Doutes

Par -OCL-LoE- PsychO le 26/11/2001 à 10:27:00 (#326967)

La rosée couvrant l'herbe de la plaine sintillait sous les rayons de soleil levant.
Le Nephilim, adossé à un arbre, contemplait son enfance. Depuis qu'il était arivé la, chaque maison, chaque chemin, chaque odeurs assaillaient son esprit de souvenirs qu'il croyait oublié, qu'il avait peut etre voulu effacé.
Mais depuis quelque temps il avait appris que le passé nous poursuit toujours, sans repis, inlassablement.
Avait il bien fait?
Avait il eut raison de rouvrir ce qui aurait peut etre du rester scellé?
Il avait appris a ne fair confiance a personne
Il avait appris qu'on était toujours seul... une fois l'euphorie du moment passé revenaient les doutes
Quel monstre surgirait des entrailles de son coeur s'il avait eu tort? Cette pensée l'inquieta, perdre definitivement tout controle de lui même
Un soupir s'echapa de ses levres, il secoua la tete. Il reflechissait trop, ne lui faisait elle pas confiance?
Il devait lui aussi avoir confiance en elle
S'arachant a ses pensées, il se remit en marche sur les chemins de son passé. Il savait ce qu'il était venu fair ici.
Au moin la mort est une amante qui ne trahit jamais

Par Gozmoth le 26/11/2001 à 10:52:00 (#326968)

Par -OCL-LoE- PsychO le 26/11/2001 à 12:53:00 (#326969)

(paf)

Par -OCL-LoE- PsychO le 26/11/2001 à 17:40:00 (#326970)

(*pas sur que toutes les bonnes personnes l'ait lu* *remonte*)

Par Fanzine le 26/11/2001 à 19:02:00 (#326971)

Je ressentis en moi ce vide encore plus qu'hier.

Alors que se présentait à moi cette lueur d'Espoir tant espérée, tant rêvée, je me vis perdre tout le courage d'antan, mon assurance qui jadis fut ma force.

Quelle était donc cette Force, qui en sombre traitresse, m'a prise en étau...?

Le sol commença a se dérober sous mes pieds, et je ne pouvais que subir mes sentiments.

Alors que mon regard se perdit à contempler l'astre si froid qui fut un jour ma Muse, je percevais cette douce chaleur, entre mes doigts engourdis, douce... mais si faible...

Baissant alors les yeux sur ce cadeau, j'eu le besoin de l'avoir à mes cotés, de le serrer dans mes bras... comme ce collier que je tiens sur mon coeur.

Douce chaleur, froide Nuit.
Une étincelle en moi luit.

Esclave de mon Coeur...
Maitresse de ma Douleur...

La souffrance fera partie de mon choix.
De cela, j'en suis consciente.

Par Zounours le 26/11/2001 à 19:04:00 (#326972)

Par Psychee le 28/11/2001 à 18:44:00 (#326973)

Quoi , doù , pourquoi en nous est en dehors de nous.
Si le désespoir était sans larme , la larme serait sans désespoir .

Douter , cest croire dans la somme mais croire , en somme c est douter.
Nous ne croyons pas sur des preuves ; mais croirions nous sans elles ?

Par quoi , jusquoù , comment ? Avoine et seigle ne sont trèfle ;
Ni les courbes ne sont droites ; pourtant au-dessus est sous sur.

Un et deux ne font pas un , mais un et rien font deux ;
La vérité ne peut être fausse , si le mensonge nest pas vrai .

Toutes choses sont parallèles ; pourtant beaucoup sont de travers ;
Vous êtes certainement Moi ; mais sûrement je ne suis pas vous.

Celle que nous ne voyons existe ; nous ne voyons celle qui nexiste pas .
Nous ne savons que dondaine ; et daine , jen suis sûr est don .