fondire sur Kronn, affaiblit, affamer et assoifer.

Un charognard se posa sur son crane, et commenca a entamer les yeux, les autre arrachait entraille, organe, muscle...

La douleur etait insuportable.

La mort inevitable.

Le jour se leva, Kronn les yeux grand ouvert, la terreur pouvais se voir dans ses yeux, il regardat Lisen dormir a ses coté,l'embrassa.

L'armure poser non loin de la brillait de milles feux

[ 08 novembre 2001: Message édité par : Kronn-Bras-Dure ]

Par Lisen le 8/11/2001 à 19:28:00 (#419199)

Une nuit sans rêve, une de plus. Mais cette sensation de bien être présente.

Il fait chaud dans ces draps. Son esprit se repose.
Une nuit sans rêve, mais enfin une nuit de sommeil depuis longtemps.

Et cette chaleur, dans ce lit. Et cette chaleur sur son corps. Ce doux baiser, une sensation de bien être. Un sourire sur ses lèvres. Et toujours cette chaleur, plus douce. Elle se retourne dans son sommeil, se serre contre le jeune homme. Sa peau cherche le contact de la peau de l'homme. Et cette douce chaleur n'en devient que plus agréable. Ce désir si profond, ce désir d'aimer, de ne faire qu'un encore et toujours.

Une nuit sans rêve, une nuit de sommeil, mais la plus agréable des nuits.
Et son esprit se relache, et dans un bruissement de draps, un murmure s'échappe : je t'aime.

Par Kronn-Bras-Dure le 19/11/2001 à 21:34:00 (#419200)

-Pitier!

Un cris, un hurlement de douleur dechiras le calme du bateau.

-Par bre... *la Téte du guerrier tomba, evanouis sous une atroce douleur*

Un pretre vétus de robe blanche psalmodia un sort, le guerrier se reveillat..

- Tu souffriras.

Le son de corde qui se tendent, des ailes qui s'arrache du guerrier, un cris épouvantable...

-Et tu creveras.



[ 19 novembre 2001: Message édité par : Kronn-Bras-Dure ]