Le soir venu dans le manoir

Par Toinou fillot du pillou le 29/10/2001 à 17:24:00 (#417501)

Cela fait quelque temps que je ny ais pas dormi. Ce lit douillet ma quelque peu manqué. Je ne trouve malheureusement pas le sommeil. Une chose me hante : le harem. Jais entendu tant de chose à propos du harem. Tout ces on-dit font travailler mon imagination. A quoi ressemble le lieu ? A quoi ressemble les femmes ? Et les succubes ?

Je nen peut plus il faut que jy aille. Je me lève, il est tard maintenant tout le monde est endormi. Je me lève et mhabille. Je me faufile dans les couloirs. La nuits est sombre pas de risque d me faire repérer par ces deux abrutis de demi-gobelins. Je passe devant la chambre de garde, les deux dorment dun sommeil semble til profond.

La cour, je vais devoir faire attention à ne pas me faire repérer. Lentement dans lombre je mavance. Enfin la porte. Elle semble fermée à clef, mais lorsque je vais pour prendre la poignée pour louvrir elle noffre aucune résistance.

Des escaliers, au font une lumière douce. Je mavance lentement pour ne pas me faire remarquer. Des rires se font entendre, je marrêtes. Un rire forcé de femmes qui en a lhabitude. Le rire fait pour ne pas vexer. Le second est un rire gras dhomme de guerre. Un cris de surprise. La même voix féminine que précédemment. Puis plus rien, je reprend ma marche silencieuse. De léger bruits à peine audibles parviennent à mes oreilles, cela ressemble au bruissement des feuilles ou plutôt à un frottement. Le bruit est très étouffé je marrête pour mieux entendre. Des gémissements ! Dabord long et langoureux ils deviennent de plus en plus rapide et violent. un bruit de bois qui craque en rythme! Une nouvelle accélération ! Un long cris comme une délivrance suivit par un râle gras et bovin. Des murmures maintenant, un petit rire coquin. Un gros craquement comme si une masse très lourde bougeait. Ensuite un ronflement sourd et régulier se fait entendre.

Je suis en bas des marche. Une salle se présente à moi des ombres dansent sur les murs. Elles ressemble à des corps mais je nen suis pas sûr. Lendroit est chaud, des chuchotement à nouveau, des rires léger comme un ruisseau me parviennent. Derrière des rideau se dessinent des silhouettes en ombre chinoise. Un corps de femme semble-t-il, elle est de dos et tient ses cheveux en chignon. Le cambré de ses reins est marqué la générosité de ses formes ne fait aucun doute. Elle se tourne laissant au ombre dessiné encore plus ses seins à travers le fin textile. Elle se dirige vers ce qui ressemble à une commode, y prend quelque chose et attache ses cheveux avec. Elle se dirige ensuite vers une grosse masse noir en forme de bac. Elle plonge sa main de dans puis lève la jambe et se glisse dans la masse noir. Elle prend un bain de légère volute sombre danse sur le drap.

Toute cette vision provoque en moi un sentiment étrange. Ma peau devient humide, mon cur bat plus fort comme si je venait de faire un effort intense mais il ne bat pas plus vite. Que marrive-t-il ?

Par Toinou fillot du pillou le 30/10/2001 à 12:21:00 (#417502)

Depuis combien de temps je lobserve ? Je ne le sais ? Elle semble si proche et si lointaine derrière ce rideau. Et si jouvrais pour voir ? Non elle hurlerais sûrement et je finis la petite escapade nocturne.
Après quelque minutes dobservation, je bouge enfin pour me diriger vers une porte. Celleci est de simple facture sans fioriture. Je tend ma main vers la poignée Une voix, derrière la porte. Je colle mon oreille contre le bois. Cette voix je la connaît, mais je nentend pas suffisamment pour savoir qui cest.

la voix : travail moins de temps fatigué pas ici taverne

la poignée commence à tourné. Je me précipite vers la dou je viens. Lombre me permettra de ma dissimuler.

Un femme entre, elle nest vêtue que dun simple peignoir de soie. Elle se dirige vers lun des rideau. Elle louvre entre et se penche sur une grosse masse endormie. Sûrement le guerrier que jais entendu plus tôt. Elle lui dis quelque chose à loreille. Il ne semble pas daccord. Mais au bout dun moment il se lève et se rhabille. Je commence à comprendre les mots entendus derrière la porte ! Lhomme devait quitter les lieu car il prend une place et que lon ne vient pas ici pour dormir. Je souris à cet idée.

Lhomme une fois habillé se dirige vers la porte dun pas lourd et pesant. Un sourire se dessine sur son visage. Mais ce visage je le connaît ! Je naurais jamais pensé cela de lui. Décidément On ne sais jamais ce que sont vraiment les gens. Sil sort maintenant il me verra forcement. Lescalier menant à la porte se trouve derrière moi ! Pourtant lhomme se dirige toujours vers la porte. Il louvre et la referme derrière lui. La femme rejoint sa petite chambre derrière le rideau quelle ferme. Je me faufile à nouveau vers la porte. Les pas du guerrier résonne dans le couloir derrière la porte. Il séloigne Je prend la poignée et ouvre la porte. Le couloir est sombre et bordé de porte, au bout une pale lueur peut être la salle principale