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Poemes...
Par Aoshi, l'ami des trolls le 25/11/2001 à 17:58:00 (#287263)
Alez, je commence:
Le premier:
Destinée...
Coeur pur a l'Ame séparée,
Qui pendant des années va errer
Entre la lumière et l'obscurité
Recherchant un repos merité...
Lumière reconfortante
dont la chaleur me hante
Obsurité protectrice
Dans laquelle des ombres se glissent
Deux chemins, deux destins,
Mais, a chaque reveil, chaque matin,
L'un d'eux peut disparaitre
Laissant l'autre en maitre
Laquelle de ces avenirs sera le mien?
Le fil du destin me tient
Et pour ses desseins me maintient
Jusqu'a l'accomplissement de mon destin
Le deuxieme:
Mort
Mort, eternelle compagne
qui hante nos campagne
Mort, Bourreau du destin
Qui nous prend un beau matin
Mort, qui a jamais nous retient
et dans les limbes nous maintient,
Mort, qui est le commencement
Et qui devient l'accomplissement
Mort,qui ne durent qu'un instant
Mais qui perdure a travers le temps
Mort, dont l'essence
donne a la vie son sens...
Les autres plus tard, si vous avez été sage et RP
[ 25 novembre 2001: Message édité par : Aventurier ]
Par Moire le 25/11/2001 à 19:32:00 (#287264)
Par Aoshi, l'ami des trolls le 25/11/2001 à 19:46:00 (#287265)
Sur un chemin tortueux
A un detour dangereux,
Un homme heureux
Insouciant,
Se promenant...
Desormais content
D'etre loin de son temps
Perdu dans ses reves
Mais ce n'est qu'un treve
Une pensée furtive
Une idée hative
La realité le prend
Et le cauchemar reprend.
[ 25 novembre 2001: Message édité par : Aventurier ]
Par Aoshi, l'ami des trolls le 25/11/2001 à 21:46:00 (#287266)
(didiou, vont faire des poemes ces paresseux?)
Pour mon Amour...
Tel deux soleils, tes yeux bleus m'eclairerent,
Comme, dans la nuit, un eclair,
Me guide sur la route de mon destin
Quand,la chance alors me tînt,
Je te croisais pour la premiere fois.
Ce sentiment me prend encore parfois
Meme souvent,quand, a l'unisson,
nos coeurs, nos ames, resonnent du meme son...
Par mite21 le 26/11/2001 à 0:33:00 (#287267)
apres c'est trop fatiguant
Par Moire le 26/11/2001 à 4:54:00 (#287268)
Par aelfwin le 26/11/2001 à 5:30:00 (#287269)
Et le noient dans l'infinitude constellée.
Mains tendues pour illuminer lImmensité
Mais qui senchaînent aux cristaux de la froideur.
Mots de papier dilués par les pleurs versés
Qui ruissellent sur la mélancolie des heures.
Esquisses inondées par d'ineffables clameurs
De partance vers la paix de lEternité.
Regard poussé aux limites de lhorizon
Qui ne voit plus les lueurs de la destinée.
Errance du cur dans larche désenchantée
A la recherche des charmes de la passion.
Esprit ondulant dans les méandres des nues
Qui saupoudre de larmes d'astres tourmentées
L'encrier du sculpteur des belles envolées
Pour enjoliver léther dâmes inconnues.
*long soupir*
Par Nephtys le 26/11/2001 à 7:09:00 (#287270)
Evite le face à face avec le néant,
Fixe la lame, être sanglant,
Et s'éclipse ta vie dans un soupcon de sang.
Main dans la main avec la mort,
Tu avances sur le chemin sans grands efforts,
Amis , amants prient un dieu, forts,
Mais leurs âmes déchirées hurlent tes torts.
Ame fuyante tu quittes ces lieux,
Quitte ce monde et tout ces gueux,
Humains , vous devriez tous la suivre,
Que les Demons enfin puissent vivre...
Nephtys Demon.
Par Nephtys le 26/11/2001 à 7:25:00 (#287271)
Nous dévier de notre destiné,
Mais savent ils ce que veut dire "aimer"?
Ces pantins et autres êtres malmenés.
Je les dénigre, nie et méprise,
Ces Hommes sur qui j'ai main mise,
Toi je t'aime et te chéri,
Mon amour, mon ange, toute ma vie.
Jamais leurs coups ne nous separeront,
Encore moins leurs mots, leurs desillusions,
Nous voir décomposés, voila leur mission,
Alors qu'à jamais, nous nous aimerons...
Horn Demon.
Nephtys Demon.
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Nephtys ]
Par Horn Demon le 26/11/2001 à 8:37:00 (#287272)
M'unir a toi etait là mon plus grand souhait
Et ne pas t'avoir connu avant mon regret
Car voyant ainsi totu ce bonheur
Lorsque je suis avec toi et qui m'etreind le coeur
J'errais tel un etre sans ame et sans vie
Qui jamais a quiconque ne sourit
Et soudain tu m'es apparue
Emplissant mon etre d'amour, comme une riviere en crue
Mon amour ne connait ni de bornes ni de loi
Je vis et suis corps et ame a toi
Et s'il le fallait, pour toi je traverserai le styx
Je t'aime plus que tout ici bas ma douce Nephtys.
Par Eric-sp le 26/11/2001 à 10:12:00 (#287273)
COmment ne pas l'aimer
Son corps etait la plage de mon sang
Je pouvais l'entendre vivre
Dans le plus secret d'elle meme
Chaque aube etait un frisson de sa chair
La mer naissait au seul bruit de ses pas
Ses bras nus apaisaient les sanglots de la nuit
La vie gonflait son coeur du souffle de sa voix
Comment ne pas l'aimer
Son rire etait le grelot de tous mes souvenir
Autour de son cou comme un ruban de soie
Palpitait le long chuchotement de ma jeunesse
Elle marchait le long de mon sommeil
Mes reves etaient la dentelle de sa grace
J'usqu'au bout du monde floottait son parfum
De grands arbres gemissaient sous mes paupieres
Comment ne pas l'aimer
Tous les oiseaux de mon émoi volaient vers elle
Avec la delicatesse de son profil
Je pouvais avoir une pensée pour mon bonheur
Elle etait la proue de mes songes
le seul voilier du temps mouillait dans ses yeux bleu
En approchant de son visage
J'entendais les soupirs des dieu
J'etait noué dans ses cheveux
Je respirai par sa bouche
Chaque fois que nos mains se joignaient
L'amour se repandait comme du vin
Comment ne pas l'aimer
Elle etait le livre de mon attente
Son ame comme une parole expirante
Fesait trembler chaque page entre mes doigts
Et comment l'oublier aujourd'hui
Chaque femme entrevue lui ressemble
Si je me perds je la retrouve
Si je m'endors je la reveille
COmment effacer sur ma peau
La tache blonde de la sienne
La mer dans le silence engloutit les oiseaux
Mais la greve est toujours bruissante de leurs ailes.
Tyran Khay
[ 26 novembre 2001: Message édité par : Tyran Khay ]
Par aelfwin le 27/11/2001 à 3:04:00 (#287274)
Où raisonnent des pièces infâmes
A la triste et boiteuse réplique
Dans lécho de dissonantes gammes.
Et mon âme en est la comédienne,
Seule, elle exhalte des vers frivoles
Sans que jamais personne ne parvienne
A troubler ses fatales paroles
Par Goldenshark le 27/11/2001 à 14:13:00 (#287275)
Provoqué, interpellé, conspué
Un duel fut proposé par un guerrier
Insulté, raillé, énervé
Le défis fut octroyé
Par mon honneur et mon sang
Ce maraud sera exsangue
Tragédie Lomyrienne
Sa vie sera mienne
A coups de hache, à coups de poing
Son corps numide je jetais au loin
Dans un sursaut désespéré
Il revint me provoquer
Par Bréhan et tous ses saints
A présent ce manant, de mes mains
Gît livide brisé traumatisé
Au pied d'un grand palétuvier
Par Mcyavel le 27/11/2001 à 14:28:00 (#287276)
un tout petit roi
qui m'a foi
était fait de bois
et avait la taille d'un pois
il était très droit
mangeait beaucoup d'oie
sans prendre de poids
il n'avait qu'une loi
tout les mois
on devait couper du bois
ce que l'on voit
n'est pas ce l'on croit
disait le tout petit roi.
Merci Merci clap clap clap :)
malheur ca fait plus de 4 ligne arg! :p
Par aria-mule le 27/11/2001 à 15:32:00 (#287277)
Impression fugace,
D'un bonheur oublié,
Moment insoutenable,
D'une douleur ravivée.
Ce visage qui se révéle,
Au creux de ma mémoire,
Comme un frisson dans un rêve,
Je su que c'etais moi.
L'enfant que j'étais,
Insouciente et heureuse,
La femmequi est née
Torturée et malheureuse,
Illusion d'un passé,
Où mes jours n'étaient que gaieté,
Moment à jamais oublié,
Pour un coeur qui réapprend à aimer.
Par Eric-sp le 27/11/2001 à 16:00:00 (#287278)
Par Mcyavel le 28/11/2001 à 10:35:00 (#287279)
j'ai été enfermé
je m'y sentais bien
lorsqu'un jour, un rien
m'a démontré
que j'y étais enfermé
Par Mcyavel le 28/11/2001 à 13:20:00 (#287280)
Ce poste sans age
Encore au fond du gouffre
D'etre si bas il en souffre
De ma main je le remonte,
Le faisant sans honte
Par mite21 le 28/11/2001 à 13:22:00 (#287281)
[ 28 novembre 2001: Message édité par : missmite GNA ]
Par Mcyavel le 28/11/2001 à 13:27:00 (#287282)
dont un réfléchi
en tout cas je suis fort aise
qu'au moins vous plaise
:p
Par mite21 le 28/11/2001 à 13:34:00 (#287283)
un delicieux fromage
son odeur insoutenable
un fumet detestable
son odeur est immonde
pourtant a le manger
pour rien au monde
je ne resisterais
ps:j'ai faim :)
Par Goldenshark le 28/11/2001 à 14:08:00 (#287284)
Vivait parfois un loir.
Il rêvait souvent le soir
D'obtenir le pouvoir.
Accoudé au comptoir,
Notre loir était soûlard.
Et bien que couard,
Il avait une histoire.
Jadis, dans un grimoire,
uvre de Renoir
Il vit la douce Moire.
Perdue dans un terroir.
Au fond de son couloir,
Il ouvrit son tiroir,
Pris son hachoir,
Et parti plein d'espoir.
Traversant la Loire,
Courant jusqu'au soir,
Il arriva jusqu'au butoir,
Fin de son monde miroir.
Il la vit au lavoir
Avec son laminoir.
Elle le laissa choir,
Et embrassa le loir.
Il l'a perdu un soir,
Alors qu'il bossait au noir.
Elle était à la patinoire,
Et l'a quitté pour un soudard.
Notre loir à son comptoir,
Salissant le crachoir,
Se souvient de cette Moire
Qui adorait les poires.
Il ne sait plus que croire,
Il n'a plus de savoir,
Seul près de sa bouilloire
Il a perdu tout espoir.
Par Goldenshark le 28/11/2001 à 15:52:00 (#287285)
A la cours du Roy
Un chevreuil fut déposé
Les convives en joie
L'eurent aussitôt désossé.
Le banquer fut dressé
Les couverts apprêtés
Les alcools débouchés
Les invités conviés.
Les pauvres quémandaient
Les troubadours jonglaient
Les femmes se languissaient
Les guerriers ripaillaient.
Le Roy dans tout ça
Discourait et vantait
La finesse des plats
La chaleur du banquet.
En cuisine on riait
On dansait éméchés
Du bon tour que l'on jouait
A tous ces nobles invités
Tous ces rats bien disposés
Comme un chevreuil désossé
Du bon Roy on se moquait
Pour une farce si bien jouée.
( morale )
Amis, vérifiez
Avant de vous vautrer
Quels plats vous mangez
Si souvent les yeux fermés.
Par Tendra Lors le 28/11/2001 à 16:10:00 (#287286)
Le ciel bleu reflete tout le merveilleux
Que dans nos vies, nous puissions avoir
Toutes ces bonnes choses que les enfants percoivent avec leurs yeux
La gaiete, la joie qui avec le temps nous laissons choir
Nous laissons passer cela derriere nos problemes
Alors que nous pourrions vivre bien plus heureux
Nous choisissons d'etre les plus malheureux
Ce n'est pas Dieu qui guide nos vies
Mais nous les etres-humains, les abrutis
Nous ne voyons pas le magnifique soleil
Si beau, si grand qui devant nous s'eveille
Nous preferons nous cacher derriere la morosite
Tandis que le bonheur ne demande qu'a se montrer
Nous rendons notre vie invivable
Serions nous simplement des etres instables
Pourquoi se remplir de nostalgie
Pourquoi decider de perdre cette ignorance
Arretons de faire toujours ce choix de souffrance
Vivre la vie telle qu'elle nous est donnee
Serait ce si dur pour les Hommes que nous sommes
Serait si insense que d'aimer
La vie, l'amour, la beaute, l'amitie
Comme ils le meriteraient
Tant de questions qui parcourent un etre de chair
De simples reponses que nous enfouissons plus bas que terre
Retournons dans l'ignorance, celle que nous inculquons
Aux enfants meme les plus polissons...
Et voila, desolee s'il y a des fautes (et de style aussi)mais bon c'etait un poeme en direct
Bisouille les gens :D Petit kikoo en meme temps
[ 28 novembre 2001: Message édité par : Tendra Lors ]
Par Moire le 28/11/2001 à 18:17:00 (#287287)
Débat lancé par Rayne de Vald:
Dans cette foret noire,
Vivait parfois un loir.
Il rêvait souvent le soir
D'obtenir le pouvoir.
Accoudé au comptoir,
Notre loir était soûlard.
Et bien que couard,
Il avait une histoire.
Jadis, dans un grimoire,
uvre de Renoir
Il vit la douce Moire.
Perdue dans un terroir.
Au fond de son couloir,
Il ouvrit son tiroir,
Pris son hachoir,
Et parti plein d'espoir.
Traversant la Loire,
Courant jusqu'au soir,
Il arriva jusqu'au butoir,
Fin de son monde miroir.
Il la vit au lavoir
Avec son laminoir.
Elle le laissa choir,
Et embrassa le loir.
Il l'a perdu un soir,
Alors qu'il bossait au noir.
Elle était à la patinoire,
Et l'a quitté pour un soudard.
Notre loir à son comptoir,
Salissant le crachoir,
Se souvient de cette Moire
Qui adorait les poires.
Il ne sait plus que croire,
Il n'a plus de savoir,
Seul près de sa bouilloire
Il a perdu tout espoir.
Hem... *se demande s'il parle d'elle pour la rime ou...*
*se gratte le sommet du crâne*
Hum...
Par aelfwin le 29/11/2001 à 1:34:00 (#287288)
Le vide est grand et les cieux lourds
Chaque seconde est un poignard
Et ma pensée, la grande plaie.
Ne reviens plus car au destin
Jai imploré ce vide sourd.
Donner ma vie et les serments
Qui nous portaient en rires fous . . .
De cette brume qui se pose
En perles fraîches au doux matin,
Ton souvenir et tes yeux clairs
Couvrent mes paumes de rosée.
Et je les bois ces souvenirs
De mille chants qui sévaporent
Comme une larme dans le feu
Une étincelle dans le sang.
Par Goldenshark le 29/11/2001 à 10:07:00 (#287289)
Une simple coincidence.
En aucune façon
Mon esprit troublé
N'aurait pu associér
Ces vers et votre nom.
Par Tendra Lors le 29/11/2001 à 12:02:00 (#287290)
Quand le jour viendra til où tu vas me libérer
Quai je bien pu faire à ces Dieux qui décident de nos destins
Pour avoir cette abominable vie, ce vilain dessein
Certains êtres humains sont pleins de joie en leur coeur
Pourquoi ne puis en faire partie, pourquoi je me meurs
Ainsi serait donc mon avenir invivable
Ainsi jusquà la mort, je serai instable
Le bonheur que japerçois, laisse moi le toucher
Le prendre, le palper, à ma guise le manier
Aide moi à connaître la vie, la joie, la gaieté
Eloigne moi de cette nostalgie, de cette morosité
Permet moi dêtre heureuse comme les autres
Accours à moi comme si jétais un apôtre
La vie que lon offre aux vivants devrait être magnifique
Pourquoi la mienne se rapproche plus du nostalgique
Tu décimes mes amis, ma famille par la maladie
Laisse moi réaliser mes rêves avec eux, mes envies
Crées tu lHomme simplement pour le voir souffrir
Toi qui lui retire les seules choses qui puissent le nourrir
Pour une fois change ta manière de procéder
Cesse donc dapporter toute cette souffrance à lhumanité
On ne crée pas des enfants dans le désespoir
On ne les fait pas grandir dans un monde si noir
Nas tu point encore compris que la clé de la vie
Réside en ta volonté, en ton coeur, oui cest ainsi...
Par Tendra Lors le 29/11/2001 à 12:04:00 (#287291)
Je me remémore le passé et je pense à toi
Comment ai-je pu faire lerreur de te laisser
Pourquoi toi que jaimais ne men as tu pas empêché
Cest le destin qui décide de ce que lon devient
Mais maintenant sans toi je ne suis rien
Je me surprends à penser à toi parfois
Et des flots de larmes coulent de mes yeux en émoi
Oh destin pourquoi tavères tu si cruel
Pourquoi de mon avenir je ressens cette impression de gel
Je ne puis vivre cette vie si mélancolique
Cette horreur qui me pousse a des desseins tragiques
Oh amour sentiment qui donne la vie
aide moi ne me laisse pas ainsi
Le fil de la vie est si cours que si je ne puis men sortir
Je le couperai je ne veux pas me regarder dépérir
Je suis telle une fleur et toi la tige que lon a séparé
Sans ton aide pour me nourrir je vais faner
Je sais que cette fois tu ne viendras pas me sauver
Mais si cest cela la vie je vais my résigner
Un jour la mort viendra me chercher
Cest elle ce magnifique bourreau qui va me libérer
Car lhomme que jai le plus aimé
Lui nest pas capable de maider
Oh douce vie ne sois pas si cruel
Je ne suis que ta fille une mortelle...
Par Tendra Lors le 29/11/2001 à 12:07:00 (#287292)
Les pauvres poemes ils ont pas l'habitude d'etre montré comme ca LoL...
allez encore un autre pour le plaisir :D
Mort si douce aux paroles enchanteresses
Quand viendras tu à nouveau me bercer de promesses
Viens me conter lorsque arrive la nuit
Tes mesfaits sur les hommes et la vie
Parle moi encore de ton monde
Tu sais celui que les autres trouvent immonde
Enveloppe moi à nouveau de ton air froid
Celui qui mets les êtres humains en émoi
Ces si belles terres qu'on ne sait apprécier
Celles où nous resterons pour l'éternité
Une fois que tu seras venue nous chercher
Prends bien soin de ceux que tu as déjà porté
En ta demeure, j'espère qu'ils sont heureux
Aime les de ton mieux
Parle moi encore d'eux
Oh jolie Mort Oh douce Mort
Pourquoi te maudissent ils ainsi à tord
Pourquoi l'Homme ne sait il pas remercier
La seule femme qui vient le libérer
Mort en leurs noms je te remercie
De venir à nous et de perpétrer nos vies...
Par Tendra Lors le 29/11/2001 à 12:09:00 (#287293)
Bisouille la dedans :D
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