Archives des forums MMO/MMORPG > La 4ème Prophétie > T4C - Caern-Sidhe > quoique ce soit
quoique ce soit
Par loupvoyant le 18/9/2001 à 20:30:00 (#279064)
mes raisons
mes oraisons
mes horizons
je te serai
fidèle
à ma façon...
que je ne soit pas présent demain
ou absent aujourd'hui
et même au départ
hier
je te serai
fidèle
à ma façon...
:aide: :rasta: :aide:
Par loupvoyant le 18/9/2001 à 20:44:00 (#279065)
que tu n'aies déjà oublié
n'oublie rien
que tu ne puisse pardonner
ne change rien
cette obscure...
légèreté de toi,
je l'aime
si mes cicatrices tremblent
à ta peau érigée
ne change rien
Par loupvoyant le 18/9/2001 à 21:10:00 (#279066)
quoi que ce soit
rien
Par Moire le 19/9/2001 à 6:32:00 (#279067)
Par loupvoyant le 19/9/2001 à 21:21:00 (#279068)
:aide: :rasta: :aide:
Par loupvoyant le 19/9/2001 à 21:22:00 (#279069)
La maison niée
Tas retrouvé ta descendance, rythmique, dissoute
Dissolue
Tu ne sais plus trop où tu as placé ton nom
Et lâme
De New Orleans, qui ne te rappelle qua des ordres
Monacaux
Par loupvoyant le 19/9/2001 à 21:24:00 (#279070)
Que tu crées tes décombres
Tes heures soupesées
Tes horaires enlisés
Dans les ruines
Où il ny a plus rien,
Où tu pourrais tout voir
Tout avoir aveuglé consentant
Par loupvoyant le 19/9/2001 à 21:27:00 (#279071)
Bruine sans humour
Bruit sans atours
Tour à tour
En ruines et
Embrumée
Satisfais-toi comme
Tu aurais pu
Par loupvoyant le 19/9/2001 à 22:02:00 (#279072)
et moi, je grandis quelque part
je me fonds dans de ternes transports
sans émotions
- jai jamais très bien su ce quils transportaient
on me pardonne des fautes
que je nai pas commises,
on me blâme pour des choses
que je ne comprend pas.
-jusque-là, tout roule-
Mais tes née,
Et moi je grandis
Avec cette sensation
Par loupvoyant le 19/9/2001 à 22:08:00 (#279073)
pas trop, sinon ça ne fait que des souvenirs qui tergiversent
je laisse juste le flux,
jaccepte de ne pas remonter jusquà la source,
et pourtant ça mamusait tellement, enfant
enfant, toi qui es las,
déjà laminé transformiste sans songes...
à quoi tu pourrais jouer ?
je ne tai pas ôté tes jouets,
enfant
je les ai salis
je les ai emmurés
jen ai fait une matière obtuse
je ne tai même pas laissé la chance de
croire
et croître ce nétait rien,
à côté
justement... je nétais pas à tes côtés
mais toi tu es resté pour moi
;
ou disons que je tai fait rester par moi
le pire cest que tu ne men veux de rien.
Par loupvoyant le 19/9/2001 à 22:53:00 (#279074)
m'y sens moyennageux...
la geste de tes gestes ...
Par loupvoyant le 21/9/2001 à 8:05:00 (#279075)
et ça ne fait pas plus quun ressac
ça chuinte dans mon silence,
ça hérisse mes passés
ver à la main comme une carte dans sa poche
et un petit Derringer, louest est si lointain
je naime pas être obligé de me faire des confidences
je nai jamais été bon juge
je massomme dans le calme
qui suit les grands bouleversements
Par loupvoyant le 21/9/2001 à 8:06:00 (#279076)
de tricher tout à fait
Ca ressemble à une indolence,
une morbidesse de dés pipés divoire terne.
Cascades et cataractes
plus rien ne reste de lil
Par loupvoyant le 21/9/2001 à 8:07:00 (#279077)
entre deux rencontres
de ce quil élève et détruit en un rien de temps
personne na peur quil tombe
on lattend à la surface des choses
alors,
au moment de choir,
il se rappelle des bribes de rappel
la vérité éclabousse
Par loupvoyant le 21/9/2001 à 8:08:00 (#279078)
jai cherché,
par le petit bout de la lorgnette
bouddha dornières sans pentes
je me suis caché les yeux, au vent de mes oreilles
auvent de mes yeux, jai bouché mes oreilles
coupé mon souffle, renié mes saveurs
obliqué le sensitif
je nai rien rencontré de semblable
cest pour ça quil ne sagit même pas de penser à toi
la nuit semplit déchos,
et je connais la nuit en tes murmures
cest aussi indicible et inéluctable que ça.
Par loupvoyant le 21/9/2001 à 8:09:00 (#279079)
de bruit, de sang, dintimité
prends sans que je te voie
prends cents âmes en dépit de la mienne
que tu auras, éprise
Par loupvoyant le 21/9/2001 à 20:54:00 (#279080)
Lappel aux éléments juste de par sa souplesse
Je suis aux aguets.
En chaque parcelle de mon corps.
Je veux me réfugier en toi,
Je veux te provoquer pour que tu mexiles.
Je veux que tu renies tous tes indicibles ;
puis que tu me les susurre, un ton plus bas
je veux tes cris en échos de ta voix déliée,
je veux te voir chavirer, versatile, indéniable
souveraine possédée, souveraine
et esclave de mes gestes lestes
offrande, offerte
sacrifiée au désir inconnue et tremblante.
http://www.ifrance.com/dogsdamour/imgs/lp24.jpg
Par loupvoyant le 21/9/2001 à 20:57:00 (#279081)
( frissonner c pas un truc de 'vivant', ça ? ;=) )
autant pour ma khonnerie... ... menfin je me comprend ( oui ça en fait au moins un :rolleyes: )
:aide: :rasta: :aide:
Par loupvoyant le 22/9/2001 à 0:08:00 (#279082)
Je vais devenir fou...
Fou de silence
De tous ces moments où je te parle, alors que tu nes pas là, plus là.
Entre lavenir que jaurais pu incarner et le mal que je peux faire ...
tu me manques...
Par Forestia le 22/9/2001 à 15:42:00 (#279083)
Continuez m'sieur Bleiz, continuez !
*souriante*
Par loupvoyant le 23/9/2001 à 15:20:00 (#279084)
;)
Dame Moire...
et faire rougir les mailles de mes mots, l'émail discret d'un sourire confié ?
:confus:
:aide: :rasta: :aide:
Par Moire le 24/9/2001 à 15:05:00 (#279085)
Débat lancé par Bleiz Tad Koal:
l'émail discret d'un sourire confié
Sous le rire, il y a toujours le commencement d'un sourire.. aussi discret soit-il... dix petits sourires discrets,cachés, dix petits secrets... lequel mourra en premier ?
[ 24 septembre 2001: Message édité par : La petite Moire ]
Par loupvoyant le 24/9/2001 à 17:38:00 (#279086)
de quoi les sourires sont-ils les dessous...
d'un enchevêtrement concis d'aléatoire ?
:confus:
mmm rien que les dessous c'est évocateur
*va chercher son bromure :D *
:aide: :rasta: :aide:
Par loupvoyant le 24/9/2001 à 17:40:00 (#279087)
Je ne cède rien à mes envies
Et les âmes en vies mépargnent
Je suis la défunte obsession
Tout ce qui vient de là-bas
Je sais le faire renaître outre-terre
Par loupvoyant le 24/9/2001 à 17:42:00 (#279088)
A laquelle je narrive pas à me faire
Lire, réalité sans colère,
Considérée comme ça elle assoiffe
Je ne sais pas si je mange
Je ne sais pas si je manque,
Par contre
Par loupvoyant le 24/9/2001 à 18:10:00 (#279089)
Se rêvent des rives de regard
Là où le regard dérive
Deux feux follets ouvrent la voie
Dans les eaux du samedi soir
Gris Neptune
Un vague bleu à lâme
Une vague à lame bleue
Par loupvoyant le 24/9/2001 à 18:18:00 (#279090)
Les joues en feu
en un orage discrètement cachés
par peur d'intimider l'ondée
on se blotti l'air apeuré
Juste pour encore encore se serrer
Par loupvoyant le 24/9/2001 à 18:37:00 (#279091)
Et sage comme un vieil ours
Tous les soirs, ou plutôt chaque nuit, à une heure furtive de la nuit, iuheiune se mouvait hors de son trou
Et avec la nuit complice physique acteur instantané de ses besoins metteur anse aine de ses désirs, elle se faufilait jusquau plus corps décor, le chemin jusqu'à lindispensable
Chaque soir, toute nuit venant à nuiaître, cela lui était indispensable
Impossible de vivre sans impossible de palper la moindre trace dexistence
Elle allait à un rendez-vous avec on pourrait dire comme une phosphorescence delle-même
Elle allait comme à un examen à répétition sans gain ni but ni désir ni désarroi
Sans habitude même
Rencontre avec le Bréviair Tristh
Un long gnome longitudinal
Et chaque soir au cur de la rencontre
Il y avait les pages feuilletées dun bouquin mystérieux
Et elle était happée par le courant des pages
Parfois quelques lignes justes
Et ne sen éveillait que la nuit suivante, après avoir été bouffée par la torpeur des journées sereines du travail où elle naurait pu se reconnaître elle-même si on lavait montrée du doigt en lui tenant la tête dans sa direction ; fort.
il lui lisait les choses de sa vie
chaque nuit elle venait pour sécouter vivre aux lèvres de cet homme
et ce pouvait être deux décennies de silence passées à vivre néanmoins et ailleurs, et les heures dans lailleurs égarées là ou le temps même se noie dans le silence ou sauréole dans le bon temps
Par loupvoyant le 24/9/2001 à 18:45:00 (#279092)
De façon à ne plus faire
Quun seul frais
Effet-mère
Une fresque polyesther
Reliée via des nuages
De décombres inondées
Et si les demi-lunes se perchaient
En haut dune pique
Sautaient le cap
Dévoyaient les comptines
Des relents de maracas
Grelottant en silence
Sursautant et cest tout
Et si les ovales opales
De sa face joufflue
Réduisaient à néant
Le sort dune jouvencelle
Le labyrinthe déchu
Irrigué de ses sueurs
Lappé comme par mégarde
Et si si non non non
Et sinon à quoi bon
http://www.ifrance.com/dogsdamour/imgs/lp27.jpg
Par loupvoyant le 24/9/2001 à 18:48:00 (#279093)
Qui rit comme on frémit
Un pâle visage de tombe
De pierre lunaire abasourdie
Qui esquisse un mouvement
Croit se mouvoir
Et retombe
Sur ses rêves
Endoloris
Se cherche dans les présages
Quelle invente, consentante
Quelle attire, mirage,
Sirène hésitante
Les fait tituber
Dans ce quelle croit être un partage
Une nouvelle forme de nuée
Quelle inspire et rejette
Supplications bouffées doutrages
Se meut dans les silences
Quon nose discerner
Un bloc sur la balance
Aux ailes faisandées
Et balance le métronome
Quelle aimerait tant faire haleter
Petit bonhomme factice
Au sourire si propice,
Quil ne peut exister
Se vautre dans la frange
Dune demoiselle féconde
Qui lui créerait pauvre ange
Une piètre colombe
A lenvol insistant
Mais à la paix fragile
Pour que rien quun instant
Elle simagine gracile
Et se blesse illusoire
Enfance - lumière née aveugle
Aux constellations déphasées de tout
Aux douceurs solaires décureuil
Que des cris auraient rendu fou
Une voie lactée trop tôt sevrée
Quon entendrait enchanter dans les nuits
Qui donnerait tous les secrets de lennui
Pour le sortilège dun baiser
Qui donnerait tout jusquà lenfance
http://www.ifrance.com/dogsdamour/imgs/lp26.jpg
Par loupvoyant le 24/9/2001 à 18:59:00 (#279094)
En ribambelle
Des rubans delle
Je la faisais glisser
Comme une ombre lumineuse
Discrète et insistante
Et elle, me narguait
Insouciante, presque sournoise
Et elle, me désirait
Jusquà ce que je décide de nous sauver
Loin de tout
Par loupvoyant le 24/9/2001 à 19:12:00 (#279095)
dune faiblesse incomparable
Et pour toute la célébration nocturne !
Tu mas fait entendre les crayonnés de la ville,
de cet artiste qui a toujours vécu disparu,
qui sifflaient !
Tu es la coupable, mais jamais méprisée
jai remarqué avec toi les récentes plaies des souris,
Jai bu ta robe, toute fraîche et languissante,
Jai crié dans lécrou pour le reste du monde
Et, vivement,
Jai inventé de nouvelles larmes deffusion.
Tout ceci !
Pour une nuit de mort violente.
Par loupvoyant le 24/9/2001 à 19:16:00 (#279096)
Perdue dans les reflets dune subtile nonchalance
Et je tadmire mire mirliton poltron
Caché dans une cage callipyge prison
Tout comme un rêve devient beau en se réveillant
Tu as les fossettes vermeilles dun enfant renaissant
D'un geste tu peux faire de moi une dernière étincelle
Dispersée pour être moins qu'un souffle et s'éteindre en tes lèvres
D'un geste tu peux mes étoiles en nuées ribambelles
Enlacer et lancer à l'horizon des fièvres
Par loupvoyant le 24/9/2001 à 19:22:00 (#279097)
elle rachetait des clauses écloses
sur un contrat actuel,
passéiste représentant de lorme
( larbre qui veille )
jai caressé son front et puis me suis souvenu
Par loupvoyant le 24/9/2001 à 19:31:00 (#279098)
Une jeune fille
Ne croit pas
Quelle me fait de leffet
Un effet à retardement, un effet à tremblement de terre
Un effet comme une plante dans une serre qui
Sest faufilée à travers la vitre pour louvoyer
Se brûler encore plus encore plus fort encore plus doux
Au rayon du soleil dont elle sest amourachée
Une jeune fille qui croit ne pas savoir
Et qui sait deviner
Une jeune fille dont lattente brûle le
Ciel comme une chandelle allumée
Là par mégarde tristement dans un coin de nuage
Jen ai regardé
Des levers de soleil avec elle pourtant
Peut-être même les lui ai-je volés
Mon sommeil attentif à ses cils ma trahi, il est passé dans le camp adverse
Et celui là qui parle qui est-il pour parler
Qui est-il pour ne serait-ce que faire
Esquisser un semblant daveu
Pas très capable,
Pas très digne des ailes quon lui a donné
Mal à laise dans cette grâce cest trop léger trop subtil trop voletant pour lui
Pourtant sentant sachant bien
Les rares faiblesses illuminées de son corps
Arrivant à se révéler
Il les reconnaît cest comme sil avait déjà parcouru ces sentiers menant à leur source
Se sait complètement dans son univers
Et sait son univers complètement tournoyant tour né
Né tour de magie tourné vers elle
A limpression de la caresser lorsque seulement un brin dair il déplace
Je men suis posé des questions effarées
La jeune file était auréolée
Dune cour de cent et mille créatures de magie
Quelle avait déposé là laissé dans le décor linstant comme dun caprice
Tout à ses désirs dévoués prêt à simmoler
Mais en ignorant tout
Et elle dansait pour elles
Jétais intimidé
La jeune fille ne sest pas moquée de moi pourtant
Jaurais peut-être préféré
Les créatures ne me cachaient rien
Leurs déguisement leurs paravents la façon dont ils devenaient grimés
Cétait moi qui les créait
Peut-être aurais-je eu laudace
Dans un rêve lointain..
Et celui qui là séparpille
Le pillage lui fait pourtant horreur
Jouer à pille ou face
Ne plus savoir même se localiser au milieu de son ignorance ou de sa connaissance
Il se cherche une faille
Une nouvelle encore une
Et
Encore un peu honte
Car qui vient lapaiser
Comme une main passée devant un visage
Les yeux clos une douceur qui se dévoile
Une jeune fille
Par Sevoth Tart le 24/9/2001 à 21:37:00 (#279099)
Tu viens me chercher a la gare saint lazare ce week end et on vas au monde du jeu hein hein?
Je sait pas y aller moi :'(
Pis le serveur entier reve de te rencontrer :)
WOAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRGGGGGGGGGGGGGGG
Par loupvoyant le 25/9/2001 à 7:16:00 (#279100)
Bon chtite notification.
Ce n'est pas que je n'ai pas envie, mais je n'irai pas au Monde du Jeu pour plusieurs ( bonnes ) raisons:
Déjà il risque d'y avoir une, voire plusieurs personnes que j'ai envie de voir, mais dont je n'ai pas envie qu'elles me voient. ( je me comprends :D )
Ensuite je n'ai pas envie de faire ce qui pourrait être interprété comme un prosélytisme à deux balles niveau déchirage de gueule, et pourtant timidité + tempérament extraverti conjugué ça risque fort. :(
bon voilà, c pas très construit vu que je suis pas très frais ( vivement la douche :p ) mais c fait.
( et puis je n'ai pas tenu le pari, Rochel ;=) )
:aide: :rasta: :aide:
Par loupvoyant le 25/9/2001 à 8:15:00 (#279101)
l'insouciance ineluctable,
des cauchemards patients
un prisme de la réalité qui
s'étiole avec celui de l'irréalité
un oiseau cherche quelqu'un qui le regarde;
avec qui converser.
Par loupvoyant le 25/9/2001 à 21:47:00 (#279102)
sabstient bien entendu de réfléchir
là ou sétend le malheur,
il reflète linconscient
- celui qui ségare à toutes fins inavouables
Le miroir caresse ;
exégète de lâme
et de lâme au violon
il ne fait que bruisser
Par Bérénice le 25/9/2001 à 23:15:00 (#279103)
Transgression et rupture
Variations dharmoniques
Je nen ai cure
uvre pour piano seul
Polyphonie hypertrophiée
Nuds, interférences, deuils
Et je reste étonnée
Nattends pas
silence
Un temps pour elle
Intemporelle
Autant pour elle
Par loupvoyant le 25/9/2001 à 23:24:00 (#279104)
on naît des mélodies échevelées
une Lactance inanimée
qui se nourrit d'elle, même
si d'une note gracile
on fredonne l'anathème
Par Bérénice le 26/9/2001 à 0:41:00 (#279105)
mais pure
sans usure
anamorphose partielle du temps
longtemps différé
le temps à l'oeuvre...
si la bataille nest pas gagnée
dans la vitesse elle est perdue
dans la lenteur elle se dissout
je ne la dispute quà moi-même
quotidiennement déchirée
dissemblable
je pense savoir où je vais
comme ce rat
:aide:
Par loupvoyant le 26/9/2001 à 1:14:00 (#279106)
une usure partielle
partiale peut être
car le temps n'a de cesse
que de se contredire
les rats ne rongent pas jusqu'à l'os
le navire où ils naviguent
et s'ils se terrent, souvent,
ils font aussi la vie et les remous
de la surface
:aide: :rasta: :aide:
Par Bérénice le 26/9/2001 à 1:23:00 (#279107)
Boris Vian
Par loupvoyant le 26/9/2001 à 2:07:00 (#279108)
mauvais essence - elle*
( Dior de chez Mal-Avisé :D )
:aide: :rasta: :aide:
Par loupvoyant le 28/9/2001 à 17:52:00 (#279109)
elle aimait la femme quelle était devenue,
elle aimait la femme qui lui restait inconnue.
Elle égrenait des rêveries ,
filles de sylphides
parcelles infimes
on ne la jamais retrouvée,
mais la femme témoigne delle ;
aime chaque jour.
Par loupvoyant le 28/9/2001 à 17:58:00 (#279110)
Comment ne pas voir les Parques en peinture ?
Les ongles âpres à tailler net lexistence
Mettent un point dhonneur au point dorgue
Quelquune
Danse sur le fil
Et sautille dun fille à lautre
Ce nest plus une enfant.
Par loupvoyant le 28/9/2001 à 21:01:00 (#279111)
Dans les cieux
Des instincts de personnalité
Des rais de luminescence
Incandescentes,
Un jour décentes ; un jour décences
Un jour indécentes
Délivrées ?
Arrivées sans encombres à une destination
Incongrue, pas inconnue
La nudité de limprobable
La constance du revenant
Qui sans chaînes senchaîne
A ce qui devient, râle et succession
Souvenir détoffe,
Soie de lego,
Délivré
Livré à elle ; maime.
Par Moire le 28/9/2001 à 21:11:00 (#279112)
Par loupvoyant le 29/9/2001 à 14:39:00 (#279113)
Venaison et silences
Rire purpurin et chantre des larmes
Ah les petites graines...
Encore une belle histoire qui définit mal !
Par loupvoyant le 29/9/2001 à 23:18:00 (#279114)
Et puis tu disparais
Moi mes mois mes émois disparates
Me laissent, sans agrément, face aux choses,
Sans fondement
Je ne peux même pas demander
Pourquoi tu nes pas
revenue
Par loupvoyant le 29/9/2001 à 23:20:00 (#279115)
Sur linsomnie des gravats
Et sendormir dessus
Sans dessus-dessous
Je ne me retrouve plus sans toi
Je me retrouve sans rien
Il ny a plus que des chemins
Que je nose
Parcourir
Seul
Par loupvoyant le 29/9/2001 à 23:26:00 (#279116)
Cest à dire que peut-être
Je nose plus le remords
Et je nespère plus le joli
Je ne confronte plus rien à la réalité
Je ne sais plus mentir, deviner, croire
Ou men faire accroire
Ton front, mon front
Mon affront
Disparates, emmêlés
Par loupvoyant le 29/9/2001 à 23:31:00 (#279117)
De me démasquer pétrifié
Répandu sur un lit étranger
Je labandonne juste là
Tellement las que je men souviendrais, dailleurs
Si je pouvais me croire ailleurs
Je vais sûrement, sans certitudes
Tricher, pour ne pas changer
Mes craintes les plus formelles
Renouvelées, chaussées de carcans indéniables
Mes craintes je les sauverai
De par-delà moi ; lautre
Par loupvoyant le 29/9/2001 à 23:33:00 (#279118)
Mais cétait trop professionnel
Jai failli crever
Mais cétait trop irrationnel
Jai failli changer
Mais cétait trop invraisemblable
Par loupvoyant le 30/9/2001 à 20:36:00 (#279119)
*mouarf*
Par flo3000 le 30/9/2001 à 20:48:00 (#279120)
la derniere fois que je t'ai vue on est alle pk :)))
alllezzzzz revienssssss et raconte comment t'ecris t truc !!
Par loupvoyant le 30/9/2001 à 21:19:00 (#279121)
:D
d'où que tu m'as dégotté ? ;) :p
bah j'ai refait un perso sisi lol !
un encore plus galérien que ceux d'avant
but...
"the future's incertain and the end is always near ..."
:aide: :rasta: :aide:
Par loupvoyant le 30/9/2001 à 21:24:00 (#279122)
je crois que c ze future's uncertain plutôt
*wooooarg*
Par loupvoyant le 30/9/2001 à 22:11:00 (#279123)
Chasse-moi sans refuge potentiel
Sans amour, sans aurore
Je serai trop stupide pour me méprendre
Et encore plus pour te désirer
Chasse-moi
Chasse mes regards mes infinis
Fais un grand vide sur labsolu
Déblaye ce qui pourrait être
Et ne crois rien de moi
Par loupvoyant le 30/9/2001 à 22:26:00 (#279124)
et si je me sauvegarde les nuits
qui pourraient vouloir chanter
rugir feuler et vamper
je ne serai pour rien
de jour en jour
savoir jouir comme le jour
et nuire comme la nuit ?
Par loupvoyant le 30/9/2001 à 23:06:00 (#279125)
Alors quil ny a personne
Est-ce vraiment de la solitude ?
Je suis indistinct
Faussement serein
Alien méprisé
Je suis faussement médusé
Par loupvoyant le 30/9/2001 à 23:14:00 (#279126)
Ne mélude pas trop vite
Pas sans réconfort
Pas sans rien de toi
Enfant qui saurait
Qui saura
Etre moi
Ne me laisse pas divisé
Et pire quéparpillé
Ne me
Ne me chante pas non plus...
Par Moire le 1/10/2001 à 5:33:00 (#279127)
Débat lancé par Bleiz Tad Koal:
savoir jouir comme le jour
et nuire comme la nuit ?
et pourquoi ne pas jouir du jour et de la nuit, pourquoi ne pas jouir le jour comme la nuit ?... Tout est question de regard et d'envie... envie d'être en vie....
Par loupvoyant le 1/10/2001 à 8:15:00 (#279128)
[ mouarf je vais être en retard au bout low ]
:aide: :rasta: :aide:
Par Moire le 1/10/2001 à 20:41:00 (#279129)
Par loupvoyant le 1/10/2001 à 21:52:00 (#279130)
bah finalement j'ai séché !
*je suis malaaaaaaadeuuuuuuuuuh complètement maladeuuuuuuuuuh*
:aide: :rasta: :aide:
Par Empoisonneur le 2/10/2001 à 0:23:00 (#279131)
Un fait divers, une fée d'hiver,
Une méprise sur une banquise,
Toutes mes erreurs, mes bêtises
Attisant cette froide bise.
Depuis mon coeur prend place
Dans un palace de glace,
Fuyant les grands espaces.
Effet d'hiver, fée de fait divers...
Tristesse infinie dune fin dère...
Par loupvoyant le 2/10/2001 à 9:53:00 (#279132)
Il me souvient ...
...
En ce cas le hasard fait ... étrangement les choses.
[n'entrons pas dans la parano des souvenirs ..]
:aide: :rasta: :aide:
Par Empoisonneur le 2/10/2001 à 19:30:00 (#279133)
Je n'ai jamais vraiment eu une plume égale à la tienne, mais de temps en temps, rarement en fait, j'essaye (péniblement) d'aligner quelques mots...
Aller... un fond de tiroir qui date d'un peu plus d'un an... mais qui revient d'actualité... Destin farceur... en espérant qu'il ne soit pas trop ridicule au milieu de ce post...
Bouteille à la mer
Bouteille à l'amer, à l'amertume pareille à ces blondes d'abbayes en provenance du plat pays, ces belges à la robe enjôleuse et aux bulles charmeuses qui laissent un souvenir cinglant au réveil, la bouche pâteuse et l'haleine ravageuse. Perdu dans cet océan né d'une mise en bières solitaire, je me noie, entraîné au fond par le plomb de mes pensées, anesthésié par cette mousse qui me susurre des choses insensées et douces. Bartholomew Roberts en perdition, pirate raté par vocation, je coule, sous les assauts d'une houle de plus en plus prononcée à mesure que je me rassure au sein d'une sirène à la têtée alcoolisée, digne cousine d'une divine bibine.
Demain, Bacchus m'enverra la facture, et me fera souffrir milles tortures jusqu'à ce qu'il s'estime remboursé de son ultime denier. Mais avant cela, j'espère avoir le temps de rejoindre cette lande éthérée où les fous dansent leur sarabande, cette contrée que l'on dit peuplée de fées, qui distribuent l'oubli à qui en a l'envie et rendent ainsi l'espoir, ne serait-ce que le temps d'un soir.
Par loupvoyant le 2/10/2001 à 19:53:00 (#279134)
menfin j'accepte tout private message, g comme l'étrange impression de te connaître...
sinon destin farceur sera crescendo ce soir...
j'ai l'impression de ne plus avoir que l'amertume au bout des doigts, je ne risque pas de te renvoyer le joli...
anamorphose des fées
sans précision d'esquisse
sans indices ou si peu
sans peine ou tant bien que mal ...
:aide: :rasta: :aide:
Par loupvoyant le 2/10/2001 à 19:54:00 (#279135)
chambre avec vue sur l'amer
ya quelques jours et puis j'ai eu la flemme ...
décidemment ...
:aide: :rasta: :aide:
Par loupvoyant le 2/10/2001 à 19:59:00 (#279136)
[ 02 octobre 2001: Message édité par : Bleiz Tad Koal ]
Par loupvoyant le 2/10/2001 à 19:59:00 (#279137)
'ridicule au milieu de ce post' non mais ça va pas non ?
j'aime ce que tu écris voualà !
d'ailleurs pour moi je me pose pas ( enfin j'essaye ) trop la question sinon je poste plus rien
*profitons-en pour saluer la patience sereine des modérateurs*
Par loupvoyant le 2/10/2001 à 20:07:00 (#279138)
:(
:aide: :rasta: :aide:
Par Empoisonneur le 2/10/2001 à 20:10:00 (#279139)
Par loupvoyant le 2/10/2001 à 20:18:00 (#279140)
vite une diversion métaphysique ... trouver quelque chose ...
http://www.ifrance.com/dogsdamour/imgs/see.gif
et hop diversion anodine ( ? )
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Par Moire le 2/10/2001 à 20:21:00 (#279141)
(y a rien de tel que les belges... hihi... ça, je le savais déjà.. hihi *clin d'oeil*=)
[ 02 octobre 2001: Message édité par : La petite Moire ]
Par loupvoyant le 2/10/2001 à 20:24:00 (#279142)
cruauté de l'immédiat anonyme et personnel, sans personne d'autre que le monsieur souvenir ;=)
Mais on est très sages ( sisisi) surtout lui :D
( enfin sages comme Dyogène parceque dans la vie je dis rien moi :p )
( quoi g choisi Dyogène à cause du tonneau ?!? :eek: )
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Par loupvoyant le 2/10/2001 à 20:31:00 (#279143)
j'écorche "scuttle buttlin'" comme promis à Neo tant qu'il est pas trop heure légale tout en gardant un oeil concupiscent sur les posts mais bon forcément la constance s'en ressent alors puisque l'on parle d'aménité... soyez sans pitié LAPIDEZ MOI !!
:D
*gnwoouarg*
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Par Empoisonneur le 2/10/2001 à 20:51:00 (#279144)
Les dits-versions ont sur moi cet effet raie-pulsif des cours de latin lorsque j'avais encore cette raie (im)monde-haine sur la tête justement...
Cette diversion n'était point anode-in, mais haute-tention, change pas ton fusible d'épaule
Pour répondre à Dame Moire, c'est avec des lys tirés fort à propos du tonneau (des Danaïdes, celui de Dyogène ayant été vidé par un chat-loup (pas si) voyant) que nous lirions ici vos propos, dans cette lie si lisse que nous déversons ici, lie (lit ?) dans laquelle (lequel ?) nous noyons nos souvenirs...
[ 02 octobre 2001: Message édité par : Empoisonneur ]
Par NeoBaSiK MDT le 2/10/2001 à 20:55:00 (#279145)
lol
Par loupvoyant le 2/10/2001 à 20:59:00 (#279146)
ayeh je lâche - ment prise ( de toute façon vu qu'elle est plus éprise ... )
bon j'arrête de me déteindre sur moi, c sale et ça fait pas avancer le schmilblick
*reprend pour quelques instants, son luth miraculeusement, à six cordes ( la fin est pauvre mais elle est véridique .. et ça marche fort en ce moment alors j'essaye sans l'atteler euh sans la télé )*
:aide: :rasta: :aide:
Par loupvoyant le 2/10/2001 à 22:07:00 (#279147)
Entre deux grêles
Entre deux fantômes qui sen veulent
Et moi
Je ne peux dormir sans toi
Tu es tellement blanche quil me faut
Diantre tellement pour être noir et te rejoindre
Tattendre, encore
En sachant que je ne tattends plus
Que je ne devrais pas, que je ne devrais plus
Que je te dois bien plus quà moi-même
Tu souris
Même quand tu as tellement mal
Quil ny a plus que le sourire pour te parjurer
Jespère que tu dors doux
Vraiment
Par loupvoyant le 2/10/2001 à 22:11:00 (#279148)
« ne reviens pas !!!!!!! »
et tu te retournais
te détournais diaphane
mais pas pour ça
la petite fille marchait
au creux de lécluse
et le vieux éclusait
sa petite fille
recluse
dans ce qui restait de ses souvenirs ...
Par loupvoyant le 2/10/2001 à 22:18:00 (#279149)
Dans les recoins dombres
Ca, tu savais faire
Sans lombre dune ombre
Sans léchéance du recoin
Quai-je assassiné en toi
Et doù aurais-je déjà expié
Sans prendre mon pied
A la douleur de mon incompétence
Innée
Mes souterrains prennent forme
Non sous tes combles
Mais sous les catacombles
Cataplasmes funéraires
Que jassouvis ... pour moi ?.
On mavait vu
Quelque part
Au milieu dun parking sans nuit
Jamais diurne ;
Funéraire
Moi je croisais les fleurs célestes
Je brisais leurs tiges
Dun regard inanimé
... et sans les déranger
Par Empoisonneur le 2/10/2001 à 22:49:00 (#279150)
Je suis plus pathétique que sympathique,
Je suis plus catatonique que médiatique...
Seule la musique à ce jour a provoqué un déclic,
Maigre consolation que ces étranges rythmiques,
Triste viatique dans une vie pathétique,
Je l'aurais souhaitée somptueuse, magnifique,
Que dis-je ! Merveilleuse, extatique...
Les années passant m'ont rendu anecdotique,
De temps à autres bucolique, romantique,
Plus souvent caustique, sarcastique, cynique...
:aide:
Par Moire le 3/10/2001 à 0:36:00 (#279151)
*sourit*
Par Empoisonneur le 3/10/2001 à 0:53:00 (#279152)
Par loupvoyant le 3/10/2001 à 17:00:00 (#279153)
moi j'apprécie
Par loupvoyant le 3/10/2001 à 17:02:00 (#279154)
je ne sais plus où est l'horreur, où est l'erreur, ou est la rémission...
Où est la soumission
et puis l'absolu
pourquoi te dire « tu sais »
tu devines sans doute tout ce que je ne sais pas
et tu sais sûrement ce que je ne sais plus
tu sais ce que je ne suis pas,
tu sais quon ne me suit pas vraiment
et que jai mal aux pattes si je cours me noyer dans la forêt
tu sais et tu ne cèdes pas,
tu sèmes et tu cernes trop
les stries de lâme
il faut absolument que tu saches
que je sèche et fais crisser la vie
... que tu ne saches rien
Par loupvoyant le 3/10/2001 à 17:45:00 (#279155)
Sombre, un peu graveleuse
Mais dénuée de tout ce qui rendrait linnocence caduque
La voix qui savère, aberrante
Qui se rêve altérée
La voix qui ne dit plus rien, vraiment
Vraiment rien.
Par loupvoyant le 3/10/2001 à 17:46:00 (#279156)
la grêle des notes qui sont souvenir de toi
je mange comme la mangue le manque
qui se libère dune secousse étroite
dun coup de rein farouche
et mon temps sévanouit,
de par-delà les siècles
Par Empoisonneur le 3/10/2001 à 19:21:00 (#279157)
Ce n'est qu'un au revoir, comme le dit la chanson,
Fin de non-recevoir, telle est ma perception,
C'est ne plus te revoir, mon amour, ma passion,
Si lointaine te savoir, qui détruit ma raison.
Perdu dans ma prison, mon esprit broie du noir,
Attendant ton pardon, sans savoir, sans espoir,
J'espère une solution, du fond de mon placard,
Je cherche sans illusions, à trouver ton regard...
:(
Par NeoBaSiK MDT le 3/10/2001 à 20:31:00 (#279158)
Par touanou le 3/10/2001 à 21:24:00 (#279159)
Plus que deux posts...
Amicalement,
Touanou
PS : à moins d'éditer les précédents *souriant*
Par Empoisonneur le 3/10/2001 à 21:27:00 (#279160)
Par NeoBaSiK MDT le 3/10/2001 à 21:27:00 (#279161)
PAS DE POST DE PLUS DE 99 REPLY!
©Horn(hichon)
Par Empoisonneur le 3/10/2001 à 22:24:00 (#279162)
Dans mes pensées pour toi, je m'emmure et je meurs.
Par loupvoyant le 3/10/2001 à 23:30:00 (#279163)
Et ses pas feulent
Mais elle nest pas si folle
Ni trop frêle
Pour une inconstance de rêves sans limites
Elle est si proche
Sans sa proche venelle déchappatoire
Quelle emprunte à la ville sans quelles sourcillent
Aucun cri, aucune distance
Pour une rêverie soutenue de limites bluffées
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