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Le Néant [Poème]
Par Wakan le 4/10/2001 Ã 0:34:00 (#257637)
Elle brille maintenant par son absence,
Celle en qui je voudrais tant croire,
Mais qui ne men laisse pas le pouvoir.
Dans ce cur meurtri, clos pour léternité,
Une étincelle persiste pour mieux rappeler
Quil suffirait dun signe pour continuer,
Croire que tout ne fait que commencer.
Mais mes pensées se noient dans le vide,
Ce néant quelle a réussi à créer,
Mattire dans un monde livide,
Alors quun seul mot aurait pu léviter.
Vivant maintenant au jour le jour,
Nattendant plus rien du lendemain,
Je tue le temps de cet amour,
En nayant lair de rien.
Par follet le 4/10/2001 Ã 0:37:00 (#257638)
Vousle savez n'est-ce pas, vos mots le laissent entendre :)
Par Dolly le 4/10/2001 Ã 6:56:00 (#257639)
Ne venez dire que je ne vous avais prévenu,
En votre coeur, en le sien j'ai vite vu,
Contraste d'attentes, se sentiments,
Ne pleurez pas, vous qui etes si charmant !
Venez, venez vous méler à mon Ame triste,
Ensemble combatons contre cette femme cruelle
Libérez-vous de ces pensées pécimistes,
Et vous verrez que la vie peut etre belle !
Aimez, Aimez à n'en plus douter,
Si l'amertume se plolonge en votre coeur,
Tuez la belle, de vos sorts embrasés,
Et effacez ainsi toutes vos douleurs !
Par Cynthea le 4/10/2001 Ã 8:39:00 (#257640)
Sans être jaloux?
Se peut on aimer,
Sans susciter de courroux?
Ce sentiment sombre,
Vers l'erreur peut mener
Et apporte le chagrin,
Une fois tout terminé...
Mais la colère passée,
Peut on en son coeur trouver
La force d'un pardon,
La force d'oublier?
[ 04 octobre 2001: Message édité par : Cynthea ]
Par Livonia shane le 5/10/2001 Ã 22:54:00 (#257641)
Jai tant rêvé de toi que mes bras habitués, en étreignant ton ombre, à se croiser sur ma poitrine, ne se plieraient pas au contact de ton corps, et que, devant lapparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis ta recontre, depuis tes poemes, je deviendrais une ombre sans aucun doute.
Jai tant rêvé de toi quil nest plus temps que je méveille. Je dors debout, le corps exposé à toutes les choses de la vie, de lamour et de TOI : la seule chose qui compte désormais pour moi. Depuis peu , jai tant marché, parlé, couché avec ton fantome quil ne me reste plus quà devenir fantome parmi les fantomes, ombre parmi les ombres qui se promènent dans tes pensées. Mes pensées te courent après. Je me perd au bout de mon rêve, coupé par la vitesse à laquelle tombe la nouvelle de ta présence prochaine. Aussi longtemps que le reveil sonnera le glas dun jour nouveau à te tourner autour, à te courir après, en compagnie de mes pensées, je poursuivrais mes rêves jusquau jours où lon se rattraperais, toutes pensées confondues en mille excuses de ne pas avoir marché dès le début main dans la main
Livonia
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