Tristesse dÂ’un cÂœur si lourd

Par ocan aegis-AKS le 4/10/2001 à 13:47:00 (#257791)

Le chemin de la vie est parsemé de sanglot,
Je restais là appuyer contre cet arbre prés de cette rivière. Je repensais à ma conduite. Je regardais ma peine comme on regarde la mort. Je ne voulais plus la voir et pourtant je ne voyais qu’elle sans comprendre pourquoi, nul ne me compris et nul ne me comprendra.

J’ai pourtant essayé de lui faire voir mon âme, elle n’entendit que le son de mes paroles et restas sourde à celui de mon cœur. Je lui criais de partir et je sanglotais pour qu’elle reste. Je lui refermai mon affection par peur de rouvrir une blessure qui était encore ouverte mais que je feignais d’ignorer.

Pour fuir le mal on se fait plus de mal, pour ne plus souffrir, on sÂ’inflige des blessures.

Et ce soir je reste là, seul, près de cette rivière où coule mes sanglots.
J’ai fui pour ne pas voir la réalité des sentiments qui me touche.
Je me suis enfui.
J’ai voulu la toucher et je l’ai choqué. J’ai voulu me protéger et je l’ai meurtri, et de cela j’en suis presque mort.

Je garde cette amertume dans mon cœur, mon désespoir me fait souffrir. J’ai voulu me protéger et les sentiments mon rattraper.
Par crainte de ce mal, je me suis maudit. Ce soir jÂ’en suis victime.

A quoi bon fuir, courir se débattre alors que les sentiments sont déjà la.
Ils transpercent notre cœur comme la foudre s’abat, on ne réalise qu’une fois qu’ils sont en nous et la souffrance sonne le glas de notre âme.

L’ais-je perdu à tous jamais ?
Me suis-je perdu à tous jamais ?

La vie n’est plus vie, la mort seras peut-être une délivrance, je la regarde avec affection,
un soulagement dont elle seule pourra me délivrer. Le temps n’y pourra rien,
je ne suis plus quÂ’une plaie, une souffrance qui avance dans le temps en sanglotant.

ocan

Par follet le 4/10/2001 à 14:28:00 (#257792)

*longe les rivières à la recherche de Sire ocan*

*le trouve près d'un arbre*

*s'assoie à côté de lui sans un mot*

Par *Alanis* le 4/10/2001 à 16:13:00 (#257793)

Ocan mon bel ami,

Les mots me manquent pour soulager ton coeur meurtri par ta peine

Tout comme Dame Follet, je resterai silencieuse mais si tu le désires, je serai là pour écouter si tu as besoin de parler!!

Par Rhiannon Fearn le 4/10/2001 à 23:57:00 (#257794)

Mon ami je compatis dans ta douleur si tu as besion d'aide je suis la pour te soutenir .

Si tu preferes je resterai egalement silencieux!

Par Gaëlle Drake le 5/10/2001 à 0:13:00 (#257795)

*Passait par hasard par la*
*Remarque la présence d'Ocan*
*Fait quelques pas dans sa direction*
*Puis s'arrête finalement à la vu de ses traits*
*Touchée par la tristesse de son visage*

*S'éloigne respectant ainsi son isolement volontaire et sa profonde peine*

[ 05 octobre 2001: Message édité par : Gaëlle Drake3RD ]

Par Lunia le 5/10/2001 à 10:20:00 (#257796)

*voit la silouhette de Sire Ocan au loin*

Comme souhaité de votre part, je ne suis qu'une inconnue.

*continue son chemin le coeur gros*

Par ocan aegis-AKS le 5/10/2001 à 13:34:00 (#257797)

*Reprend conscience et regarde où il se trouve
Remarque les personnes autour de lui, est touché de leur silence respectueux.*

*Pense qu’ils sont vraiment des amis, ceux de ce genre qu’on peut dire des Amis avec un A majuscule qui sont là, présent, juste présent à vos côtés lors de moment difficile.*

Un ami est une personne qui ne vous juge pas, ne se sert pas de vous, mais qui s’assoie simplement prés de vous lors de moment difficile.

AujourdÂ’hui je vois des Amis.

*Regarde Dame Folet, les yeux rouge montrant un mal de l’âme*

*S’effondre à genoux, tend une main tremblante pour demander une aide, une raison de vivre*

*Regarde Alanis et verse une larme*

*Voie Rhiannon et son visage se met à trembler*

*Voie Gaelle qui s’éloigne après lui avoir sourit*

*S’effondre les mains sur son visage et la tête qui touche le sol*

*Sent le passage dÂ’une autre personne, reconnais cette personne qui ne lui est pas inconnue.*

Tel un géant je suis venue
Tel une servante tu ma accueilli
Tel un démon je t’ais entendu
Tel un ange tu mÂ’as souris

Fort de moi jÂ’ai cru
Faible de toi tu as vu
D’une armure je me suis affublé
D’un cœur je suis blessé

J’ai blessé par des mots
Tu as subi sans en dire
JÂ’ai mal agit par mes maux
Tu as gardé mes désirs

J’ai refusé ce moment
Comme on refuse de respirer
Comme on refuse dÂ’exister
J’ai chancelé à cet instant

Puisse-tu me pardonner
Et ne pas garder
Ce moment de plaie
Mais me laisser réparer

Juste des ombres de toi font
Pour un murmure de frisson
Pour une brise de sentiment
Une main qui se tend

Donne-moi ta clémence
Et je serais ton art
Donne-moi l’espérance
QuÂ’il nÂ’est pas trop tard

Par follet le 6/10/2001 à 1:48:00 (#257798)

*aide Sire ocan à se redresser*

*lui fait signe de s'assoir en tapotant le sol*

*sort du raison doré de son panier*

Tenez, cela est frais et agréable à la langue.

*sourit gentiment*

Une voix semble vous avoir interpellé.

Voulez-vous la rejoindre ou bien en parler ?

Par Lunia le 6/10/2001 à 7:30:00 (#257799)

À l’aube de mes vingt printemps d’existence
Tournant la page de ma douce enfance
Sentiment d’une femme, nouvelle présence
Solitude dÂ’un moment passager, ignorance

Hier, pleurs d’être inconnue comme il a demandé
Aujourd’hui, doutes à mon esprit qu’il dise la vérité
Demain, comprendrais-je le fond de ses pensées ?
L’avenir pourra le dire si nos chemins sont tracés

Une femme tourmentée devant l’inconnu (double sens?)

[ 06 octobre 2001: Message édité par : Lunia ]

Par ocan aegis-AKS le 7/10/2001 à 2:11:00 (#257800)

Merci Dame folet pour votre soutien si touchant.

Je voudrais lui dire, mais les mots me manquent.


Que jais la crainte du mal déjà présent
Que jais la crainte du bonheur si fuyant
Mes Larmes de peine si présente
Mes Larmes de cur, delle si distante

Ces doux moments de sa présence
Ces horreurs de cette indifférence
Mes aveux davoir été blessé
Mes mensonges de la vérité

Car hier la fausse négation
Et daujourdhui la décision
Si demain est notre choix
Libéré, maintenant je la voie

Un souffle murmuré de sa présence mest vitale
Le rêve dêtre une de ses pensées mest cruciale
Un moment à ses côtés pour me pardonner
Je ne demande quêtre son contour excusé

Par Lunia le 7/10/2001 à 23:16:00 (#257801)

*soupire* Sire Ocan, vous seul comprendrez que les sentiments que vous m'avez fait part doivent être loin des tourments de la vie et rester à jamais ce qu'ils doivent être à la source.

*coeur battant au bonheur*

Maintenant, je ne suis plus une inconnue

*regard perdu au loin vers un chemin où elle en connait pas la destination*

Par follet le 9/10/2001 à 22:04:00 (#257802)

Si je ne me trompe,Sire, la Demoiselle semble vous avoir adressé un poème.
:)