La chose que nous cachons tous

Par DJBaby le 8/10/2001 à 0:52:00 (#363862)

Le soir était tombé sur Arakas et déjà les chaumières semblaient vivre. Chaque personnes, chez soi, semblaient oublier les malheurs des un et le bonheur des autres. Les méchants de ce monde était de bon père, profitant de ce calme pour prendre soin de leurs enfants, de leurs femmes quils chérissaient en secret lorsquils étaient chez eux.

Même lOgrimarien, au fond de son logis, tenait avec amour son fils sur les genoux, le faisant sauter sur ses genoux. Le Bréhanite, quand a lui, profitait de lancer des jouets construis dans des arbres démoniaques à son fils afin de lui inculquer les réflexes, a la grande joie de lenfant. Le Iagoniste, fière de sa nouvelle trouvaille, montrait avec honneur sa nouvelle découverte à sa fille, montrant la brillance de ce nouvel objet pour inculquer à son enfant lenvie davoir.

Le monde tournait doucement, au plaisir et à la joie de vivre en secret. Même le tueur dhommes, qui se baladait en secret, regardait de temps a temps a travers les volets des fenêtres afin de voir les familles et pleurait en lui de ne point être ainsi.

Le vicomte et le baron, encore dans leurs papiers, se laissaient aller à des pensées douces, profitant du feu de cheminée pour boire un verre calmement après les tempêtes de la journée.

Le vent soufflait, emmenant avec lui les soucis du jour et les morts de la nuit.

Au loin, proche de la taverne, une fille tait la, toujours la, cherchant le bonheur, cherchant la solution de sa vie. Elle pensait à lui, quelle navait vu que trop brièvement. Le froid de la nuit se posa sur ses épaules, déjà lourdes de douleurs et de solitude. Elle tenait sous sa robe son pendentif quelle aimait par dessus tout. Par moment elle portait sa main à sa poche afin de toucher le livre quelle avait reçu en cadeau. Elle se remémora le moment ou sa main sétait assemblés à celui quelle aimait tant. Et combien elle avait adoré son touché et son regard, plongeant au creux de son âme afin de faire sortir toute la souffrance du monde quelle portait en elle. Elle savait quil laimait, elle lavait senti.

La nuit allait être longue. Elle ferma les yeux un instant et se souvins du moment ou elle sétait tenu dans ses bras. Combien le monde soudain lui avait semblé séloigner delle et o combien elle était protégé lorsquelle était contre lui.

Elle porta la main à son arme. Elle regarda alors au loin, attendant à chaque instant quil surgisse de nulle part mais il nétait pas la. Sûrement endormi, oû peut être écrivant ses mémoires.

Dans son logis, Léodégan nourrissait son oiseau, son regard était bien loin de Stonecrest. Il aimait tant ce petit nid douillé quil venait juste dacheter mais la présence de son aimé lui manquait tant. Mais elle avait un travail et cela..il le comprenais.

Loiseau vint alors devant lui sur la table et battit des ailes comme pour dire quil existait. Léodégan le pris, le serra contre lui et ferma les yeux un instant. Loiseau, quant à lui dormais paisiblement au contact de la chaleur de son maître. Tous deux sendormirent alors sur la chaise, fatigué de leurs combats à tous deux.

La dernière pensée de loiseau fut pour Gorgone.

La dernière pensée de Léodégan fut pour elle...Karynn.

Par Karynn le 8/10/2001 à 1:14:00 (#363863)

La jeune guerrière assurait la garde de nuit sur les terres de Raven's Dust

Pensive aux comples de petits animaux qui passaient devant elle, elle se murmurait ..

Leodegan, pouquoi est tu si loin ? ...

Par Shammana Delyn le 8/10/2001 à 1:47:00 (#363864)

*sans un bruit pour ne pas les troubler* y sont mignons

Par petit_oiseau le 8/10/2001 à 10:51:00 (#363865)

L'oiseau se réveilla doucement afin de rejoindre Gorgone alors que Léodégan dormait paisiblement sur sa chaise. Il s'écarta du bras chaud de son maître sans bruit, sans un son d'ailes. Il marcha alors sur la table, secoua ses plumes doucement et se dirigea proche de la fenêtre. Alors qu'il pris son envol, il croisa la néphilime qui était proche de la maison, il monta plus haut dans le ciel et se dirigea vers Raven Dust.

Alors qu'il arrivait sur les lieux, son regard se posa sur une guerrière proche d'un arbre qui semblait être pensive. Descendant doucement vers la guerrière, il reconnu alors le visage de la femme dont son odeur était imprégnée en son maître. Il se posa alors doucement sur son épaule alors quelle semblait sassoupir par la fatigue.

Posant un baiser sur sa joue, il senvola aussitôt vers le logis de Gorgone...