Poème

Par Muriella le 28/11/2001 à 16:22:00 (#338051)

La femme à l'épervier écrit sur parchemin quelques mots

Toi, mon amie
Souris à la vie
Souris je t'en prie
Car ce n'est pas fini.

La vie t'attend,
La vie reprend.
En gardant l'espoir
Tu sortiras du noir.

Le mal qui t'envahit
Finira par être détruit,
La beauté de la vie
Apaisera tes nuits.

Ecoute la raison
Qui te guide par la voix
Vers d'autres horizons
Vers d'autres voies.

La beauté de ton coeur
Illuminera ton chemin.
Tu oublieras tes peurs
En croyant à demain.

Ta confiance en l'avenir
Te redonnera cette volonté
De pouvoir reconquérir
Les traces de ta destinée.

Cette douleur effacée
Cette souffrance apaisée
Adouciront cette vérité,
Pouvoir à nouveau aimer.

Ton mal, alors, s'éteindra
Ton coeur, lui, s'ouvrira
L'espoir te reviendra
Et l'amour reprendra.

Elle affiche ensuite ce mot en esperant que la personne consernée le lira

Par Sensueline SRN le 28/11/2001 à 16:47:00 (#338052)

vraiment magnifique ma soeur !

je pense que notre soeur, car elle est notre soeur, le lira...

Par Lyca-Sirènes le 28/11/2001 à 17:04:00 (#338053)

...

Cette douleur effacée
Cette souffrance apaisée
Adouciront cette vérité

...


Lit ces quelques vers avec une terrible tristesse*

Ainsi, nos consoeurs renonçantes éprouvent-elles aussi cette douleur liée à l'amour, à la vie et à l'Homme ...

*Soudainement saisie d'une puissante mélancolie, s'éloigne le vague à l'âme*

Nous avons tant à apprendre les unes des autres ...

[ 28 novembre 2001: Message édité par : Lyca-Sirènes ]

Par Maidjalée le 28/11/2001 à 17:35:00 (#338054)

*Elle ne sortait pratiquement plus de chez elle, sauf lorsque l'envie du sang et du meurtre était trop forte. Dans ces cas là, elle allait égorger un ou deux porcelets derrière l'orphelinat, pour calmer cette rage et eviter le drame.
Au cours de ces sorties, une fois repue de violence et de rage, elle en profitait pour rester en contact avec le monde en allant à la taverne voir son amie Geena.
C'est là qu'elle lut le poème d'une de ses plus vieilles amies. Une de ses soeurs...

Une larme coula sur sa joue, une larme bleuté qui raviva les runes qui se trouvaient sur son chemin. Elle serra les dents... et relut encore une fois le poème.
Elle marmonna dans un sanglot : si tu savais Mumu....


-hrp-
SU-BLI-ME !!!
C'est mes lentilles qui sont contentes, là... ;)

[ 28 novembre 2001: Message édité par : Maidjalée ]

Par Muriella le 29/11/2001 à 6:48:00 (#338055)

Viens de remarquer que son poême ne s'adresse pas à une seule personne....

Par Sensueline SRN le 29/11/2001 à 13:32:00 (#338056)

*énumère les personnes*:

- Lyss

- Maidjalee

- et qui d'autre encore? Ethelle?

...

Par Maidjalée le 29/11/2001 à 15:52:00 (#338057)

-hrp-
ATCHOUUUUUUUMMMM !!!!
*houla, vé mettre une petite laine moi*

-RP-

*Griffonne sur le bas du parchemin*
Ton poème peut s'adresser à beaucoup. Il m'a touché profondément même s'il je n'ai plus d'espoir de rédemption.
Je t'embrasse
Mai

Par La Jeune Tristesse le 29/11/2001 à 19:32:00 (#338058)

Aperçoit l'écriteau et lit les quelques mots avec curiosité...

Regardant toujours l'écriteau, elle sortit de nulle part une plume noire puis elle s'ouvrit légèrement le doigt avec une pointe de flèche et plongea la plume dans son sang...

Quand elle repartit, quelques mots étaient écrits...

Oubliez-moi, je vous aurai peut-être bientôt oublié...

Tristesse

[ 30 novembre 2001: Message édité par : La Jeune Tristesse ]

Par La Jeune Tristesse le 30/11/2001 à 0:07:00 (#338059)

(Aie les fautes, voilà c'est corrigé )

Par -Lyss Elfelune- le 30/11/2001 à 2:00:00 (#338060)

Toi mon amie
Qui m'avant tant aimée
Et que j'ai abandonné
En pleurs sur un lit

Malgré la trahison
Malgré le Malheur
Tu ne veux que mon bonheur
Tu me donnes ta compassion

Rends moi heureuse
Oublie Lyss cette menteuse
trouve enfin le veritable amour
Cet amour qui dure toujours

Par mike_kael le 30/11/2001 à 11:12:00 (#338061)

Magnifique !!!